18 h, l'heure où tout est calme, pas pour bien longtemps j'en ai peur. C'est tout le temps la même chose, c'est calme, vous pensez que les gens sont en paix et la ....

Radio : Appelle à toute les unités de l’antigang, code 201 lancer. Veuillez vous rendre immédiatement à Toshima

Et voilà, c'est partie. Un code 201, entré par effraction avec possibilité d'armement lourd, niveau de sécurité 3. Encore un fou qui vient de séquestre une personne et avec une arme, je soupirais, quand cela va-t-il s’arrête. Quand est-ce que les gens vont-t-ils arrêtent de s'entretuer pour des conneries. C'est toujours pour une connerie, " elle m'a trompé " ou " il m'a pas rendu mon collier " toujours de connerie. Je soupirais et je pris ma radio, un soupire qui voulait tout dire.

Naru « Bien recue ! »

EN route pour Toshima, je fais une réunion improvisée avec la radio, j'organise tous les équipes, je dis comme attaqué. Voilà nous y sommes, gilet par balle mis, arme chargé, masque de sécurité mis, nous étions prêts, j'étais prêt ! Un appartement, je monte les étages, me voilà devant la porte. Je frappe, trop fois, trois coups forts, je suis en première ligne, mes hommes derrière moi, la sécurité. Un se met homme me touche l'épaule pour me dire que le secteur est sécurisé, je peux à présent commencer à travail sans risque de perte collatérale.

Naru « Police la ouvrez Porte ! Vous avez 3 minutes pour sortir les mains l’air, tout résistance est inutile, tout fuite est inutile, votre appartement est bloquer, votre immeuble est bloqué. Sortez les mains en l’air et ouvrez cette porte, nous n’hésiterons pas à défoncer la porte et à rentre.  »

Les mots étaient dits, le chrono était lancer ! Je n'avais pas l'intention de reculer, je rentrais par la force si n'hésiterai ! Il où elle avait les cartes en mains, ne reste plus qu'à cette personne de les prendre. En tout cas, je ne reculerais pas !

Je mettais cette inconnue en joue, avec mon arme, je lui pris le bras et je le fis sortir de force de l'appartement. Cela était encore une intervention, je le donnai à mon collègue qui se charge de le fouiller et moi, je pénétrais avec toute l'unité de l'antigang dans cet appartement. C’était calme, mais faut quand même faire attention. Combien de mes collègues étaient morts, car il avait foncé tête baissée.

Pièce par pièce, on regardait toutes les pièces en disant "RAS" quand il n'y avait rien ! L'unité était rapide et silencieuse, mais rien, toutes les pièces avaient été vues, mais rien ! L'homme qu'on avait pris, nous aurions fait une fausse blague . Et-il l'homme qui a appelait la police ? Purée, je déteste cela, je sortais de l'appartement, mon coéquipier, celui que ce chargé de l'homme en question me fit un signe qu'il n'avait rien qui pouvait blesser un policer.

Naru « Bonjour, je suis l'inspecteur Fujimi de la brigade antigang et criminel ! Nous avons était appelais pour une intrusion chez vous avec possibilité d'arme lourd, mais tout est en ordre !  »

Je le regardais, j'étais en colère intérieurement, j'avais perdu du temps, mes hommes aussi, on aurait pu être plus important autre part. Je le regardais, un regard froid, qui en disait long !

Naru « Étés-vous la personne qui a appelait pour signaler cela ? On s'est déplacé pour une urgence et les mauvaises blagues de ce type ont s'en passerai bien ! Êtes-vous la personne qui a appelait le central à 17h49 ? »

Si c'est lui, je le colle taule ! Franchement des blagues comme celle-ci, je m'en passerai bien ! Voilà grâce à cela ma journée est pourrie et j'ai sans doute pourri la journée de quelqu'un et aussi doit y avoir un connard qui doit rigoler de nous voir arrivé avec tout l'armement ! Bordel, de merde ! J'ai autre chose à faire que m'amuser à aller en intervention bidon !

Alors comme cela ce n’était pas lui, soit ! Mais qui c'était alors ? Le père Noël ? Les lutins ? Qui était à l'origine de cet appel de merde qui à tuer ma journée, déjà que ma journée était merdique alors là j'avais gagné le pompon ! Bordel, j'aime pas les blaguer de ce style, je soupirais ! Un soupir qui disait que j'en avais marre de tout cela, des gangs, des fausses blagues et du reste, j'étais sous pression continuellement ! Je pense qu'il serait temps de prendre des vacances, un peu ! Style une semaine, sans taff, sans rien, juste chez moi ! Oui il serait temps !

