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 La machine qui écrase le monde. ; Kizashi Ryujin, Shin Yuusan.

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Ven 8 Aoû - 18:33




FEAT. SHIN AND KIZASHI
843 MOTS

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Motors District continuait à occuper la première place au classement des entreprises et allait continuer à l’être pendant le temps où tu seras à sa tête, tu en es persuadé. Qui plus est, les membres de ton entreprise savaient s’y prendre dans leurs tâches et étaient une des principales raisons pour lesquelles l’entreprise continuait à s’asseoir sur le toit du monde de Tokyo. Il y avait bien le gouvernement qui avait plus d’influence que toi dans cette ville. Influence qu’ils exerçaient à travers les traqueurs dans une chasse aux mutants plus ou moins absurde que tu considérais plus comme une perte de temps et de moyens qu’autre chose, mais tu fournissais les armes, car on te fournissais en retour les privilèges qui faisaient de toi ce que tu étais. Alors oui, sans l’ombre d’un doute, tu étais un des hommes les plus puissants de cette ville et tu n’avais pas besoin de ces ridicules pouvoirs extravagants pour avoir le droit de vie ou de mort sur la charogne qui crevait dans les rues.

Néanmoins, même un homme comme toi avait ses problèmes. Des problèmes internes, pour être plus précis. Motors District est un engrenage géant qui broyait les ordures qui l’empêchaient de tourner correctement cependant, il arrive qu’une ordure sois suffisamment solide pour ne pas être broyer et encore pire, pour empêcher l’engrenage de tourner. Et ton travail comme roi de cette machine surpuissante, c’était de t’occuper de son bon fonctionnement. Mais, plutôt que de simplement te débarrasser de ces problèmes par la manière forte et remplir un peu plus les rues de quelques cadavres, tu devais te montrer plus prudent, plus intelligent. Et si ce que tu pensais être des ordures pouvaient devenir une force, des engrenages à eux-mêmes capable d’augmenter le nombre de tours que pouvait faire cette grande machine ? Et ça, c’était intéressant. Transformer un problème en force était plus judicieux que simplement s’en débarrasser par une manière détourné ou faible. Donc tu avais fait convoquer les deux problèmes de ton entreprise, les deux éléments particuliers. Shin Yuusan, un mutant anciennement membre du gang d’Atlantide que tu avais fait sortir de No Dawn pour t’accaparer ses pouvoirs et les synthétiser dans un artefact, un projet qui était maintenant presque achevé. Tu pensais pouvoir le contrôler facilement et tu t’étais trompé, tu t’en étais rendu compte au moins où il avait braqué cette arme sur ton visage, te menaçant de te faire connaitre la sensation d’un courant d’air qui te chatouillerais le cerveau. Son avenir était donc aujourd’hui incertain et tu devais songer à ce qui allait advenir de lui une fois l’artefact finalisé. Le deuxième problème n’était pas moins banal dans son genre. Kizashi Ryujin, un mutant du gang de Tikal, groupe pour le moins inactif, qui avait eu la bonne idée de cambrioler la section scientifique de ton entreprise dans l’espoir de repartir avec un métal d’une rare qualité. Un cambriolage qui n’avait pas aboutis grâce à la présence inespérée de la petite Emerald et de ta charmante secrétaire, Miu Aisaka.

