Après l’enterrement de Shinobu, Bellatrix avait laissé Keito chez lui pour pouvoir mener à bien ses recherches. Pendant trois jours elle avait amassé assez d’information sur lui et sur le reste de sa famille. Découvrant ainsi la grosse opération qu’il avait eu enfant. Apparemment il lui restait une cicatrice conséquente et le moindre choc à la tête ou un trop plein émotionnel serait fatal pour lui.
Visionnant la vidéo de l’opération, la jeune femme pu voir combien le travail avait été mal fait. Apparemment le chirurgien n’était pas très doué à ce niveau et c’était un miracle que le jeune ai survécu. Un miracle d’autant plus grand qu’il le soit encore aujourd’hui avec son métier. Mais le fait qu’il ne soit pas rétablie n’était pas normal. Normalement le cerveau est capable de se régénérer tout seul et au vue du nombre d’année ça devrait être le cas.
Mais si le cerveau n’arrivait pas à cicatriser c’est qu’il combattait toujours l’infection. La scientifique ce serait fait une joie de lui ouvrir le crâne pour réparer tout ça, mais il fallait avant tout que le jeune homme l’accepte. Au moins pour lui installer une protection au niveau de son crâne pour si jamais il recevait des chocs ou cette partie du cerveau survenait à rencontrer la boîte crânienne, il n’ait pas de risque de mourir. Juste un léger mal de tête.
Durant ces trois jours elle avait également été assister à un match amical dans lequel il participait. Match qui tourna un peu au vinaigre à cause d’un tremblement de terre. Mais surtout Bella crût décendre sur place le jouer américain qui frappa Keito à la mâchoire. Etant une star il avait été évacué vite fait et elle ne doutait pas qu’il la joindrait si il y avait un quelconque problème.
C’est pourquoi elle alla rendre visite au joueur qui reçut le double de ce qu’il avait donné et qu’elle fit bien comprendre qu’en ca de quelconque représailles il aurait bien plus que ça. Apparemment le joueur était déjà fichu mais ce n’était pas ce qui l’inquiétait. Le lendemain elle avait suivit durant une partie de la journée l’emploi du temps de la star. Entre le mannequinat et les entrainements, elle espérait qu’il se reposait comme il était nécessaire à sa santé.
C’est donc aujourd’hui que la Traqueur décida d’aller lui rendre visite vu qu’il ne lui avait toujours pas fait parvenir un double des clefs de son domicile. Et puis aussi pour lui parler de sa tête. Il ne pouvait pas rester comme ça. Si elle ne lui courrait pas constamment derrière depuis qu’elle l’avait appris c’est parce qu’elle savait qu’il avait vécu jusqu’à aujourd’hui sans sa protection. Qu’il était don apte à se débrouiller seul.
Mais elle ne pouvait pas le laisser ainsi et faire comme si elle ne savait rien. Son côté protecteur prenait le dessus sur ça. L’Ecossaise devait faire quelque chose. Se garant devant le domicile, sachant qu’il était tranquillement chez lui, en vu du match reporté, du tremblement ect.. C’est donc son sac sur le dos qu’elle sonna à la porte. Par contre la personne qui lui ouvrit était une tout autre personne que son protégé.
C’était un membre de Tikal, ça Bellatrix en était certaine et c’est pour ça qu’elle réagit instantanément en frappant l’homme au visage. Le faisant un peu reculer dans la demeure sous le coup surprise et elle pénétra à toute vitesse à sa suite avant de claquer la porte derrière elle. Que faisait-il ici alors que les comptes entre elle et son ex-chef avait été réglé comme il se doit.
« Je croyais qu’on avait régler cette affaire avec Aoguro. Alors que fou l’un de ses sous-fifres ici ? »
Je ne devais pas transgresser certaines règles mais rien ne m’empêchait de le blesser légèrement. Je sorti deux lames et lui portais un coup qui l’effleura.
« Si il m’espionne ou qu’il veut des comptes rendu il a qu’à le dire, mais Keito n’a rien à voir la dedans. Alors dans quel but tu es ici Mamoru Kosame ? »
Bellatrix continuait de se battre contre lui, donnant des coups qui arrivait à terme, ou pas, son adversaire se défendant tout aussi bien, la touchant parfois également.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru passait une main dans ses cheveux. Il sentait que la journée serait belle, c'était facile en même temps, il était avec Keito, donc il savait qu'elle finirai bien quoi qu'il arrive entre. Il ne s'attendait pas entendre la sonnette, il sursauta même lorsqu'il l'entendit.Il s'habilla rapidement il mit sa chemise en place avant de voir qui était devant la maison de l'homme qu'il aime. Il grogna légèrement en marchant vers l'entrée. Il ouvrit la porte doucement et découvrit un visage qui lui était pas vraiment étranger. Une traîtresse, que faisait-elle ici ? Sans qu'il comprenne pourquoi, il se ramassa un poing en pleine face. Il serra les dents et se mit directement en position de combat. Il renvoyait son poing avec force ; hors de question qu'il se laisse frapper. Elle parlait du chef. Il eut un rictus rieur. Sa brise tropicale était donc lié à elle. Ses coups ne lui faisait pas peur, il se défendait simplement en rendant coup pour coup avec toute sa force. Il est vrai que sa nature d'informateur jouait en sa défaveur, mais il avait fait la rencontre de son homme tout à fait par hasard. Il rit doucement en la toisant du regard.
-Mon but ? Je l'aime, c'est aussi bête que ça. Je ne m'informe pas sur ta personne, les ordre sont les ordre, quand bien même ça m'as intrigué ta trahison ma très chère. Tu connais mon nom et je connais le tien, il faut dire qu'il a été sur toutes les lèvres à un moment.
Il se battait avec la dame se servant de ces techniques d'art martiaux, bien qu'il soit plus intellectuel que physique, il ne laisserait pas faire, quand il sortaient ses poings, ce n'était pas pour rien. Il affrontait la dame avec tout ce qu'il avait. Il la regardait d'un air déterminé, il protégerai Keito coûte que coûte, c'était l'homme de sa vie. Il ne lâcherait pour rien au monde et ce n'est pas cette femme qui allait l'arrêter. Il savait aussi que si son amant dirai d'arrêter, il se laisserait frapper. Il ne voulait pas le perdre. Il savait aussi qu'il luterait contre sa volonté, celle qui faisait de lui un combattant assez spécial. Il sourit doucement, il aimait les sensations que celui lui procurait, l'adrénaline et surtout qu'il avait une personne à garder.
-Qu'est qui t'amène, tu fais du mal à Keito, je t'étripe et qu'importe les ordres du patron. On ne touche pas aux personnes que j'aime. Bellatrix !
Il ne lâcherait l'affaire, quitte à se faire blesser plus que ça. Femme ou homme, ça ne changeait rien pour Mamoru, il voulait juste garder son amoureux en vie le plus longtemps possible. Il garda sa garde, il ne reculerait plus face à elle. Elle ne serait pas vainqueur, il se battait plus que pour lui-même, mais pour lui. Son homme qui n'était pas encore arrivé à cet endroit. Pourquoi avait-il ouvert à cette femme ? Il ne comprenait pas. Il ne saurait peut-être jamais.
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Je finissais de prendre ma douche, une fois celle-ci fini, j'entendis des drôles de bruits. Que ce passe t-il en bas ? Je m'habillais rapidement, car je m’inquiète un peu. Sachant qu'en sortant de la douche, je ne trouvais pas Mamoru. Je sais qu'il est en bas, mais ses bruits me fondent peur. J'aime pas du tout ce type de bruit ont eu dit des bruits de bagarre. Je hais c'est bruit, je m'étais habillé à la va-vite, je savais même pas ce que j'avais mis au final. Je descendais les escaliers et la surprise. Mamoru face à Bella et il se battait, ce n'est pas vrai. Non je suis en plein cauchemar. Je devais les arrête avant qu'un de né ce casse quelque chose. Je veux pas les voir à l’hôpital. Mais comment me rapprochais d'eux alors qu'ils se battent pour une raison que j'ignore. J'ai l’impression d'être dans une cour de récréation. Je n'ai pas le choix, je vais devoir me faire entendre, même si j'ai peur, même si je tremble. Je les vois se frapper et la seule chose que je puis faire c'est crier et les supplier d’arrêter ce carnage.
" ARRÊTEZ IMMÉDIATEMENT TOUT LES DEUX ! "
Je tremblais, j'avais peur, vraiment peur qu'un ce casse quelque chose. Je savais pas comment faire pour les arrêter, je sais que si cela se trouve, ils ne l’entendront même pas que mais cries sera du vent. Mais je ne veux pas qu'il se blesse, je ne veux pas que Mamoru se casse quelque chose, je ne veux pas que Bella se casse quelque chose. Bella est un ami à mon cousin, c'est ma responsabilité de la protégée, même si je suis un gamin sans cervelle. Je ne veux pas que personne se blesse. Ni l'un ni l'autre ! La violence ne résout rien, elle n'entraine que la violence. Je dois les arêtes, mais est-ce qu'ils vont entendre mes paroles parties comme ils font partie j'en doute fort.
Les deux jeunes gens se battaient, l’un plus franchement que l’autre sur le début. En effet, Bellatrix n’y allait pas franchement suite à certaines instructions dont elle se serait bien passé. C’est pourquoi elle abandonna ses lames pour un simple combat au corps à corps. Sachant encaisser ses coups ne lui donneraient pas plus que quelques bleues. De même pour elle qui ne pouvait pas lui casser quoi que ce soit.
Il disait qu’il était la car il aimait Keito, tout en se demandant ce qu’une traitresse comme elle venait faire ici. Puis le brun échangea les rôles en lui donnant le mauvais rôle. Maintenant c’était elle qui était venu ici pour lui faire du mal. Pour la jeune femme c’était l’hôpital qui se foutait de la gueule de la charité ! Et lui aimer ? Il voulait lui faire gober que lui âgé de dix ans de plus que son protégé était juste parce qu’il l’aimait et pour rien d’autre ?
Il voulait faire croire à cette Traqueuse et ex membre du gang auquel il appartenait qu’il était ici car le jeune était amoureux de lui. Que ce n’était pas pour lui faire signer un quelconque contrat pour que son chef puisse avoir plus de pouvoir. Il commencerait par les stars naïve avant de s’attaquer aux gros poissons ? Non Bella ne pouvait pas croire que ce n’était pas sans raison cacher. Ne serais-ce enquêter sur elle..
