Je vais m'occuper de toi.

Repose-toi si tu veux

Avec Mamoru Kosame

Je n'avais jamais roulé aussi vite de ma vie, je pense, mais en 10 ou 15 minutes j'étais chez moi. Je sais que la violence ne mène à rien, mais dans un sens, ce n'est pas moi qui suis violent, c'est les autres qui le son avec moi. Moi à la base, je n'aimais pas la violence, mais j'étais obligé d'être violent afin d’arrêter les êtres humains qui sont devenus des monstres assoiffés de sang. Moi je ne fais que me défendre, je passe ma vie à me défendre et à défendre les autres des monstres que crée ce monde. Nous voilà arrivée chez moi, une jolie maison traditionnelle qui avait autant de vécu que moi. Je sortis de la voiture, je la ferai laver plus tard, j'appellerais le commissariat pour venir la chercher et la laver. Au moins ils seront sûrs que je prends du repos enfin je vais prendre un jour ou deux. Enfin je crois, je dis toujours, je vais prendre des vacances et j'en prends jamais.

Je descendis du véhicule et j'allais de l'autre côté afin de reprendre XXX sur mon dos. Je lui retirai sa ceinture de sécurité et je le portais. Ses mots résonnaient un peu dans ma tête, parce que je sais qu'il a raison. Je le portai, je fermais la porte derrière moi et je commençais à avancer vers chez moi.

" Mamoru a la base, je suis contre la violence, je suis pas un mec violent, c'est plus les autres qui sont violent avec moi. "

Pourquoi je cherche un moyen de me justifier ? En plus ses mots sonnés comme les mots d'un mec battu, limite malheureuse, faut dire que ma propre vie ne dégoute enfin pas ma vie elle-même mais plus mon don qu'autre choses. Je ne suis pas violent à la base, c'est juste que je dois le faire. C'est devenue un automatisme chez moi, une sorte de seconde peau. Je sais que je peux me montrer d'une grande violence, s'il devait arrivé quelque chose à quelqu'un que j'aime. La dernière fois que j'avais pété les plombs, je sais que le commissariat à du ce mettre à six pour m’arrêter. Mais là je n'allais pas faire preuve de violence, je ne suis pas au boulot. Je marchais avec Mamoru sur le dos, j'ouvris la porte de chez moi et je rentrais puis la refermer derrière moi. Je continuai à marcher jusqu’à la chambre. Je pense que Mamoru a besoin d'un bon lit vu son état, je dormirais sur le canapé à côté du lit. Enfin dormir est un grand mot depuis que je suis immortel, je n'arrive plus à dormir et dès que j'y arrive c'est pour faire des cauchemars violents, terrifiant et sanglant. Encore une preuve que ma vie se résume à la violence des autres et à la violence dont je fais preuve pour me protéger.

Je m’assis sur le lit et je le posai doucement dessus, je me reposai un peu en restant assis au bord du lit. Mamoru peut ce reposé confortablement maintenant et aussi il pourra dé-saouler dans le confort. Ma maison n'est pas moderne, je n'ai pas de chose de valeur, je n'ai pas de télévisons, je suis resté dans le traditionnel Japonais, je crois que cela risque de faire extrêmement ringard. Mais je pense que cela peut-être bien reposant pour lui et cela pourront le détendre un peu. Moi je vais veut sur lui, afin qu'il ne commet pas de bêtise, enfin il m'avait dit qu'il pourrait commettent des actes dérangeants, mais je n'avais pas peur de cela non plus. Après tout dans cet état tout est possible. D'ailleurs en le portant j'avais senti qu'il était assez fort, pour une fois je doute d'avoir le dessus sur quelqu'un, mais je n'ai pas peur pour autant.

" Mamoru repose toi si tu veux, je vais rester prêt de toi. "

Je vais m'occuper de toi.

Dors bien, je veillerai sur toi.

Avec Mamoru Kosame

Il c'était endormi, il était mignon, il avait l'air plus humain que moi, je l’allongeai correctement sur le lit. Le faire dormir sur le canapé n’était pas possible, je ne ferai pas dormir quelqu'un de malade sur le canapé. Je le glissai sous les draps, je ne veux pas qu'il attrape froid. Comme tous les Bourrés, son corps sursauté par moments, les nerfs qui lâchent. C'est juste un état, qui disparaît après que l'alcool ne soit plus dans le sang. Je crois que je ne devrai pas le laissais seul, je vais attendre un peu que ses tremblements se calment. Je voulais pas qu'il se fasse mal. Je mis un sceau à couter de lui ainsi qu'une bouteille d'eau minérale, s'il a soif il pourra boire, je sais que l'alcool donne soif. Je sais que certaines personnes saoules ce réveille sans s'en apercevoir pour boire ou faire autre chose, comme manger ou autres, cela dépend de la personne. Puis je me rassieds à côté de lui, j'attendais sans rien faire. Au bout de quelques minutes, je descendais de fermer la lumière. Il aurait surement mal à la tête en se réveillant. C'était le noir complet, vu que je n'avais pas ouvert les volets en rentrant.

