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 dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon Δ libre aux riches

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CITATION : à nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.
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DATE D'INSCRIPTION : 24/11/2013

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Hirohito Nakamura
Hirohito Nakamura
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Ven 20 Juin - 21:20

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #66C047 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
MUSIQUE – Bienvenue chez les Nakamura !
Vous seriez capables de présenter le lieu comme l'on pourrait présenter un monument. Dépassant sans doute les attentes de la part de la famille, la bâtisse vient tout juste d'être terminée et la décoration faite par les plus grands noms américains tendances du moment. A la pointe de la mode, dans un mélange de sobriété et de modernité, tout a été mis en œuvre pour remettre en avant la classe que peut incarner Motors District. Toi et Mushido aviez sans doute claqué une bonne partie de votre budget de ces derniers mois afin de faire naître le signe de votre futur gloire, ou tout du moins celle du nouveau PDG. Ayant été à l'origine de l'incendie de ton ancienne demeure, ce fut pour toi la moindre des choses de te faire pardonner ainsi, bien que ça te fasse pester rien que d'y penser – une rivalité restera toujours une rivalité.
Tu te remettais doucement de ton hospitalisation après ton accident de voiture ; le creux dans ton abdomen était encore visible, recousu, bandé, soigné régulièrement. Tu arrivais à peine à marcher correctement que l'on t'avait soumis une canne. Dans tes habitudes, tu ne fais pas les choses à moitié, et tu t'étais empressé d'ordonner à un artisan de créer ta propre canne sur lequel était inscrit le sigle de la famille Nakamura. Pour ce qui est du manche ? Oh tu avais prêté une photographie du fameux Black Mask d'Amaya Ikeda, et c'était à la perfection que le petit homme avait réussi à rendre une certaine classe à ton handicap momentané.

Debout au milieu de la pièce principale, face à la gigantesque baie vitrée offrant une vue mémorable sur l'océan ainsi qu'une partie de Tokyo, les lumières commençaient à s'agiter au dehors tandis que la nuit posait son voile au-dessus de la métropole. Tu réajustais le haut de ton uniforme d'un blanc immaculé, te donnant cet air presque trop propre, d'autant plus que ta chevelure provoquée par ta mutation n'arrangeait rien. Tu serrais le foulard autour de ta gorge et enfilait tes gants, reposant enfin ta main sur cette précieuse canne qui marquait le coup de cette mort qui t'a filé sous les yeux.

Aujourd'hui, Mushido et toi alliez enfin fêter la construction de votre nouvelle demeure. Tu ne pouvais pas t'empêcher de sourire, jamais tu n'avais vécu dans un luxe aussi terrifiant – et pourtant ce n'est pas les moyens qui te manquent – ni été aussi heureux d'organiser une crémaillère. Vous vous étiez permis d'inviter les grands noms de la ville ainsi que vos proches, car en plus de fêter la maison, tu fêtais indirectement ton second renouveau. Tes joues avaient commencées à se creuser au fil des jours à cause de ton botox abusif dont tu as arrêté le traitement depuis No Dawn, mais tu n'y portais plus attention, tu as assez souffert comme cela.

Tes yeux bifurquent vers ton cousin. T'as juste la sensation de retourner en enfance, à cette époque où vos pères organisaient de telles festivités et que vous étiez les deux seuls enfants parmi cette foule d'adultes chics, tenant dans leurs mains gantées des verres de champagne, le dos droit et les conversations incompréhensibles. Mais tu en es certain ; ils seraient fiers de vous. Aujourd'hui, vous arrêtiez de vous chamaillez. La grande guerre mettait fin ce soir.
Une playlist de blues et de jazz peut se faire entendre sur le reste de la presqu'île d'Enoshima grâce à vos enceintes cachées dans le jardin et incrustées dans les plafonds de la pièce principale. Tu avais presque envie de danser. Tu t'avances vers l'extérieur, la brise fraîche du soir effleurant ton visage fatigué tandis que tu peux constater que le gigantesque buffet aux mets typiquement français s'étalait tout le long de la piscine dont les reflets bleus te donnaient cet air un peu maladif.
La fête pouvait commencer.

- Nous vous souhaitons la bienvenue dans la nouvelle villa Nakamura, en espérant que vous passiez une agréable soirée et- tu lâches un rictus avant d'esquisser un nouveau sourire, tes yeux désormais posés sur ton confrère, je n'ai pas fait ça depuis trop longtemps, tu es plus doué pour les discours que moi, vas-y.

Tu soupires, exaspéré par ton manque d'éloquence qui était pourtant bien présent à l'époque où tu n'étais qu'un adulte totalement immature.
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Ven 20 Juin - 22:48

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #339c53 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
Vous aviez toujours eu la folie des grandeurs, dans la famille. Un Nakamura est une créature de type égocentrique, alors deux Nakamura dans l’organisation du même évènement ? Bien sûr que vous avez mis la main au portefeuille, de quoi impressionner tout le monde et prouver à tous les clochards que vous leurs crachiez très gracieusement au visage avec votre argent. Bien sûr, ce genre d’évènement élitiste n’avait rien de respectueux pour ceux qui n’avaient pas eu la chance d’être parmi les invités, mais peu importe. La crème de Tokyo sera aujourd’hui chez vous. Cependant, tu étais meilleur pour les discours que pour l’organisation des fêtes, tu avais donc laissé cette tâche à ton cousin avec des excuses très habiles du style « j’ai mal au dos » ou « je dois m’occuper d’un dossier concernant Motors District ». Et puis, il te devait bien ça, c’est lui qui avait fait brûler votre ancienne villa, non ? Enfin, à cette époque il pensait encore être le seul et uniquement Nakamura masculin à Motors District. Le temps avait quand même bien passé depuis que tu étais à Tokyo. Ta rencontre avec les deux autres PDG, ta rencontre avec Miu, ta prise officielle du pouvoir sur Motors District, ton alliance avec les traqueurs et tes multiples engueulades avec ton cousin. Bien trop pour que tu sois capable de te souvenir de toutes.

Cependant, depuis l’accident et l’hospitalisation de ton cousin, tu avais pris un peu plus conscience de l’importance qu’il avait à tes yeux. Tu avais donc décidé de te calmer sur la méchanceté gratuite, le concernant. Et l’ambiance était tout de même plus agréable, quand vous n’étiez pas à vous sauter à la gorge au moindre regard. Bien sûr, il y avait toujours le concours de celui qui avait la plus grande queue (c’est une métaphore on est pas incestueux, ok.), mais c’était aussi ça la rivalité. C’était aussi pour ça que la construction de cette villa avait pris une avancée beaucoup plus rapide, parce que vous vous étiez tout simplement fait à l’idée de vivre tous les deux sous le même toit. Et puis, vu la taille de la villa, vous étiez aussi capable de vivre dedans sans vous croiser une seule fois de la journée.

Tu étais même satisfait de constater qu’Hirohito avait opté pour une décoration principalement américaine, qu’il ne t’avait pas imposé les traditions du Japon avec le petit jardin et le bruit de l’eau. Il avait probablement compris que cette culture japonaise te donnait maintenant des boutons, même si tu devais la supporter la plupart du temps. La tradition de la crémaillère en revanche était plus ou moins universelle, tu n’avais donc pas protesté. Et puis s’il s’occupait de tout ça, tu pouvais bien lui accorder ce petit plaisir. Même si la tolérance n’avait pas toujours été ton fort, tu avais commencé à l’être de plus en plus au sujet d’Hirohito, peut-être parce que dans un sens vos parents seraient fier ? Et cette idée te faisait sourire. Tu n’avais que très vaguement regardé la liste des invités, la seule personne qui t’intéressait étant presque dans l’obligation de se présenter, au risque de subir une ambiance plus que lourde au bureau.

Tu ne feras pas non plus 300 mots sur ta tenue, elle était relativement basique, se limitant à un smoking. Bon, tu avais fait l’effort de changer un peu et tu avais choisis de porter du blanc, à l’instar d’Hirohito. La ressemblance était plutôt forte, la différence se limitait surtout au niveau capillaire et des yeux. Tu constatas en revanche la faiblesse apparente sur le visage de ton cousin, présente depuis son hospitalisation. Une faiblesse qui était dérangeante, pour toi. En revanche ça ne semblait pas le déranger plus que ça, étant donné qu’il s’était même autorisé cette petite canne fantaisiste orné de ce masque lugubre dont tu ne comprenais toujours pas la signification. Tu restais en retrait pendant qu’il avait commencé à prendre la parole, à l’intention des invités. Toi, tu observais les invités, c’était plein de découverte. Mais la découverte la plus désagréable était bien celle de la présence des deux autres PDG, James Winchester et Byakuya Kô. Il ne voulait pas te foutre la paix, celui-là ? Hirohito t’arrachais à ton observation, t’envoyant un SOS pour continuer le discours à sa place. Tu voulais lui laisser son moment, pour une fois, mais il n’avait en effet pas l’air très à l’aise. Tu n’avais rien préparé, alors autant improviser. Tu t’approchais, pour te mettre au même niveau que ton cousin, saluant la foule d’un grand geste.

─ En espérant que vous passiez une agréable soirée et que cette même soirée vous permette à tous de mieux vous connaitre, vous les véritables maîtres de la capitale. Ne soyez pas timide, mélangez-vous. Nous vous demanderons simplement d’agir comme des humains civilisés, ce que vous êtes à n’en pas douter, et de ne pas provoquer de grabuge. Avec les compliments de Motors District et de la famille Nakamura.

Tu concluais ta petite improvisation pour venir à l’aide d’Hirohito par une main sur l’épaule de ce dernier, t’écartant ensuite de lui, pour te remettre en retrait. Avec une seule envie, celle que le singe le plus puissant du Japon ne décide pas de venir te pourrir la soirée.
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CITATION : avec l'âge grandit le besoin de se justifier.
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Tomoe Nakamura
Tomoe Nakamura
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Sam 21 Juin - 4:12

Les égos se heurtent.
Elle, Tomoe Nakamura. Elle se retrouve à nouveau couverte, dans l’acharnement de son travail. Un drap lourd, un drap pesant sur, non seulement ses épaules mais également le reste de son corps. Ce même drap est pourtant celui qu’elle lave, sèche et dépose sur son lit, depuis bien des années. Elle ne s’en fatigue pas, il est devenu, au contraire, à ses yeux un signe de réconfort, qui la tient bien loin de l’ennui – couvrant également ses économies. Puis, un bon matin, on la réveilla, pour la première fois, depuis des mois, elle en sortie se devant, à tout prix de revenir sur ses terres natales. La voilà à un océan près d’y être. Préparer le jet, préparer ses vêtements, avertir son « mari » (ou plutôt lui laisser un simple bout de papier sur la table de cuisine en inscrivant « retour indéterminé ») et finalement, s’informer de l’état de son cher cousin, Hirohito. En s’aventurant loin de ce dernier, Tomoe s’attendait le laisser comme un enfant, seul, dans la demeure des Nakamura. Elle prit les précautions nécessaires en prenant la sage décision de demander à quelques intermédiaires (anonymes), de les informer de la situation d’Hirohito. Elle n’était pas si exigeante après tout, un simple avertissement avant la tempête, un peu comme la météo. Cependant, ces « intermédiaires » n’avaient qu’une seule tâche et l’a bafouillis, en un claquement de doigt. Ce n’est qu’après un accident d’auto lui coûtant à 50% de chance sa vie, que Tomoe reçue une lettre pour l’informer de la situation de son cousin. Les personnes qui avaient cette tâche à accomplir prirent toutefois conscience de cette erreur rapidement, en informant mademoiselle Nakamura par une lettre à son intention pour s’éviter les foudres de celle-ci. Ils eurent raison, car la seule personne à ce les attirer sera ce cher Hirohito Nakamura. Elle se voyait déjà en train de l’abattre à coup de chaise ou peut-être de brique…qui sait.