« Me fais pas rire Poussin ! Tu penses que je vais avaler tes salades ! »
Je lui décochais quelques coups qu’il me rendait bien, quand j’entendis des pas précipiter venant de l’escalier. Le même escalier ou je m’étais rétamé la gueule quelques jours plus tôt. Je jetais un coup d’œil entre deux attaques pour voir qui c’était. Je fus soulagé de voir qu’il s’agissait de Keito. Je ne relâchais pas ma garde pour autant. Il nous cria d’arrêté et l’autre obéit instantanément. Sauf que je n’étais pas dupe pour autant. Je me baissais dans une rotation parfaite et assénais une balayette dans les jambes de Mamoru qui tomba faucher sur le coup. Après quoi je me précipitais sur mon jeune protégé pour le prendre dans mes bras dans une brève accolade chaleureuse avant de me retourner vers le malotru.
« Sache que c’est mon Lapis-Lazuli. Il est sous ma protection et je doutes que tu sois là en tout bien tout honneur. Alors si mon Lapis-Lazuli me dit que tu lui a fait du mal, prépare toi au pire. »
Bellatrix était mortellement sérieuse et l’avait dit d’une voix froide et sans appel. Achevant sa tirade par une petite tape sur la ou se trouvais son arme. Arme spécial mutant qui ne la quittait plus depuis qu’elle était en sa possession et qu’elle correspondait parfaitement aux attentes exigés. Par contre elle n’avait pas encore eu son utilité. Et c’est avec joie que la scientifique aurait voulu un prétexte pour l’essayer sur lui.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru se battait avec force, la femme ne l'avait pas cru, comme c'est classique ça. Il frappait avec rage, il voulait protéger Keito malgré tout. Jusqu'à entendre son cri, il arrêta tout de suite sans discuter et se mangea un coup qui le fit tomber par terre, il grogna doucement. Il regarda son amoureux serrer par elle, il la fusilla du regard, il était à lui. Puis parlait, comme il était sous la protection d'une traîtresse, une chasseuse des gens comme moi, une meurtrière en puissance, son sang commençait à bouillonner, mais il devait arrêter de se battre pour éviter de faire de la peine à son homme. Il serra les poings et se leva, le corps un peu douloureux. Il la regardait elle.
-Pourtant je suis ici en ne pensant qu'à mes sentiments, à eux seuls, crois-tu que je me serai arrêter si je ne l'aimait pas sincèrement. Ma brise tropicale, désolé pour ce spectacle horrible.
Il voulait le serrer à son tour, mais il y avait elle qui le collait, ça l'énervait au plus haut point, comment elle osait. Il ne la lâchait pas des yeux, tant qu'elle serait aussi proche de lui. Depuis toujours, elle avait donné des surnoms aux gens, comme si les prénoms étaient difficiles à retenir, c'était du à son côté étranger sûrement. Ancienne Tikal, lui l'était encore, un informateur parmi tant d'autres, pourtant quand il s'était baladé dans ce parc dans l'unique but de se vider la tête de ses soucis. Il avait rencontrer Keito, il en était à présent très amoureux, il rageait de voir cette vipère le serrer. Il prit sur lui, restant immobile passant son temps à aplatir les plis que cette bagarre avait fait. Il l'observait. Il était beau, il avait envie de l'embrasser, de le serrer et ce pour un bon moment. Bien sûr, il était conscient que son âge et celui de Keito ne jouait pas en sa faveur, pourtant pour lui, son homme était l'idéal, son âge n'était rien, il l'aimait vraiment.
-Ne me crois pas de toute façon, lui il sait ce que je ressens est vrai, c'est tout ce qu'il compte pour moi. Je serai à mon amour pour tout ma vie s'il le faut je pourrait tout quitter pour son bien. Jamais, au grand jamais je l'utiliserai. Je ne suis pas ce genre d'homme, j'ai un cœur et lui appartient.
Il finit son discours en posant un baiser timide sur la joue de Keito, il s'écarta à contre cœur, il prit son temps pour les observer, il devait faire avec elle, il n'aimait pas ça du tout. Paré à utilisé ses pouvoirs pour l'envoyer valser si jamais elle faisait le moindre mal à son amant, sa moitié. Et gardait ses poings serrer, il n'était pas sorti de l'auberge, elle était là pour le protéger de lui, il voulait le protéger de tout les dangers. Sachant que le plus grand venait de son gang. Il tiendrait sa promesse, si jamais il mettait sa relation en danger de par son appartenance, il deviendrait comme elle, un traître.
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Personne ne quittera rien, Mamoru continuera à faire ce qu'il fait que Bellatrix le veuille ou non ! Je ne serai pas le facteur de rupture. Je regardais Bellatrix puis Mamoru, j'étais en quelques sortes furieuses. Je n'aimais pas les bagarres, je n'aimais pas être au milieu. J’étais comme un enfant en plein divorce de ses parents. Mais je ne voulais qu'aucun d'eux ne quitte ce qu'il faisait. Cela me mettait hors de moi. Personne ne fera rien, ni maintenant, ni demain et ni dans les jours à venir. Et puis je ne suis pas l'enfant au milieu d'un divorce. Bellatrix, je dois honorer mon clan et la protégée comme la fait Shinobu avant moi. Que ferait mon cousin dans ce type de situation, il en prendrait un pour tapé sur l'autre. J'étais ma barrer. J'aime pas cette violence, j'aime pas savoir que les personnes que j'aime se battent. Voilà que mon mal de crâne arrive. Trop de violence, de peurs et d'émotion, mais je peux encore résister et puis pour le moment, je ne saigne pas du nez donc cela n'est pas encore grave. Je maudis ces fichus effets liés à mon opération.
" Cela suffit ! Personne ne quittera rien. Mamoru ne quittera pas ce qu'il fait et toi non plus Bella et moi non plus. Arrête de vous battre pour me protégé, je suis assez grand pour le faire ! "
Je me mis entre eux, je ne voulais pas qu'ils se battent, mais avec Bella rien n'était sûr, je pourrai être poussé dans l'action. Mais même si je dois subir, je ne bougerais pas. Même si ce mal de crâne s’amplifie de minute en minute. Je resterais ici et je ne bougerai pas d'un pouce. Je reconnais j'ai menti, je ne peux pas me protège tout seul, mais j'ai menti pour qu'il s’arrête et pour qu'ils comprennent que je ne suis pas d'accord. Personne ne choisira pour moi, je suis le seul décisionnaire. Mais je sais qu'avec Bella c'est mal barré, je sais qu'à tout moment, je pourrais me manger un coup où me faire poussé afin que le combat reprenne et je ne pourrai rien faire. Car je suis faible et je sais que Bella ou Mamoru sont largement plus fort que moi. Je ne fais pas le poids. Mais je ne veux pas être le facteur qui détruira la carrière de Mamoru. J'en fais la promesse, je le promets sur mon clan, je mets mon honneur de Yakuza en jeu s'il le faut. Je ferai tous pour Mamoru ne perdent rien.
" Personne ne décide de la vie de personne ! Je ne sais pas pourquoi vous vous battez, mais si je suis le problème... "
Je m’arrêtais le mot suivant était trop lourd. Si je le dis je suis sur qu'ils vont recommencer, si cela n'est pas le cas après. Ma phrase complète était " si c'est moi le problème, je préfère disparaitre. " Je sais qu'à l'époque de Shinobu, si je disais cela, je m'en prendrais une. C'est pour cela que je m'étais arrêté. J'étais toujours au milieu, même si je sais que je vais s'en doute me faire pousser, mais j'essaye de calmer le jeu. Je ne veux pas qu'un d'eux se blesse. Et puis la violence ne sert à rien.
" Je préfère que vous vous arrêtiez tous les deux maintenant et sur le champs ! Donc s'ils vous plait arrêtez ! "
Ma mémoire commençait à me jouer des tours, je ne calculais pas ce qu'ils se disaient entre eux, à vrai dire je l'oubliais aussi tôt. Ma mémoire directe n’encaisse plus, enfin je pense. Voilà ce qui arrive quand je suis instable émotionnellement, mais là je ne suis qu'entre le palier 1 ou deux. Pour le moment, j'encaisse cette instabilité. Je sais pas si je vais encore pouvoir encaisser encore, mais j'encaisse, tant que je ne saigne pas du nez cela n'est pas grave, je sais que je peux encaisser encore un peu. Je ferai tout pour les arrêtés, même si ma mémoire directe et défaillante à causse de l’instabilité émotionnelle que je ressens. Cela n'est vraiment pas bon pour moi, mais aucun d'eux ne le sait, enfin même s'il le savait il ne serait pas jusqu’où je pourrai tenir et vu comment ils sont, ils s'en foutraient. La violence entraine la violence, les gens se battent et continuent malgré le monde autour d'eux. Moi je suis juste un grain de poussière devant eux.
Regardant le Tikal se relever tout en écoutant ses paroles, Bellatrix avait énormément de mal à croire en ses paroles et de lui cracher sa hargne à la figure. Cracher telle une panthère contre son adversaire et comme une mère défendant son petit. C’est pour ça qu’elle émit un son de gorge identique à un grognement lorsqu’il embrassa son Lapis-Lazuli sur la joue. Ne l’ayant pas déqueunaillé car son protégé ne voulait plus de violence.
D’ailleurs avant qu’elle n’ait plus répliqué à l’égard de Mamoru, il s’était mis en colère, leur rappelant qu’il les avait pas attendu pour se défendre contre la vie et ce monde de merde. Et que si il était un problème il préférait décamper que de voir deux personnes qu’il aime s’entretuer. Enfin il n’avait pas dit ça mais la Traqueuse pouvait le deviner aisément. C’est pour cela qu’elle se dit que le gangster aurait droit au bénéfice du doute.
Mais ce qui ébranla le plus Bella en quittant le poussin des yeux pour regarder Keito tout en gardant l’autre du coin de l’œil fut de voir qu’il tremblait légèrement. Mais de quoi tremblait-il ? De colère ? De peur ? Ou bien.. Et la le tilt se fit dans le cerveau de la soigneuse qui le prit dans une étreinte douce et forte à la fois. Maintenant qu’elle connaissait son état il est vrai qu’elle devrait faire dix fois plus attention à ses paroles.