Je cherchai le canapé mais sans succès, je n'aurais pas dû le changer de place il y a deux jours ou trois jours. Faut dire que je suis rarement chez moi, je connais le poste et l’hôpital plus que mon propre domicile. À croire que mon domicile est un hôtel de passage pour moi. Comme je ne trouvais pas ce stupide canapé, je me rassis sur le lit et de nouveau j'attendais dans le noir. Mamoru tremblait un peu, des fois plus fort que d'autres. Cela m’inquiète un peu, mais c'est les effets de l'alcool. Je ne peux rien y faire sauf le rassurer, même s'il ne m'entend pas enfin je pense.

" Calme-toi je suis la.  "

Au bout de quelques minutes, je décidais de m'allonger car je n'avais rien d'autre à faire. Bien sur avec un bon espace entre Mamoru et moi. Et puis lui était sous les draps moi au-dessus, de toute façon, c'est juste pour quelques minutes. Je sentais plus mes jambes, sans doute que j'ai trop forcé dessus. Faut dire que j'ai eu une journée charger, j'ai dû courir contre des voleurs, j'ai dû aider des vieilles personnes, je me suis fait frapper par un drogué par chance ne je n'aurai qu'un bleu sur le torse demain. En tout cas, ma journée avait été merdique, mais je ne suis pas pour autant dégouté de la soirée. Cela m'avait changé un peu les idées, même si je n'avais pas encore trouvé un moyen de déchargé comme mon boss me l'avait demandé. J'ai trois ou quatre jours pour trouver, j'ai le temps. Je baillai d'ennuis ou de fatigue, j'ai beau être immortel, je peux être fatigué. Dans un sens je suis toujours humain.

Mais la fatigue pour moi, c'est juste une passade, un truc qui ne dure qu'un bâillement ensuite tout va bien. C'est juste une émotion qui ne dure que quelques minutes. Après ce bâillement, tout allait mieux, la fatigue avait disparu, avec mon don tous les choses humaines d'autres fois disparaissent. La fatigue, la douleur, la maladie, le sommeil et moi j'avais rajouté un truc à tout cela, j'avais rajouté les sentiments humains. Mon don est une malédiction pour ce qui m'entoure, je ne veux pas leurs faire courir un danger. Je suis un monstre. Je soupirai un peu, j'étais lassé de cette vie enfin de mon don. Je comprends mieux mon patron quand il me dit " Tu peux pas faire tout seul, tu ne peux pas rester dans ta bulle et t’enfermais dans la solitude ". Même lui avait compris comment je marchais. Mais c'est la seule chose qui me permet de les mettre à l’abri de ma malédiction. Je ne veux pas que le monstre en moi, achevé leurs vies.

Leur propre vie a plus de valeurs que la mienne à mes yeux, je ferai tout pour les protégés. Je levai le bras, j'avais des fourmis, je le levai comme si je cherchais à attraper quelque chose, mais rien. Je n'ai rien à attraper. Je regardais Mamoru dormir, il avait l'air de ce calmé. Son état avait l'air stable, moi j'étais partie pour le surveiller toute la nuit. Mais bon je peux faire que cela car être immortel, c'est ne plus pouvoir dormir quand on veut. C'est rare que je dorme, faut vraiment me fatiguer pour que je dorme, depuis que je suis immortel, cela n'est arrivé qu'une fois.

" Dors bien Mamoru, je veillerais sur toi, tu n'as pas à t'en faire. Repose toi. "

J'avais chuchoté ses mots, avant de regardait de nouveau le plafond, je regardais de temps en temps Mamoru pour voir s'il allait bien histoire de me rassurer.

Je vais m'occuper de toi.

J'aurai voulu ...

Avec Mamoru Kosame

J'aurais voulu le prendre dans mes bras, j'avais constaté ses larmes trop tard. Il parlait en dormant, c'était mignon, j'aurai tant voulu le réconforter, le consoler, mais rien. J'avais essayé de le prendre, mais je m'étais reculé, de peur que mon don ne le touche, de peur que Mamoru soit maudit par ce don qui me ronge. Je mettais tournais dos à lui, comme pour caché quelque chose. Caché le monstre que je suis. Ses mots résonnèrent dans ma tête, retrouvons cette joie ! Comment le retrouvé, après toute cette souffrance, toute cette violence qui m'avait bouffé. J'étais vide, sans aucun sentiment, aussi vide qu'une coquille. Mais je voulais croire qu'un jour je pourrai de nouveau joyeux, un jour qui devaient être lointain. Je regardais, j'écoutais, mais je ne pas bouger. Je ne bougeais pas, même si j'aurais voulu le faire, même si dans ma tête quelqu'un me disait " Fait quelque chose Naru, ne le laisse pas pleurer " mais on me disait aussi " Si tu le touches il sera maudit, tu le tueras comme tu la fais avec ta coéquipière " l'autre voix à prit le dessus. Je n'avais rien fait, mais je m'en voulais.