Pourtant, le comble du comble n’était pas encore arrivé, au contraire. Dans le jet même, qu’elle prit pour se rendre au Japon, son serveur l’informa d’une nouvelle, bien peu prometteuse pour les heures avenir, pour la famille Nakamura.

« UNE FÊTE?! RÉPÉTEZ UN PEU?! »

Elle se leva s’en plus se faire attendre prenant de grande inspiration en prenant appui sur la table à manger.

« Vous me dites. Que. CE CON. FAIT UNE FÊTE ALORS QU’IL REVIENT D’UN ACCIDENT D’AUTO QUI LUI A VALU QUASIMENT LA VIE. »

Tous, à l’intérieur de l’avion privé, se turent. Certains se penchèrent, de peur qu’elle ne rabatte sa colère en prenant la table sur laquelle elle y déposa ses mains pour maintenir sa colère et la lance soudainement par-ci ou par-là. Tomoe s’arrêta net. Les yeux clos, un sourire espiègle s’infiltra au dépit de sa frustration devenant inquiétant…Elle n’ouvrit la bouche qu’une dernière fois avant l’atterrissage au Japon et ses dernières paroles s’adressèrent à son majordome étant également son chauffeur et un bon ami – un peu comme Alfred disons.

« Avant d’aller à la Villa, allons faire un peu les boutiques, histoire de se conformer à l’accoutrement de la soirée et puis, dire un petit coucou à ce cher cousin. Ou plutôt ces chers cousins. »

Elle finit sa phrase dans un simple murmure à peine audible. « Ces », car Mushido n’était pas à l’abri des remarque. Nouveau PDG de Motors District, se faire petit, surtout lorsque son nom de famille était le même que le sien et qu’en plus, les rumeurs ne marchent pas au Japon, elles courent rapidement. Tomoe n’avait plus que ces pensées en tête, durant l’achat d’une nouvelle robe signée Alexander Wang, valant une petite fortune qui n’était alors rien pour elle. Mushido. Elle lui en voulait à mort. Lui, qui a voulu autant grandir à travers, que faire grandir ce désir de pouvoir éphémère. Il laissait tout d’abord sa famille, son bonheur, ses rêves, ses plaisirs présents de côté pour une seule ambition, qui lui valait le retrait de bien d’autres choses. Un profit peu rentable, un profit qui n’équivalait nullement à l’effort et aux pertes de ce qu’il en résultait réellement. Tomoe n’est pas de nature rancunière, mais ça, ce n’est pas de la rancune, c’est de la haine. Pour elle, aucun argument n’était valable, aucune justification ne pouvait lui donner raison, car il avait le choix. Tout le monde a le choix et lui en était premier. De retour à la réalité, son majordome l’attendait à l’extérieur, prêt à partir. Il connaissait exactement la prochaine destination, tout comme Tomoe. Il ferma, avant le départ, la fenêtre séparant ainsi lui et Tomoe, pour que cette dernière puisse être prête, une fois à son arrivée. Le tissu de la robe qu’elle avait choisie enveloppait son corps d’un noir d’encre, venant parfaire ses courbes malgré l’opacité de la couleur. Le sombre vint toutefois faire contraste avec la blancheur de sa chevelure ainsi que la pâleur de ses iris pour finalement faire ressortir le carmin, qu’elle étendit sur ses lèvres. Les talons à ses pieds, elle prévoyait se faire entendre de loin par ces cousins. Son majordome la déposa à l’entrée où plusieurs voitures bien coûteuses furent stationnées.

Décidément, ses cousins ne se sont pas fait prier de faire de cette demeure un vrai joyau. Elle n’arriva cependant qu’à la fin du discours de Mushido, voyant qu’Hirohito s’était retiré à l’arrière, sûrement en ayant été le premier à ouvrir cette grande fête. Puis, il s’éloigna, se fondant dans la foule – mais pas pour longtemps. Une scène de ménage en plein milieu, sans façon. Elle le suivi facilement, se faufilant dans la foule en saluant d’un simple sourire et sur le bout des lèvres, les invités. Tomoe arriva au point qu’elle pouvait toucher à l’épaule de Mushido et décida plutôt de l’agripper par l’oreille revenant sur les pas de ce dernier pour venir accrocher également Hirohito. Deux pour le prix d’un. Il n’y avait rien d’agressif dans ses gestes, rien de violent, seulement un peu de fermeté – ou beaucoup. Elle se dirigea avec sa petite famille dans la cuisine pour se permettre d’avoir un petit conseil familial sans pour autant déranger les activités. Au début les bras croisés, à la fin les mains sur les hanches, ses paroles risquaient de se faire entendre. Pourtant, elle le fit quelques décibels plus bas, histoire de respecter ce qui a été dit.

« Alors? Qui va m’expliquer? Dites-moi aller. » un silence, un seul et puis…  « Non! Vous savez quoi?! Je ne veux même pas savoir. Toi « monsieur bonjour l’accident d’auto mon corps saigne comme ce n’est pas possible mais oh ce n’est pas grave on va faire une petite fête » t’a pas Bruce Lee, ni Chuck Norris, ni Dieu inscrit sur ton front. Puis toi. Toi Mushido. Bref. Je ne veux rien entendre de toi. Parfois, vous savez, j’ai tout simplement envie d’acheter avec toute la fortune Nakamura le plus de mur de béton NON d’acier possible pour vous lancer à travers jusqu’attend qu’ils n’en restent miette pour vous faire regretter tous vos enfantillages. Je ne fais pas ça pour vous faire peur. Je tiens juste à vous, assez pour ramener mes fesses ici, prendre le temps de me préparer et m’assurer que vous avez tous vos membres et que vous ne vous entretuez pas. Donc, je vous le dis une fois et une seule. PRENEZ VOS COUILLES SI SEULEMENT VOUS EN AVEZ ET GRANDISSEZ BON SANG. »

Elle n’y pouvait rien si le comptoir de céramique se retrouvait au moment même de la fin de son discours, sous ses poings. Elle les regardait, sans broncher. Et surtout Hirohito, surtout lui, car Mushido, elle avait toujours de la misère à sentir ses choix, même si son discours s’adressait autant à l’un qu’à l’autre.

you were so completely torn


Dernière édition par Tomoe Nakamura le Sam 21 Juin - 12:55, édité 1 fois
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Sam 21 Juin - 11:54

j'ai perdu mon post en éditant je pleure


Dernière édition par Rumiko Kiku le Lun 23 Juin - 18:21, édité 3 fois
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JUKEBOX : Les limites - JULIEN DORÉ.
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Byakuya Kô
Byakuya Kô
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Sam 21 Juin - 16:12





BITCHES BE COOL.

« DING DING DING DING DING -AHOUUUUUUWOU AHOUUUUWOU What does the Byakuya say ? »





HRP - RICHES
La star de cette soirée sera ta tête enfoncée dans le carrelage de ton nouveau salon défoncé.

(c) Gabitch sur AS







WHAT DOES THE FOX SAY ?

Mauvaise idée. Vraiment, c'est une mauvaise idée d'y aller. Ça va se transformer en un champ de bataille type guerre mondiale. Ça risque de partir en cacahuète, ça risque d'exploser à droite et à gauche, ça risque d'aller mal ...

Mais ferme ta bouché dé-séchée. Je suis trop beautiful pour qu'on puisse me refuser à la fête d'un ennemi sans cervelle et qui adore se prendre des claques dans la gueule tel un soumis.

Ouais, cette soirée allait très mal se passer. Mais Byakuya ne rate jamais une telle occasion de faire la fête (ou de foutre la merde, au choix). C'est pour cela qu'il avait invité Sae à l'accompagner à cette soirée made in Nakamura. Nakamura, hein ? Cette soirée promet d'être génialissime. Byakuya, qui s'était vêtu d'un beau costard avec un noeud-papillon pailleté d'un violet clair, conduisait sa voiture pour aller en direction de cette demeure, celle des Nakamura. Sae se trouvait sur le siège passager, toujours aussi folle et esthétiquement jolie. Digne de Color Street. Et les voilà arrivés dans cette nouvelle demeure. Ils avaient fait brûler leur précédente villa mh ? Quand on ne sait pas jouer avec le feu évidemment, il faut pas s'étonner si la bougie qu'on voulait allumer dans le salon transforme la villa en un soleil miniaturisé. Il n'empêche que la déco tape-à-la-rétine impressionnait Byakuya. Qu'en pensait Sae ? Peut-être la même chose, qui sait ? La personne qui prenait la parole était la photocopie pure de ce Mushido Nakamura. Serait-ce lui, le fameux Hirohito ? Intéressant, Byakuya irait bien lui taper la discut' après, autour d'un bon verre de vin ou de saké. Voilà que c'est ce PDG maltraité qui prenait la parole. Pas de grabuge ? Ta gueule laisse moi foutre ma merde, ouais. Byakuya posait par moment son regard sur sa secrétaire avant de lâcher un petit rire sadique. Ca va être difficile de se comporter tel un adulte responsable et civilisé, vraiment. Et puis ... Oh ? Ce n'est pas miss cheveux rose là bas ? Sans ses cheveux roses ? Proche de la piscine ? MAIS SI ! Sans plus attendre , Byakuya se dirigeait vers cette jeune artiste du nom de Rumiko qui n'avait pas cette notion du "sérieux". Quelle adorable joyau que voilà. Bon, elle avait l'air de taper la discussion avec quelqu'un d'autre mais fuck. On va mettre un peu d'imprévu dans sa vie.

- Kiku-saaan. Quel joie de vous revoir ici ! Je vois que vous brillez toujours autant sous les projecteurs haha ! Dommage que vos talents soient partis chez Paris Avenue. Vous auriez pu faire de grosses affaires avec Color Street. Mais je parle, je parle, comment se déroule votre petite vie colorée, à part asperger les robes des demoiselles avec de l'alcool ? Bonne idée, dois-je dire Certaines robes sont immondes.

DING DING DING DING DING
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CITATION : [20:55:52] @ Miu Aisaka : Tu es très beau Mushido (je laisse ça me fait rire)
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Miu Aisaka
Miu Aisaka
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Sam 21 Juin - 16:26



ma passion dans la vie c'est les posts muets bye
Cette maison est abominablement luxueuse.
A vrai dire tu as même plutôt l'impression d'avoir été directement téléportée dans une version moderne du palais féerique de Cendrillon ; c'est beau, c'est prétentieux, et ça scintille de partout. T'es presque sûre que si par malheur tu t'aventurais dans les couloirs sans te munir préalablement d'une boussole et d'une carte, tu ne retrouverais jamais la salle de bain - mais ça, c'est vraisemblablement en raison de ton absence totale de sens de l'orientation plutôt que de la taille de la villa, donc tu ferais preuve d'énormément de mauvaise foi si tu t'autorisais à blâmer l'architecte. Donc voilà ; histoire de bien signifier qu'aujourd'hui était une occasion particulière, tu t'es habillée en fille - ce qui est plutôt logique, puisque depuis quelques jours, c'est exactement ce que tu es. Et dieu, c'est fou ce que tu peux être mal à l'aise, juchée sur les talons que tu espérais ne jamais avoir à renfiler, engoncée dans une robe scandaleusement chère qui dévoile beaucoup trop tes formes nouvelles ; tu as détaché tes cheveux, maquillé tes traits enfantins, accepté l'idée de rejouer cette insupportable comédie une fois de plus. Tu n'es pas très à l'aise au milieu de tous ces nouveaux riches envieux dont le moindre compliment suinte l'hypocrisie - tu sais très bien à quoi ils pensent, et pour cause, toi aussi toutes ces richesses disposées dans un processus aussi exhibitionniste te donnent la nausée. Pourtant, tu devrais t'y être habituée, à présent ; quelque part, cette demeure n'est qu'une annexe de l'empire de Mushido, un accessoire supplémentaire dans sa panoplie de réussite.