« Shhhhht. Calme toi Keito. Ca va aller. Personne ne va te quitter. Le départ de Shinobu est largement suffisant pour une bonne partie de ta vie. »
Je lui caressait le dos pour le rassurer et tournait le dos à mon adversaire. Le bien de mon protégé passait avant tout.
« Tu sais, j’ai conscience que tu n’es pas qu’un vulgaire sushi que l’on s’arrache. Je sais aussi que t’en a vécu des vertes et des pas mûres comme ton cousin. Et il m’a demandé de te protégé et si l’autre Poussin peut servir à ça ou de bouclier humain alors j’accepte qu’il reste. »
Il fallait comprendre par là que si Mamoru participait au Bonheur de Keito alors en aucun cas je ne le lui enlèverait. Mon Petit Poisson m’avait demander de le protégé, mais aussi de le rendre heureux alors bon, si il faut choisir entre la Peste et le Choléra pour commencer..
« Mais je te préviens Mamoru Kosame. Si ton ‘travail’ vient jusqu’à le toucher lui, tu connais déjà la sentence et se dont je suis tout à fait capable.. »
J’avais dis ça d’une voix morne, tranchante et glaciale. Une voix dure qui ne promettait pas de pitié. Ayant desserrer quelques peu mon étreinte pour lui dire ça, je tournais à nouveau la tête vers mon Lapis-Lazuli. Tout en soulevant juste le bout d’une de ses mèches frontales dans une légère caresse j’ajoutais :
« Et toi bonhomme faudra qu’on discute de ça. C’est un peu pour ça que j’étais venu à la base. »
Je fis une légère grimace et reprenais tout sourire.
« Mais si tu veux pas en parler devant lui (pointe du pouce le Tikal « Bouh que c’est mal élevé ! » =b ), je comprendrais parfaitement ! Mais faudra qu’on en parle un jour ! »
En réalité Bellatrix aurait préféré dire à l’autre énergumène de quitter son gang sur le champs. Mais ne voulant pas stresser plus le jeune Keito elle l’avait en quelque sorte brosser dans le sens du poil. Bien que maintenant l’autre courrait à sa perte définitive si quoi que ce soit arrivait à son Lapis-Lazuli de par sa faute.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru regardait Keito, son amoureux voulait qu'il ne quitte rien pour lui, de ne pas sacrifier pour son bien. Il était heureux, l'air de rien que son homme veulent que son bonheur. Il l'entendait, il était pris entre lui et cette femme. Il ne pouvait que l'observer, même s'il avait envie de le serrer contre lui. Il lui manquait, il voulait sentir sa chaleur à ses côtés. Il se mordit les lèvres, il devait rester à distance de son amant, son âme sœur. Quand il vit qu'elle le serait et qu'elle disait que personne ne le quitterai, pas après un certain Shinobu. C'était donc à lui qu'il avait promis d'être le meilleur, vu le ton qu'elle employait, l'informateur devina qu'il n'était plus de ce monde. Pourquoi le serrait-elle encore, oui, il était jaloux, il sentait son sang bouillonner. Elle parlait comme si il était le pire des hommes, il avait envie de lui foutre un poing dans sa figure. Il quitterai tout pour lui, il s'en était fait le serment, jamais, il le mêlerai à tout ce qu'un gang pouvait lui apporter. Il comptait plus à cœur, il ne voulait pas le laisser, il l'aimait vraiment ce sentiment est fort. Il savait qu'il risquait sa vie si il mettait en danger sa brise tropicale, de toute façon, il savait qu'il s'en voudrait tellement qu'il pourrait tenter le pire pour se racheter, il avait frôlé la mort pour un ex, il n'en avait jamais rien dit à personne.
-Pour le bien de Keito, je suis prêt à tout, tu me connais pas. Même si tu prétends le contraire Bella, personne sais vraiment la personne que je suis. Mais, sache que mes sentiments sont sincères quoi que tu en dise. Il est l'homme de ma vie, celui que j'ai toujours cherché.
Il marqua son discours d'un baise-main à Keito. Il voulait tellement le serrer et l'embrasser. Il se retint, il passa une main dans ses cheveux doucement avec un regard des plus tendre. Si pour son bien il devrait trouver un autre boulot, il le ferait. Il avait assez de capacité en informatique pour faire sa place. Il embrassa son front doucement.
-Mon amour, j'attendrai que sois prêt à me dire ces choses que tu caches, je vais te laisser avec elle, je n'ai pas trop confiance, mais toi si, donc je te laisse. Je vais dans la chambre, je t'aime plus que tout, tu me manques déjà mon cœur, ma moitié.
Il fusilla un moment du regard la traqueuse avant de tourner les talons et se diriger vers la chambre. Le cœur lourd, il retenait ses larmes avec mal. Il ne voulait pas le laisser avec elle, il voulait rester à ses côtés comme l'homme digne qu'il tendait à être. Il frappa doucement le mur en jurant tout bas. Son Keito lui était enlevé. Il fouilla ses poches en quête de ses cigarettes, il les trouva et se dirigea vers une fenêtre, il fuma lentement sa drogue douce, elle trompait ses sens, elle le rassurait.
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Je n'entendais que certains mots, ils résonnaient dans ma tête, je tremblais, ce tremblant était dû à mon état. J'entendais la voir de Bella, je n'avais qu'entendu le mot " sentence " personne ne mériter une sentence, je ne laisserai personne faire de mal à Mamoru, puis j'entendis la voix de Mamoru et je sentis qu'il partait, je l'entendais monter les escaliers, je ne voulais pas qu'il parte, je ne voulais que personne ne parte, je commençais à pleurer et les tremblements devenaient de plus en plus fort, je savais que je commençais à arrivée au point que je connaissais, mais je ne pouvais pas laisser les choses comme cela. Tout cela était de ma faute, je devais réparer le mal que j'avais fait. Je savais que Bella me tenait dans les bras, je la sentais.
" Ca suffit ! Bella, ne puni pas Mamoru, c'est de ma faute. Ne puni pas Mamoru, il n'as rien fait. Je ne veux que personne ne parte, ni toi Onesan, ni Mamoru. Je tiens a vous deux et je ne veux pas choisir. Je ne le supporterai pas. Je sais de quoi tu veux parler, je vais tout dire, je vais tout réparé. "
Même si elle me tenait, sans savoir comment je faisais, je tremblais, mais cette fois j'avais était plus fort qu'elle, j'arrivais à faire en sorte de sortir de son étreinte, mais je ne me sentais pas bien. Les mots reconnaît dans ma tête, j'avais peur de voir disparaitre ceux que j'aime. Je voyais flou, mais j'étais encore conscient de mes actes, je devais tout réparer, cela était à cause de moi.
" Je vais tout dire ! Je vais tout réparé ! Tous est de ma faute !"
Je répétais ce mot en montant les marches, je savais que Bella me suivrait, je montais les marches même si je tremblais, je devais aller voir Mamoru, je ne voulais pas qu'il parte. Je ne sais pas parce qu'elle est moyenne je suis arrivé à faire en sorte que Bella me lâche, mais j'y suis arrivé, les marches me paraissaient de plus en plus longues, je perdais la notion du temps. J'entendais de moins en moins, je devais réparer, personne ne doit partir. Je savais où était Mamoru, je le voyais devant la fenêtre, il était flou et j'avais l'impression qu'il était loin. À bout d'un moment, je le pris dans mes bras, j'étais dans son dos, mais je savais qu'il était là, même si ma vue était brouillé même si je n'entendais que les mots que j'avais entendu " Sentence ", " Départ " et tout. Je ne voulais que personne ne parte, j'allais tout réparer.
" Mamoru, je suis désolé. Reste ne part pas ! Ne partez pas. "
Je pouvais sentir battre le cœur de Mamoru cela me rassuré un peu, mais je n'avais pas vu que j'avais déjà commencé à saigner du nez, cela avait sens douté était trop intense pour moi. J'étais peut-être à bout, je ne sais pas, j'avais l'impression d'être fatigué, j'avais envie de dormir. Mais je résistais, c'est peut-être mieux.
" Faite la paix. Je vais tout dire, je vais tout réparé. Je suis désolé, tout est de ma faute. Je suis désolé."
Si il y a bien une chose que la majorité si ce n’est la totalité des gens pensent, c’est que ce qui est écrit dans les romans à l’eau de rose ne peut pas exister dans la réalité. Et pourtant en cet instant venait de se jouer une de ses scènes mièvres à souhaits remplis de cœur rôse et de bisounours. Une scène qui se donnait un style de théâtre Shakespearien ou Elisabéthain, prenez celui que vous désirez, mais en pire.
C’est pour cela que Bellatrix ce demandait si il n’y avait pas une caméra caché quelques part comme dans certaines émissions débiles. Mais apparemment ce n’était pas le cas, et bien que son esprit puisse concevoir des relation, type âmes sœurs et compagnie, là ça lui donnait carrément des frissons dans le dos. Un long, grand et désagréable frisson dans le dos qui ne présageait rien de bon et la fit se détacher quelque peu de son protégé.
Celui qui portait désormais le joli nom de Poussin s’était décidé de monter à l’étage dans ‘leur’ chambre. Même si il ne l’avait pas dit ainsi le fait d’avoir employé ‘la’ au lieu de ‘ma’ voulait tout dire. Ce qui poussa la jeune femme à une conclusion plus qu’évidente qu’ils avaient couché ensemble. A tout les coups aucun des deux n’étaient du genre à attendre le mariage.
De toute évidence le départ de son bien aimé ne satisfaisait son Lapis-Lazuli qui lui dit qu’il allait le rejoindre et qu’il allait tout leur raconter à tous les deux. Mais le plus étranges était qu’il s’excusait en disant ça. S’excusant et s’accusant d’être à l’origine de tout ça. Mais de tout ça quoi ? De sa blessure ? De leur désaccord ? Dans tout les cas cela n’était aucunement sa fautes et elle comptait bien lui expliqué en quelque mots.
« C’est pas ta fautes, arrête donc te t’excuser, d’accord ? »
J’avais dis ça d’un ton doux et pendant qu’il montait les escaliers, je récupérais mes affaires que j’avais laissé à l’entrée. J’en profitais également pour ranger correctement mes lames, puis montais seulement les marches. Sauf que si je connaissais la chambre d’ami je ne connaissais pas la sienne. Néanmoins je trouvais bien vite et ce que je vis en premier me fit jurer comme un charretier.
« FUCK ! »
Je me précipitais vers eux, Keito faisait surement une crise d’angoisse ou quelque chose dans ce style et son cerveau ne supportais plus.