Il dormait, je l'écoutais parler, sans rien dire, mais mon œil celui qui n'était pas caché coulait, je m'en voulais du laissé pleurer, mais je ne voulais pas que mon don le touche. Je suis épargné par la mort, mais en contrepartie j'assiste sans bouger à la mort de ce que j'aime. Je donnerai tout ce que j'ai pour arête ce cercle infernal, mais j'étais voué à regardais, à subir et a souffrir, c’était cela l'immortalité, un cadeau empoisonné pour moi, mais qui empoissonne mon entourage. Il c'était arrêté se parle, je me retournais pour le regardais à nouveau cette fois il était bel et bien endormi.

" Mamoru, je suis sur qu'ont retrouvera ensemble notre joie perdu. Même si je ne retrouve pas la mienne, je ferai tout pour retrouver la tienne.  "

J'avais chuchoté ses mots en essayant les larmes qui avait coulé sur ses joues, je n'en voulais de n'avoir rien fait au moment où ses larmes avec coulaient, mais pour son bien, je devais le faire. Même si cela reviens à me faire souffrir, je préfère souffrir plutôt que faire souffrir les autres ou leur faire du mal.

Je me levai après, je décidais de faire du ménage. J'allais dans mon garage je lavai ma voiture, ensuite je fis la vaisselle. Puis je décidai de faire à manger, une sorte de déjeuner pour Mamoru et je pris un médicament pour le mal de crâne. Je mis les médicaments dans un verre et je lui apportais. Un bon remède contre l'alcool enfin les effets de l'alcool. Je me rassis à côté de lui après, je mis le verre ainsi que la nourriture sur une petite table, la lumière du couloir comme seule lumière. Je sais que Mamoru ne va pas tarder à se réveiller cela fait déjà 4h qu'il dort, l'alcool est passé. Je le sentis ce réveillé, enfin cela bouger plus qu'avant sur le lit. Je me tournai et je le regardais, je pris le verre avec le médicament pour le mal de crâne et je lui tendis en souriant.

" Tiens Mamoru cela devrait calmer ton mal de crâne. Tu te sentiras mieux avec cela. "

Je le regardais et je repensais qu'il avait pleuré et que je n'avais rien fait, j'étais resté de marbre. Je changeai mon regard de direction, je le portai sur les quelques trucs que j'avais fait. J'avais fait du riz blanc, de la soupe miso, concombres, radis blanc, aubergine, et haricots. J'en avais pas fait une grosse quantité, mais assez pour qu'il reprenne des forces.

" Je t'ai aussi fait à manger pour que tu reprenne des forces. "

Je vais m'occuper de toi.

Promet-moi et je te dirait tout !

Avec Mamoru Kosame

Je pris le paquet de cigarettes dans ma poche et je lui passai. Je repensais à ses mots, allégé nos sacs. Et si le mien était trop lourd . J'avais peur que mon secret le détruise, j'avais peur de perdre ce qui je chéris au plus haut point. Je ne sais pas, si je dois lui dire ou si je dois lui cacher. Mais il a l'air, sérieux, je sais pas si je peux lui faire, non Naru, ne dit pas ne pense pas, je peux lui faire confiance Mamoru ne me trahira pas. Je le connais assez pour le savoir. Je le regardais, puis je baissais la tête. Je ne savais pas quoi faire, mais dans un sens il a raison, cela allégerait sans doute ma peine. Mais cette voix me disait de me la fermais, que si je lui disais, il fuirait, il abandonnerait et cela le maudirait. Je ne sais pas, quoi faire. Il souriait, il n'allait pas lâcherait l'affaire. Je devais lui dire, même si cela brise tout, j'ai tellement peur que j'en tremble un peu, suffisamment pour le voir.

J'avais peur de lui dire, j'avais peur de le dire à qui que ce soit. Dans un sens, je les protégeais, dans un autre en le gardant pour moi, je me détruisais à chaque résurrection à chaque cicatrice. Je me tuais à chaque mort que je voyais. Car je voyais la mort, je gardais mes sentiments d'humains, mais moi comparé aux autres, je ne mourrais pas. Je restais figé dans le temps, figé à regardais la mort passée, puni à souffrir éternellement. Voilà le prix de l'immortalité, la souffrance émotionnelle au quotidien et aussi la souffrance physique. Je baissai lentement la tête pour regardait le sol.

" Si je te le dit, j'ai peur que cela...  "

Je pris une longue respiration, je soupirais, je tremblais encore un peu plus. Pour un homme je suis pathétique, même pas capable de dire quoi que ce soit. J'essayais de me calmer un peu, je voulais pas le tracasser, mais j'avais tellement peur. Peur de lui faire du mal, peur que mon don le maudisse comme il a maudit ma coéquipière. Cette peur grandissait, mais je suis au pied du mur, Mamoru ne lâcherait pas l'affaire aussi facilement. La peur de le dire me faisait trembler, je ressemblais à un toxico en manque. Mais c'est la peur qui fils cet effet.