Le cas de Kizashi Ryujin était particulier car, dans un premier temps, tu aurais été d’avis de simplement faire de lui un cadavre de plus et d’en oublier l’existence une fois que sa carcasse aura été dévoré par les requins. Mais il avait provoqué en toi ce sentiment que tu n’avais pas connu depuis très longtemps : la curiosité. Qu’avait-il l’intention de faire de ce métal, lui qui avait un pouvoir si intéressant ? Il pourrait, lui aussi, devenir une grande force dans cette entreprise s’il avait enfin un but. Fin du débriefing mental, le décors était poser et te voilà dans ton bureau dans compagnie de deux énergumènes pour le moins dangereuses et pas uniquement à cause de cette appartenance à un groupe illégal. Tu avais pris des précautions, pour ainsi dire. Tu avais fait attacher ces deux mutants à des chaises capables de supprimer les pouvoirs d’un mutant, les rendant aussi inoffensif que n’importe quel autre humain attaché à une chaise. Simple fantaisie ou élément dissuasif, tu avais fait poser sur leurs têtes un casque en métal relativement lourd. Tu posais ton regard sur les deux problèmes, suivi d’un long soupire et d’un claquement de doigt pour briser le silence qui s’était installé. Ils ne savaient pas pourquoi ils étaient là et ils ne se connaissaient probablement pas non plus. Peut-être même que la haine envers la personne qui les avait mis dans cette situation était la seule chose qu’ils avaient en commun. Dans tous les cas, ce n’était pas important. ─ Bonjour à vous deux. Je ne pense pas que les présentations soient nécessaires dans le cas de Shin Yuusan, mais je vais me présenter pour vous, Kizashi Ryujin. Mon nom est Mushido Nakamura, je suis le président directeur général de Motors District et également celui qui a entre ses mains ton destin, ainsi que celui de ton compère. Nous avons du temps, alors nous allons prendre du temps. Savez-vous pourquoi vous êtes ici, tous les deux ? Savez-vous ce que vous êtes ?  
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Sam 9 Aoû - 5:11


Pendelum
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Ton corps te faisait drôlement mal, surtout après l’altercation que tu avais eu avec la chipie qui avait mise ses pattes sur ton corps. Rien qu’en pensant à son toucher, tu ressentais un sentiment de révulsion t’emparer. Surtout qu’en plus de t’avoir dégoûté, celle-ci t’avait aussi massacré. Que ce soit au niveau de ton visage ou de tes couilles, la douleur était plus qu’intense. Mais voilà qu’au lieu de te soigner, les riches avaient décidé de te confiner dans une pièce en compagnie d’un total inconnu. Tu étais donc prisonnier sur une chaise qui saurait vraisemblablement être une chaise électrique. Ça faisait déjà un bon moment que tu attendais et la douleur ne s’était que peu apaisée. En contrepartie, tu devenais impatient, attendant la moindre action qui aurait au moins eu le crédit de te réveiller de cet état végétatif dans lequel tu étais plongé. À tes yeux, la plus grande torture aurait été de rester attaché sans que personne ne vienne te voir ou te parler. Tu étais du genre à aimer la solitude, mais tu avais tout de même la nécessité d’avoir un peu de contact humain dans ta vie. Sans quoi, tu risquais de finir aussi fou que l’homme qui venait de se présenter.

-Mushido…

Alors que tu pensais qu’un peu de contact humain te ferait du bien, voilà que tu te trompais complètement. Par sa manière de s’exprimer ou plutôt de vous aborder, tu avais l’impression d’être un enfant, un gamin incapable de comprendre la situation dans laquelle il se trouvait. Or, tu le savais mieux que quiconque dans quoi tu t’étais embarqué. Tu le sentais à chaque fois que tu tirais tes poignets vers le haut pour te défaire de cet enchainement. Tu le vivais à chaque instant dans lequel tes jambes se heurtaient aux extrémités de leurs chaines. Tu le sentais à cause de l’air qui n’était pas assez renouvelé à ton goût. Et pour finir, tu le voyais à travers le décor qui ne changeait aucunement. Ainsi, tu pouvais confirmer le fait de savoir dans quoi tu t’étais embarqué. Tu n’étais pas fou. De par ton parcours scolaire, tu savais avec pertinence que tu n’allais pas t’en sortir aussi facilement, surtout qu’ils ne savaient pas tout ce que tu avais eu la chance de voir au cours de cette infiltration. D’autant plus, Aomine avait probablement volé des fichiers qu’ils voudraient récupérer. Ce faisant, tu allais être celui qui risquait de porter tout ce fardeau d’un seul coup. C’était simplement génial.  En y réfléchissant deux minutes, tu commençais à te dire que tu aurais simplement dû t’enfuir du mieux que tu le pouvais en compagnie d’Aomine. Aussi bien se faire capturer par la police que par des gens assez influents pour te faire disparaître en un virement d’argent.