« Porte le jusqu’au lit et allonge-le ! »
Il n’y avait pas de temps à perdre et je craignais que le détacher de Mamoru ne fasse que renforcer sa crise.
« Reste avec lui et prend le dans tes bras, colle son oreille contre ton cœur et garde un battement régulier et lent ! Si tu panique ça va juste être encore pire et on a pas besoin de ça en plus ! »
J’avais quelques gélules de morphine, mais je ne savais pas si il en avait déjà pris ou pas. Il pouvait en avoir et trop le tuerai. Je troquais donc la morphine contre la vieille méthode du chloroforme même si ce n’était pas le plus recommandable c’est tout ce que je possédais pour agir rapidement. Je revenais près du couple et essuyais avec quelques compresse le sang qui coulait avant de lui mettre celle imprégné du produit sur le nez.
« Ne respire pas Mamoru, j’ai besoin de toi éveillé. »
Ses tremblements se calmèrent, puis finirent par cesser. Je retirais la compresse de sous son nez et la déposais avec les autres usager.
« Je pense pas qu’il dormira longtemps, mais veille sur lui le temps que j’aille brûler tout ça et que je remontes un verre d’eau pour lui faire boire un truc. »
Je prenais les compresses usagés avant de me tourner vers lui et de lui dire :
« J’ai jamais prétendu te connaître, mais même si je te connaissais je n’aurais pas confiance en toi. Cependant lui te connais et a confiance en toi, alors je laisse son jugement prévaloir sur le mien car c’est ses intérêts que je sert pas les miens. Donc veille bien sur lui jusqu’à ce que je reviennes. »
Sortant de la chambre, Bellatrix alla dans le jardin et chercha un moment un angle mort pour brûler sans problème les compresses. Puis direction la cuisine pour un verre d’eau, le petit bonhomme en aura besoin.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru ne fuma guerre longtemps, il sentit les bras de Keito l'entourer, un peu rassurer de le sentir, il écrasa sa clope et se laissa faire en écoutant tout ce qu'il avait à dire. Il entendait ses excuses, mais aussi son attachement à lui, il ne voulait pas partir, déjà se séparer de lui avait été un véritable crève-cœur. Il ne voulait pas le laisser, jamais. Il devait faire la paix avec la traîtresse, il avait fait des efforts pour l'accepter, mais elle ne voyait qu'en lui l'ennemi, un obstacle à éliminer. Il le serra avant d'entendre le juron de la femme. Elle marchait en leur direction se précipitant sur sa brise tropicale. Bien vite elle lui ordonnait de porter son homme dans le lit, c'est ainsi qu'il remarqua le sang qui coulait de son nez. Paniqué, il le porta dessus sans discuter. Il se mit à ses côtés avant d'écouter et se plier aux ordres de la jeune femme. Il respira à fond se calmant un peu. Il colla son amant sur sa poitrine afin qu'il écoute son cœur qui battait que pour lui. Il caressa doucement sa moitié avant de revoir la dame revenir avec une quantité impressionnante de compresses. Il resta calme pour lui, passant sa main sur ce petit corps pris dans la douleur. Elle essayait le sang avant qu'une odeur vint lui chatouiller le nez, il savait de quoi il s'agissait. Il arrêta de respirer un moment avant que l'hôte ne mit sur le nez de Keito la compresse imbibé, il regarda s'endormir un peu plus rassurer reprenant son souffle qui lui manquait déjà. Il la fixa pendant qu'elle reprenait son discours. Il espérait juste que son homme soit mieux. Il ferai tout ce qu'elle demandait si ça permettait de se sentir mieux, qu'avait-il pour que ça arrive à ça. Il la laissa partir sans prononcer un seul mot. Il la vit partir. Il lâcha un petit soupir.
-Ce n'est pas ta faute mon amour, ne t'en veux pas, je veux bien l'accepter. Je ferai tout pour toi, ma brise tropicale.
Mamoru ignorait si Keito avait entendu, mais il répéterait si c'était nécessaire. Il le garda son homme à ses côtés veillant sur lui avec une tendresse infinie. Il attendait sagement un signe de son rétablissement. Il laissait sa main le caresser, sa chaleur contre la sienne. Il embrassa doucement le sommet du crâne de son homme rencontrant vaguement sa cicatrice, il ne poserait pas de question, cela attendrait. Ce qu'il était sûr, c'est qu'il cachait une maladie ou une faiblesse. Si son amoureux n'avait rien dit, c'était sûrement pour ne pas lui faire peur.
-J'ai peur pour toi naturellement, mais sache qu'importe ce que tu me cache, je t'aime. C'est une certitude que personne peu me retirer à part toi.
Il le serra doucement contre son torse, son cœur battant fort pour montrer à quel point il l'aimait. Il savait qu'à la fin, elle reviendrait. Il profitait de son absence en devenant le plus tendre des hommes.
POINTS : 37 CITATION : Rêve ta vie en couleur, c'est le secret du bonheur. || MESSAGES : 537 JUKEBOX : B'z - Ichibu to zenbu || Linkin Park - Breaking the Habit || RyanStar - Losing your memory || Pigstar - kimi=hana FEAT : Kuroko Testsuya - Kuroko no basket CRÉDIT : ♥ ♥ ♥ Free ♥ ♥ ♥ DATE D'INSCRIPTION : 09/02/2014 LOCALISATION : Dans une grande villa avec pleins de chambres à Chūō
Le noir, je venais d'être plongé dans le noir, je sais pas si je venais de faire une crise, mais cela était fort possible. J'entendais les voix de Bella puis celle de Mamoru, mais je ne comprenais pas tout. J'étais plongé dans l’obscurité, mais dans cette obscurité il y avait Shinobu. Cela était sens doute un rêve, il me souriait, c'était agréable, mais j'entendais le coeur de quelqu'un battre, je ressentais aussi une chaleur. Je ne sais pas si c'est celui de Mamoru ou encore celui de Bella, je ne pense pas que cela soit celui de Bella, mais je ne suis sur rien, je ne sais même plus ce qu'il s'est passé, je me souviens de rien, si enfaite un peu une bagarre. Entre qui ? Shinobu et Bella, Bella et Mamoru, ou les trois. Non ce ne peut pas être Shinobu, il n'est plus de ce monde. Pourquoi se battait-il déjà ? Je n'arrive plus à m'en souvenir.
Shinobu me disait quelque chose, mais je n'entendais rien, comme si le son avait été coupé, puis le noir fut remplacé par la lumière. J'ouvris les yeux, mes tremblements avaient cessé, je pense que la crise était passée, mais je sais que je peux en faire une juste après. Mais c'est bizarre, tout était calme comme si j'avais imaginé cette bagarre, j'étais dans les bras de Mamoru. Je levais le bras avec difficulté et je le caressai la joue, j'avais s'en doute faite une crise, si c'est le cas, je ne peux plus leurs caché, Bella doit être au courant et Mamoru aussi, n'avais pas l'intention de leur cacher, mais j'avais du mal à en parler, cette période de ma vie a été dure. Le faite d'avoir mal, ou de perdre l'équilibre et de suivre une batterie de tests, j'avais eu du mal à supporter cette période de ma vie et j'ai encore du mal à en parler.
" Mamoru, où est Bella ? Vous ne vous êtes pas entretué ? Je vais tous vous dire, je ne peux plus vous le cacher maintenant. Je te le dirais à toi mon amour mais aussi à Bella. Je ne peux plus le cacher et puis je suppose que si je suis sur ce lit c'est que j'ai dû faire une crise. Je suis désolé, j'ai dû vous inquiéter pour rien, je suis vraiment nul d'être aussi faible. Je voulais pas vous inquiéter, je suis désolé, vraiment désolé, si j'avais la solution pour être plus fort et ne plus faire de peur à ce que j'aime, je l'utiliserais sur-le-champ."
Je suis vraiment nul, j'ai dû les inquiéter pour rien. Pour me faire pardonner au prêt de Mamoru, je décidais de l'embrasser. Je voulais m’excusai en plus je ne sais pas vraiment si la crise est passé ou si elle va revenir. Je m'excuserai aussi auprès de Bella en lui donnant un gros câlin, pour le moment j'embrassais Mamoru et je ne savais pas où était Bella. Je m’arrêtais un peu je le regardais dans les yeux, j'avais un peu honte d'être aussi faible que cela, j'ai 20 ans mais je suis aussi faible qu'un gamin de 14 ans.
" Encore désolé Mamoru. Des que Bella sera la je vous dirais tout. "
Au fur et a mesure que Bellatrix revenait dans la demeure et allait en quête d’un verre d’eau, de nombreuses constatations s’imposait à son esprit. En effet il avait suffit d’une dispute entre deux personnes dont une qu’il aime plus que tout pour déclencher une crise. Cependant il n’avait pas eu une seule crise après l’annonce de la mort de Shinobu. Même pas un prémisse ou quoi que ce soit.
Tout en remplissant le verre trouver dans un des nombreux placard de la superbe cuisine, le cerveau turbinait toujours. Qu’il n’ait pas eu de crise n’était pas dans un sens ‘normal’, son cousin avait une place importante dans sa vie. La seule raison qui restait était que Keito n’avait pas encore réalisé que son cousin était vraiment mort. Dans le sens ou il n’était pas très présent dans sa vie sa mort ne parait pas vraiment pour ce qu’elle est.
Enfin, rien de simple ne s’annonçait encore, et la protectrice redoutait qu’il n’explose à nouveau à tout moment. Il allait falloir qu’elle en parle à son second garde chiourme. Garde chiourme en quelque sorte, il était sa moitié et elle devrait composé avec. Une fois verre d’eau et cachet en main, elle remonta en direction de la chambre ou devait l’attendre les deux tourtereaux.
Ils étaient tout deux éveillé ce qui ne l’étonna guère. Car après tout elle ne lui avait fait inhaler du produit uniquement pour qu’il se calme au plus vite. Donc Keito avait peut-être somnoler un peu le temps de son escapade dans le jardin, mais il avait dû rapidement se réveiller. Et ils avaient pu aussi se susurrer leur mot d’amour et se rassurer. Sauf que maintenant que Bella était présent le temps des mises au point était venu.
« Heureuse de te voir conscient, on peut dire qu’il y a eu plus de peur que de mal. »
Je lui souriais et m’asseyais près de lui sur le lit.
