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 Il n’existe aucun remède - Néron

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FEAT : Rize Kamishiro - Tokyo Ghoul
DATE D'INSCRIPTION : 16/06/2014

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Némésis
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Lun 25 Aoû - 23:31



ON EST GENIALES

Musique -

Silence. Les yeux grand ouvert, fixant le plafond. Tu de réveilles en sursaut, fixant le plafond.  Aucune sueur froide, aucun cauchemar. Tu ne rêves pas, tes nuits sont aussi vides que ta tête, que ton appartement, plus rien n'y tourne depuis la mort de ton père. Tu tires sur le drap qui te sert de couverture & rejettes tes cheveux en arrière. Tu te lèves en soupirant, même si t'as perdu ton paternel, au final rien n'avait vraiment changé. T'avais juste mieux appris ta place dans l'histoire, ta mère aimait Jun, ton père se focalisait sur Miu & toi t'étais le reste.

Tu t'avances vers la salle de bain, au final tu sais que tu dois aller travailler. Tu lèves les yeux & les poses sur ton reflet dans ton miroir qui a bien besoin d'être lavé. Pas grand chose n'a changé, mais toi si. Tu n'as plus de cheveux bleus, plus de nattes enfantines. Tu t'apparentes désormais à celles qu'on confondait avec des sorcières à une époques. Tu es rousse, probablement parce que ça te fait doucement rire qu'on dise qu'elles n'ont pas d'âme. Tu t'avances pour mieux observer ton reflet entre deux tâches de saleté. Ces derniers temps tu t'étais pas mal torturé l'esprit, t'avais besoin de personne & pourtant on avait besoin de toi. Tu as toujours eu un côté excentrique, c'est peut-être pour ça que t'en es arrivée à cette conclusion complètement absurde dans ton esprit. Tu esquisses un sourire & fait volte face, tu t'es décidée.

T'enfiles des fringues de manière totalement hasardeuse, tu mets ta capuche sur la tête & tu t'en vas. Tu te rends dans les locaux des Color Street, parce que de toute évidence : c'est là que tu travailles. On te regarde un peu bizarrement à l'entrée puisque après tes quelques jours d'absence tu reviens avec une autre tête, t'as bien envie de lui dire un truc stupide du genre : quoi t'aimes pas ma gueule ? J'te baise ta reusse. en toute délicatesse, mais allez, n'oublions pas Sae : tu es gentille, tu vas pas le faire. Du moins pas maintenant.

T'ouvres la porte de ton bureau pour y retrouver le nouvel amour de ta vie que tu as renommé Garfield, un chaton roux que tu as trouvé dans la rue la veille au soir & qui, on va pas se mentir,  de toute évidence finira gros & gras. Il avait un collier, mais tu l'as recueilli & planqué dans les locaux de l'entreprise le temps de trouver le bon moment pour l’amener chez toi. Tu prends Garfield -anciennement Pablo d'après sa plaque- dans tes bras & va rendre visite à Byakuya dans son bureau. Tu sais que ça l'amuserait ce genre de bestiole & toi, ça t'amusait toujours de voir ce que ton chef pouvait encore inventé.

Tu fais irruption dans son bureau, comme à ton habitude. Tu n'as jamais toqué à la porte ou quoique ce soit dans le genre & ça n'allait pas commencer aujourd'hui. A ta plus grande surprise, ton flamand rose favori n'étais pas là, mais son bureau lui était toujours autant envahi qu'à son habitude. Tu poses le chaton dans le siège en cuir dans lequel il semble rapidement trouvé sa place. De ton côté du range un peu tout le bordel qui s'est amassé & les colis. Tu tombes alors sur un paquet provenant de Paris Avenue, le prototype des costumes pour votre prochaine grosse production. Tu ouvres le paquet & tu restes un peu septique devant la chose avant d'être prise d'un coup de folie comme une gamine de dix ans.

Tu jettes un coup d'oeil dans le couloir avant de revenir sur tes pas & de refermer la porte du bureau de ton patron. Personne à l'horizon, très bien. T'enfiles le costume & prends place sur le fauteuil en cuir, posant cette fois le chat sur tes genoux. T'es visiblement pire qu'une gosse, mais la situation allait parfaitement bien avec ton coup de folie de se matin. Coup du hasard ? Tu n'y crois plus trop depuis quelques jours.