" J'ai peur ... J'ai peur de te le dire... J'ai peur que ce que je vais te dire brise tout. J'ai vraiment peur pour la première fois de ma vie. Mais je vais te le dire... "

Je tremblais encore un peu plus, je suis vraiment pathétique. Une voix résonnait encore et encore dans ma tête, " ne lui dit pas tu vas le tuer ! ". Mais je sais que Mamoru ne lâcherait pas l'affaire et j'ai envie de lui faire confiance, j'ai envie de faire confiance au moins à une personne. Même si je pense que cela va tout brisé, j'ai tellement peur. Je regardais encore le sol, toujours sol. Je ne me retournais pas vers lui, je ne le regardais pas, je savais qu'à ce moment je pouvais perdre tout contrôle enfin émotionnellement. Mais j'en ai marre de voir tous ses morts, de voir les cadavres augmenter sous mes pas. J'ai peut-être atteint la ligne de non-retour, mais je ne peux rien faire, même le suicide ne marche pas. Souffrir encore et encore, sans jamais ce reposé, je suis un solda parfait, sauf émotionnellement.

Toujours assis sur le lit, toujours en train de regarder ce putain de sol, toujours entrain de trembler comme une feuille. Je craquais émotionnellement, voir tous ses cadavres, m'avais sans doute rongé et détruit. Je pense que rien chez ne moi est récupérable, je suis détruit. Mais j'ai envie de croire qu'il reste un espoir, même maigre. Qu'il reste un espoir ou un remède qui fera de moi quelqu'un de plus humain malgré mon don. J'ai juste envie d'y croire, juste une fois. Je craquais, je ne pouvais plus reculer, mais je devais m'assurais d'une chose.

" Si je te le dis, promets moi de ne jamais le dire à qui que ce soit, promets-moi de garder cela pour toi. "

Je ne le regardais toujours pas, parce que cette fois je sais que j'avais craqué, je l'avais sentis sur ma joue grâce au seul œil qui peut encore pleure. Je restais fixe, sans le regardait, sans rien faire. Mes tremblements s'étaient calmés au moment où j'avais craqué, mais je ne voulais pas lui montrer ma faiblesse, je suis un flic, je suis censé être fort. Mais pour la première fois de ma vie, je pense que je ne peux pas être fort continuellement, que je ne peux pas tout garder pour moi, je pense que je peux pas y arriver seul. Ironique, je pense comme mon chef maintenant, s'il savait cela il se tordrait de rire et me rabaisserai comme à chaque fois. Mais je pense que je ne peux plus le supporter et puis Mamoru est un ami, je suis persuadé qu'il ne dira rien et puis même s'il le disait cela ne changerais pas grand-chose à ma statue que ce soit au travail ou dehors.

J'ai atteint ma propre limite voila la vérité que j'essaye de cacher.

Je vais m'occuper de toi.

Confession d'un immortel

Avec Mamoru Kosame

Je continuais se regardais sol, se cherchent les mots. Mon seul œil qui pouvait pleurer le faisait. Mes tremblements repris un peu, même avec la main de Mamoru sur mon épaule. Je pris une profonde respiration avant d’entamer ma confession, mais je ne voulais pas que Mamoru voit mais pleures, je suis un flic je dois être fort, même si en cet instant je ne le suis pas. Je pris une longue respiration, je continuais se regardais ce sol. Mamoru risque de me fuir après ce que je vais lui dire, mais j'ai atteint ma propre limite. J'ai l'impression que je vais emmener Mamoru avec moi dans cette malédiction. Mais même s'il me fuit, je ferai tout pour le protéger de ce don qui maudit tous les vivants, qui se joue de moi en faisant souffrir jour après jours. C'est ce don qui fait de moi un monstre, un monstre solitaire, cacher dans ses propres barrières. Pour le moment personne n'est rentré dans mes propres barrières, personne ne les avait brisé.

" L'Homme à toujours rêve de ne jamais mourir. "

Je repris une respiration, je tremblais, mais je ne pouvais plus faire marche arrière. Je devais lui dire, même si cela est dur pour moi. Mamoru m'avait dit qu'il ne dirait rien, j'avais confiance en lui. Et j'avais envie de lui faire confiance. Je repris une respiration, je tremblais encore, mes larmes coulaient encore. Je devais le faire, je ne devais pas reculer, je ne pouvais pas reculer. Mamoru ne lâcherait rien quoi qu'il arrive, je dois lui dire.

" Mais ce que l'Homme ne sait pas c'est que l'immortalité c'est vivre sur une pile de cadavres, c'est vivre toute la violence de ce monde, vivre toute la souffrance de ce monde. C'est voir ses amis, sa famille, son amour, de voir tout disparaitre. C'est ne jamais trouver la paix.  "

Je repris encore une profonde respiration avant de continuait, je tremblais de plus en plus. Je ne savais pas comment les arêtes, je n'avais jamais trouvé un moyen de les calmer. Je regardais sans relâche le sol. Je repris encore une respiration, j'avais de plus en plus peur, j'avais de plus en plus mal, comme si tous ce déchire autour de moi.