Evidemment, tu es arrivée en retard. Tu voudrais bien pouvoir dire que tu n'as pas fait exprès, mais tu n'as aucune excuse : tu t'es arrangée pour emprunter le chemin le plus détourné possible afin d'atteindre la fête que tu rêvais déjà de quitter. Et de bien entendu, tu as raté le discours - ce qui n'est pas très grave en soi, étant donné que tu es parfaitement capable de deviner ce qui a bien pu être déclamé à la face de l'élite de Tokyo. Amusez-vous. Abusez des victuailles jusqu'à vous en crever l'estomac et mourir d'un ulcère. Faites comme chez vous et surtout profitez parce que demain la trêve sera finie, demain, les Nakamura vous écraseront. Donc voilà - tu te faufiles à travers la foule, bouscules deux ou trois silhouettes engoncées dans leurs smokings, esquives adroitement les saluts et les poignées de main. Avec un peu de chance, d'ici une demie-heure, tout le monde sera bien trop bourré pour t'accorder ne serait-ce qu'un minimum d'attention, et tu pourras te réfugier dans un coin tranquille afin d'y terminer ta nuit. Ou mieux, visiter les lieux ; tu n'es pas certaine d'y être autorisée mais après tout qu'importe, tu n'es pas de celles qui ploient sous le joug de l'oppression, et si tu décides que tu vas effectivement découvrir toutes les pièces de cette villa, ALORS TU LE FERAS. En attendant, tu pars t'installer contre un mur, accordant finalement un coup d’œil aux hôtes de la soirée : Hirohito, aka "je t'insulte & je te raconte mes peines de coeur", et Mushido - à qui tu ne donneras pas de surnom ridicule étant donné que tu n'as plus la moindre idée de ce qu'il est sensé représenter pour toi, et ce malgré votre serment tacite d'il y a quelques jours. Dans la doute, tu ne t'approcheras pas. Mieux vaut ne pas tenter le diable.

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Gabriel Evans
Gabriel Evans
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Sam 21 Juin - 16:31


Le côté plutôt drôle de ce genre de réception, c’était que Gabriel pouvait voir la devanture, le masque, bref, le côté ensoleillé du décor. Non parce que le jeune homme connaissait bien le juge Horona attaché à des liens sur un grand lit à baldaquin, implorant pour une correction ; mais il ne connaissait pas l’honnête homme discutant de politique autour d’un verre de whiskey. Il connaissait bien Cho Neisang, jeune actrice en vogue en ce moment, folle furieuse au lit, enchaînant comme un animal trois, quatre, cinq fois ; mais il ne connaissait pas la douce jeune femme réservée et effacée qui jouait la comédie devant lui.
C’était absolument ra-vi-ssant.

Tellement que Gabriel était sorti, écœuré de l’ambiance dégoulinante qui régnait à l’intérieur. Les poignées de mains accompagnées de grands sourires cachaient des envies de meurtres qui se murmuraient toutes sur le coin d’un oreiller trempé de sueur, confidences que Gabriel recueillait précieusement.
A peine avait-il mis un pied dehors que Cho, la petite actrice, s’était jetée sur lui. Mine de rien, elle s'était lâchée.

▬ Avez-vous visité la bibliothèque ? Elle est incroyable ! Laissez-moi vous la montrer.

Gabriel avait senti la liasse de billet qui tombait dans sa poche.
Lâchant un sourire, il suivit Cho, une coupe de champagne à la main. A peine la porte de la bibliothèque fut-elle fermée à double-tour que la jeune femme se jetait sur lui, arrachant presque son costard.

**

Une petite heure plus tard, Gabriel était sorti de la bibliothèque.
Il avait raté le discours de ses hôtes. Triste.
Il regagna l’extérieur. Il avait laissé son blazer dans la bibliothèque et ne portait qu’un pantalon crème et une chemise blanche légèrement déboutonnée. Il commanda un cocktail au hasard et s’adossa contre le mini barnum qui faisait face à la piscine. Il promena son regard sur la foule d’invités tous plus fortunés les uns que les autres, tous plus pourris les uns que les autres.

Alors qu’il finissait son verre, déjà lassé de cette soirée qui s’annonçait bien monotone, un évènement imprévu perturba la partition. Et cette péripétie se présentait sous la très jolie forme de Rumiko Kiku, une idole supra-naïve, supra-niaise, supra-kawaii. Gabriel avait toujours jeté un œil dubitatif sur l’univers des idoles sans pour autant juger.
Après tout pour devenir riche il vendait sa bite.
Pourquoi ne pas vendre sa crédibilité.

Elle manqua de se rétamer sévèrement avant de se rattraper de justesse et de lâcher :

▬ Salut ! Toi aussi t'es tout seul ? Ou vous, je sais pas ce que je suis censée dire. Moi aussi j'adore le cocktail que tu bois c'est mon préféré.

Gabriel faillit éclater de rire tellement elle avait l’air mal à l’aise. Elle avait l’air d’être du genre à meubler les silences par des paroles inutiles aussi il faillit ne rien dire pour voir ce qu’elle pourrait inventer mais il se retint.

▬ Tu peux me tutoyer, par pitié. Et je t’ai vu plisser le nez à chaque fois que tu goûtais un cocktail avec une once d’alcool dedans, je sais que tu mens. Il avait un grand sourire. Rien ne lui échappait ce soir, après tout il faisait la fouine à regarder tout le monde. Tu es Rumiko, je ne me trompe pas ? Il me semble avoir déjà vu ton visage et ton nom quelques fois. Genre quelques dizaines de milliers de fois dans Akihabara sur les panneaux publicitaires, par exemple.

Avant même qu’elle ne puisse lui répondre, Byakuya Kô, l’insupportable PDG de Color Street fondit sur eux comme un rapace, accaparant la jeune fille. Gabriel s’en tapotait le scrotum sévère de ce qu’il racontait, il faillit tourner les talons.
Et puis, le craquage.
Une espèce de tentation soudaine, un éclair de folie. Gabriel céda à sa pulsion sans même y réfléchir.

▬ J’ai super chaud, pas toi ? Oh si, t’as l’air, aller, on va se rafraîchir un peu.

Et il poussa brusquement la gamine dans la grande piscine sans à débordement qui lui tendait les bras depuis deux heures et que personne ne dédaignait regarder.

▬ Femme à la mer ! Je fonce ! Désolé Byakuya-san, question d’éthique.

Lui il crevait de chaud.
Il enleva ses chaussures et plongea à sa suite.
Et puis merde, comment mieux lancer une pool party qu’en balançant une victime dans la flotte ?
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Sex
&
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Sam 21 Juin - 17:26


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MUSIQUE-Une fête chez les Nakamura? Pourquoi pas. Ton patron t’avait fait part de l’invitation qu’il avait reçue et il n’avait pas semblé désireux de te voir l’y accompagner. Il devait avoir ses raisons, mais ce n’était pas pour autant que tu allais te priver d’une telle occasion. Eh oui, pour rien au monde tu ne gâcherais l’opportunité de pouvoir mettre des noms sur les visages des gens les plus riches de Tokyo. Tous autant qu’ils étaient, tu voulais les rencontrer, leur sourire, les gracier et leur parler histoire d’être en mesure d’imaginer leurs visages le jour où Color Street deviendrait première. Pour ce faire, tu t’étais habillé de manière élégante comme tu savais si bien le faire lorsque tu en avais la nécessité. Armé d’un smoking blanc aux bordures violettes, tu venais d'attérir sur le lieu où se donnait la réception. Cet endroit était simplement magnifique. Tu devais te l’admettre, Motors District n’avait pas lésiné les dépenses et l'endroit étaitt sublime. Or, tu n’avais aucunement besoin de ton pouvoir pour être en mesure de comprendre à quels points ils avaient gaspillé beaucoup d’argent pour faire parler d’eux. Dans tous les cas, tu étais arrivé au bon moment, le discours ennuyeux venait d’être conclu par les mouvements tous aussi saccadés des gens. Drôle de phénomène. Ils étaient tous riches et vivaient des vies aisées. Or, aucun d’entre eux ne semblait être apte à suivre les nombreux rythmes que la soirée imposait. D’un côté, il y avait une femme qui semblait ridiculement maladroite. C’était à se demander si elle le faisait exprès. Soudain, tu commenças à te dire qu’elle cherchait probablement l’attention de quelqu’un. Ce quelqu’un ne risquait pas d’être toi. Elle venait d'aborder quelqu'un, adoptant probablement la technique de la maladresse pour imposer son charme. Dommage, elle avait séduit le mauvais paon. L’homme qui était à la tête de ton entreprise venait de tout briser, tentant probablement de charmer celle-ci avec des arguments tous aussi intrigants les uns que les autres. Or, tu te mêlais pas de ce qui ne te regardait pas et la soirée décida de te remettre à ta place. Toi qui critiquais si sévèrement les gens qui entraient accidentellement en collision avec les autres, tu te fis bousculer par une jeune femme qui ne semblait vraisemblablement pas connaître les mesures de politesses. Ce faisant, tu ne pus t’empêcher de la suivre du regard, cadrant ainsi ta cible de ton œil de rapace. Celle-ci semblait être en train de fuir la soirée, évitant le plus possible les gens qui étaient autour d’elle. Cette ambiance ne semblait pas être celle dans laquelle elle pouvait s’y baigner confortablement contrairement à d’autres…

-Fufufu…

Ton rire te surprit, venant te ramener sur terre. Elle avait capté ton attention et semblait digne d’intérêt. Ta première victime de la soirée était dans ta ligne de mire et tu te dirigeais lentement vers elle. Certaines personnes passaient dans ton chemin, brisant ainsi ta parade, mais tu les esquivais tous habilement, comme si ce n’était qu’une vulgaire chorégraphie. De tes gestes tous aussi gracieux les uns que les autres, tu sus te démarquer de la foule pour venir aborder ta proie adossée contre les barreaux de la cage. Elle ne pouvait plus s’enfuir et tu le savais. Pénétrant ton regard dans le sien, tu savais qu’elle était préoccupée par quelqu’un ou quelque chose qui était derrière toi. Visiblement, tu n’étais pas la personne désirée du moment.

Pourcentages de chances qu’elle ait un intérêt envers toi : 0%


Pourcentage de chance de lui faire changer d’idée : 100%


Or, personne ne pouvait résister à ton charme ni à tes lèvres pernicieuses. Du moins, c’est ce que tu pensais. Peu importe, tu poursuivais ton chemin, arrangeant ton nœud papillon violacé. Puis, sans même lui dire un mot, tu lui tendis la main calmement. Puis, sans attendre, tu frappas, soutirant dangereusement sa main pour l’entrainer dans une danse enivrée. C’était le temps de la faire valser sous ton oppression. Tu désirais apprivoiser cette proie, la connaître et la mener jusqu’à te révéler ses moindres secrets.

-Cette soirée aurait été beaucoup plus colorée à Color Street, qu’en pensez-vous?