Oui des vacance, j'y pensais déjà ! Allez Naru tu est au boulot, tu est en service ! Travail au lieu de rêvé !

Naru « Je vais vous demander de patienter, je veux bien vous croire, mais je vais demander une confirmation au central, pour l'appel !   »

C'est alors que je pris ma radio, je pouvais pas le croire sur parole, ici les paroles ne sont pas respectées, on vous dit blanc, puis noir, puis rouge, mais rien n'est vrai. Ce monde est rempli de mensonge, une grande mascarade a l'état pur. Ce monde est rempli de menteur, d'arracheur de dents. Je voulais bien le croire, mais je devais m'en assurer avant. La sécurité avant tout !

Naru « Central, je souhaiterais une confirmation sur l'appel ! Il me faudrait le numéro de ligne de l’appelant ainsi que l'endroit de l'appel ! »
Radio : Bien reçu ! Attend 5 minutes !
Naru « D'accord ! Vous savez que si vous avez menti, je serai obliger de vous arrêtez ? Les mauvais témoignages son un délit passible de prison. »

Une phrase pour faire monter la pression, je devais être sûr, j'étais un flic après tout, pour moi se gère de truc était devenu normal. Pour moi, faire peur avec des paroles était devenue banal, mais moi comparé aux autres, ce que je disais était vrai, je ne mentais pas. Et puis, j'étais un as, pour faire craquer les gens qui mentais, s'il dit la vérité, je le saurais quoi qu'il arrive !

Il avait l'air d'avoir peur, sa voix le trahissait un peu. Caché t-il quelque chose ? J'attendais patiemment, les 5 minutes arrivées petit à petit et de nouveau la radio sonna, deux choix s'offraient à moi, soit il est coupable et je l’arrête soit il ne l'ait pas et je pars, pour coffrer le vrai coupable de cette mascarade et croyez-moi, ce n'était pas les jours ! Enfin, ma journée était gâchée par cette plaisanterie de mauvais gout et allez savoir pourquoi, je me sentais fatigué comme si ma force s’envole, je soupirai, aujourd'hui n'était pas mon jour !


Naru « J'écoute central, confirmation code 231 !   »

J'attendais encore un peu, j'étais vraiment fatigué, je pense que je devrai prendre des vacances, cela fait deux ans voir plus que j'en ai pas pris, enfin je me rappelle même pas de quand j'ai pris des vacances.

Radio : Code agent bien recu !
Naru « Alors ? »
Radio : L'appel ne proviens pas de l'appartement, il proviens de l'appartement d'en bas. Le central c'est charger d’appelés, c'est le gamin qui à appelais pour signalé ce qui ce passé à la TV !
Naru « D'accord ! Je vais allais voir la mère ou le père, ont ne nous fait pas déplacer comme cela pour rien, surtout pour nous signalé ce qu'il ce passe à la TV ! »
Radio : Pas besoin et vous n'avez pas le temps un braquage est en cours, l'antigang est demandé ! Votre ordre de mission à était envoyez, veuillez ne pas perdre votre temps.
Naru « Bien reçu ! »

Je regardais cet homme, purée, j'étais venu pour que dalle, j'avais travail pour que dalle et surtout j'étais entré pour rien ! La brigade descendait et je restais la quelques instant. Je soupirais, un soupire de fatigue cette fois, mes forces abandonnées, purée, je suis vraiment fatigué aujourd'hui !

Naru « Je vous pris de m’excusai, votre petit voisin du dessous vous à fait une plaisanterie ! »

Cela se voyait tant que cela que j'étais fatigué . Je pense que oui ! Mais j'étais en service, je ne pouvais pas parler de sujets personnels. Le service était le service, mais c'est vrai que j'étais extrêmement fatigué, je ne savais pas pourquoi, cela m'avait pris d'un coup. Comme si ma fatigue était tombée d'un seul coup, comme si cette fatigue devenait de plus en plus lourde. Je ne sais pas pourquoi, mais elle est là ! C'est la première fois que je ressens cette fatigue, elle est forte et lourde, mon énergie me quitte peu à peu, j'ai vraiment envie de dormir, mais je suis en service. Et puis, je dois partir pour une nouvelle intervention, je ne peux pas me permettre de dormir, je dois finir cette journée, coute que coute ! Même si la fatigue s'alourdit !