« Bois ça, tu sais déjà ce que c’est et franchement si j‘avais su je t’en aurais laissé plus tôt. »
Je lui tendais le verre d’eau et mon cachet maison.
« Bien, je connais déjà ce qu’il y a dans ton dossier médical, mais ce serais quand même mieux d’avoir l’histoire entière. »
Toujours souriante, Bellatrix lui caressa le bras pour l’encourager à se lancer et lui faire comprendre qu’elle était là. Enfin.. Qu’ils étaient là, pour lui.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru sentit un mouvement dans le lit, Keito devait se réveiller, lentement il pouvait apprécier la tendresse de son homme. Il parlait et demandait où était la femme, Il sourit doucement et le caressa avec tendresse. Son homme lui disait qu'il avait fait une crise, il était donc malade, mais qu'avait-il vraiment. Il pouvait voir la faiblesse de la personne qui habite son cœur. Il avait beaucoup de peine pour lui. Après son discours, il sentit ses lèvres lui voler un baiser, il y répondit avec joie, jouant un peu avec sa langue. Il n'avait pas s'excuse à donner.
-Ne t'excuse pas mon amour, j'attendrais qu'elle revienne pour tout savoir.
Elle apparu quelques secondes après, elle semblait heureuse que son amant soit rétabli. Il la voyait s'installer sur le lit au côté de son homme. Il serra les dents et se montrait patient envers elle. La traîtresse agissait pour son bien. Elle tendait un verre et un chat, il grimaça en voyant que c'était bien plus grave qu'il le croyait. Puis elle parlait de son dossier médical, il souleva un sourcil, il aurait fait des recherches sur lui, mais avait trouvé ça impoli et donc n'avait rien fait, il voulait que ça vienne de lui. Il passa un bras autour de lui avec lenteur pour marquer son geste et le rendre rassurant. Il était là pour lui. Il le faisait un peu comprendre via ses gestes.
-Prends ton temps mon amour, ne t'inquiète pas aucun de nous s'en ira même si ton histoire est effrayante. On est là.
Il embrassa son cou et le caressait doucement sans trop abuser, c'était des petits gestes tendre d'un amoureux épris qui avait un public, il voulait avant tout lui montrer qu'il le quitterai pas, malgré ses secrets, lui ne l'avait pas fait quand il avait avoué qu'il était mutant. Il l'accepterait, coûte que coûte. Il massait doucement quelques endroits pour le détendre un peu. Il regardait Bella d'un air vague. Elle en savait plus que lui, alors qu'ils s'étaient unis. Il était impardonnable. Il se mordait doucement les lèvres, il voulait savoir, sa curiosité piquée au vif. Il passait un moment comme ça en le tenant bien.
-Si nos but envers Keito sont les mêmes, je t'en tiendrais rigueur pour ton agression. J'aime cet homme, je ne savais même pas qu'il était lié à toi.
Il avait suivi les ordre du boss, il devait laissé cette femme partir et ce sans chercher où elle allait ainsi, tant qu'elle ne touchait pas un Tikal, elle risquait rien, fin sa bagarre ne comptait pas. Il était chez Keito en pensant qu'à son côté émotionnel, pas son côté rationnel. Il partait de ce simple principe. Il prenais tout son temps pour son temps pour prodiguer ses caresses. Pas comme un chien, juste comme l'homme en quête perpétuelle du contact de son homme. Il en avait besoin de cette proximité, de sentir son odeur, même si celle du sang avait régné. Il embrassa sa tête en rougissant.
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Il allait encore se battre, je ne voulais pas, je ne le voulais plus. Je décidais de stoppais en mettant ma main sur celle de Bella. Je voulais pas qu'ils se battent, pas encore, cette fois je n'en aurai pas la force et tous les médicaments du monde n'y changeront rien. Je pris le médicament de Bella, je devais tous leurs dires, j'avais peur. Depuis cela, seul Shinobu, ma mère et mon oncle savaient pour moi, même les yakuzas ne savaient rien. Je respirais un grand coup, je n'allais pas d'étendre l’atmosphère. J'allais leurs dires, ils allaient tous savoir sur mon opération même si Bella disait tout savoir de mon dossier médical elle était loin de savoir tous. Je sais que Shinobu a effacé des éléments pour assurer ma sécurité et pour que je puis mener à bien mon rêve. Sans son aide, je n'en serai pas là. Je repris une autre respiration avant de commencer mon récital.
" Quand j'ai eu 14 ans, je suis tombé dans les pommes sans explications. Après des examens minutieux, les médecins ont repéré une tumeur au cerveau. D'après les diagnostics, elle était là depuis 1 an. Ma seule chance de survivre était une opération, durant cette opération il y a eu des complications, ils ont réussi à retirer la tumeur, mais je suis tombé dans un coma. Je suis resté dans le coma pendant 3 semaines puis je me suis réveillé. À mon réveillé, j'avais du mal à bouger à me mouvoir et j'avais des pertes d'équilibre. Dès que je marchais, je tombais, j'ai cru que je ne pourrai plus rien faire, j'ai abandonné puis Shinobu ma remise dans le bon chemin et j'ai subi une seconde opération, celle-ci devait consister à diminuer les soucis que j'avais et cela a été un échec. Puis il y en a une troisième qui devait fortifier la zone ou une partie de mon crâne a été retirée. Mais j'ai fait ce qu'fait appel un rejet et j'ai dû repasser en opération. En tous j'ai subi 5 opérations en trois mois voire quatre, je ne sais plus. Depuis l’opération, j'ai gardé les effets négatifs de l’opération et je suis suivi par plusieurs médecins pour vérifier mon état de santé. "
J'avais peur, je sais que j'avais mal vécu cette période et je sais que j'avais fait aussi certaines choses, je sais que pendant les premiers temps, quand j'arrivais pas à marcher, je m'étais sentis comme brisé. Je m'étais sentis comme abandonné, comme si plus rien n'étais possible et j'avais fait certaines choses qui avaient déplu à Shinobu et qui avaient fait souffrir ma mere, aujourd'hui j'en avais honte. Je n'aurais pas de l'agir de la sorte, j'aurais dû être plus fort, mais là aussi j'avais échoué. Je regardais, non je baissais les yeux, j'allais tout dire. J'avais honte d'être aussi faible, sans trop savoir pourquoi je serai la main de Bella ainsi que le bras qui de Mamoru, j'avais peur de les voir partir. Un jour, je l'ai dit à quelqu'un il est parti et m’ignorait après et j'avais encore connu mon propre enfer.
" Pendant ma période de repos, j'étais perdu, je ne savais pas quoi faire et j'ai pensé avoir trahi le monde qui croyait en moi et j'ai commis des actes impardonnables, j'ai essayé et j'ai échoué. J'ai fait des choses cones que je regrette aujourd'hui, j'ai fait plus de mal que de bien à ce qui m’entourait, j'ai été faible et je le suis toujours. Depuis cette opération aucun médicament ne marché, j'ai des maux de crâne, la seule chose que j'ai trouvée pour me calmer et la morphine, mais je n'y ai pas accès tout le temps, cela est dangereux. j'ai été faible mentalement quand j'étais jeune, mais je vous promets de ne plus l'être. Je promets de ne pas faire de bêtise comme je faisais avant. Je me soignerai, mais ne m'abandonnez pas, ne partez pas, je ne veux plus être seul. "
C'est vrai que je ne voulais pas qu'on m’abandonne, je sais que quand j'ai été hospitalisé, je fusse souvent seul. Ma mère travaille pour payer mes frais médicaux et Shinobu étudier et continuait son trafic afin de m'aider. J'avais l'impression d'être seul face à tout cela, c'est sens douté pour cela que j'aie fait ses conneries, je suis faible mentalement et physiquement, du moins je l'étais avant depuis j'essayais jours après jours. Je ne voulais pas finir seul, je ne le supporterai pas. Je venais de tous leurs dires, mais j'avais peur de finir seul, j'avais horriblement peur. Cela pouvait se voir, mon regard restait bas, j'avais peur.
" Je suis désolé, je ne vous inquiéterais plus, je ne t’inquiéterai plus Mamoru, je ne t'inquiéterai plus Onesan. Je ne ferai pas de bêtises, je vous le promets. Mais ne m’abandonnez pas, ne me laissez pas seul. "
J'étais sincère, vraiment sincère, mais j'avais peur de me retrouver seul comme au temps ou j'étais à l’hôpital. Je sais que depuis que je suis sortis de l’hôpital, j'ai peur d'y retourner c'est pour cela que mes visites médicales ce passe chez moi, j'ai peur d'y aller, mais je dois y aller par moments et pendant c'est moment je suis seul encore et toujours. J’espère que ni Mamoru, ni Bella ne m’abandonnerait, je ne sais pas si je pourrai le supporter. Je n'avais pas vu, mais je pleure, je l'avais s'en doute sentis et cela était s'en doute pour cela que j'évitais des regardais, j'avais honte d'être aussi faible.
Bellatrix n’en revenait pas. Au fur et a mesure des paroles de Keito, son cerveau s’effarait petit à petit. Dans le dossier il n’était écrit que trois opération et on ne mentionnait pas le rejet ! Pas étonnant qu’il soit si mal tout le temps ! Et si il a eu un rejet pourquoi ne pas profiter du fait qu’il soit jeune pour lui labialiser une partie du cerveau ? Il se restructure de manière admirable pour les enfants !
Si les médecins avaient été sous les mains de la scientifique, il ne resterais plus grand-chose d’eux ou alors leur cerveau ou leur mental serait grandement affecté. Ces incapables de faire une opération correcte et ce, plusieurs fois de plus, sans penser à une solution transversale ! Et ils se disaient médecin ! Mais quels étaient les abrutis qui leur avaient donné ce grade ? Parce qu’ils ne méritaient même pas d’être infirmier.
Et il n’avait de toute évidence pas eu de suivie psychologique alors qu’il venait de subir d’énormes opérations enfant ! La jeune femme bouillonnait de rage à l’encontre de ses ignares qui avaient massacré un être aussi fabuleux. Le pauvre avait dû souffrir énormément et il en souffrait encore aujourd’hui de leur incompétence. En tout cas elle se jurait d’essayé de trouver une solution à ce problème en commençant par les cachets plutôt que la morphine.
