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 Sur l’échelle des emmerdes, on pourrait même parler de l’Everest des problèmes. ▲ Andrew

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CITATION : Il ne faut jamais sous estimer le caractère prévisible de la bêtise humaine. ~ Snatch
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CRÉDIT : Leyna (moi)
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LOCALISATION : En train de se bourrer la gueule dans Ikebukuro

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Setsuna Y. Ishikawa
Setsuna Y. Ishikawa
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Dim 26 Oct - 23:48





NIGHTMARE.

« C’est pas des trucs volés, c’est juste des trucs pas payés... Et on en aura pas d’autres, ils ont changé leurs putains d’serrures ! » Arnaques, crimes et botanique.





Le duo de l'apologie du jus de pomme est de retour avec de nouvelles conneries /PAN. (Comment ça fait trop teaser de film.) Bref, je sens que ça va encore partir en live et c'pas plus mal. So, amusons nous \o/







MAUVAIS PRESSENTIMENT


- C'est l'heure. Il a pas intérêt à être en retard... 

Un soupir, les yeux rivés sur son téléphone. L'alarme avait retenti. Il était temps pour elle de se mettre en route pour le lieu du rendez-vous, le lieu du cambriolage. La jeune femme hissa sur ses épaules un sac à dos, attrapa un casque et ferma son appartement à double tour. Elle avait déjà envoyé tous les détails à Andrew, un petit nouveau dans le gang, avec qui elle partageait de temps en temps un jus de pomme. Parfois, la jeune femme se demandait, pourquoi passer du temps avec lui ? Ensemble, ils attiraient souvent les emmerdes. Dans le garage, la jeune femme fourre son sac dans le coffre de sa moto, faisant difficilement entrer le tout, enroula ses cheveux fraîchement décolorés dans le casque avant de se hisser sur cette dernière. Le moteur ronronne, puis rugit alors qu'elle sort à toute vitesse du garage. La nuit venait de pointer le bout de son nez. Les détails de la mission étaient très simples, se rendre dans l'une des résidences d'un politicien dans Chiyoda.

Normalement, il ne devrait y avoir personne à l'intérieur de la baraque, mais un incident est vite arrivé, des chiens de garde, des alarmes, c'était clair que cela n'allait pas être facile. Seul en-tout-cas, Setsuna n'y arriverait pas. Voler tout et n'importe quoi, tout ce qui à de la valeur, dépouiller ce politicien jusqu'à l'os, c'était là leur mission. Le moteur rugit une nouvelle fois, alors qu'elle dépasse plusieurs voitures. Pourquoi prendre sa moto ? Cela serait bien plus évident que de prendre le métro pour s'échapper ; elle avait même changé de plaque pour l'occasion et l'avait quasiment repeinte ; comme quoi, Setsuna était plutôt habile de ses mains quand elle voulait. Ralentissant, elle profite d'un feu rouge pour envoyer un message à Andrew, elle s'assurait qu'il était déjà en chemin. Tapotant avec une vitesse ahurissante sur le tactile de son téléphone, elle fit bien attention à ne pas rater le feu vert. « Je suis en chemin, si tu es déjà sur place repère un peu les alentours pour voir s'il n'y a personne. »  

Le feu passe au vert, la jeune femme fait rugir une nouvelle fois le moteur de sa moto et accélère en direction de Chiyoda, techniquement, elle y serait dans très peu de temps. Se garer près de la résidence, ou un peu plus loin ? La réponse deux seraient la meilleure option, ce serait, sans aucun doute, suspect de voir une moto pareille dans un coin aussi pommé et surtout aussi chic. Un nouveau soupir, bien plus long, bien plus las, elle espérait vraiment que cela ne parte pas en couille, après toutes les nuits blanches qu'elle avait faites pour bien repérer les lieux et l'organisation de la baraque, de loin, dans l'ombre... Les emplacements des caméras, elle les connaissait sur le bout des doigts, il ne fallait pas tout foirer. Pourtant, plus Setsuna y pensait, plus elle sentait les emmerdes se pointer. Un peu de péripéties dans une vie ne fait jamais de mal ; de l'action, du piquant ; une shooter à l'adrénaline.