Naru « Monsieur, je suis en service et je ne peux pas vous parlez personnellement ! Ma fonction ne me permette pas de vous parler personnellement, je vous parlerais donc en tant qu'officiers ! »

Je souriais, mais ma radio me rappelait à l'ordre donc je devais partir, je n'avais plus le choix ! La sécurité de la population avant toute chose ! Je le regardais et je souriais.

Radio : FUJIMI ! GROUILLE TOI ! C'EST URGENT !
Naru « Bien recu ! »
Radio : D'accord !
Naru « Je suis désolé, mais je dois y aller, l'urgence m'appelle. Je dois protéger la population ! Je vous souhaite une bonne journée ! Encore désolé pour l'intervention non nécessaire !! »

Même fatigué, même si je ne tenais que debout par un miracle, j'irai en intervention, je protégerai la population, car telle est mon métier ! J'étais sur le point de partir, pour protéger la population ! Protéger est ma seule devise en service !

Il en était hors de question, je n'allais pas prendre un civil pour faire une intervention, même pour regardais ! Je ne suis pas un flic qui mettrait en danger la vie des autres ! Il en est hors de question et puis cette intervention n'est pas un spectacle non plus ! Il en est hors de question, cet individu reste ici ! Non mais c'est quoi ce truc, s'il veut que je l’emmène, je vais l'emmener, mais cela ne sera pas là où il pense ! Même fatigué, même à bout de souffle, je ne l’emmènerai pas là-bas !

Naru « Monsieur, par le plus grand des respect, il est hors de question que je prenne un civil avec moi ! Cette intervention est réservé au policiers et cela n'est pas une salle cinéma ! »

Oui il était hors de question que j’emmenais un civil avec moi ! Je ne risquerai la vie d'aucune personne, quelle que soit sa fonction où son grade ! Je ne l’emmènerai pas là-bas, il en est hors de question. Je le regardais, un regard fort avec un sourire un peu sadique, je voulais lui faire peur, j'étais prêt à l'emprisonnais s'il résistait ! Je ne suis pas le gère de flic à laisser les civils m’accompagner, ce n'est pas une balade habituelle, ce n'est pas un plaisir !

Naru « Rester en sécurité ! Il est hors de question que je vous emmène avec moi ! Si vous me suivait, je vous emprisonnerais pour entrave ! »

J'étais sérieux, vraiment sérieux, s'il me suivait, je l’emprisonnerais pour entrave ! Je ne mettrais personne en danger, bien au contraire, mon métier est de protégé et c'est ce que je ferai !

Naru « Aller donc vous amusé, je vous rassure, rien n'est amusant dans une intervention de ce type ! Je suis sur que vous trouverai un truc beaucoup plus amusant qu'une intervention ! »

Oui, il n'y a rien d'amusant ! Et puis il est jeune, il peut trouver un truc encore plus amusant, je suis sur qu'il a des amis ! Ce n'est pas amusant les interventions de type braquage ! Ce qui est sur c'est que je ne l’emmènerais pas, ma mission est de protégé et non pas l'inverse ! Autant qu'il s'amuse autre par, au moins sa vie ne sera pas en danger ! JE le regardais toujours aussi froidement avec un sourire sadique, hors de question de l’emmener avec moi, je vais lui faire peur, déjà avec ce que j'ai dit comme quoi, je l'embarquerai en prison s'il vient, je pense que cela l'aura calmée un peu.

Il était libre d'aller où il veut, du moment qu'il n'est pas dans mes pattes. Je ne veux pas d'un civil dans mes pattes, moi je ne crains rien, je suis immortelle, je ne peux pas mourir, lui oui et puis pourquoi une intervention l'intéresse ? il veut faire un braquage de banques plus tard ? Il était louche, je devrais peu être fait une enquête sur lui. C'est vrai qu'il est bizarre, mais après il y a tellement de fou sur terre que cela ne me surprendra pas. Bon il a attiré ma curiosité, je vais essayer de voir pourquoi il est si bizarre. Je suis flic, je ne suis pas un gentil. Il a attiré ma curiosité, si cela se trouve c'est un terroriste ! Je dois savoir qui il est vraiment, mais avant tout le braquage. Je le regardais et je me sentais de plus en plus la fatigue en moi, si je pouvais ne pas aller à cette intervention, j'irai dormir. Faut vraiment que je prenne des vacances !