« Keito cesse donc de t’excuser. Tu n’y es pour rien dans ce qui t’es arrivé. Ce sont ces médecins incultes et incompétents qui devraient se trouver à genoux devant toi et te demander pardon. Car il existe des solutions qu’ils auraient pu appliquer et tu n’aurais pas souffert autant. »
Il serrait toujours ma main et je lui embrassai le dos de la sienne.
« Crois moi mon Lapis-Lazuli, tu n’es pas en tort. Et ce n’est certainement pas pour ça que je ne te protègerais plus. Et même si tu n’avais pas ça je m’inquièterai quand même pour toi. »
Je lui embrassais la tempe et serrais un peu plus sa main dans la mienne.
« Je ne partirais pas et ne te lâcherais pas. Je vais être pire qu’une glue quand je serrais là ! De plus je tiens à faire en sorte de trouver un remède si c’est possible pour ton cerveau. Ne serais-ce tes crises et si c’est possible remplacer la morphine par quelque chose de plus doux et de moins dangereux. Est-ce que déjà ce cachet marche ? »[/color
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C’était le même que la dernière fois mais je ne savais pas si il était réellement efficace ou non. Si c’était le cas je lui laisserais celui là et travaillerais peut être sur un autre.
« Et Mamoru, je pense qu’une discution entre quatre yeux et calme nous ferais du bien. »
Il était clair pour Bellatrix que leur point était commun et qu’ils avaient des choses à se dirent dont Keito ne devrait pas entendre.
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POINTS : 29 MESSAGES : 144 JUKEBOX : + Danshi - 96 Neko / Breaking the Habit - Likin Park FEAT : Nanase Haruka - Free! CRÉDIT : Moi-même DATE D'INSCRIPTION : 10/03/2014
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
D'abord les confessions de Keito, il avait été opéré de nombreuses fois et ces enfoirés de médecins au lieu d'arranger son cas l'ont empiré, il serra le poing. Il était normalement assez respectueux de l'ordre des médecins. Il avait été blessé moralement et psychologiquement. Je le caressais doucement. Il s'excusait bien trop. Cela avait le don de le faire culpabiliser. Il embrassa le sommet de son crâne, il sentait désormais mieux ses cicatrices. Il se sentait mal pour lui. Il le serrai tout contre lui. La femme avait le même avis que lui sur les excuses et sur les médecins, c'était déjà ça. Ce qu'il supportait un peu moins c'est qu'elle l'embrasse, c'était un geste affectif, il n'y avait rien de mal à ça. Mais le Tikal n'aimait pas pas trop ce genre de choses. Elle ne faisait rien de grave, voilà ce que se répétait Mamoru. Il était très possessif et le voir si proche d'une autre, il n'aimait vraiment pas. Il s'y ferai, il contrôlerai sa jalousie. Pour lui. Il embrassa ses cheveux, et écoutait la requête de la traîtresse. Il la regarda, il ne voulait pas quitter son amoureux, même pour parler de chose importante. Cela pouvait attendre.
-Je pense aussi, bien que je ne me vois pas en avoir une dans l'immédiat, j'aimerai rester avec Keito, il se sent mal et coupable de nos disputes puériles, car il faut l'avouer, on a pas été très mur. Je te promets qu'on l'aura cette discussion, j'aimerai être sûr qu'il se porte bien. Je l'aime, un jour je devrais lui dire ce que je cache.
Il la regardait avec un air déterminé, il ne voulait pas la lâcher du regard jusqu'à ce qu'elle comprenne, qu'il ne voulais pas lâcher Keito maintenant, qu'il était bien plus important que tout ces problèmes que le gang pouvait lui donner. Il serrait sa brise tropicale, elle ne devait pas s'envoler. Elle devait vivre, elle le méritait. Son homme, sa moitié, il l'aimait toujours avec une force incroyable, impossible de s'en défaire, ce lien était là, il ne partirait pas. Il espérait de tout son cœur. Il passe sa main le long du corps de son homme. Il savait qu'il ne ferai rien en présence d'un public. Le toucher était comme respirer, il se devait de le faire. C'était plus fort que lui. Il rougissait un peu.
-Désolé, je sais que c'est important sûrement, je dois apprendre à me séparer de lui, promis mon amour je reviendrai, je te donnerai pleins de bisous, il n'y a que toi dans mon cœur. Tu le sais, mon amour.
Il l'embrassait avec force se foutait qu'il avait du public à ses côtés. Il devait prouver qu'il tenait à lui, c'était la manière la plus efficace. Puis fallait pas se mentir, elles commençaient à lui manquer ses lèvres. Comme cela il faisait une pierre deux coups. Il sourit avant de lui frotter les cheveux en se levant doucement. Il ne devait pas aller vite non seulement pour lui mais aussi pour ne pas brusquer son homme.
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Je rougissais, d'abord à causse des marques d'affection de Bella et ensuite pour celle de de Mamoru. Je me sentais bien dans les bras de Mamoru et puis les médicaments commençaient à faire effet, je commençais à avoir le contrecoup de la crise, la fatigue. Comme toutes les personnes qui ont des crises mêmes différentes des miennes, après que celle-ci passe et que les médicaments commençaient à faire effets, ont se retrouver en état de fatigue et là je commençais à ressentir cette fatigue. Pour moi et d’après les médecins, une crise était égale à une nuit blanche voir deux, on peut dire que cela me vidé totalement. J'étais rouge comme une tomate, puis je me calmais petit à petit, la présente de Bella et de Mamoru suffisait à me calmer et puis dans un autre sens j'étais content qu'aucun d'entre eux eût l'idée de m’emmène à l’hôpital.
Je ne sais pas l'heure où l est, avec tout cela j'ai perdu le temps. Je regardais Bella, elle voulait s'en doute rester ici comme Mamoru afin de surveiller mon état. Bien que Bella me face peur par moments, même si elle ne veut pas l'admettre je pense que c'est une bonne personne et qu'elle doit être gentille. Derrière ses airs de femme rebelle et bagarreuse, elle devait cacher quelqu'un de gentil et sans doute de sensible. Je la regardais avant de sourire, je ne sais pas pourquoi je n'imagine pas Bella sensible, mais je suis sur qu'elle doit l'être. Après tout elle est humaine, comme tous elle doit forcément être sensible.
" Bella, je suppose que tu voudra rester ici cette nuit. Tu peux si tu veux, il y a assez de chambres et puis... "
Je me mis à baillais, la fatigue ce fit un peu plus fort, mais je ne pouvais pas faire grand-chose et puis je n'ai pas la force de lutter contre la fatigue, mais sans savoir pourquoi j'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose d'important. Mais je n'ai pas non plus la force de me souvenir ce que cela était.
" Et puis vous pourrez parler tranquillement pendant que je dormirais, la crise ma épuisé. Il y a assez de chambre et le frigo est remplis. Je ne vous... "
Je baillais une nouvelle fois, j'avais sommeil, je hais les contres coud des crises. Je hais les crises tout court, mais je dois faire avec, je les aurais sens douté à vie. À moins qu'un miracle se produise, mais j'ai attendu trop longtemps pour un miracle et j'ai été souvent déçu, je n'y crois même plus maintenant. Je ne fais que regarder l’optimiste des médecins.
" Je ne vous générez pas. Par contre ne vous battez pas et ne vous tuer pas. "
Je me reprochais de Bella pour le faire un bisou sur la joue puis j'en fis un à Mamoru sur les lèvres mais un léger. Un geste pour les remercier. Mais maintenant que j'y pense, quel est le secret de Mamoru ? Que me cache-t-il ? Il me le dira plus tard, je ne le force pas à me le dire, il me le dira quand il sera prêt.
" Merci. Merci de prendre soin de moi. Je ferai de même avec vous. Je vous aime tout les deux, encore merci de prendre soin de moi et de rester à mes cotés. "
C'est vrai que je les aimais tous les deux, Bella était devenu une sœur pour moi depuis l'enterrement de Shinobu et Mamoru était la personne que j'aimais, même s'il était mon senpai car il était plus âgé que moi, je l'aimais et il me protégeait. Avec eux deux à mes côtés, je me sentais en sécurité, même si j'ai l'impression qu'il ne s'aime pas vraiment, mais qui sais peut-être qu'avec du temps, ils n’apprécieront, je suis sûr qu'ils ont des points en communs tous les deux et peut-être qu'un jour ils pourraient s'amuser ensemble et être amis, je suis peut-être trop naïf ou trop optimiste, mais on ne sais jamais avec le temps. Je suis sur qu'il pourrait être amis, même si j'ai l'impression que ce n'est pas demain la veille que cela se passera. Je les aime tous les deux, je ne pourrai jamais choisir l'un ou l'autre, j'en serai incapable.
Disputes puériles ? Si il y a bien une chose qu’était leur disputes, ce n’était surement pas puérile. Se soucier de la vie d’un proche en fonction de ses relations dont on connaît la véritable identité ne semble en aucun cas être quelques chose de puérile. Bellatrix n’en montra rien, mais sinon elle se serait fait une joie de le contredire en riant de lui et en l’enfonçant bien évidemment.
Toutefois ils étaient en accord sur une chose : Keito passait avant tout cela. Son bonheur et sa santé était primordial et effectivement leur discution pouvait attendre. Néanmoins il ne fallait pas croire que la Traqueur le laisserait filer longtemps. Dès que l’occasion se présenterait elle le coincerait et obtiendrait cette discution. Même si pour cela il fallait le coincer dans un mur ou bien dans les toilettes.
Mamoru, était décidément accro au Lapis-Lazuli. Il le démontra par ses caresses et un baiser fougueux emprunt de ces différentes choses qui compose l’amour propre à deux personnes qui s’aiment ainsi. Bella ne broncha pas, après tout c’était un acte tout à fait normal et naturel, il n’y avait rien de dérangeant et franchement pas de quoi s’indigner. Le brunet se leva après une dernière caresse au plus jeune.
Ce dernier complètement épuiser par les dernier évènements, offrit le gite à sa protectrice, avant de lui souhaiter ‘Bonne nuit’ en quelque sorte. L’embrassant sur la joue puis les lèvres de son amoureux, elle se demanda si il n’avait pas des phéromones compatible qui pourrait expliquer leur promiscuité assidue. Enfin, ce n’était pas le problème premier, mais ce n’était pas son côté scientifique qui serait contre quelques recherches.
L’Ecossaise grimaça intérieurement quand il dit qu’il les aimait tout les deux. Donc elle comprise. L’amour avec elle n’avait jamais fait très bon ménage. Toute les personnes qui le lui avait dit clairement était morte. Shinobu inclut. Sauf qu’elle ne pouvait pas s’éloigner du bleuet. Sa promesse envers son cousin mort la retenait auprès de lui et jamais elle ne trahirait sa parole.