Chiyoda, la jeune femme se gara dans un petit coin non loin, sortit son sac à dos, enleva son casque et le mit dans le coffre, avançant vers une échoppe, elle acheta un peu de jus de pomme et de quoi se mettre un truc dans le ventre ; une barre de céréales en soit. Fourrant la boisson dans son sac au milieu de son matos, la jeune femme sortit après avoir réglé l'addition et se dirigea vers le lieu du rendez-vous ; en gros, un petit parc non loin de la résidence. Elle s'adossa à un grillage autour de ce parc privé qui n'était ouvert qu'à certaines heures avant de regarder son portable, puis sa montre. Ils n'avaient pas beaucoup de temps pour agir, une quarantaine de minutes tout au plus. Une cigarette prit place entre ses lèvres alors qu'une silhouette familière pointait enfin le bout de son nez.

- Et bien, ce n'est pas trop tôt... Je plaisante, je viens d'arriver.

Elle alluma avec nonchalance sa cigarette avant de regarder les alentours, puis reprit après avoir recraché la dose de nicotine qui venait d'emplir ses poumons.

- T'as été en repérage ou tu viens d'arriver ? Je ne pense pas qu'on verra des gens se pointer par ici à cette heure-là, mais sait-on jamais, vaut mieux être prudent. Après tout, ce n'est pas la baraque de n'importe qui qu'on s'apprête à cambrioler...

Un craquement de nuque, puis d'épaules avant de sortir sa bouteille de jus de pomme de son sac, d'en boire quelques gorgées avant de la lui tendre.

- Bon, t'es prêt ? Ou faut que je t'explique de nouveau le plan ?

Confiance, elle savait qu'il était loin d'être stupide et connaissait ses compétences. En soit, Setsuna avait confiance. Espérons que son mauvais pressentiment ne se concrétise pas.


TU SENS LES EMMERDES SE POINTER ?


Dernière édition par Setsuna Y. Ishikawa le Dim 30 Nov - 20:00, édité 1 fois
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Andrew Wilhelm
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Mer 29 Oct - 18:39



Arnaques, crimes et botanique.
« The trouble with trouble is it starts out as fun. »

→ Andrew Wilhelm
→ Setsuna Y. Ishikawa

hrp ; c'est pas terrible je me rattraperai i swear

Assurance, nom féminin qui traduit une grande confiance en ses capacités. Un mot qui traduisait bien ton état d’esprit, du moins quand les évènements qui régissaient ta vie arrivaient de sorte à ce que tu puisses les contrôler selon ton bon vouloir. Tu avais toujours eu un petit faible pour les combines réglées sur du papier à musique, les plans imparables préparés des heures durant pour vérifier à ce qu’aucune place ne soit laissée à l’erreur.
Alors autant dire que tu partais avec la certitude d’une réussite. Ce cambriolage, tu l’avais cogité avec Setsuna des semaines durant, tellement que tu serais capable de réciter sans l’ombre d’une hésitation l’ordre des opérations, l’emplacement des caméras dans la résidence ou encore de décrire l’architecture de la maison ciblée. Ca ne pouvait pas échouer. Non, l’échec était un mot banni de ton vocabulaire, ce soir plus que  tout autre.