Marquant un bref arrêt pour lui poser cette question, tu recommenças pour une énième fois à la faire tourbillonner, posant des gestes féeriques grâce à talents de danseur expérimenté.




fiche codée par perry.
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CITATION : à nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.
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Hirohito Nakamura
Hirohito Nakamura
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Sam 21 Juin - 17:32

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #66C047 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
MUSIQUE – Ce n'était pas avec mépris que ton regard insistait sur ton cousin mais avec fierté. Finalement, avoir frôlé la mort pour la seconde fois avait fini par te faire réaliser à quel point certaines choses pouvaient être précieuses, et la famille en faisait partie. Tu avais passé toute ton existence à cracher littéralement sur les membres du clan Nakamura. Clan qui existent depuis des décennies, tu ne comptes plus le nombre de fois où ton père vantait vos ancêtres qui avaient une très forte influence sur l'économie nippone les siècles précédents. Vous aviez su avancer dans le temps et c'était à votre tour de se reposer sur les trônes de vos pères. Vous étiez la nouvelle génération et, comme toutes les autres, vous avez l'intention de marquer votre époque.
Tu arbores un maigre sourire amusé te donnant cet air de vipère accentué par la finesse et la longueur de ton visage, et pourtant, à peine allais-tu commencer à vaguer à tes occupations que tu te sens fortement tiré par l'oreille dans la cuisine. Tu réprimes un léger râle, tant parce que tu reconnaîtrais cette brutalité entre mille mais en plus parce que t'as l'impression que ta blessure va se rouvrir. Tu fais effectivement face à Tomoe qui, elle, se fait une joie de vous passer un savon. Tu ne respectais pas beaucoup de monde, et encore moins les femme, mais elle est la seule à te faire baisser la tête comme un enfant : ce que tu es exactement en train de faire. Il y a quelques années, tu marmonnais encore des « pardons » de culpabilité. Tu réprimes un sursaut en voyant son poing s'écraser sur le mobilier.

- Moi aussi je suis content de te voir cousine, soupires-tu avec sarcasme, mais si je suis là c'est que je vais mieux, non ? Mushido et moi-même avons juste décidé de fêter notre nouvelle villa et en quelque sorte la fin de cette guerre qui nous opposait. Même si la rivalité sera toujours là, tu n'en doutes pas ; tu ne pourras pas t'empêcher de casser les pieds de ton cousin. Tu as simplement arrêté de le haïr de tout ton cœur.

- Mais ça fait longtemps qu'on ne t'a pas vu, je suis content que tu sois là. Tu es magnifique. Dis-tu dans une once de gêne, décrispe un peu ton visage Tomoe, et profite de la fête. Si vous voulez bien m'excuser.

Posant ta canne au sol, tu t'empresses de quitter la réunion familiale de peur d'avoir à faire aux foudres de la cousine, une véritable furie dans ces cas-là, afin de rejoindre l'extérieur. Tu croises la secrétaire de ton cousin et préfères l'ignorer aussitôt. De ce que tu pouvais voir, il y en avait déjà dans la piscine et tu pouvais vite reconnaître l'un des ennemis de Motors District ; Byakuya Kô. Enfin, tu n'avais personnellement rien contre lui à la différence de Mushido. Tu t'approches de lui pour lui serrer la main.

- Kô-san, ah, la politesse ; tu avais toujours su y faire, paradoxalement à ton sale caractère habituel, en espérant que vous passiez une agréable soirée.

Tu lances un regard presque sévère au deux jeunes dans la piscine dont tu ne connais même pas les noms et décides de vite les ignorer. Ta canne résonne contre le carrelage autour de l'eau avant que tu ne retournes te fondre dans la masse, autour du buffet devant lequel les dames commencent à s'intéresser à toi, à ton rétablissement. Tu as la sensation d'être revenu cinq mois en arrière, à cette époque où tu faisais des grandes fêtes juste pour te distraire, pour combler ton ego. Cette fois-ci, tu ne t'y attardais pas.

Tu attendais juste quelqu'un d'important pour toi.
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FEAT : Rize Kamishiro - Tokyo Ghoul
DATE D'INSCRIPTION : 16/06/2014

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Némésis
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Sam 21 Juin - 17:49


Meanwhile chez les Nakamura
avec des gens riches.


Crémaillère chez les Nakamura.

Wow, rien qu'au premier mot cette soirée te semblait déjà horriblement chiante. Ouais, ça t'horripilait une crémaillère quoi. Vous avez déjà entendu un mot aussi ridicule ? Non, putain. C'est ce mot dès que tu l'entend ta juste envie de rire, il est dans la même catégorie que tractopelle, manteau-content ou souper. Voilà, ça a l'air d'être complètement ridicule rien que par sa sonorité. Pourtant, tu sais très bien ce que c'est & t'avais pas intérêt à foutre la honte à ton boss. Après tout, tu accompagnait Byakuya ce soir, c'était pas rien.

D'ailleurs, tu pouvais noter que vous nourrissiez le même type d'affection à Mushido Nakamura, soit aucune, mais bon, ce soir on restait calme et on cherchait à s'amuser même si ça te faisait potentiellement chier de porté ces stupides talons de neuf centimètre, si seulement ça pouvait un flingue de neuf millimètre que des talons songeas-tu. Au moins, avec ça tu pouvais en finir avec l'autre à la coupe d'ananas en moins de deux, quoique, dans le pire des cas tu lui crèverait les yeux avec tes talons, ça pouvait le faire, ouais, pourquoi pas. Tant qu'il restait loin de toi, tout allait bien. De toute manière, pourquoi est-ce qu'il t'approchait, hein.

Entre les talons & la robes bleu-noir a paillettes t'avais déjà envie de mourir avant même d'arriver. D'ailleurs, t'avais aussi un peu peur, ça faisait une semaine que t'avais pas revu Miu & elle était la secrétaire de l'abrutit qui avait organisé l’événement. Tu grimaces un peu, bon, allez ça allait pas être AUSSI HORRIBLE. Tu allais survivre & après tout t'avais Byakuya à tes côtés & c'était ton partenaire de crime. T'écoutes pas le discourt, t'es même pas sûre qu'il y en ai un & au pire t'en à absolument rien à foutre. Ouais, c'est ça, tu t'en lave les mains.

Tu détournes le regard, Byakuya à disparu. AAAAAH. M'ABANDONNE PASJFHRIUHF. Tu pleures mentalement & le rejoins tandis qu'il avait déjà commencé à taper la discussion & que visiblement c'était 10 secondes plus tard party hard dans la piscine. Visiblement ton chef avait l'air de bien s'amuser, mais tu allais pas te risquer ce soir à tomber dans la piscine des Nakamura, pas tant que t'avais de l'honneur. Par contre si ça pouvait emmerder le monde par la suite, tu irais te jeter à l'eau sans hésitation. Pour l'instant, nouvelle cible & il vient notamment parler à ton chef & cavalier de ce soir. T'as une idée de génie, il allait te haïr mais tant pis. Tu presses le pas maladroitement sur tes foutues chaussures & après avoir souhaité bonne fête malicieusement à Byakuya Kô tu profites qu'il détourne son attention pour le pousser dans la piscine. Tu ris, c'était méchant, mais cette fallait bien rendre cette soirée intéressante.

Tu te retournes alors vers l'un des hôtes de cette soirée, un pas, deux pas, trois pas, tu te jettes dans ses bras en faisant attention. Hirohito Nakamura ou le nouvel amour de ta vie que tu n'as pas lâché depuis son hospitalisation. Tu l'avais rencontrer en y emmenant ton père qui était dans tout les états sauf celui que tu voudrais. Du coup, tu avais passée le plus clair d ton temps là bas & t'avais par la même occasion tenue intensivement compagnie à Hirohito.  Tu relâches un peu ton emprise sur sa personne & lèves la tête parce même avec cs chaussures de malheurs il restait plus grand que toi.

« Pardon. Ehhhhw , j'espère que je t'ai pas fait mal, mais j'avais tellement envie de te voir. Aha. »
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Sam 21 Juin - 19:34

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #339c53 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
A peine cette soirée avait-elle commencée, que tu la détestais déjà. Byakuya Kô, ce gros excentrique à moitié débile, qui s’amusait à tes frais. C’est une blague, cette invitation ? Tu es bien conscient qu’Hirohito avait fait en sorte d’inviter les personnes importantes de Tokyo, il était donc difficile de faire en sorte de l’éviter. Mais tu aurais aimé, juste pour une fois, qu’on fasse une exception qu’on te permette de passer une soirée loin de lui et de ses couleurs. Le souci, c’est que Byakuya savait très bien comment s’y prendre pour te faire perdre ton calme, il avait l’attitude parfaite. Tu n’eus même pas le temps de soupirer qu’on venait de t’attraper l’oreille et qu’on te tirait dans la maison. C’était quoi cette manie de venir te violenter pendant les réceptions ? Tu devais t’enfermer sur une île pour qu’on te foute un peu la paix ? Néanmoins, tu n’essayais même pas de te défendre, tu connaissais cette manière de faire mieux que personne. Pendant ton enfance avec Hirohito, Tomoe avait passé son temps à faire le médiateur entre vous deux. Et quand ça ne suffisait pas, elle savait se faire respecter par les coups. Tomoe n’était peut-être pas la personne la plus délicate du monde et encore moins de ta famille, mais ce serait mentir de dire que tu ne la respectais pas.

Là où la haine t’avait toujours rongé, concernant Hirohito, ton ressentiment envers Tomoe avait toujours été différent. Elle était comme une grande sœur, pour toi. Alors tu te laissais entraîner en compagnie de ton cousin dans la cuisine de la grande villa. C’était le moment pour vous de prendre un savon que tu n’avais pas pris depuis quinze ans. Tu avais l’impression d’être un enfant qu’on engueulait, pourtant tu n’étais pas celui à prendre le plus cher. A vrai dire, elle venait même de te dire de la boucler avant même que tu puisses l’ouvrir. Qui aurait cru qu’un des trois hommes les plus puissants de la capitale venait de se faire rembarrer par sa cousine comme s’il n’était rien d’autre qu’un môme ? A l’instant d’Hirohito, tu baissais les yeux et te laissais engueuler, lâchant quand même une ou deux râle dans un murmure. Tu n’avais pas grand-chose à dire, partant déjà du fait qu’elle avait raison dans ses propos. Vous comportez comme vous vous étiez comporté pendant aussi longtemps n’était pas réellement une attitude adulte. Tu levais finalement les yeux, quand le bruit de son poing se fit entendre. Tu pouvais t’estimer heureux que ce soit juste un meuble et pas ton crâne. Hirohito repris la parole juste après, avec une réponse qui résumait tout ce que tu aurais pu dire toi-même. Tu regardais Hirohito s’en aller, alors que toi, tu gardais le silence.

Après quelques secondes de silence, tu levas un sourcil, estimant que c’était peut-être à ton tour de parler, non ? De toute façon, si elle ne voulait pas de ta réponse, elle pouvait aussi l’ignorer. Toi en revanche, tu étais content de revoir une personne chère à tes yeux, que tu n’avais pas vus depuis déjà quinze bonnes années. Elle n’a jamais approuvé le choix de ton père de t’envoyer aux Etats-Unis, choix qu’elle avait pensé être le tien. Tu pourrais bien lui raconter ces années passées loin de tes proches, de ta famille, sans même parler la langue. Mais, on avait tous notre part d’ombre, non ? Tu approchais ta main comme pour lui toucher l’épaule, pour finalement te rétracter et prendre la parole.

─ J’imaginais nos retrouvailles après quinze ans avec un peu plus de douceur et moins d’hurlements. Mais ça a toujours été ta manière de faire, alors admettons. Content de te revoir, Tomoe. Et bien que tes paroles m’aient fait chaud au cœur, je ne vais pas pouvoir passer la soirée à baisser les yeux pendant que tu me rejette des fautes qui ne sont pas les miennes. Surtout que je ne pense pas t’avoir vu à ma présentation à Motors District ? Bref, si tu n’as rien de plus à m’envoyer au visage, je pense que je vais disposer. J’espère que la prochaine fois, tu auras une approche plus calme, quand il s’agira de t’adresser à un membre de ma famille. A plus tard.