La porte du bureau s'ouvre de manière aussi prétentieuse que la tienne, pourtant à cette heure-ci il n'y avait plus personne dans le coin. Les employés préféraient aller se ruer vers ce qui leur servait de cantine afin de s'y empiffrer comme de stupides & gros porcs. Tu es dos à la porte & visiblement pas fringuée dans les règles de l'art de la normalité, mais tant pis. C'était ta nouvelle identité. Quitte à jouer, autant surjouer avec les événement : c'est ce que tu te dis.

« - Je vous attendais, commences-tu d'une voix grave tournant sur ton fauteuil pour faire face à l’intrus, monsieur Bond. » Tu caresses le chat comme s'il était une bête féroce que tu aurais habilement dressé avant de poser ton regard sur ta nouvelle & d'après ce que tu pouvais en voir : pas très charmante compagnie. Le sourire étiré, la peau blanche : il ressemble à ces clowns mal maquillés de films d'horreur ou de cirque piteux. Peut-être un nouveau postulant pour travailler à vos côtés qui sait, en tout cas : t'aimes pas sa tête & lui ne pourra pas juger la tienne. Premièrement parce que y a que Dieu qui peut de juger. Deuxièmement parce que ton visage est à moitié recouvert.

« - Alors mon petit Clown, on s'est pris un petit M.O.L.O.T.O.V coktail avant de venir ? Faut vraiment que tu revoies l'application de ton rouge à lèvres & de ton fond de teint. Ce qui est sûr, mon cher fantôme de l'heure du déjeuner, c'est que t'es pas ici pour devenir maquilleur. » T'as ton air malicieux derrière ton masque & bien monsieur j'ai un teint de cadavre ambulant, personne ne peut t'arrêter ? A ce qu'on dit, il n’existe aucun remède pour toi, seulement un Batman. Voilà en tout subtilité, Batgirl.


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Jeu 28 Aoû - 16:29


FEAT. SAE AISAKA
992 mots.

Ennui. Bien plus nocif que n’importe quel autre sentiment, te concernant, te retrouver dans une position d’ennuie n’était pas très bon signe. L’ennuie est une chose qui te pousser à commettre des actes dangereux et/ou stupide, uniquement pour trouver l’amusement. Au fond de ta sombre boutique, commerce de la mort, tu fixais le plafond avec un visage tellement neutre et tellement inhabituel pour toi qu’on dirait presque que tu es toi-même aussi mort que les cadavres dans ton arrière-boutique. Ennui mortel, adepte des jeux de mot. Pourtant, tu avais lancé plus ou moins tous les rouages de ton plan. Presque tous, car il te restait toujours une ou deux personnes sur ta liste, bien que ça ne presse pas encore. Il y avait un ordre à tout, un plan. Et en attendant de pouvoir passer à la suite, tu étais là, sans la moindre activité. Tokyo qui pourtant pourrait s’apparenter à un foutu cimetière n’a rien à t’offrir aujourd’hui, pas le moindre corps à t’envoyer, pas la moindre âme fragile à corrompre ou dévorer. A vrai dire, Tokyo semble si mort ces temps-ci, que tu devrais presque sauter des étapes dans ton plan, sinon cette ville causera sa propre perte. Pas de grande explosion, pas de gros boum, pas de grand flash, rien. Une mort silencieuse qui n’intéressera personne, au final. Les vampires iront sucer le sang d’une autre ville, tout simplement. Il faudrait remettre un coup de neuf à cette ville, un peu de peps, maintenant que les gangs colorés n’étaient même plus capable d’apporter ses belles couleurs à la ville de tous les vices.