Naru « Vous êtes libre de sortir ou bon vous semble. Comme tout bon citoyens. J’espère juste ne pas vous voir là-bah ! »

Oui, il avait vraiment attiré ma curiosité, si cela se trouve j'étais devant un terroriste ! Si j'arrive à savoir qui il est, j'aurai surement une grosse promotion, en tout cas, je n'allais pas le lâcher. L'avenir du Japon est peut-être entre mes mains, s'il est bien terroriste bien sur. En tout cas, le petit bonhomme cache quelque chose. Il est ma prochaine cible, il doit bien cacher quelque chose. Bon la je devais vraiment partir, l'intervention ne doit plus attendre et puis des civils sont en danger, je me dois de les sauver !

Naru « Je dois vous laissé monsieur ! Je dois vraiment y aller !  »

Je le saluai une dernière fois, purée qu'est que j'ai à être si fatigué que cela aujourd'hui. C'est bizarre, aussi bizarre que ce type d’ailleurs. Je m’apprête à partir, je m’apprête à descendre les marches, mais j’eus soudainement un vertige. Pourtant, mon immortalité me protégeait des choses comme celle-ci. Je me rattrapais à la rembarré des marches, c'est la première fois que je m’écroulais comme cela, pourtant mon don me régénérait, c'est comme s'il s’affaiblissait. Je pense que je ne vais pas aller à l'intervention finalement, je ne comprends pas ce qui sa passe. Je pris ma radio, je ne pouvais pas y aller.

Naru « Centrale, je ne peux pas aller en intervention. Je rentre à la base, j'ai besoin d'une équipe médicale, je ne me sens pas bien du tout ! »
RADIO : Bien reçu ! Garde ta position, une patrouille viens te cherché !

Purée manquée plus que cela ! Je desserrai mon gilet par balle afin de mieux respirer, c'est la première fois que cela m'arrivait, d'habitude je ne tombe jamais malade. Mais aujourd'hui si ! Il y avait un truc qui cloché, mais quoi ! En tout cas, même avec mon don d'immortalité je ressemblais à un humain normal, enfin là, je ressemblais à un humain malade ! Aujourd'hui quelque chose cloche ! Ce n'est vraiment pas ma journée, faut vraiment que je pense à des vacances !

Il voulait m'aider, j'avais chaud, très chaud. Comme si j'avais de la fièvre, mais avec mon immortalité cela n'était pas possible normalement. J'essayais de me lever, mais je retomber directe sur le sol, je n'étais pas blessé en me rattrapent, je venais de me couper avec la fermeture éclair de ma chaussure droite. J'avais vraiment chaud, très chaud, je retirai mon gilet par balle, je soufflai avec du mal. Que m'arrivait-t-il aujourd'hui ? Je me sentais comme si j'étais humain, comme si mon immortalité avait disparu. J'essayais une nouvelle fois de me relevé, mais rien, je retombais sur le sol froid de ce hall. La radio parlait en disant que le quartier était bloqué, que je devais attendre un peu plus. Je me sentais tellement mal, tellement faible, je ne sais pas vraiment ce qui m'arrivait.

Naru « Cela va aller monsieur, je vais me débrouille ! Vous pouvez y aller ! »

Je devais gêne le passage, je n'avais même pas remarqué que c'était le terroriste enfin, celui que je présumais comme terroriste. Je me relevai d'un coup, comme un militaire, je fis même le salue militaire avec du mal. Ma vision se troubla, mes jambes tremblées, mon geste était différent, je n'étais pas aussi réactif, je n'étais plus assez fort. Mon énergie tombait de plus en plus. Je tenais à peine debout.

Naru «  Vous pouvez passé monsieur !  »

À peine avais fini m'a phrasé, que je n'effondrais en tombant du milieu de l'escalier à la fin de l'escalier, je sentis mes côtes craquées ! La douleur ! Je la sentais, je ne l'avais pas senti depuis que j'étais immortelle, j'avais l'impression d'être humain, d'être un moins que rien. Mais que ce passé t-il aujourd'hui ? Je ne pouvais plus bouger, j'étais bloqué, j'étais fatigué, j'avais de la fièvre et mes côtes avaient craqué sous le poids de mon corps. Je pris avec difficulté ma radio, je devais me signaler, je ne sais pas ce qu'il se passe, je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui ! Mais j'ai besoin de quelqu'un, c'est bien la première fois que je réagis comme cela. Quand je pris ma radio, je m'aperçus que celle-ci était brisée ! Bordel, ce n'est pas mon jour ! J'aurais préféré rester chez moi, si j'avais su. Je me relevai et je m'assieds dos au mur, même si j'avais du mal et que j'avais du mal, je faisais un effort, mais je n'étais vraiment pas bien.