Ce n’est pas que tu ne voulais pas parler avec Tomoe, mais aux vues de son apparente agressivité, tu avais mieux à faire que te faire traiter comme un gamin. Et puis, tu avais d’autres personnes à voir, toi aussi. Tu ne manquerais pas de repasser la voir pour t’excuser de ta froideur, mais pas tout de suite. Tu trottinais en dehors de la cuisine pour éviter de te faire rattraper par ta cousine dans son monde berserker, esquivant gracieusement la plupart des invités. Tu observais finalement comment la situation avait évolué après ce petit passage dans la cuisine et c’était catastrophique. Byakuya Kô était là à s’amuser dans ta piscine, Genkishi celui que tu avais appelé toi-même le génie de la session d’investissement était là à draguer Miu avec une danse et. Hola attend, il fait quoi lui ? Tu faisais les gros yeux. Si tu savais où Hirohito avait mis tes armes, Genkishi prendrait sûrement une balle en plein crâne avant même de pouvoir dire « Color Street ». Décidément, Color Street avec le chic pour te faire chier. Alors que tu t’approchais de Genkishi et Miu, qui était maintenant ta compagne, c’était le hurlement d’une voix que tu détestais elle aussi qui se faisait entendre. Sae Aisaka, la gamine qui était venu dans TON BUREAU te MENACER au nom de BYAKUYA dans les bras de ton cousin ? Il était temps pour toi de faire le facepalm le plus magistral de ta vie.

─ Qu’est-ce que c’est que cette soirée de merde…

Mais Miu est au courant, au moins ? Si non et qu’elle voyait ça, Genkishi risquait de se faire projeter avec force dans les airs.
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Sam 21 Juin - 20:16




rich people everywhere

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Ô James Winchester, que ton nom soit sanctuaire mais surtout inscrit dans les limbes de l'enfer & que toutes les malédictions s'abattent sur toi & toute ta famille, si possible sur les six prochaines générations.

Tout avait -mal- commencé par un sms sybillin dudit susmentionné, un peu -beaucoup- plus tôt dans la journée, ou plutôt à dix-sept heures vingt cinq minutes & plein de secondes très précisément ; & oui tu comptais bien te souvenir de l'heure parce qu'elle avait marqué LE DEBUT DE L'ENFER. Pourtant, rien dans ce "rendez vous dans mon bureau dans une heure tapante, ne sois pas retard" & dans le "oui, Mei, j'ai bien dit DANS UNE HEURE" quasi-automatique qui avait suivi -preuve ô combien exaspérante que James ne te connaissait que trop bien- n'annonçait que ton après-midi allait littéralement virer au cauchemar. & POURTANT.

Naïvement, t'avais enfilé ton plus beau sweat troué & ton pantalon de jogging le plus informe -s'habiller comme une clocharde pour menacer le capital swag de Paris Avenue avait fini par devenir une véritable discipline olymique pour toi -, & tu t'étais à peu près dépêchée pour arriver à l'heure, en comptant qu'il te faudrait bien un quart d'heure pour gravir les six étages qui te séparaient encore de son bureau une fois arrivée, puisque monsieur Winchester refusait toujours de te donner le code de l'ascenceur. Un jour, d'ailleurs, t'allais le tuer. & ce serait LENT & DOULOUREUX. Enfin bref, tout ça pour dire que t'avais tout fait bien comme il fallait & que tu n'avais ABSOLUMENT pas mérité que, sitôt les portes de l'entreprise franchies, un armada de stylistes / maquilleurs / fous furieux / hystériques / tortionnaires (rayez la mention inutile) ne te sautent dessus & ne t'entraîne dieu seul sait où.

Au travers d'un nuage de fond de teint & à la limite de la crise d'apoplexie, t'avais fini par apercevoir le visage de l'instigateur de toutes tes souffrances ; ce bien-aimé James Winchester. Evidemment. Dans la panique générale, t'avais plus ou moins réussi à comprendre qu'il voulait te traîner à une soirée select de tu savais pas trop qui, parce qu'avant qu'il ait eu le temps de t'en dire plus, un des malades mentaux qui s'affairaient autour de toi depuis près d'une demi-heure s'était exclamé, d'un air vachement trop enthousiaste ; allez, on passe aux cheveux maintenant ! & t'avais beau avoir poussé tous les hurlements que t'avais pu, personne dans l'assistance n'avait eu pitié de toi. & c'est ainsi qu'une heure plus tard, après trente minutes d'intoxication aux vapeurs d'amoniaque & trente minutes de brushing intensif, on t'avait de nouveau tournée vers le miroir. & là, ça avait été le drame.
Bruns.
Tes cheveux étaient totalement & dramatiquement bruns.

• • •

Il t'avait fallu une bonne heure pour te remettre de ce choc, heure que James Winchester avait mis à profit pour te dégoter une robe qui correspondait typiquement aux genre de fringues dont tu n'osais même pas regarder les prix dans les catalogues, accompagnée d'une paire de chaussures qui ne se différenciaient d'une paire d'échasses que par le nom. & une heure plus tard, après un long voyage en voiture passé à bouder comme une grande fille adulte & mature, votre fine équipe était arrivée à destination. En retard, mais qu'on ne vienne pas dire que c'était de ta faute.
& là, des gens riches. Des gens riches ABSOLUMENT PARTOUT, du sol au plafond -mais surtout au sol quand même-, le genre de personnes que tu ne fréquentes jamais & avec qui tu es strictement incapable de te comporter de façon normale. A croire que James t'avait traînée ici spécialement pour que tu te ridiculises, ce qui, à bien y réfléchir, était probablement le cas. Pas étonnant qu'il ait tenté de te rendre un brin présentable, ceci dit.

- ... James Winchester, tu commences, très calmement, tu mériterais que je t'arrache tous tes yeux. UN PAR UN.

L'un dans l'autre, ça faisait deux, mais bon c'était déjà ça.
Tu tournes la tête, carrément effrayée, & tout en t'aggripant au bras de James comme à une bouée de sauvetage, tu sondes la foule du regard, en quête d'un visage familier ou juste d'un visage sympa, en fait. OH TIENS RUMI-ah non plus Rumiko, Rumiko dans l'eau. L'espace d'un instant, tu considères l'idée de la rejoindre & de te noyer dans le désespoir, mais tu renonces. Parce qu'à une dizaine de mètres, tu repères une silhouette que tu reconnaitrais entre mille, appuyée sur une cane. Ca alors, mon meilleur ami qui se vidait de son sang au fond d'un ravin y'a pas si longtemps que ça ! Pas de personne suspecte & masquée aux alentours ? MY TIME TO SHINE.

& tu te précipites vers lui, avant de réaliser qu'il s'agit sûrement des retrouvailles les plus cheloues de votre vie -quoi que, à chaque fois que vous vous croisez, mystérieusement ça part en couille- & de chercher désespérément quelque chose d'autre à dire que comment va ton pote Zorro ? parce qu'en plus, tu t'en fous. Tiens, Hirohito a une cane. UNE CANE.

- Wow mais t'as UNE CANE, tu t'écries avec l'air un peu trop enthousiaste pour être honnête, c'est une nouvelle mode ? T'es plus calé que moi dans ces trucs là, j'ai remarqué, tu poursuis tout naturellement, est-ce que c'est comme dans les films ? Genre tu la retournes & BIM ça devient une épée ? J'peux toucher dis dis dis ?

Puis tu te souviens d'où tu te trouves, & tu te dis que te prendre pour un jedai avec une béquille améliorée en plein milieu d'une réception chic n'est peut-être pas FORCEMENT la meilleure idée que t'ais eue de toute ta vie. Du coup, tu te racles la gorge du style profondément désolée d'être stupide, t'abordes l'air le plus sérieux du monde & t'entreprends d'avoir l'air normal.

- Hm hm. J'voulais dire euh, comment allez vous cher po-cher ami ?


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CITATION : [20:55:52] @ Miu Aisaka : Tu es très beau Mushido (je laisse ça me fait rire)
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Miu Aisaka
Miu Aisaka
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Dim 22 Juin - 8:50



the great gatsby : le remix
HRP ; mon cerveau a encore explosé

Alors là t'as pas tellement compris ce qui est en train d'arriver, mais y'a un homme particulièrement suspect qui t'arrache à ton confortable isolement pour t'entraîner dans ce qui (semble-t-il) serait une danse si par chance tu avais été de plus de grâce qu'un bébé chat qu'on vient tout juste de noyer. Outre sa coupe de cheveux complètement criminelle, on dirait bien qu'il est en train de te draguer, et c'est largement suffisant pour que tu envisages de 1) hurler, 2) lui balancer tes talons aiguilles directement entre les jambes, 3) lui vaporiser de l'alcool à quatre-vingt dix degrés dans les yeux, rayez la mention inutile - même si en l'occurrence le seul truc inutile est clairement cet impertinent qui te fait tourbillonner avec aisance, sans réellement se soucier du fait que non, tu n'en as pas la moindre envie. Surtout que jugée sur tes pseudo-échasses comme tu l'es, le moindre faux mouvement pourrait t'amener à te casser une cheville ; et la soirée s'annonçait déjà largement assez nulle sans que tu n'aies besoin de faire une petite visite à tes camarades de l'hôpital (en parlant de ça il faudra sûrement que tu songes à prévenir ton médecin traitant de ton léger revirement sexuel même si tu n'as pas la moindre idée de comment tu vas bien pouvoir lui expliquer un truc pareil). Tu t'évertues à ralentir la cadence, relativement exaspérée par les ardeurs de ton néo-prétendant, quand une voix que tu reconnaîtrais entre mille résonne quelque part à ta gauche. Tes capteurs sensoriels sont en ébullition.

J'avais tellement envie de te voir.
Ton sang se glace instantanément dans tes veines alors que tes yeux s'écarquillent : Sae ne peut pas être là, il y a forcément une erreur. Tu scrutes la foule avec horreur - tu n'as pas revu ta sœur depuis l'épisode fâcheux de la semaine dernière (bientôt sur vos écrans : le jour où ma vie s'est écroulée) et tu n'es pas certaine d'avoir envie de la retrouver dans de telles circonstances. A vrai dire, tu es même convaincue du contraire ; cette splendide maison ne ressemble en rien à votre milieu naturel, et quand bien même ça le deviendr- EST-CE QUE TON ADORABLE PETITE SOEUR EST DANS LES BRAS DU SEUL NAKAMURA QUI SEMBLE DÉTERMINÉ A NE PAS TE SUPPORTER ?!

Primo : personne ne touche à ton bébé. Parce que de ton point de vue, du haut de son mètre soixante (que tu atteins tout juste toi aussi, cela dit), Sae est figée quelque part aux alentours de son douzième anniversaire. Parce que c'était toi qui l'aidait à corriger ses exercices la veille d'un examen important, parce que c'était toi qui t'efforçait de la rassurer quand l'état de votre père devenait critique, parce que c'était toi qui lui achetait des cadeaux d'anniversaire alors que plus personne d'autre n'était là pour le lui souhaiter, parce que c'était toi qui l'emmenait choisir son premier soutien-gorge en l'absence de votre mère, parce que c'était toi qui travaillait pour lui offrir une qualité de vie correcte, parce que c'était toi. Tu ne toléreras pas qu'un dangereux prédateur sexuel ne pose ses sales pattes sur l'amour de ta vie.
Secundo : sur tous les hommes de Tokyo, pourquoi diable faut-il qu'elle ait choisi le cousin de ton. De ton. De ton tu-ne-sais-pas-vraiment-quoi mais c'est déjà suffisant pour que tu sois ouvertement scandalisée. A-t-elle seulement pensé à l'atmosphère des éventuels futurs repas de famille ?
Tertio : Hirohito Nakamura est une misérable petite peste et tu vas l'émasculer.