Le plus jeune des trois s’endormit et en vrai mère poule la jeune femme le glissa sous les draps et borda la couverture. Une légère caresse dans ses cheveux et sentir sa cicatrice l’inquiéta un peu plus et la poussa a prendre cette décision. Se couchant au dessus les couverture et contre Keito, elle tendit le bras pour tirer l’autre jeune homme afin qu’il fasse pareil.
La soigneuse ne voulait pas quitter le chevet de son protégé, il en était hors de question. Ils auraient donc leur conversation ici. De plus le faire à côté du petit, permettait dans un sens de lui avouer déjà la vérité. Car bien qu’il dorme son cerveau enregistrait les sons extérieurs et enverrait peut-être au fur et à mesure des rêves et des sommeils, des indices quand à ce que les deux autres lui cachent.
« Reste là. Je ne veux pas le quitter temps que je ne sais pas vraiment ce qui se passe chez lui. Sans compter que tu ne veux pas le quitter non plus. »
C’était une affirmation qui n’avait pas besoin d’être remise en question. Il ne voulait pas le quitter.
« Néanmoins, je ne te cache pas et ne cherche pas à te faire la morale en te disant que tu devras apprendre à te détacher de lui. Sinon vous allez étouffer, mais tu vas surtout devenir dingue. Et j’ai conscience que ça va être encore plus dur après ce que tu viens d’apprendre. »
Je regardais Keito. Ce pauvre gamin qu’on avait charcuter et aussi charcuter sa vie.
« Vu qu’il dort il ne nous gênera pas bien qu’il ne nous gêne jamais, mais l’avoir près de nous nous rappellera aussi pourquoi on ne doit pas se sauter mutuellement à la gorge. »
Je souriais en coin avant de reprendre :
« Commençons par le commencement donc. »
Je tendis la main par-dessus l’endormit tout en annonçant :
« Hello, je suis Bellatrix Valentyne, protectrice de Keito. Je m’inquiète sur sa sécurité et bien plus encore. Pour cela que je t’ai agresser ne sachant pas ce qu’un membre de Tikal faisait ici. Donc si tu voulais bien éclairer ma lanterne pour que je puisse y voir un peu plus clair cela m’arrangerais ! »
Bellatrix lui faisait un grand sourire, simple et propre à son caractère. Avant d’énoncer deux dernier mots qu’il lui avait échappé.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru le voyait si fatigué, il le laissa s'endormir, il n'avait pas à s'excuser, ils parleront ici, ses rêves lui donnerai peut-être des indices sur le contenu de celle-ci, il haussa les épaules. Il passait un main dans ses cheveux, si bleu, si beau et si doux. Il regarda Bella, celle-ci lui disait qu'il devait apprendre à couper le cordon, Il grogna un peu pour le principe, il savait qu'il devait, déjà quand il était parti pour jouer. Il respira à fond, il sentait son odeur, ça le rassurait un peu. Elle voulait parler là, pourquoi pas. Il soupira doucement, il espérait que Keito ne devine pas ce qu'ils cachaient, c'était dangereux. Elle mit en avant qu'on se disputerai pas avec lui endormi. Elle n'avait pas tord et cela avait don d'agacer le Tikal. Elle se présenta en disant qu'elle était la protectrice de Keito, son homme, sa brise tropicale, insinuant là qu'il n'avait pas besoin de lui indirectement, il essaya de se calmer. Elle voulait que je lui éclaire sa lanterne, elle en avait des bonnes, il lui avait dit qu'il aimait le basketteur, donc il devait se répéter, il respira à fond en fermant les yeux, se concentrant sur Keito, sa chaleur, sa respiration, il dormait bien, c'était rassurant d'un côté. Il soupira, désormais plus serein.
-Mamoru Kosame. Je suis ici car je suis tombé amoureux de ce jeune homme, j'ignorais qu'il était si mal et que tu le protégeais. En ce qui concerne le gang, ça ne te concerne plus, mais sache que ma rencontre avec lui était un pur hasard, il avait besoin d'aide et j'étais là. Je ne supporte qu'on se prenne à plus faible. Si mon appartenance au tikal pose le moindre souci à Keito, je le quitterai et je trouverai de quoi mettre mes compétences en actions. Je serai et resterai un homme qui n'aime pas rien faire.
Il passa à nouveau sa main dans la chevelure de son homme en souriant, il sentit son cœur battre, il était si heureux de l'avoir rencontré, il était très amoureux, plus le temps passait, plus il l'aimait, ses blessures le rendrait plus prudent quand il s'uniront à nouveau. Il la regarda un instant, il devait se détendre, elle ne voulait aucun mal à Keito, elle le protégeait, sa peur était irrationnelle. Il devait apprendre à se canaliser un peu. Il prit donc sur lui.
-Je sais que je dois me détacher de lui, pourquoi l'ai-je laisser partir pour son match ? Parce que je veux pas le priver de sa vie, son sport c'est sa passion, je n'ai pas le cœur de lui empêcher de la vivre à fond. Tu dois le comprendre puisque tu savais qu'il était faible.
Il embrassa la joue de son homme. Il ne pouvait guerre faire plus, il avait tout dis, il avait abattu ses arguments un à un. Maintenant la balle était dans son camps, à elle de savoir si elle devait le croire ou non. De toute façon, Mamoru savait qu'il n'avait pas menti une seconde.
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Je me suis retrouvé dans le noir complet, je venais de m'endormir ou j'avais encore perdu connaissance, je ne sais pas. J'entendais des murmures, mais je ne comprenais rien. Je regardais dans ce noir, puis je vis ce que j'aurais préféré ne pas voir. Devant moi ce tenait Shinobu, il me parlait, mais je n'entendais rien. J'avais juste l'impression qu'il me criait dessus puis-je le vis me mettre une baffe et sa main passèrent à travers mon visage. Et il devenait triste et parti, non Shinobu. Ne me laisse pas !
" Shi...Shinobu. Pars pas ! "
C'est senti doute un rêve, mais je ne peux pas laisser partir Shinobu s'en essaye de le rendre heureux, je me mis à courir pour le rattraper et plus je courais plus il s'éloignait, je commençais à pleurer sans le vouloir, je ne savais pas que mais pleures se voyais aussi dans la réalité, je savais que j'étais dans un rêve, mais je ne voulais pas rêve de Shinobu triste. Puis je tombais, en fermant les yeux en ayant peur de la chute, je l’aperçus que j'avais était rattrapé je regardais sur ma droite et je vis Mamoru puis je regardais à ma gauche et je vis Bella. Même dans mes rêves ils étaient les tous les deux. Le paysage avait changé. En le regardant, mes larmes avaient cessé de couler, j'étais content qu'ils soient là. Mais je sais que dans la vie réelle, ils se battaient, pourtant je pense qu'ils ont plus d'un point en commun et qu'ils pourraient s'amuser ou être une bonne équipe. Pourquoi une bonne équipe d'ailleurs ? Je ne sais pas pourquoi j'ai pensé cela.
Dans la réalité, je dormais et j'avais décidé de coller à Mamoru et de prendre le bras de Bella afin de les avoir encore plus près de moi, mais je ne savais pas que cela les rapprocherait aussi. Je faisais cela machinalement sans arrière pensé et puis je dormais, pour moi c'était toujours dans mon rêve que les chose ce passé, je n'avais aucune raison de penser que me collais à Mamoru et d'attraper le bras de Bella pour l'entrainait avec moi ferait sa dans la réalité. Je vivais juste mon rêve.
" Je t'aime Mamoru ! Je t'aime Onesan ! Je... suis... content d'être avec vous. "
C’était quoi ce bordel qu’il lui annonçait ? Comment ça on s’en était pris à lui ? Putain comment était-elle sensé tenir son rôle si il n’était même pas fichu d’appuyer sur un bouton ou l’appeler à l’aide. Mais surtout ce qui décomposait Bellatrix était que sa promesse avait peut-être faillit. Si Mamoru n’avait pas été là elle aurait faillit et jamais elle ne s’en serait remise dans un sens.
Le Piou Piou ne le savait pas mais indirectement l’Ecossaise avait une dette envers lui. Car si il avait sauvé Keito d’une potentielle mort, alors elle lui en était redevable. Mais ça à part en cas de sauvetage envers lui jamais elle ne l’avouerais. Elle le garderais caché jusqu’à ce que besoin est. Quand a l’état de santé de son Lapis-Lazuli, c’est seulement aujourd’hui que toute la vérité avait été faites.
D’ailleurs Bella était prête à évoquer se sujet parmi d’autres quand le jeune homme entre eux se mit à s’agiter. Ses membres bougeaient et ses mains cherchaient à agripper quelque chose puis il se mit à appelé Shinobu et le cœur de sa protectrice se serra. Portant une de ses mains à la joue de son côté, elle se mit à lui essuyer ses larmes en lui disant des paroles rassurantes et apaisantes.
« Shhhhhht. Doucement Lapis-Lazuli. Shinobu, ce Petit Poisson n’est pas totalement partit, il est toujours en toi. »
Je levais les yeux pour voir Mamoru très inquiet pour son amour.
« De plus tu n’es pas seul. Mamoru et moi on est là. Et on restera là pour toi. N’en doutes jamais. »
Mes paroles ainsi que celle de son cher et tendre semblait le rassurer et il cessa de s’agiter. Ce qui était une bonne chose car je me voyais mal gérer une de ses crises pendant son sommeil. Ce qui pourrait le conduire sans doute à un coma si ce n’est pire. Après quoi il se saisit de mon bras avant de se rapprocher de son homme. Seul problème étant que je n’étais pas une peluche. Mais se qui me figea totalement était son :
‘Je t’aime One-san !’
Il ne devait pas s’accrocher autant à moi ou il en pâtirait. Mais je ne pouvais en aucun cas fuir et je grognais. Je grognais sur tout. Puis je soufflais avant de reprendre nôtre conversation après m’être allongé dans le dos de Keito et de fixer le plafond.
« Tu l’as sauvé de quoi ? Ou plutôt de qui ? Enfin, peux-tu me raconter votre rencontre tout simplement. Cela m’aiderait à comprendre et me faire une idée plus nette. Quant à l’état de santé de Keito.. »
Je lui caressais le sommet du crâne avant de reprendre.