S’en était presque triste, ne t’avais-on pas vendu cette ville comme étant le centre du monde, l’endroit où les puissants jouent à un petit jeu sanglant et regardent ce charmant spectacle sur un large trône construit dans les ossements des victimes ? Cette vision poétique n’en était rien pour le moment et c’était mauvais car ça t’entraînait à réfléchir. A réfléchir sur tout et tu n’aimes pas ça, oh non. Tu n’aimes pas parce que réfléchir, c’est douter. Douter, c’est échouer. Mais tu ne pouvais pas passer le reste de ta journée à jouer avec un cercueil en essayant de toucher ton palais avec ta langue, ce serait contre-productif. Autant partir à la chasse aux informations sur ce qu’il y avait de nouveau dans cette ville morte, tout mais pas l’ennui s’il vous plait. Te voilà donc dehors, après avoir mis ta veste, à vagabonder dans les rues sales de Tokyo à la recherche d’une victime, d’un jouet, d’un amusement quoi. Si tu étais un mec de la vieille école, tu pourrais même t’amuser à terroriser les enfants dans la rue avec tes cicatrices, charmant prolongement d’un sourire difforme et incompréhensible. Terroriser les enfants, quel âge tu as Néron ? Alors que tu continues à marcher dans la rue avec une démarche s’apparentant plus à une danse ridicule, ça a fait tilt dans ton cerveau. Si la vue de Tokyo dans le bureau de James Winchester était si décevante, en était-il de même pour les autres rois de cette ville puante ? ─ Fichtre, ça c’est une bonne idée ! Kahahaha. Te dis-tu, accompagné de ton maintenant devenu classique petit rictus et un ton moyenâgeux.

Le choix du bureau que tu allais visiter était vite vu, bien entendu. Tu n’étais pas vraiment de ceux qui avaient la prétention de pouvoir passer le système de sécurité de Motors District, surtout depuis son renforcement dû à de nombreux cambriolages. Qui plus est, la rumeur circule comme quoi de puissant mutant auraient été engagé par le PDG lui-même pour assurer la protection de son entreprise. Et puis, tu as d’autres plans concernant Motors District, il n’était pas nécessaire de se presser. Va pour Color Street. Autant dire que dans la fantasque entreprise, tu passais relativement bien. Tu ferais presque parti du décors, avec tes couleurs et ta démarche de clown dansant. L’envie de saluer en personne le PDG de l’entreprise te pris, de façon à le féliciter pour son bon goût et son accord des couleurs. Et puis il faut l’avouer, tu es curieux de voir le fameux Byakuya Kô. Le plus ancien des PDG, père fondateur d’une entreprise aussi puissante que Color Street, il devait avoir de la gueule. Ou au moins, tu ferais la connaissance d’une personne qui deviendra ton ennemi de manière inévitable, si tout se passe correctement. Comment cacher ta déception quand en ouvrant la porte de son bureau, ridiculement accessible et non fermé, tu te retrouvas en face d’une personne somme toute très étrange qui jugea pertinent de te faire la reprise d’une des phrases les plus connus du cinéma américain, tant elle représente la situation cliché du mastermind. Déçu par l’absence de Byakuya, certes, mais par la personne  en face de toi ? Pas vraiment. A vrai dire, cette entrée était tout ce que tu aimais le plus. L’humour, c’est important, bien entendu. Et puis quelqu’un qui porte un costume en latex et un masque de super-héros dans un bureau comme celui-ci et qui se permet en plus de te balancer une ou deux vannes, ça vaut de l’or. Autant lui répondre avec la même légèreté d’esprit. ─ Je croyais avoir commandé mon plan de bondage sado-maso pour samedi, j’ai sûrement fait une erreur sur la date. Désolé, j'ai pas ramené mon argent, HAHA. MAIS JE TE DONNE UN BON POINT POUR LE COSTUME, TU PEUX RESTER SI TU VEUX. Je rentre et je sors. Comme ça. Rapidement, tu glisses ta main dans l’intérieur de ta veste pour un sortir un pistolet, le braquer vers ton interlocutrice et tirer, faisant simplement sortir un drapeau sur lequel il est écrit « pan ». Un grand classique. ─ C’EST UNE BLAGUE C’EST BON CHÉRIE. Mh. A la réflexion, tire-toi de là. J’aime pas que les gens restent dans la même pièce que moi quand j’me masturbe.