" L’immortalité, c'est perdre son humanité à jamais. C'est maudire les autres de la mort qui ne nous touche pas. Je suis un de ses êtres, un être qui ne pourra jamais mourir, qui vivra continuellement dans la violence de ce monde et des autres. "

Je tremblais, je l'avais dit mais cela n'avait pas calmé cette voix qui me disait " Tu viens de signer son arrêt de mort. Tu viens de le tuer Naru ! Regarde ce que tu as fait, il sera mort avant toi et cela sera de ta faute ! " Je n'arrivais pas à calmer mes tremblements, même si je lui avais dit, je n'arrivais pas à me calmer. À quoi bon me cacher, dans tous les cas, je verrais ce monde mourir sans pouvoir rien faire. Je serai le seul spectateur de la décadence de ce monde, le seul à voir la fin.

" Ce don est une malédiction, je perds tout ce que j'aime quoi que je fasse et j'en ai déjà fait l’expérience. Je comprendrais que tu partes, je comprendrais que tu fuis. J'en ai pris l'habitude. Après tout je suis un monstre qui entraine la mort autour de moi. "

Même avec la main de Mamoru sur mon épaule je n'arrivais pas à me calme, je tournai la tête vers lui. Je pensais ne plus pleurer, mais j'avais tord. Je ne l'avais tourné que quelques secondes ou quelques minutes. Puis je décidais se regardais de nouveau le sol. Je l'avais sans doute condamné comme j'ai condamné ma coéquipière, je l'ai tué avec mon don. Je suis un monstre voila comment je me vois.

Même si Mamoru venait à partir, je le protégerais, car au fond de moi. Je sais que s'il lui arrive quoi que ce soit, cela sera de ma faute, car je suis un immortel et que je mon don là sans doute maudit. Comme avec les autres qui étaient trop proches de moi. Même s'il fuit, je ferai tout pour que rien ne lui arrive, je le protégerais de tout et n'importe quoi, je lutterai de toutes mes forces pour que cette malédiction ne le touche pas.

Mais cela ne changeait rien, je suis un monstre qui a perdu toute sa humanité. J'ai perdu tous les sentiments qui faisait de moi un humain. Je suis un monstre voila ma réalité.

Je vais m'occuper de toi.

Tu sera mon exception !

Avec Mamoru Kosame

Il essuya mes larmes, mais cette confession. Un Tikal, un membre d'un gang. Je dois avouer que j'ai bien choisi mon jour et la personne pour craquer, mais c'est fait. Bizarrement, je n'ai rien à reprocher au Tikal, je n'ai jamais eut d'affaires avec eux. Ils sont discrets et peuvent d'entre eux commettent des actes répréhensibles. Je n'ai presque jamais entendu parler d'eux au poste. Toujours les Atlantide et les Eldorado, d'un côté les prostitués et le droguent, de l'autre la vole. Si j'avais eu à choisir, un gang si ma vie aurait dû être dans un gang j'aurai pris les Tikal. En tout cas, je ne dénoncerai pas Mamoru, car je n’aie rien contre ce gang et puis je sais qu'aucun des autres gangs n'a tué ma coéquipière, c'était un gang isolé. Mais j'en voulais aux autres de faire de nos rues des zones de prostitutions, des zones de vente de drogue, j'en voulais aux autres se commettent des vols, de rendre les rues moins sécurisantes. Mais je n'avais rien contre les Tikal proprement parle, rien que ce soit au poste ou dehors.

" Je ne te dénoncerai pas Mamoru. "

Je ne le dénoncerai pas, Mamoru allait être mon exception. Vu que mon don va surement le maudire, je pouvais bien faire cela et même si cela n'était pas le cas, je le ferai. Car Mamoru est mon ami et que je ferai tout pour ne pas le voir en prison ou autres pas. Je ferai tout pour préserver sa liberté. Moi je ne suis pas libre, mon pouvoir fait de moi un prisonnier de ce monde, je ferai tout pour que Mamoru ne soit pas un prisonnier. Je préserverai sa liberté coute que coute.

Il garde mon secret, je garderai le sien.

Je regardais dans les yeux Mamoru, mes larmes coulaient mais moins que tout à l'heure. Mais émotionnellement je craquait encore, bien que mes tremblements se soient arrêtés. Je le regardais, il venait de me faire une révélation, mais je ne le trahirais pas. Je ne le dénoncerai pas, même si pour cela je dois perdre mon poste. Quoi qu'il arrive je ne le dénoncerai pas. Le ciel pouvait bien me tomber dessus, je pouvais bien être violenté, être sacrifié ou pire, je ne le dénoncerai pas, je protégerais sa liberté. Dans un acte inconscient ou désespéré de ma part, je ne sais pas trop. Je le pris dans mes bras, cela faisait longtemps que je n'avais pas fait un tel acte. Moi d'habitude si froide aussi froid que le marbre ou que la glace. Je sais pas si cela est un acte désespéré, de culpabilité ou juste mon état émotionnel qui me jouer des tours, je ne savais pas pourquoi je fis ce geste mais je le fis.