« Je venais seulement de finir de découvrir ce que contenait son dossier médical à l’instant. Pour ça que j’ai débarqué et réagit encore plus vivement en te voyant. Je pense que tu aurais fait pareil dans mon cas. »
Je scrutais le plafond mon cerveau bouillonnait de tout côté entre ce qu’il absorbait, ce qu’il devait analyser tout en cherchant déjà un moyen pour Keito.
« Pour ce qui est de son sport, je vais essayé de trouver un remède sans qu’il n’ait pertinemment cette peur au fond de lui de mourir si jamais il se prend une balle dans la tête. D’un côté tu me diras si il meurt en faisant ce qu’il aime le plus c’est pas une mauvaise chose. Mais si on pouvait éviter cela… »
Je tournais mon visage vers celui assoupi avant de lever mon regard sur Mamoru et d’asséner :
« Je te demanderais juste une chose. Ne le laisse jamais s’inquiéter pour moi. Il ne doit jamais s’inquiéter de savoir comment je vais. Il est déjà trop proche de moi et la vérité lui serait fatale. Donc j’aimerais que tu fasse tout pour qu’il ne se préoccupe jamais de moi, pas plus qu’un simple objet. Je ne mérite pas mieux. »
Le Tikal ne devait surement pas comprendre grand chose mais Bellatrix s’en moquait. Il n’avait rien besoin de savoir temps qu’il appliquait ses paroles.
Il faut frapper avant d'entrer... Pas après... Keito & Bellatrix
Mamoru était là, il attendait juste la réponse de cette femme. Il entendait son amoureux prononcer un prénom, ce fameux Shinobu, cette personne morte hantait les rêves de Keito. Il caressa ses cheveux avec un tendresse infinie. Elle tentais de le rassurer. Il resta sans voix quand elle le cita. Il ne s'y était attendu. Il était sans voix. Sa brise tropicale l'aimait, mais il aimait cette dame comme une sœur, il retint un soupir, il se contenta de le serrer contre lui et d'accepter le contact forcé avec cette femelle assez agressive. Voilà que Keito se trouvait entre eux. Elle ne semblait pas contente de ce rapprochement. Vint les questions qu'il avait attendu. Comment l'avait-il sauvé et que ça l'aiderai à comprendre. Pour ce qui est de leur relation. Il regarda son geste affectif avec une pointe de jalousie. Ce n'était rien, juste une façon de montrer à son homme qu'elle était là. Elle expliqua son cas et son agression directe en avançant les arguments comme quoi il aurait fait pareil. Il se disait qu'il aurait encore réagit plus mal et tant donner sa manière de prendre les choses à cœur. Il lâcha un soupir. Elle disait qu'elle trouverait le moyen qu'il continue son sport. C'était vraiment dangereux quand il y pensait. Il aurait du mal à le voir partir pour cela, il sentit son cœur se serrer fortement face à cette information, il ne voulait pas le perdre, il pardonnerai jamais s'il perdait à cause de cela, il détesterait encore le sport collectif. Elle disait des paroles lourdes de sens, il fronça les sourcils face à ces mots.
-Je ne le laisserai pas trop s'inquiéter pour toi, après tu as entendu comme moi, il te considère comme une sœur.
Il marqua une légère pause, il savait qu'il allait beaucoup parler par la suite, il devait lui expliquer comment il l'avait rencontrer sans trop entrer dans les détails, il garderait ses pouvoirs secrets. Il inspira longuement.
-Pour notre rencontre, je me baladais dans le parc quand je suis tombé sur une bagarre, enfin pas vraiment ça vu que c'était Keito la victime, il tentait de raisonner ces crétins, mais il ne l'écoutait pas, alors ils se sont mis à le frapper, alors j'ai sauté sur le groupe de voyous et m'en suis débarrassé afin de sauvé cet homme. Il avait peur très peur, il s'accrochait à moi. Je n'avais pas le cœur de le laisser dans cet état alors je l'ai invité chez moi. Après m'être occupé de lui, je me rendait compte qu'il me plaisait beaucoup et voilà où en est.
Il savait aussi que depuis qu'il était avec lui, il se sentait enfin complet comme si il avait toujours attendu Keito que ces déceptions n'avait été que pour le diriger vers cette rencontre, il ne croyait pas au destin, mais savoir qu'une force les avaient fait rencontrer était quelque chose d'assez plaisant. Il serra keito, il sentait sa respiration il était si proche, il vola un petit baiser à l'endormi, incapable de résister à cette tentation.
-Je te promets d'être à ses côtés le plus possible.
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Je me retournais dans mon sommeil, cette fois j'étais dos à Mamoru. Je me sentais bien, ce rêve était apaisant, ont été tous dans la nature, il y avait un beau ciel bleu et on s’amusait bien, en plus y n'y avait pas de journaliste c’était agréable. Je pouvais faire de câlin sans avoir peur et je m'en prive pas. J'ai un peu en paix, même si je pense que ce n'est pas la réalité, mais c'est si agréable. Dans mon rêve je m'allongeais sous un cerisier blanc, j'étais à coté de Mamoru et Bella jouer dans une rivière, elle essayais d'attraper un poisson, oui c'est bien un rêve, je ne sais pas pourquoi mais je vois mal Bella attrapé un poisson. Et puis vu que c'est un rêve autant le faire à fond car quand je serai réveillé tout cela aura disparu.
" Habitons ensemble tout les trois, ont sera comme en colonie de vacance. Bella oublie copain, Shino voudrais que tu soit heureuse ! "
Pourquoi j'avais dit cela moi, je sais pas. Je sais que Shinobu n'était pas avec elle, en tout cas pas dans une relation comme cela. Tant pis c'est un rêve après tout, personne ne m'entend. Dans la réalité enfaité on m'entendait, dans le rêve je fis un bisou sur la joue de Bella dans la réalité aussi, dans le rêve je me remettais dans les bras de Mamoru et je l'embrassais tendrement, dans la réalité aussi. Je m'étais engouffré dans les bras de Mamoru, comment je sais pas, mais j'y étais arrivé que cela soit dans le rêve ou dans la réalité.
" Mon amoureux c'est Mamoru et je l'aime très fort très fort ! Bella toi aussi je t'aime et je te promet de te faire sourire et de te faire oublier Shino, tu trouvera un autre amoureux. "
Enfaite-je sais pas trop ce qu'étais ce rêve et le contexte, je sais que si Bella m'entendait je passerais sans doute un mauvais quart d'heure et je serai sans doute le gibier qu'elle chasserait, mais c'est qu'un rêve et dans mon rêve c'est comme cela que ça se passe, même si je comprends comprends rien. De toutes façons, je vais bientôt me réveille et le rêve disparaîtra. Mais bon je n'étais pas au courant que j'avais dit cela aussi dans la réalité, enfin bref, je vais me réveiller dans pas longtemps.
Mais que faisait ce sombre idiot tout seul dans un parc tard la nuit ? Et sans rien pour se défendre ou pour l’appeler à l’aide. Et puis il était pas sensé avoir des gardes du corps bordel ? Pas étonnant que Shinobu lui ai fait promettre de veiller sur son cousin si tout ses employés était des incapables et qu’en plus Keito était une vraie tête en l’air. C’est pas sain d’abandonner quelqu’un comme ça tout seul dans la vie.
Pour ce qui était d’être considéré comme une sœur, cela n’était-il pas uniquement un titre ? Après tout c’est bien comme ça qu’ils appelaient leurs aînés. Par ces différentes marques de respects en commençant par les titres. Les grands mères étaient appelés Oba-Chan, Onii-chan pour les grands frères, ce qui était encore différent de Sempaï. En tout cas rien ne lui laissait penser qu’il ne l’appelait comme ça au-delà du titre.
Et comme pour renforcer les dire de son homme la voix du rêveur s’éleva. Si Bellatrix ne le savait pas somnambule elle aurait pensé que l’endormit était en train de se foutre royalement de sa gueule. Lui demandant de vivre avec lui, de construire une famille. Pas juste une famille parce que c’est un synonyme que l’on pourrait donner à ça. Mais bâtir une vraie famille pas juste par nécessité du moment jusqu’à trouver son rythme de vie et s’en sortir par soi-même.
Le Lapis-Lazuli l’embrassa avant de se bouiner contre son homme. Et ce n’était juste pas possible pour la jeune femme. Il n’avait pas compris que son rôle se limitait à être sa protectrice et rien d’autre. Certes ses actes étaient plus engagés au vu de ce qui lui était arrivé et en fonction de comment elle en était venu à tenir ce rôle. Néanmoins ça ne devait pas aller au-delà de ça.
* Et bordel pourquoi il est persuadé que je sortais avec son cousin. Il m’imagine en train de pleurer sur sa tombe ou quoi ? Surtout que c’est moi qu’il l’ai tué. Mais ça j’ai pas le droit de lui dire. *
« Petit Poisson tu me le payera ! »
Me marmonnais-je pour moi-même.
« Ecoute moi bien. Je te suis reconnaissante d’avoir sauvé Keito et de lui apporter le bonheur qu’il mérite. D’ailleurs t’as intérêt à être toujours là pour lui et moi ce que je te demandes c’est bien plus que le lien sacré d’un foutu mariage. Parce que je te la ferais subir l’enfer et la damnation si tu ne tiens pas tes mots. »
Je disais ça en regardant Mamoru droit de les yeux et voyais que le p’tiot ce réveillait petit à petit.
« Donc je te demanderais juste de lui enlevé cette idée saugrenu de la tête de me considéré réellement comme une sœur. Un garde du corps avec un plus à la rigueur. Mais pas un de ses rêves de contes de fées. »
Je regardais Keito avec attendrissement parce qu’il était franchement mignon mine de rien ce gosse.
« Surtout que moi contrairement à ta personne, j’ai bien plus de risque à l’avoir dans mes pattes et mon ‘entreprise’ (mime les guillemets lapin) n’est pas aussi laxiste que la tienne. Je mourrais à coup sur. »
J’étais revenu à ma voix froide et concise.
« Alors je veux bien jouer la comédie si jamais il ne veut pas comprendre. Mais à tes risques et périls. On est d’accord ? J’aimerais mettre ça au clair avant de descendre lui préparer un truc. »
Bellatrix le foudroyait du regard, puis écouta attentivement sa réponse avant de se lever et partir dans la cuisine laissant les deux amoureux seuls.
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