-Pour ma part, je suis ici, car j’ai été avare de pouvoir et j’ai du prendre les précautions nécessaires pour en assumer les conséquences, sans impliquer mon complice, voilà pourquoi je suis là.

Tu craches ses paroles, comme si elles n’étaient pas déjà assez évidentes. Après tout, que voulait-il de plus? Peut-être voulait-il que tu lui fasses des beaux yeux à moins que ton front l’intéressait. Oui, il devait probablement être attiré par le coup de tête que tu avais assené à son employé.

-Et ce que je suis? Ne me faites pas perdre ma salive. Je sais aussi bien que vous que vous avez tout ce qu’il y a à savoir sur moi. Que ce soit mon âge, le nom de ma mère, ma couleur de sous-vêtement favori et même mon pouvoir.

Tu ne perds pas de temps. Dès que tu en as l’occasion, tu tentes de lui montrer qu’il n’a aucun contrôle sur toi et qu’il ne saura te dompter. D’ailleurs, tes iris s’entrainent à le percuter du regard, tentant de lui montrer que rien ne pourrait t’être imposé.

-Vous m'avez surement vu combattre dans l'arène et vous savez probablement que je suis un mutant. Je ne sais pas ce que l’autre vous a fait, mais allez droit au but. J’ai des trucs de prévus. Du moins, j’avais des trucs de prévus.

Tu utilises ton sens inné du sarcasme pour lui faire comprendre que tu n’appréciais guère sa manière de jouer avec vous. Celui-ci devait probablement vous considérer comme des objets ou des bêtes de foire qu’il pourrait utiliser à sa guise. Or, vous étiez simplement des prisonniers en attente d’une sentence. Alors, pourquoi attendre 10 ans pour obtenir une décision alors que vous n’étiez même pas en liberté conditionnelle? De plus, tu voulais prendre le temps d’apprivoiser l’aura qu’il dégageait. Indirectement, tu avais l’impression d’avoir affaire avec le mal en personne, quelqu’un ou quelque chose de malsain. Tu ne saurais expliquer cette sensation, mais ton intuition ne te trompait jamais, cet homme était plus dangereux que tu le pensais. Ses iris, cette manière de parler avec confiance et surtout, ce charisme.... Il avait toutes les qualités requises pour un chef de gang surtout grâce à une qualité précise  : il n’avait peur de rien.


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POINTS : 38
MESSAGES : 324
JUKEBOX : https://www.youtube.com/watch?v=s-zRAQmKUkI
FEAT : Hibari Kyôya - KHR
CRÉDIT : Nobody
DATE D'INSCRIPTION : 23/02/2014

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Shin Yuusan
Shin Yuusan
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Ven 29 Aoû - 16:10




La machine qui écrase le monde

           
ft. Mushido Nakamura & Kizashi Ryujin
“No matter where you are, people will always find a way to entertain themselves.”


Encore une fois tu  te trouvais dans ce bureau, encore une fois tu te trouvais sur cette chaise avec ce puissant casque sur la tête. C'était l'équipement basique qu'on utilisait sur toi pour pratiquer ces tests afin de former ce qu'ils nommaient un artefact. Alors quand on t'as embarqué pour t'emmener une énième fois dans le bureau du PDG de la firme pour laquelle tu travaillais désormais, tu n'as même pas cherché à lutter. Qui puis est, votre dernière altercation fût plutôt agitée. Après tout tu n'avais pas hésité une seconde à pointé une arme sur lui avant de lui compter Ô combien si une chose tournait mal, tu tirerais sans préavis. Alors, oui, tu t'en doutais un peu que ça te retomberait dessus, mais tu n'étais plus vraiment à ça prêt.

Dans cette pièce que tu commences à connaître que trop bien venait de s'y ajouté un nouvel élément assez troublant ; Kizashi Ryujin. Tu connaissais vaguement l'individu, l'ayant aperçu aux sessions de combats. De ce fait, tu savais qu'il était tout comme toi un mutant. La question était si la raison de sa présence ici était semblable à la tienne ou non. Tu détourne ton regard que tu avais posé sur lui. Au final, ça ne t'intéresse pas plus que ça. Il était là & c'était un fait. Ce qui était plutôt intriguant par contre c'était toute cette pseudo-formalité qui avait été mise en route. Mushido Nakamura s'était trouvé une nouvelle forme de sarcasme à vous balancer ? Ça promettait.