Naru « Pouvez-vous appeler le commissariat et dire que l'agent C691 est à terre et a besoin d'une assistance médicale d'urgence ! »

Oui, aujourd'hui, je vais faire appel à eu, pour moi c'est rare. Mais aujourd'hui, je préfère jouer la sécurité, je ne sais pas ce qui m'arrive. Je préfère vraiment jouer la sécurité !

Comme si je peux bouger, cette fièvre d'où venez-t-elle j'étais pourtant immunisait contre cela. Je ne peux plus bouger, mes côtes me faisaient mal. Je m'étais bien fait mal pour une fois, moi qui ne ressens rien aujourd'hui c'était le total. Comme si tous ce que je n'avais pas ressenti, je le ressentais aujourd'hui. Je sentais qu'une personne me bouger, cela me faisait encore plus mal. La douleur de mes côtes me faisait penser avec mon ancienne coéquipière. Mais que m'arrive-t-il aujourd'hui !

Naru « Ne vous en faite pas pour moi ! Appelez juste la base, elle ce chargera de moi. »

C'est vrai que la base peut se charger de moi. Même si je ne suis pas aimé là-bas, ils ne me laisseront pas. Car on abandonne personne, même les gens ou les coéquipiers que nous n'aimons pas. Mais avec ce braquage, ils devaient surement être occupés, j'allais devoir passer un petit moment avec ce terroriste enfin supposé. Oui, je le soupçonne après tous c'est mon taff. Et puis, je suspecte tout le monde avec ce qui sa passe dehors, c'est mieux de rester vigilant !

Naru «  Vous n'êtes pas obligé de vous occuper de moi. Je ne suis plus en service, enfin je ne peux pas respecter mon service dans cet état !  »

Je me mis debout un sur mes deux jambes, même si j'avais du mal. Je pris mon arme de fonction et je la déchargerai devant lui, je mis aussi la sécurité. Enfin je l'avais déchargé et démontais pour plus de sécurité. Après tout j'étais chez un inconnu et peut-être un terroriste.

Naru « Vous inquiétez pas, je ne vais pas tiré dessus, vous n'avez rien fait pour l'instant.  »

Encore une fois le flic parler avant l'homme, je devais lui faire peur, faut dire, je fais peur à tout le monde. Mes jambes ne me tenaient plus et je m'écoulai à nouveau. J'étais vraiment hors-service, je devais faible, mais mon état s'était stabilisé. J'avais juste cette putain de fièvre qui me gonflé car je ne sais pas pourquoi elle est présente !

Un remède contre la fièvre, déjà pourquoi j'ai de la fièvre moi. Je suis le mec qui ne peux pas être tué et me voilà avec de la fièvre. Et cloué au lit ! je n'ai jamais était cloué au lit depuis mon don et voilà que monsieur ce dérègle. C'est la pleine lune ou quoi . Non il a Juste décidé de me faire chier. En plus faut que cela tombe pile devant un terroriste enfin peut-être, je sais pas vraiment si c'est un terroriste. Si cela se trouve c'est seulement un mec qui aime les sensations fortes et qui veut juste voir si nos interventions sont comme des films américains. Des fous pour moi. En tout cas, je n'étais vraiment pas rassuré d'être ici et sans défense en plus !

Naru « Vous donnez pas cette peine, la brigade va pas tarder à venir me chercher. »

C'est vrai que la brigade aller pas tarder, enfin je priais pour qu'il ne soit pas long, mais je pouvais toujours courir, vous ce qu'il se passe dehors. Dehors c'est l'enfer, entre les gangs, les traqueurs et les fous, on ne sait plus ou donné de la tête. J'aimerais arrêté tout un gang. Les mettre sous les barreaux et me foutre de leur tête, je hais les gangs, humain ou non ! Et même les traqueurs pour moi son un gang, tous des voyous. Il y en a pas un pour rattraper l'autre.

Naru « Vous êtes au Japon depuis combien de temps ? Et vous faite quoi dans la vie ? »

Et voilà, même hors-service, le flic en moi était encore là. L'instinct de l'interrogatoire, plus fort que moi. J'étais comme cela avec tout le monde et puis je suis un flic après tout pour moi c'est normal, même si pour les autres cela fait peur. Est-ce que le présume terroriste va répondre aux questions où les éviter, cela m'amusait un peu. Même si j'avais un super mal de crâne avec cette putain de fièvre ! C'est amusant dans un sens, une balle ne me tue pas, un couteau ne me tue pas, rien ne me tue, je reste toujours debout et la bah une petite fièvre de merde me cloue au lit, c'est ironique, même si n'ai pas envie de rire de cet état.