Tu parviens finalement à repousser Genkishi Ryota, aka le type chelou qui devrait changer de baume à lèvres, profitant de la proximité de la piscine pour le propulser directement au milieu des jeunes imbéciles qui copulent probablement dans le bassin ; ça lui apprendra, à ce malappris. Tu te retournes dramatiquement, sourcils froncés et pupilles étrécies - juste au bon moment pour croiser le regard désespéré de l'hôte de la soirée que tu ne t'apprêtes pas à assassiner sauvagement. Si tu n'étais pas devenue brutalement aussi sanguinaire qu'un ptérodactyle affamé (mais qu'est-ce que j'écris putain), tu aurais sûrement éclaté de rire face à son expression parce que oui, toi aussi, cette agitation te tape déjà sur le système. Tu lui accordes un sourire, doublé d'un coup d'oeil particulièrement significatif (du genre "j'espère que si je réduis ta famille de 50% tu m'en voudras pas trop"), et puis tu fais volte-face, t'avançant d'une démarche extrêmement déterminée vers l'objet de ta fureur. Un pas, cinq, quinze. Une fille un peu bizarre qui parle de canards s'interpose entre toi et ton nouvel ennemi juré. Tu comprends pas. Tu t'en tapes. Tu vas les lui faire manger, ses oiseaux.

"- Sae Aisaka, prononces-tu d'une voix sifflante, fermement campée à trois mètres des deux tourteaux (bisous), tes bras croisés contre ta poitrine. Pourrais-tu avoir la bonté de m'expliquer ce que tu crois être EN TRAIN DE FAIRE ?!"

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Hirohito Nakamura
Hirohito Nakamura
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Dim 22 Juin - 10:37

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #66C047 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
MUSIQUE – A peine étais-tu arrivé à proximité du buffet que tu sens une forte pression s'exercer autour de tes hanches. Il ne t'en faut pas plus pour te crisper et que ton visage arbore une grimace de douleur. Tu serais prêt à jurer que ce manque de délicatesse digne des Aisaka finirait par te tuer un jour, tu avais déjà connu la gifle mémorable de la secrétaire de ton cousin – ok tu l'avais mérité mais ton botox n'avait pas l'air du même avis si vous voyez ce que je veux dire – et te voilà désormais à très certainement rouvrir la plaie de ton abdomen par sa petite sœur, aussi secrétaire de votre concurrent, Sae, et accessoirement ta petite-amie du moment. Votre rencontre remonte à quelques semaines lorsque tu étais encore hospitalisé et il va sans dire que tu as hésité à prendre tes jambes à ton cou lorsque tu as entendu son nom : tu connais déjà une Aisaka et ça t'a largement suffit, tu n'étais pas certain de survivre à une seconde gifle. Mais à ton plus grand bonheur, mise à part sa chevelure conceptuelle, elle n'était en rien la pâle copie de cette chose qui apporte les papiers au claquement de doigt de Mushido.

Tu reposes ton poids sur ta canne, le dos légèrement courbé et te tenant l'abdomen. Heureusement que ton costume ne s'est pas reteinte en rouge en sachant que tu n'avais pas le droit de quitter l'hôpital le moins prochain et que tu avais dû user de divers stratagèmes douteux pour pouvoir sortir de cette enfer – dans divers stratagèmes douteux ça veut dire t'enfuir par la fenêtre, et tu n'es décidément pas fait pour jouer dans les films d'action. Tu esquisses un léger sourire malgré tout, reprenant une allure un peu plus distinguée face à ton amante. Une chance pour toi que tu paraisses jeune, car du haut de tes trente-cinq ans – et de surcroît de tes quatorze ans d'écart avec Sae – ainsi que de ton statut de millionnaire, tu pourrais facilement t'attirer les médias.

- Ca va, ça va, je ne suis pas à l'article de la mort non plus, dis-tu un peu nerveusement parce que tu avais quand même putain de mal, cette robe te va bien.

Avant même que tu ne commences à esquisser un sourire – parce que loin de toi l'idée de t'afficher avec elle dans des embrassades fougueuses au vu des « règles » au Japon qui demandent un minimum de pudeur entre les couples en public – tu entends une autre voix stridente se jeter sur toi. Ok OK. Ce n'était peut-être pas une si bonne idée de l'inviter. WOW mais t'as une CANNE, Mei la science infuse.
Une nouvelle mode ? Épée ? Toucher ? Quoi ? Tu fronces les sourcils. Putain un peu de tenue tu dois être la seule plouc du coin en plus FAIS TOI DISCRETE.

- …. Mei, c'est une canne parce que je me suis empalé une barre de fer dans l'abdomen et que tu m'as fait un garrot avec une putain d'écharpe. Soupires-tu exaspéré, mais ça va, dirons-nous, et t-

Pourrais-tu avoir la bonté de m'expliquer ce que tu crois être EN TRAIN DE FAIRE ?! Génial.
Merveilleuse soirée, il ne manquait plus qu'elle, tu aurais dû t'en douter. Ce n'est pas sans dire que tu es légèrement satisfait du mécontentement de l'ennemie du siècle, tu serais prêt à sourire si tu voulais te comporter comme un véritable connard. Mais.
Mais tu es un véritable connard.
Tu entoures les épaules de Sae pour la ramener près de toi, souriant presque de satisfaction.

- Aisaka, je suis navré mais je pense que ta sœur a atteint un stade de maturité où elle est capable de faire ses propres choix. Alors au lieu de gâcher la soirée en criant avec hystérie, j'aimerai mieux que tu t'occupes de ce qui te regarde.

Mushido ne serait pas très content après toi mais tu ne t'en soucis guère : il aurait très certainement agit de la même manière que toi, si ce n'est pire – il aurait sûrement lancé une grenade au milieu de la foule.
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Dim 22 Juin - 14:15



on s'amuse. lol.


C'était la pire soirée de ta vie sans aucune exagération.
Byakuya (le yakuza pailleté le plus flippant de la terre) était venu t'agresser et t'avais eu LE sursaut de recul que t'avais à chaque fois qu'il apparaissait. Mais au fond, tu l'aimais bien, Byakuya, il était vif et tellement couvert de paillettes qu'il en déposait à chaque endroit où il allait. (comme ça, c'était facile de l'retrouver, follow ze sparkles t'sais quoi.)

« Ok cool j'préfère te tutoyer au fait c'est quoi ton prénom t'es célèbre ? Et tu mens, j'aime bien l'alcool. » tu lances à l'adresses de Gabriel avant de te tourner vers Byakuya avec ton masque de diva superficielle. « Je vois que vous aussi, vous brillez toujours autant (DANS TOUS LES SENS DU TERME) Byakuya-Saaaaan. J'adore v.... »

Et t'avais pas pu finir ta phrase que tu buvais déjà la tasse. Tu t'étouffes et tu recraches l'eau que tu viens d'avaler sur Gabriel qui est juste à coté de toi, limite en train de faire la planche en regardant les étoiles tel une loutre peinarde. Puis  t'essayes de te demander COMMENT ça se fait que tu sois dans la PISCINE avec LUI ? Faille spatio-temporelle ou bien ? Puis tu commences à comprendre. Il. T'a. Poussé. Dedans. T'essayes d'estimer les dégâts ; ta coiffure a pas trop souffert et ton maquillage devrait tenir la route, t'as pas complètement mis la tête sous l'eau. Tu te dis que tu t'en sors pas si mal jusqu'à ce que PLOUF Byakuya plonge dans l'eau engendrant un raz-de-marée probablement du à ses 50 kilos d'outfits de paillettes et de liasses de billets. Tu te prends la vague dans la face et tu t'écrases sur Gabriel, tu manques te noyer puis tu te raccroches à un pan de sa chemise histoire de remonter à la surface.

« JE VAIS TOUS gfrlgrog VOUS gloubllbbl TUER SURTOUT TOI ESPECE DE STALKER DE COCKTAILS DE MIERDA DE SA RACE LA » tu hurles en oubliant que je cite « Il suffisait juste d'avoir l'air adulte ». « JE VAIS TE NOYER TU ENTENDS TE NOYER ESPECE D'EXTRATERRESTRE DEFAILLANT.  BYAKUYA AIDEZ-MOI A LE FAIRE PAYER. »

Alors tu nages jusqu'à lui et t'appuies tes mains sur sa tête histoire de bien l'enfoncer dans l'eau histoire qu'il se noie et crève comme un oursin de mer socialement inadapté à la vie sous-marine. Crève crève crève crève crève. Tu sens les larmes te monter aux yeux de rage et de dégoût. Après t’être assuré qu'il ait bien douillé t'essayes de remonter à terre en ignorant l'échelle, tu te rates et tu retombes dans l'eau.
Pourquoi ça part toujours en couilles quand t'essayes de faire les choses bien ?


ft. les riches

ON RULE LE WORLD ARRETE DE RAGER


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Dim 22 Juin - 17:02


Next Target
feat.Rich people


MUSIQUE-Aucune chance pour toi de consolider un quelconque lien. Alors que tu devenais de plus en plus confortable avec la jeune fille qui dansait comme un pied, tu te retrouvais à la mer. Ta première réaction ne fut aucunement de te débattre pour rester à la surface. Non, tu te contentas de lécher tes lèvres en regardant le plafond avant d’être submergé par l’eau. Dès lors, des images répétitives de cette femme commencèrent à s’empiler dans ton esprit. Elle était simplement délicieuse. Tu rêvassais tellement de son expression coincée que tu faillis te noyer. Certains auraient été heureux de ta mort. À vrai dire, toi-même tu en aurais été satisfait. Ça t’aurait empêché de ruiner la soirée de tous les gens présents. Mais tu étais de Colors Street, tu te devais bien d’être fidèle à la réputation de rapace de votre entreprise. D’ailleurs, parlant entreprise, en remontant à la surface, tu aperçus ton patron qui faisait trempette. Un sourire mesquin commença à te posséder alors que tu le regardais de la manière la plus vicieuse possible.

-L’eau est bonne, n’est-ce pas patron?

Tu commenças soudainement à nager sauf qu’il y avait un problème. Ta tête ne bougeait pas. Tout ton corps se mouvait sauf cette partie qui restait figé vers ton chef. Tu le regardais de la manière la plus étrange possible tentant de lui faire comprendre qu’il était magnifique lorsqu’il était trempé . En même temps, tu en profitais pour le narguer le plus possible. Mais bon, le destin t’appelait. Quelqu’un avait besoin de ton aide. Or, contrairement aux attentes, tu ne te dirigeais pas vers l’homme qui était en train de se faire tuer. Non, tu étais intéressé par cette femme qui avait trouvé le bon moment pour fuir. Malheureusement, elle avait glissé.

Pourcentage de chance qu’elle ait glissée par accident : 0%

Pourcentage de chance que tu en profites : 100%


Tel un requin, tu enlevas ton veston avant de plonger sous l’eau. Tu n'étais pas un prédateur, non , tu étais assez clément pour laisser une parcelle de ta chevelure hors de l'eau pour lui faire comprendre que tu arrivais. Une symphonie aquatique commençait d’ailleurs à résonner alors que tu t’approchais dangereusement de ta proie. Plus que quelques secondes et tu allais pouvoir mettre tes crocs sur elle. Et hop! Tu arrivas à destination, émergeant du dessous de l’eau comme le monstre du lochness. Elle devait être effrayée, mais tu ne comprenais pas pourquoi. Oui, tu ne réalisais pas que ton sourire était tout sauf rassurant. On aurait dit que tu étais en train de contempler un morceau de steak alors que ça faisait des années que tu n’avais pas mangé.

-Byakuya est occupé…

Passant habilement tes bras autour d’elle, tu la soulevas et commença à la tenir comme une mariée. Son corps était collé contre ta musculature imposante. On pouvait cette caractéristique à travers ta chemise souillée par l’eau.

-J’ai cru voir que vous aviez de la difficulté à sortir de l’eau. Mais ne vous inquiétez pas, la soirée est jeune, aussi bien en profiter...avec moi.