" Tu sera mon exception, je ne te dénoncerais pas.  "

Il avait mon secret j'avais le sien ou une partie, je ne le dénoncerai pas, même si je dois perdre gros. Je dénoncerai jamais Mamoru, de plus je crois qu'entre les trois gangs le sien est celui qui fait moins parle d'eux que les deux autres qui pourrissent nos rues. Je lâchais mon étreinte. Je voulais le rassurer, mettre des gestes dans mes paroles pour lui faire comprendre que je ne dirais rien, que je serai aussi muet qu'une tombe, même si jamais je ne connaitrais la tombe. Je ne dirais rien et même je pense le protéger de la prison. Je protégerais sa liberté, comme si cela était la mienne. Je venais aussi de comprendre que j'avais sans doute fait quelque chose de dérangeant, le prendre dans mes bras comme cela était déplacé, sachant que je suis plus jeune que lui.

" Pardon, pour le geste cela était sans doute déplacer. Je ne le referai plus. "

J'avais honte d'avoir été si faible et d'avoir fait un geste déplacé. J'aurai du contrôle mes émotions, mais j'avais été faible et j'avais sans doute mis mal à l'aise Mamoru. Et puis je suis plus jeune que lui, je l'avais sans doute mis super-mal à l'aise. J'avais honte d'avoir été faible émotionnellement et de m'avoir permis un geste comme celui-ci, je pense même que ce geste était égoïste. J'avais horriblement honte de l'avoir fait.

Je vais m'occuper de toi.

Dors bien !

Avec Mamoru Kosame

Mamoru avait des penchants pour les hommes, soit ce n'est pas grave, moi-même je sais pas si je suis plus homme que femme, faut dire que je n'ai pas de temps pour me poser la question. Avec le boulot et mon don je n'ai pas le temps de m’attacher ou d'aimer quelqu'un d’ailleurs pour moi la notion aimer à était remplacée par la notion violence. L'amour n'existe plus dans ce monde, il ne reste plus que la violence et la souffrance.

" Tu n'as pas à être désolé pour le câlin c'est moi qui suis commis une faute.  "

C'est vrai qu'il n'était pour rien, c'est moi qui avais commençais après tout, c'est normal d'en profiter, j'aurais sens douté faire la même chose. Même si moi, je ne comprends pas tellement les choses comme cela. Après tous dans mon cas cela est normal, je suis un flic et je vis dans la violence, pour moi la violence à remplacer l'amour. Je peux rien y faire, un jour je réapprendrais et puis pour le moment comme je l'ai dit je peux par m’engageais dans une histoire sérieuse.

Je vais le laisser dormir, je vais me calmer sur des dossiers et puis pendant qu'il dort je pourrai la chercher un peu, depuis que ce fou est mort. Je ne l'ai plus retrouvé, pourtant j'avais fait des patrouilles sur patrouille. Je l'avais cherché un peu partout dans les rues, car la police pensée que le tueur n'agissait pas seul. Une bonne hypothèse, mais tout le monde croyait que je l'avais tué dans l’exercice de mes fonctions donc si je suis sous l'hypothèse son complice se vengera de moi avant d'elle. Mais bon elle était bien cachée, je ne l'avais pas trouvé.

" Repose toi Mamoru, moi je vais finir des rapports. "

Être dans le criminel et l'antigang c'est aussi rapporté du boulot à la maison comme si j'en avais pas assez. Enfin c'est mes anciens dossiers, depuis que j'ai ma mise au pied pour x raison je n'avais eu aucune nouvelle affaire. Et puis en étant immortel, je ne peux plus dormir, donc pour m'occuper je faisais tout et n'importe quoi y compris le travail. Et puis, faut que je fasse un truc pour m'occuper, j'avais été trop faible. Je dois me reprendre et pas rester aussi faible, enfin c'est la première fois, mais faut pas que cela se reproduise. Je suis un flic avant tout, pas une poupée fragile. Je dois protéger les civils, je dois agir et ne pas montrer de faiblesses pas comme il y a deux minutes.

" Si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis dans le salon Mamoru. "

Je me levai et je décidai d'aller vers la porte, je vais le laisser dormir et moi je vais m'occuper du mieux que je peux. Avec mes anciens dossiers et des affaires non résolus que j'avais volé aux archives pour un passe-temps. Je n'avais pas d'autre chose à me mettre sous la dent et puis, je ne peux pas dormir.

" Dors-bien Mamoru "

Je quittais la pièce pour laissait Mamoru ce reposé, moi je ne lui sers pas à grand-chose et puis je risquerai de le gêner. Même si je devais dormir, je préférais lui laissait le lit et prendre le canapé.

Je vais m'occuper de toi.