Il vous demandait si vous saviez pourquoi vous étiez ici, si vous saviez ce que vous étiez & toi t'as bien envie de lui demander s'il savait que ça t'emmerdais déjà à mourir cette petite entrevue. Toutefois, t'as bien envie d'entendre ce que monsieur Tikal avait à dire pour voir si tu devais le ranger dans le panier des gens potentiellement serviable ou s'il valait mieux tout de suite l'oublier. Il répond alors en premier. La raison pour laquelle il se trouve ici ; L'avarice. Ce qu'il est ; tout le monde, dont le principal intéressé le savait déjà. Tu notes ça dans un coin de ta tête, finalement vous alliez peut-être bien vous entendre. Tu poses ton regard vers le vert & visiblement c'est ton tour de répondre. Tu te détends du mieux que tu peux, parce que les harnais qui maintenait tes poignets fermement contre l'accoudoir de la chaise & l'horrible casque métallique qui ornait ta tête étaient tout sauf confortable. Tu fais mine de réfléchir cinq seconde avant de répondre avec toute l'aisance du monde.

« Oh voyons Mushido, passons nous de toutes ses formalités depuis tout ce temps. Commences-tu sur un ton léger, mais néanmoins sarcastique. Je suis là pour la même raison que je l'étais la semaine dernière & je dirais même toutes les pauvres & précédentes semaines. Sourire en coin. Je suis aussi là parce que vous vous demandez sérieusement quel genre de type peut vous menacer de vous flinguer sans hésitation pour des raisons qui vous échappent très probablement, mais aussi pourquoi je ne l'ai pas déjà fait. Tu joues au plus malin, mais vous y alliez à l'évidence. Cette question était complètement stupide & dépourvue de sens en ce qui concernait ton cas. Pour ce que je suis, reprends-tu après avoir marqué un temps. Je suis l'un des engrenages qui va faire monter cette entreprise plus au qu'elle ne l'est. Je suis un des facteurs de votre petit succès, je suis l'ombre de votre complaisance. Je suis la chose qui flatte votre égo non pas par les mots, mais par d'après vous, sa misérable existence qui doit bien moins valoir que celle d'un ver. Je suis votre rat de laboratoire, dont vous ne pouvez pas encore vous débarrasser & quand votre petit jouet sera au point, j'imagine que je ne serai plus d'un tas de poussière sur lequel il suffira de souffler pour le faire disparaître. »

Tu étais parfaitement lucide & conscient sur ta situation. Tu ne doutais pas un instant sur la vision que les gens comme Mushido Nakamura pouvaient avoir sur toi. Un objet que l'on utilise jusqu'à ne plus en avoir l'utilité. Il fait partie de cette catégorie d'enfant qui dès qu'il aura trouvé un meilleur jouet, jettera le précédent sans s'attarder. Pourtant, tu avais ajouté un facteur à ce petit jeu.

« Pourtant, le petit instrument que je suis s'est avéré être plus surprenant & moins docile que vous ne vous l’attendiez. Par conséquent pour le moment vous ne vous concédez ni à me jeter, ni à me garder. Je suis donc, votre incertitude. ».

(c) Gabitch


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Ven 29 Aoû - 18:23




FEAT. SHIN AND KIZASHI
941 MOTS

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Tes interlocuteurs semblaient plus ou moins lucides sur la situation, c’était un avancement. A vrai dire, tu pourrais mettre offrir un bon point à Shin pour sa perspicacité, allant jusqu’à trouver lui-même le terme « engrenage » qui revenait si souvent dans ta politique d’entreprise. Tu ne reviendras pas sur le ton familier que Shin a employé pour te répondre, quoi que peut-être plus tard. L’important étant qu’ils aient compris la situation et surtout, qui a les commandes sur cette dernière. Tu restes le maître à bord et ce test était plus important que ce qu’ils semblaient comprendre. Tu te racle la gorge et tape quelques feuilles contre ton bureau pour les aligner, dans un geste si mécanique qu’il témoignait de ton professionnalisme quant à la suite de l’entretien, les invitants à faire de même. ─ Intelligent, Shin Yuusan. En effet, vous êtes ce qu’on pourrait qualifier d’engrenage dans la gigantesque tour mécanique qu’est Motors District. Vous n’êtes pas sans savoir qu’actuellement, notre entreprise possède le monopole du marché de la technologie dans tout Tokyo et bientôt dans tout le Japon. Les artefacts, commercialisés principalement dans Tokyo, nous ont d’ailleurs valu l’honneur de nous retrouver devant les deux autres entreprises en termes de chiffre d’affaire. De ce fait, je ne peux pas me permettre de garder des composants défaillants dans l’entreprise. J’imagine que vous comprenez.