En fin d’après-midi déjà, tu avais l’impression d’être le roi du monde, d’avoir trouver l’Eldorado (sans mauvais jeu de mots). Tu t’imaginais déjà pouvoir payer tes factures sans te demander s’il resterait assez pour manger le reste du mois, de pouvoir te prélasser dans un bain chaud, que dis-je tellement bouillant que le commun des mortels  pourrait à peine rentrer dedans. Et tu n’oublies pas ta collègue évidemment, l’une des seules personnes avec qui tu avais vraiment sympathisé dans ce gang pour l’instant. Vous irez certainement fêter la chose en vous payant le barathon de votre vie, quitte à vomir tes trippes à l’arrivée. Tu t’y voyais déjà. Plein aux as pour quelques temps, jusqu’à ce que dame pauvreté revienne frapper à la porte de ton humble demeure. Mais ça n’enlevait en rien l’euphorie qui t’habitait déjà.
Tu étais déjà plus ou moins prêt à mettre les voiles vers le lieu d’habitation du malheureux élu. Et pas n’importe qui, qui plus est. Un politicien que t’avait même déjà vu à la télé une fois. Et qui devait être apparu d’autres fois parce que tu ne regardes pas vraiment la télé. Mais ça ne voulait dire qu’une chose pour vous. Argent, beaucoup d’argent, assez pour prendre un bain dedans. Tu voulais bien te faire appeler l’oncle Picsou du moment qu’on te laissait jubiler sur le nombre de liasses que tu allais pouvoir compter. Vous savez, un billet par un billet en t’humectant le bout des doigts pour ne pas en louper un seul (et pour te donner un effet styley, aussi même si là tu passes plutôt pour un malade dangereux).
Tu prends pourtant ton mal en patience et attends que la nuit soit tombée pour quitter ton chez toi direction celui de ce fameux quelqu’un d’autre.

Clochard jusqu’au bout des ongles, tu étais forcé de prendre le métro (plus propre que le subway de chez toi), caché dans la masse de tokyoïtes encore éveillés à cet heure-là. Oui, tu aurais pu y aller à la spidey d’un immeuble à l’autre mais c’est tout sauf discret. Tu étais habillé sobrement, avec des couleurs relativement sombres (mais pas tout en noir c’est suspect) parce que cambrioler une maison avec une combinaison aux couleurs flashs ça le fait pas. (Rouge et bleu ? Rose et jaune ? Christina Cordula vous dira mieux que moi la couleur qui scie le mieux à votre teint.) Une paire d’écouteurs dans les oreilles pour sublimer le tout. Tu fredonnais ce que tu écoutais (le thème de ghost busters pour rester en accord avec la saison), surveillant parfois ton téléphone au cas où un message sauvage y apparaitrait.

Je suis en chemin, si tu es déjà sur place repère un peu les alentours pour voir s'il n'y a personne.

Tu ne tardas pas à répondre à ton tour d’un très explicite ok avant de quitter la rame de métro, une fois ce dernier arrivé à destination.
Tu profitas de ton avance pour faire un tour de quartier, vérifiant ainsi les lieux à esquiver pour ne pas tomber sur des témoins potentiels. Ta partenaire ne te laissa pas le temps de faire davantage, elle arriva en quasi-synchro avec la fin de ton inspection.

▬  Et bien, ce n'est pas trop tôt... Je plaisante, je viens d'arriver. Elle marqua une pause, le temps d’allumer la cigarette qu’elle venait visiblement de sortir. T'as été en repérage ou tu viens d'arriver ? Je ne pense pas qu'on verra des gens se pointer par ici à cette heure-là, mais sait-on jamais, vaut mieux être prudent. Après tout, ce n'est pas la baraque de n'importe qui qu'on s'apprête à cambrioler...

Tu ne pouvais qu’approuver d’un hochement de tête avant de faire le compte rendu de ta petite balade :

▬ Il faudra quand même faire attention en sortant. La grosse baraque au fond de la rue, j’ai l’impression qu’il y a une réception ou je sais pas trop quoi. Il y a un tas de bagnoles garés là-bas.

Tu lui indiquas la dite maison d’un signe de tête. Cette dernière était située au fond de l’allé et en effet, il devait y avoir une dizaine de voitures garées devant. Elle prit visiblement note de l’information dans un coin de sa tête, s’étira légèrement avant de te tendre son jus de pomme. Autant dire que tu appréciais cette petite attention.

▬  Bon, t'es prêt ? Ou faut que je t'explique de nouveau le plan ?

Tu attrapes la bouteille, en bois une gorgée avant de répondre.

▬ Je l’ai révisé avant de partir, ce sera pas nécessaire.

Entrer, piquer le pognon, partir. Avec quelques subtilités au milieu dont tu te souviendras le moment venu. Du gâteau je vous dis.

© Gabriel sur Gamble & Décadence.

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