Tu jetas un coup d’œil rapide derrière toi, narguant tout regard qui te serait adressé. Ensuite, tu commenças à partir avec ton butin comme un voleur escaladant ainsi les marches en la trimbalant cette fois-ci comme un vulgaire sac de riz. Une fois hors de l’eau, tu la déposas sur le sol et enchaina une nouvelle valse.

-Pour sécher, quoi de mieux que de danser ?

Tu commenças ainsi à la faire tourbillonner dangereusement comme si elle était une toupie puis tout d’un coup, tu t’arrêtas, l’amenant dans tes bras pour ensuite la renverser à ta droite .Elle était en chute libre, mais au dernier instant, tu la sauvas d'une commotion cérébrale. Tu lui faisais maintenant face, recommençant ton cirque éternel.

-Quel est votre nom?


Certains diraient que tes techniques de drague étaient répétitives et périmées, mais tu comptais mettre ça au clair.

-Je vous rassure , je ne drague pas, je chasse.






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CITATION : my lover's got humour, she's the giggle at the funeral
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Gabriel Evans
Gabriel Evans
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Dim 22 Juin - 17:34


Ironie du sort, la personne qui te sauva de la noyade n’était autre que l’invité le plus F L I P P A N T de la soirée. Non mais soyons honnêtes, (a) il avait des cheveux VIOLETS (b) il était immense et (c) il avait le sourire le plus malsain de l’univers.
Sauf que quand il attrapa dans ses grandes paluches le petit corps frêle de Rumiko, elle lâcha la tête de Gabriel qui put enfin reprendre son souffle.
Il avisa Byakuya qui était probablement entrain de couler, entrainé par la demi-tonne de plumes, perles, fourrures etc qu’il avait sur le dos. Il pensa quelques secondes à l’aider mais haussa les épaules. Chacun sa merde après tout.

Tout content de sa petite trempette, le beau brun s’extirpa de l’eau, attrapant au passage une serviette qu’un domestique lui tendant. Il sécha son visage et ses cheveux avant d’aviser son pantalon trempé. Il tourna le regard vers Rumiko, encore dans la piscine avec l’espèce de prédateur sexuel et failli hurler de rire.
Elle le méritait.

Mais bon... peut-être pas à ce point là.
Lorsque Genkishi la sortit de l’eau et commença à dangereusement se frotter contre elle, Gabriel sauta sur la jeune fille et l’arracha de l’étreinte... suave du donjuan.

▬ Ahah, c’est très drôle ce que tu dis mais il se trouve que c’est ma sœur et qu’elle a un mari, il est grand, noir, fais deux mètres six et n’aime pas du tout les gens aux cheveux violets. Mais il est pas raciste hein, il est noir ! Je crois que je l’ai déjà dit. Bon bah écoute du coup j’pense que tu vas devoir trouver une nouvelle cible, pourquoi pas Miu là bas, elle est adorable, fonce, elle adore les gars comme toi, plein... d’enthousiasme.

Et elle pleine de... testostérone.
Allons, c’est pas comme si c’était un secret. Si ?

El il attrapa Rumiko avant de détaler comme un lapin, la gamine sous le bras. Une fois qu’il eut mis trois ou quatre kilomètres une bonne distance, il lâcha l’Idole et, avec un sourire, lui glissa.

▬ Bon et bah du coup je crois qu’on est quitte. Tu es trempée mais, au moins, personne ne t’a violée ! La bise.

Et il s’éclipsa comme un voleur, laissant Rumiko à ruminer à côté d’un immense bol de guacamole mais aucune chips à l’horizon. (Celui qui avait installé ça méritait la mort par crémation. Ou PIRE.)

Splok.
Splok.
Ses chaussures imbibaient le sol avec cet insupportable bruit de succion. Gabriel était monté à l’étage, explorant gaiment la maison des deux richissimes PDG de MD, dans la recherche du dressing de l’un des deux cousins. Il finit par ouvrir une porte donnant sur une immense chambre avec vue mer. Gabriel poussa un sifflement. Pas mal.
Il entra dans la chambre et commença à ouvrir les portes de la suite dans la recherche d’un dressing pour pouvoir se débarrasser de ses fringues trempées.
Il tomba sur :
- Une salle de bain,
- Un sauna personnel
- Une salle de massage
- Une salle pleine de cordes/fouets/menottes dans laquelle il évita de rentrer
- Une mini cuisine dans la chambre en cas de fringale nocturne
ET ENFIN,
- Un dressing.

Enfin le mot est faible.
Une pièce de la taille de l’appartement du président Japonais dans laquelle les étagères croulaient sous les fringues.
Gabriel soupira de soulagement.
Il enleva son pantalon et le balança derrière.
Un petit son étouffé lui signala qu’il n’était pas seul.
Et que la personne qui l’accompagnait avait désormais son pantalon trempé sur la gueule.
Et qu’il était en caleçon.
Oups.
(c) Gabitch sur AS




Oops
&
oops




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JUKEBOX : Les limites - JULIEN DORÉ.
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Byakuya Kô
Byakuya Kô
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Dim 22 Juin - 18:30





BITCHES BE COOL.

« DING DING DING DING DING -AHOUUUUUUWOU AHOUUUUWOU What does the Byakuya say ? »





HRP - RICHES
La star de cette soirée sera ta tête enfoncée dans le carrelage de ton nouveau salon défoncé.

(c) Gabitch sur AS







WHAT DOES THE FOX SAY ?

Byakuya aurait bien discuté avec la demoiselle aux cheveux de la Gay Pride mais voilà qu'elle s'était retrouvée à l'eau. Un ricanement s'échappait des lèvres du PDG tandis que le fauteur de trouble s'excusait auprès de lui pour aller faire un plongeon dans la piscine. Décidément, c'est à la mode de faire trempette dans l'eau avec tous ses vêtements ? On dirait bien. BOAF. Ils sont jeunes, ils font ce qu'ils veulent. Voilà que Byakuya faisait la rencontre d'une personne vraiment intéressante. Oui, le petit bijou de la famille Nakamura, et aussi le sujet à ne pas parler devant Mushido. Haha, ce petit monsieur aux cheveux blancs, hein ?

- Oh, alors vous êtes ce fameux Hirohito ... J'ai tant souhaité vous rencontrer !

Sauf que bon, la rencontre fut brève hein. Là, Byakuya vient de se prendre une attaque dans la gueule du genre : Sae utilise charge. Pam. Et où se trouvait le PDG à l'heure actuelle ? Dans cette PUTAIN DE PISCINE TOUT EN ETANT MOUILLÉ. D'accord, Sae est morte. Pourquoi elle avait fait ça ? Attendez un instant, elle est en train de coller ce Hirohito ... Logiquement, Hirohito est de la famille de Mushido, normal, si la secrétaire de Color Street se colle à un Motors District ... Ca va pas foutre les boules à Mushido ? Si. (quoi que, faudrait-il qu'il en ait ce coquinou). Byakuya éclatait de rire tandis qu'il pataugeait dans l'eau chlorée de la piscine. Heureusement qu'il s'était vêtue d'un costard assez simple, si il avait ramené son gros manteau en plume rosé comme tout le monde aime .... Il aurait coulé sec. Non loin de lui se trouvaient toujours les mêmes personnes. Mais si, les deux jeunes plein d'énergie, Rumiko et l'autre ... Non, l'autre, Byakuya ne le connaissait pas. Il avait la beauté fatale d'une statue grecque mais sa tête ne lui disait rien. La demoiselle idol hurlait la mort en demandant de l'aide au PDG pour effectuer un joli petit meurtre en noyant ce monsieur BG. Ohoh. Mais non, monsieur préfère regarder la scène tel un spectateur. Et il pouvait pas s'empêcher de rire ce con blondinet. On se croirait dans un film américain ou la femme tue son mari après avoir découvert qu'il la trompait avec sa sœur. N'est-ce pas terrifiant ? Oh que oui.

Par contre, Byakuya ne s'attendait pas à entendre la voix de Genkishi. Le PDG posait ses yeux sur son ami avant de sourire de toutes ses dents.

- Délicieuse, même.

Bon par contre, c'est pas le kiffe de rester dans l'eau trop longtemps. Byakuya prenait l'échelle pour sortir de cette piscine. L'eau dégoulinait tout le long de son corps et ses vêtements collaient à sa peau.
Il y avait des serviettes à disposition, Byakuya en prenait une mais avant, il enlevait sa veste pour l'essorer. Yolo admire le style d'une pub de parfum où le mec sort de l'eau d'une piscine à la DIOR. Cheveux dans le vent et bastah. Bref, on sort de ce délire et on se sèche correctement. Même ses chaussures étaient foutues. Ça faisait couic, couic, couic. Glamour, n'est-ce pas ? Digne des chaussures vendues chez Paris Avenue. Mais Byakuya avait un petit objectif en tête ... Objectif qu'il repérait très vite. Monsieur avançait vers un groupe de personne (quitte à se balader tout mouillé, il s'en battait les couilles argentées), Il trouvait Sae dans le lot. Sans gêne, le PDG emportait la demoiselle aux cheveux bleus tel un sac à patates sur ses épaules. Et c'est avec un grand sourire que Byakuya répondait aux invités :

- Permettez, je vous prend Sae-chan un instant. Que dis-je, c'est même ma petite propriété, donc je la prend sans discuter. Je vous la rendrai dans un autre état dans quelques minutes.

Dans un autre état, hein ? Ouais. Lentement, Byakuya retournait vers la piscine pour envoyer Sae dans l'eau. Aller, fais nous la bombe ! C'est biiiiiiiiien ma tendre. Et une de moins, une. Byakuya applaudissait doucement avant de continuer à se sécher avec sa serviette. Aller, cool la vie. Tranquille, hein ? Sans rancune ?

C'était "une soirée normale en compagnie du personnel de Color Street ep1".

DING DING DING DING DING


Dernière édition par Byakuya Kô le Lun 23 Juin - 13:27, édité 1 fois
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Némésis
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Dim 22 Juin - 19:16


Meanwhile chez les Nakamura
avec des gens riches.


Update : Byakuya était en train de ce noyer.
Sauter dans la piscine pour le sauver ou laisser Genkishi s'en chargé ? Well. Au pire tu prierais la bonne étoile de ton boss pour qu'il ne crève pas. De toute manière, tu sais que dans tout les cas, il se vengera tôt ou tard. T'étais bonne pour la baignade aussi. Enfin, pour le moment tu retournais à tes moutons & visiblement si tu ne l'avais pas égorgé sous le coup du câlin surprise, tu lui avait tout de même fait mal. Oups. Tu grimace légèrement, mais ça va il avait pas l'air de t'en vouloir à ce point. On allait quand même faire en sorte qu'il ne retourne pas à l’hôpital en début de soirée. Ouais, ce serait une bonne résolution ça.

Visiblement, t'es pas la personne qui a l'air de souffrir des chaussures de satan. Elle raconte tes trucs absolument dingue & passionnant, putain cette fille avait l'air trop cool même si elle s’agrippe à son partenaire comme si sa vie en dépendait. T'es encore partiellement accroché à ladite victime d'une barre de fer, alors qu'il signale que non, c'était juste une canne Oh, dommage. Sinon t'aurais pût le lui voler pour aller défier Mushido dans un match officiel à la game of Throne genre, survivra qui les dieu supportera & vu que Byakuya brillait comme un dieu avec paillettes, évidemment que tu gagnerais.