Tu laisses retomber les feuilles sur ton bureau et croise ensuite les bras, toisant du regard le membre de Tikal maintenant sous l’emprise de la puissante firme, et donc sous la tienne. Son pouvoir serait très intéressant pour stabiliser plusieurs de vos inventions, notamment le gant taser que tu affectionne tant. Aussi, sa coopération devait être complète, pour parvenir à quelque chose avec lui. Alexandre le grand, un des plus grands conquérants de l’histoire, avait toujours eu une manière toute singulière de traiter le peuple qu’il avait dominé. Il n’a jamais cherché à imposer sa culture, laissant donc la culture du peuple intact et obtenant ainsi le respect en plus de la domination. Ta plus grosse erreur concernant Shin était cette volonté que tu avais eu à le museler et en faire un simple rat de laboratoire, provocant sa colère et attisant sa haine avec toute sorte de tortures plus gratuite les unes que les autres. Ceci est une erreur que tu ne reproduiras pas avec le membre de Tikal, son pouvoir en faisant presque un élément capital dans l’ascension de ton entreprise. ─ Si vous êtes ici, Kizashi Ryujin, c’est car vous avez cru bon de venir dans mon entreprise pour me cambrioler. Il n’est pas question d’avarice ou de pouvoir. Vous êtes ici car vous avez été prétentieux, car vous pensiez être capable de gagner contre nous, contre moi. J’ai déjà pris des mesures, concernant la fuite de votre complice, il ne représente ni une menace ni un problème. Vous concernant, mon les avis diverges. Certains voudraient que je vous fasse exécuter et faire disparaître votre corps, ce qui me serait bien entendu facile de faire. Le fait est que je suis curieux, monsieur Ryujin. Curieux de savoir ce que vous auriez été capable de réaliser avec ce métal, curieux de voir de quoi vous êtes capable. Tu t’avanças sur ton bureau et tendis ton bras pour atteindre un interphone, effectuant une pression sur le bouton de communication et prononçant simplement un « entrez ». Suite à ça, plusieurs hommes pénétrèrent dans la salle pour ensuite poser un objet sur le bureau, en face de Kizashi, avant de ressortir. Tu repris avec un air plus impliqué. ─ Ceci était bien l’objet de votre convoitise, n’est-ce pas ? Un métal précieux, s’il en est. Au vu de son prix, je peux comprendre  que pour le faire votre, vous n’ayez d’autre choix que de le voler. Eh bien, je vous en fais cadeau. Enfin, à une ou deux conditions, que je vous exposerais sous peu.

Tu tournes ensuite ton regard vers celui qui relevait plus de l’affaire personnelle que du véritable professionnalisme, bien que son pouvoir se révélerais sûrement de la même utilité que celui du Tikal. Néanmoins, vous aviez des antécédents qui faisaient que votre relation n’était pas vraiment de plus amicale, sans vraiment savoir à qui était la faute. Peut-être toi pour t’être imposé comme son nouveau maître et peut-être lui pour avoir trouvé amusant de te défier, en public qui plus est. Tu tapote ton bureau du bout des doigts alors que tu continues à fixer Shin, prenant finalement la parole. ─ Mon erreur avec toi a été de vouloir faire de toi un animal en cage, je le concède. Mais tu n’es pas stupide, tu l’as déjà prouvé en n’appuyant pas sur la gâchette la dernière fois, je pense que tu es conscient de ta situation ici et dans le monde lui-même. Tu sais que, que tu le veuille ou non, tu es maintenant un membre de Motors District ce qui fait de moi ton patron, même si tu trouves ça incroyablement désagréable. Alors, je pense que tu consens à finalement rendre ton séjour ici plus agréable à vivre, non ? Ce que je vous propose, messieurs, c’est de travailler réellement pour moi, de devenir quelque chose dans cette entreprise plutôt d’un simple cobaye dans le cas de Shin ou qu’un simple cadavre dans le cas de monsieur Ryujin.