Quatre heures plus tard !

Avec Mamoru Kosame

Cela faisait quatre heures que Mamoru dormait, j'avais eu le temps de finir mes rapports, du regardais dormir de peur que la mort ne l'emporte avec lui. J'avais peur pour lui je lui avais dit que j'étais immortel. Je sais que c'est lourd à porter, mais c'est encore plus lourd à vivre. J'avais fini mes dossiers, mon ménage et tout le reste, j'en avais même profité pour prendre un bain. Mes cheveux étaient moulés, je passais devant la porte de ma chambre Mamoru dormaient toujours. J'étais en short, un short minable avec des fleurs et des cœurs, merci cela était un cadeau du boulot quand j'avais sauvé le chez de MD. Sympa, mais très nul enfin il y avait de quoi ce moqué. J'étais en short et avec ma serviette autour des épaules, j'allais revenir à des dossiers non résolu. J'en avais au moins une trentaine.

Les phrases de Mamoru résonnaient dans ma tête, si je voulais un câlin j'avais qu'a lui demande. Cela me fit sourire et me fils rire un petit peu, un câlin avec un short à fleur et à cœur. De quoi passer pour des fous. Je pris ma veste de policier, je n'avais que cela. Je la mis car je ne voulais pas que Mamoru voient tous les cicatrices que j'avais, dans la salle de bain j'avais essayé de les comtés, mais sans succès. Je m’étais arrêté à 130 ou 150, la majore partie dans le dos, les bras, les avant bras, les jambes et les cuise, j'en avais à peu près partout. J'avais honte de ses cicatrises, je les montrais à personnes excepté les infirmières ou les médecins.

Ah le personnel de l’hôpital, ils m'adoraient. Tellement ils m'aimaient ils me viraient chez moi au bout de deux semaines soigner ou pas. Faut dire que je leur fais des misères, je me souviens une fois j'étais rentré chez moi en bus sans la permission, bien entendu je me suis fait chopper par mon chef et je suis retourné à l’hôpital vite fait bien fait. Mais ce n'est pas de ma faut si je fugue, j'aime pas les hôpitaux. C'est bourré de morts, j'en vois déjà assez et puis j'aime pas les blouses blanches et les médecins, dans un sens ils me font peur avec leurs sourires. Je préfère de loin fugué de l’hôpital pour rentrer chez moi.

J'ai beau être immortel cela ne m’empêche pas de me blesser gravement des fois. Mais je me soigne plus vite que les autres, enfin des fois. C'est bizarre.

" Cela me fait penser que j'ai bientôt ma visite de contrôle à l’hôpital.   "

J'avais chuchoté pour que Mamoru ne se réveiller pas, il dormait si bien cela aurait été du gâchis de le réveillé. Enfin même si je m'invitais dans la chambre pour voir si tout allait bien, j'avais un peu peur pour lui, après tout ce n'est pas un petit secret que je lui ai dit. Ce type de secret peut bien changer des vies. Moi j'avais l'habitude de vivre avec maïs par Mamoru. Enfin cela était une mauvaise habitude, car plus je mis habituer et plus je perdais du terrain sur les sentiments agréables, faut dire que question sentiments agréable ou chose agréable je suis un nul. Après faut remettre les choses dans leurs contextes, je n'ai jamais connu de chose agréable même enfant. Donc c'est normal enfin je crois, que je suis normal, peut-être un peu trop solitaire, mais je suis normal et comme le psy le dissent si bien, les choses comme cela sa s'apprend, je les apprendrais bien un jour.

Je me replongeai un moment dans mon dossier avant que mon estomac demande un encas. Je me posai le dossier d'une affaire de meurtre non résolu, j'avais ma chemise ouverte avec mon joli matricule de policier et je passais de mon salon à ma cuisine avec mon beau short à fleurs et à cœur, purée je suis une honte. Même moi j'ai envie de rire de moi. J'ouvris un placard à la recherche d'une boîte de cookie au chocolat, je sais que j'en ai, mais j'ai tellement de trucs dans mes placards que je sais par ou je les ai rangé. Je fouillai un peu, par ci, par là en évitant de faire du bruit afin de ne pas réveiller Mamoru.

" Alors où est tu boite petit à Cookie ? Promis je te mettrai pas en prison ! Alors montres-toi !  "

Même le boulot me poursuit jusqu’à dans ma cuisine. Je trouvai la boîte et je pris un cookie puis je fermais mes placards, en gardant le cookie entre mes dents. Puis je me retournai pour continuer de lire mon dossier et surprise ! J'avais mon cookie entre les dents, ma chemise avec mon matricule d'école de police la chemise date de l'école et j'ai encore tout ma tenue de l'école de police, mon short à fleurs et à cœur ! Et ma serviette rose, oui rose je m'étais planté dans le programme de la machine ai lavé et ma chemise rouge avait bavé sur ma serviette blanche. En tout cas, à cet instant j'avais honte et je savais plus où me mettre, je pensais qu'il allait encore dormir une heure ou deux. Honte sur moi, honte sur mon short, honte sur tout ! Il va bien ce rire en tout cas.