La subtilité n’est pas vraiment ton terrain de prédilection, autant en rester aux blagues bien lourdes.
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Jeu 28 Aoû - 18:01



ON EST GENIALES

Musique -

Posée sur le siège du grand PDG de Color Street dans un costume en latex & un chat sur les genoux, on faisait définitivement mieux comme première impression. Cependant, le type qui te faisait face était pas mal dans son genre aussi, si tu ne connaissais pas absolument chaque employé de cette entreprise tu aurais presque pu te méprendre & croire qu'il était des votre. Sauf que ça, ça n'arrivera jamais. Surtout que vu sa tête, ce type était tout sauf net, t'avais l'habitude avec Byakuya des gens extravagant, tu vas rien dire dessus : t'en fait clairement parti. Mais disons que les clowns au visage balafré & au rouge plus que mal appliqué ça faisait pas parti des habitudes de la maison. D'autant plus que monsieur à un humour implacable avec ses contes sadomasochistes qui ne t'enchante pas des masse. En dehors de la matière dans laquelle il était fait, ton costume était très bien. Ça aurait été carrément moins classe s'il était fait avec la laine de mamie, alors il va pas l'ouvrir là dessus.

Tu t’apprêtes à l'ouvrir & là il te sort le flingue. Quand tu disais qu'il était pas net, t'avais vraiment tapé dans le mille fallait croire. Il était là pour tirer une balle sur ton boss & préfère finalement se défouler sur toi ? C'était quoi l'histoire ? Monsieur ne devait pas être très bien dans sa peau dans tout les cas. Tu bouges pas & là, Bang. Un drapeau. Très bien. En plus de visiblement ne pas être très bien dans sa peau, ce type était un abruti fini. On t'as jamais fait autant mauvaise impression en dix secondes top chrono dans ta vie & pourtant elle n'est pas si longue que ça. & puis là il ré-ouvre la bouche & c'est le drame. Il avait vraiment une case en moins bordel de merde, même toi dans la stupidité & dans la bêtise t'es bénie des dieux & pourtant c'est bien loin d'être le cas. De ce qu'il dit, il veut se masturber, alors toi en grande est géniale héroïne que tu es : tu vas résoudre se problème.

Tu prends le chat de tes genoux pour le reposer par terre, en lâchant un « désolé chérie, c'est pour la bonne cause », tu te lèves alors & comme toute personne normale digne de ce nom tu traverse pas la salle en contournant le bureau, mais en passant par dessus. Tu marches sur deux trois feuilles & saute de l'autre côté, avec beaucoup de classe on va se l'avouer. On va pas se demander pourquoi t'as fait ça, parce que tu fais toujours ça. Tu fais des trucs pas très intelligents c'est dans ta nature, même si tu détestait le monde tu pourrais leur lancer des paillettes dessus parce que tu trouverais ça cool. Bref, s'il y a un truc à retenir dans l'histoire c'est : que la logique c'est pour les faibles.

« Bon, lâches-tu toute souriante en t'approchant de l'individu, on va régler ce léger soucis. Tu poses ta main sur son épaule & la fait glisser le long de son bras & au dernier moment, BIM. Un coup de genoux dans les burnes. Tu fais deux pas en arrière époussetant tes mains. Tu devrais avoir plus trop de problèmes maintenant, c'est tout comme non ? Parce que t'as l'air d'un putain de masochiste. Allez t'as eu ce que tu voulais, dégage, kiss. J'ai pas le temps de m'occuper d'un obsédé qui cherche à se faire frapper pour se soulager.

A tes pieds Garefield était de retour, tu le prends & le porte comme simba dans le roi lion & le met face ta victime en demandant au félin ce qu'il en pensait avant de le retourner vers toi.

« Quoi ? Tu penses qu'il est pas content parce qu'il est venu voir Byakuya ? Ah ouais putain, ce serait logique. Tu penches la tête pour regarder de nouveau le clown. Fallait le dire tout de suite si t'étais un SM gay ! Je peux rien faire pour toi. En plus Byakuya-sama est gay seulement avec James Winchester, désolé pour toi mon grand. »


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