Tu te lèves de ta chaise pour ensuite te tourner vers la large fenêtre et observer la grande ville, profitant de la vue que t’apportais le sommet de la pyramide. ─ Malheureusement, en cas de refus, j’ai bien peur que notre entrevu prenne une tournure plus… Dramatique. Qu’en dites-vous, tous les deux ?
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Sam 6 Sep - 16:16


Final Choice
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Tu l’écoutes débiter tous les propos qu’il avait à dire, car tu savais que ce serait long. Toutefois, tu prends le temps de l’écouter calmement pour cerner quel genre de personne il est. Ainsi, plus les secondes avancent, plus les paroles se chevauchent et plus ton idée de cet homme se fonde. C’était quelqu’un de sérieux et d’influant. Il ne l’était pas simplement à cause de la position de son entreprise. En fait, ce qui faisait son succès était sa méthode pour tourner les choses à sa faveur. Pour résumé, au lieu de détruire ses opposants et de ruiner leurs talents, ils préféraient les asservir sans forcément leur imposer une culture pour être en mesure de les utiliser à leur plein potentiel. Eh oui, ce n’était pas par gentillesse qu'il vous proposait encore la vie. Donc, en bref, il se proposait pour devenir votre maître, ce que tu n’acceptais pas forcément. Tu le démontrais par un rire assez nerveux alors que ton attention était portée sur le métal précieux que tu étais venu chercher. Tout ce qui te traversait l’esprit était l’idée que tu étais venu si proche du but.

-Ahah…

Tu rigoles, constatant que ta situation était sans issue. Tu devais décider entre une vie détestable ou une mort sans être en mesure de porter à bien tes nombreux projets.

-Donnez-moi ce métal et permettez-moi d’utiliser mes pouvoirs si vous voulez une démonstration. Par contre, tout comme votre «ami» , je risque de pointer cette arme contre vous donc je vous conseillerais de me tuer sur le champ.

Tu réalises un peu tes propos , mais tu devais être honnête et direct , sinon, tu n’allais pas être confortable avec le choix qui s’opposait à toi.

-J’accepte de travailler pour vous, mais sachez qu’à tout moment, je chercherais le tendon d’Achilles de cette entreprise et j’enfoncerais avec force une aiguille jusqu’à ce que le point faible devienne béant. Et si vous me tuez maintenant, vous ferez la même erreur qu’avec votre ami sur le côté ce qui voudrait dire : « M’imposer une manière de voir les choses».

Tu serres les dents et commences à trembler en réalisant certaines choses.

-Quoi qu’il arrive, vous ne pourrez jamais enlever mon alliance avec Tikal. Après tout, nous sommes tous des chiens qui se battent dans une arène pour défendre notre famille. Ainsi, Tikal est ma famille et la seule condition que je vais vous imposer est la suivante : si jamais vous vous amusez à tester vos joujoux sur ma famille, vous allez entendre parler de moi. Donc, oubliez Tikal dans vos projets destructifs sur les gangs.

Les images des nombreux combats que tu avais menés pour Tikal te revenaient à l’esprit. Cette famille était ancrée dans ta peau. Tu avais vécu les beaux, mais surtout les mauvais moments avec eux. Pour rien au monde, tu ne supporterais qu’un étranger vienne t’enlever à ta famille pour ensuite l’attaquer d’une manière ou d’une autre. Ainsi, tu voulais que cet accord avantage au moins ta famille pour la perte qu’ils allaient subir en te voyant partir.

- C’est à prendre ou à laisser, mais si vous comptez me tuer, laissez-moi simplement faire un coup de fil. C’est tout ce que je demande.

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