J'ai vraiment honte !

Je vais m'occuper de toi.

Si tu veux

Avec Mamoru Kosame

Mamoru me fis un câlin ce qui me fit rougir, j'étais aussi rouge que les cœurs sur mon caleçon. Je n'avais pas l'habitude de recevoir de l'affection, d'habitude je recevais des coups de poing , des coups de pied, des coups de couteau. Pour moi les câlins avaient disparu de ma vie jusqu'à aujourd'hui ou il avait fait leur grande réapparition. Pendant que Mamoru était aux toilettes, j'en profitait pour prendre un survêtement de sport, celui de la police, je n'ai que lui. Enfin bref, je retournai dans la salle, mais cette fois avec mon survêtement de sport, j'ai plus à avoir honte de ce caleçon, une bonne chose de faite.

Il voulait que je reprenne le lit, pour quoi faire ? Depuis que je suis immortel, je ne dors plus, sauf quand je suis blessé ou quand je viens de mourir, à ce moment je dors, mais je fais d'horrible cauchemar pendant cette période où je dors et puis personne n'arrive à me réveille, je deviens vulnérable. C'est un peu comme une période de rechargement de mon pouvoir sans en être une, car je peux mourir dans le second qui suis-je serai toujours vivant la minute suivante.

" Si tu veux tu peux aller te recoucher, je dors pas moi, enfin j'évite on va dire. "

C'est vrai j'évite plus qu'autre chose de simuler mon sommeil ou bien de dormir, j'aimais pas faire des cauchemars, sachant que mon cauchemar s'entraine souvent de gestes. Donc j'évitais au maximum de dormir et plus j'avais plus la sensation de fatigue, si je veux dormir maintenant je dois me forcer, quand je me force pas c'est que je suis blessé ou que je viens de mourir récemment. Mais dans cet état je deviens vulnérable je suis comme une poupée, donc j'évite aussi, même si je ne peux pas lutter contre ce sommeil-ci. Donc j'évite de parler de mon don, pour la plupart des gens de mon entourage je suis un simple humain avec une putain de chance et cela m'arrange qu'ils pensent comme cela.

" Après si tu n'as plus sommeil, je peux te faire quelque chose. Ta juste à me dire quoi et je le ferai. "

Cela doit lui faire bizarre de ne pas me voir fatiguer de me voir en pleine forme, mais j'y peux rien c'est le bonheur des immortels, enfin un malheur pour moi. Mais bon, je sais pas pourquoi, mais depuis que Mamoru le sait je me sens plus légers, même si j'ai extrêmement peur pour Mamoru. Mais après comme je l'ai dit je ferai tout pour que ma malédiction ne le touche pas, même si pour cela je dois mourir mille et une fois, je ferai tout pour que Mamoru soit en sécurité de mon don et qu'il soit libre de vivre et pas contrains de mourir à cause de ma malédiction.

Avec Mamoru

Je le regardais, il voulait venir, je nie voyait aucun souci, en plus cela me permettra du protégé de ma malédiction. Je pourrais le surveiller et travailler en même temps. Je pourrai le confier entre des bonnes mains. Cela me fit rappelais que c'est ce que j'avais fait la dernière fois et que cela ne c'était pas passé comme je le voulais, elle avait disparu, mais je continuais de la chercher. Car ont eu eu une autre information, pour moi bidon, pour mes supérieurs assez vrai pour faire en sorte que je m’inquiètent. Et ils avaient gagné, je m'inquiète de ne pas savoir où elle était, ma tête était devenu un champ de bataille emprisonner par mille et une questions, qui reste sans réponse.

Je le regardais et je décidais de mettre ma tenue, même si je n'étais pas de la criminelle, cette fois je reprenais mes fonctions du moins pour ce soir. Si cela se trouve demain je serai redevenu un flic minable qui fait la circulation. Je mis ma tenue, vite fait en trois minutes c’était boucler, j'avais été à l'armée avant c'est sans doute pour cela que j'étais rapide. Cette tenue était quasiment militaire, mais sans les couleurs, elle était bleu nuit, mais je n'avais aucune arme, j'en aurai là-bas. Ce costume me donne un air encore plus musclé, cela me fait du bien de le remettre. Je regarde Mamoru et je lui souris, cette fois il était temps de partir, cette intervention ne peut pas attendre.

" C'est partie Mamoru ! Tu veux savoir sur quel intervention ont va avant de partir ou je garde la surprise pour moi ? "

J'étais devant la porte, je l'attendais avec un grand sourire, j'avais hâte de partir en mission car cela m'avait vraiment manqué. J'étais content de reprendre mes fonctions, celle pourquoi j'avais été entrainer. Et puis, je fais une pierre de coup, vu que Mamoru vient avec moi, je pourrai le surveiller et il sera en sécurité. Comme cela, je pourrai m’assurer que ma malédiction ne le tue pas.