& là tu entends une voix, une voix que tu reconnaîtrais parmi milles. Sae Aisaka tu agrippes inconsciemment un pan de la veste d'Hirohito & te retourne. Miu. Pourrais-tu avoir la bonté de m'expliquer ce que tu crois être EN TRAIN DE FAIRE ?!" Elle t’engueules comme si t'avais encore 12 ans. Il est vrai que Miu avait été pour toi, une sœur, un frère & aussi une mère, mais bordel t'étais majeur t'étais plus cette gamine paumée d'autrefois. & D'ailleurs, elle t'engueule, MAIS QUI AS DISPARU DE LA MAISON ET NE REPONDAIS PLUS AU TELEPHONE DEPUIS UNE SEMAINE WO. Hirohito réagit avant toi damned. Il te prend par les épaules & resserre son éteinte. HIUTfeuheiugud. Kepassa. Tu sens que ça va mal finir, wait, wait, tu regardes Miu &....ATTEND...MIU PORTE UNE PUTAIN DE ROBE. NON. MIU A UNE VRAIE POTRINE ????????
WAIT WHAT.

Ok, alors soit Mushido avait calé ses fantasmes en créant un robot-femelle de Miu soit, TON FRERE ETAIT UNE FILLE. Oh god. Tu pètes mentalement une durite, déjà que ton cerveau était pas vraiment à sa place, GENIAL. Tu commences quand même à un peu beaucoup t'énerver, parce qu'en plus de partir comme ça, Miu était partie devenir l'objet des désirs d'un type qui ne méritait pas ça. Ahahahahahahhaha. AHAHAHAHA. Allez tous vous faire foutre putain.

« Miu Aisaka. Repends-tu sur le ton sur lequel elle t'avais interpellée. PEUX-TU ME DIRE DEPUIS QUAND TU ES UNE FILLE ? » Ok, tu débloques, mais avouez que y avais de quoi. T'étais prête à faire un speech, mais Byakuya contre attaque épisode 1. T'as rien vu venir, t'es un putain de sac à patate god & PLOUF. Voilà, tu l'avais dit, TU L'AVAIS DIT. IL ALLAIT CE VENGER, IL L'A FAIT. Gnnndjfhdu. Tu patauges dans la piscine & ça y es tu craques. Tu enlèves ta première chaussure :

« BYAKUYA-SAMA QUE MON COURROUX S'ABATTE SUR VOUS. » Tu lances tes 9cm sur de ton patron, si ça l’assomme ça fait 50 points. Touché, mais pas coulé. Dommage. Tu nages jusqu'au rebord de la piscine & en sort avant de lancer dans l'eau ta deuxième chaussure en sifflant à Seythan de retourner dans les profondeurs des abysses. Calme, TOUT VA BIEN. Respire, ouais, comme ça, tranquille, zen. OH ET PUIS PUTAIN NON, PAS CALME.
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CITATION : à nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.
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DATE D'INSCRIPTION : 24/11/2013

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Hirohito Nakamura
Hirohito Nakamura
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Dim 22 Juin - 20:06

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #66C047 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
MUSIQUE – Ok. Cette soirée devient absolument n'importe quoi. Entre un type super étrange qui harcèle une adolescente qui n'a pas  de sens esthétique capillaire très flagrant, le PDG de Color Street qui se fait mettre à l'eau qui revient de lui-même et qui emporte ta petite-amie comme un sac à patate alors que tu vas recevoir les foudres de ta belle sœur (♥) et très probablement de ton cousin tandis que ta petite-amie finit dans la piscine et que Mei s'accroche à toi avec désespoir et que tu souffres et que là c'est vraiment trop et que y a de la musique trop f- WOW OK STOP IT.
Tu t'extirpes super discrètement de la foule en faisant un léger signe de main à Sae en espérant qu'elle vise mieux son boss avec sa seconde chaussure la prochaine fois – si la concurrence peut se détruire de l'intérieur ça ne pourrait que faire plaisir à ton sadique de cousin.
Tu t'aventures à l'intérieur de ta demeure, montant jusqu'à ta chambre pour t'y reposer parce que Sae vient très probablement de rouvrir ta plaie et c'est pas que t'as mal mais t'as l'impression de te faire violer l'abdomen par... par un tas de choses dont tu ne préfères pas imaginer la consistance. Tu t'étales sur ton lit avant qu'un son s'extirpant de ton dressing attire ton attention. Tu arques un sourcil et au moment de rentrer tu te prends quelque chose d'humide au travers du visage.
Lui.

- … Oh-oh. ... Oh-oh-oh ? j'essaye de comprendre le pourquoi du comment.

Tu serres ta canne, l'air pas franchement avenant.

- Et je crois que vous allez devoir redoubler d'imagination pour expliquer ce que vous êtes en train de foutre dans mon dressing.

Tu gardes tes distances, on sait jamais. T'es pas vraiment en état de faire que ce soit alors par défaut, tu prends l'air méchant.
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Dim 22 Juin - 20:48

millionnaires & excentriques
Libre juste aux riches★ Proses en #339c53 ★ Codage par ©Paindore sur APPLE SPRING
Tout allait de travers dans cette «soirée » qui s’était transformé en un espèce de mind fuck complet. Entre Genkishi qui s’amusait à harceler toutes les personnes avec un vagin avec une manière plutôt particulière qui constituais à porter atteinte à l’intégrité physique de sa proie, et entre Byakuya, un homme tellement sans-gêne qu’il serait capable de soigner des cancers juste avec son extravagance. Mais le plus intéressant dans tout ça, c’était sûrement Miu qui s’approchait de sa sœur pour littéralement l’agresser et lui demander des comptes. Après tout, pourquoi pas. Tu imaginais déjà le regard terrifié de Sae et ça suffisait à te faire sourire, la scène allait être comique. Le problème, c’est que ton cousin n’avait rien trouvé de plus intelligent que d’intervenir dans la conversation pour envoyer chier gracieusement Miu. Bien sûr, s’il avait réellement pris le parti de Sae Aisaka dans cette histoire, tu serais également venu défendre ton partie qui se trouvait être dans tous les cas celui de Miu. Cependant, tu connaissais tout de même ton cousin, plus que ce qu’il pouvait penser. Hirohito Nakamura, qui était devenu si froid, se trouvant une petite amie pendant son hospitalisation, personne qui se trouvait comme par hasard être la petite sœur de la personne la plus proche de toi ? Soit il faisait ça uniquement pour emmerder Miu, soit c’était encore plus vicieux que ça.

Et puis, est-ce que tu avais vraiment besoin d’intervenir dans cette embrouille ? Pour Miu, Hirohito n’était sûrement qu’un morceau de plus à bouffer. Et tu te voyais mal te mettre entre ta petite amie en mode berserker et ses deux futures victimes. Tu avais un peu peur de prendre une nouvelle gifle devant tout le monde, chose qui malheureusement t’entraînerais à éliminer littéralement toutes les personnes présentes dans cette petite soirée et incendier ensuite ta maison en chantant à la Néron. Cependant, la réplique de Sae avait tout pour te mettre à l’aise. Depuis quand tu es une fille ? Bah t’es conne ? Depuis sa nai… Ah ouais, nan, c’est vrai que t’avais embrassé un homme. Madness.

Tu levais les yeux vers la gauche, si elle commençait à balancer des choses comme ça en plein réception, ça risquerait d’entraîner des rumeurs sur ta petit amie et secrétaire. Et qui dit des rumeurs sur ta secrétaire dit avoir toi aussi les journalistes au cul ET CETTE SOIREE ETAIT ABSOLUMENT CATASTROPHIQUE, OU SONT MES ARMES ? Tu regardais Byakuya sortir de l’eau, il était bien meilleur pour faire des pubs pour sous-vêtements pour homme que pour gérer une entreprise et qu’est-ce que je raconte moi. Cette soirée commençait à déteindre sur ta santé mentale si bien que tu qualifierais presque Byakuya de sauveur, tant il avait sauvé la situation en envoyant le personnage de league of legend dans l’eau. Tu te glissais comme un renard (ça glisse les renards sur un skateboard) jusqu’à la jeune cyborg aux cheveux à la couleur improbable, vu que les blagues capillaires sont à la mode. Tu l’attrapais discrètement par la main et lui murmurais dans l’oreille pendant que l’attention était tournée vers le grand singe rose qui venait de se faire lapider par la chaussure du petit chimpanzé bleu. Chose compréhensible, c’est difficile pour un chimpanzé de marcher avec des talons. C’est fait pour vivre pieds nues ces créatures.

─ Cette fois, je te propose d’être celui qui t’empêchera de faire un meurtre. Je ne te dirais pas que c’est pour ne pas gâcher cette soirée, parce que de toute évidence, c’est déjà un bordel sans nom. En revanche, on pourrait plutôt profiter de la soirée ensemble, tu ne penses pas ?

Tu tirais un peu sur sa main pour l’entraîner avec toi, sans lui laisser le temps de protester. Après tout, si être une secrétaire signifiait appartenir à son PDG comme semblait le sous-entendre Byakuya, la jeune cyborg était doublement à toi et avait pour mission divine de te tenir compagnie et de te servir de bouclier humain contre les postillons des gros riches qui avaient l’air de te chercher comme on cherche des amis sur facebook. Tu l’approchais de l’entrée de la villa, la tirant contre toi en faisant fi des regards des autres, ils étaient de toute façon bien plus occuper par l’espèce de documentaire animalier qui se déroulait autour de la piscine.

─ Tu as le choix, tu peux rester dans la piscine en attendant que monsieur « laisse-moi danser nue au clair de lune avec toi et partageons notre salive » ne vienne te chercher à nouveau, tu peux rester avec ta sœur à hurler comme une hystérique et faire profiter tout le peuple de vos histoires de famille ou alors tu peux me laisser te faire visiter ? Sachant que la première option peut entraîner des sanctions allant du fouet à la balle dans la tête.

Tu avais dit la dernière phrase avec humour, bien sûr. La balle dans la tête, c’est tellement 2013.

hrp : mon cerveau a fondu pour ce post, désolé.
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DATE D'INSCRIPTION : 22/04/2014

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James Winchester
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Dim 22 Juin - 20:58

Yolo
FEAT. RICHOS
Invitation pour une crémaillère chez les Nakamura tout juste quand tu récupères tes yeux. Bon, au moins ça tombait pas avant & tu allais pouvoir très probablement profité d'un spectacle très intéressant. Tu poses tes nouveaux yeux made in Sebastien, traqueur & probablement MD pour avoir atteint un tel niveau de technologie sur ton invitation. Tu regardes l'adresse, regarde la villa en face de la tienne de ta fenêtre, puis la carte, puis la villa, puis re la carte. Bien, génial James t'avais les Nakamura en voisin. Génial, youhou. T'avais plus qu'à t'acheter des jumelles & c'était la télé réalité tout les jours.

Bon visiblement, fallait que tu y traînes ta secrétaire pour la forme, tu prends ton portable. MEI KURONA. Ca allait vraiment être le bordel, mais bon, au stade où t'en était. Tu lui demandes avec la plus grande délicatesse du monde d'aller à PA ou sinon tu allais détruire sa vie. En attendant, tu te prépares. Costume noir, chemise blanche, mouchoir bleu. Parfait. Tu montes dans ta voiture & va donc chercher ta cavalières aux locaux de l'entreprise, c'était plus simple d'aller la chercher là-bas après qu'elle soit passer entre les mains de temps employés que de tout faire ici avec Zero.

Bon, après vu que j'ai la flemme d'écrire & de jouer deux perso dans ce rp on va survoler tout le passage de l'arrivée la voiture & de tout ce qui va avec parce que c'est trop la mort, putain laisser James faire la plante verte  merci. Bref, t'as Mei agrippée à toi, comme une gamine de 5 ans s'agripperait à son doudou, mais c'était pas très grave. Vous vous avancez & visiblement Color Street avait la forme. Coucou Byakuya dommage que tu n'ai pas ton manteau sur toi, ça t'aurais aidé à couler sinon l'eau et bonne ? Bref. Tu salues rapidement les gens & finalement tu te poses tranquillement sur une chaise & sors ton caméscope yoloposey tout va bien & tu filmes. Entre CS qui s’amuse & fout la merde & Mushido qui allait très probablement pas tarder à pété un câble t'aurais de quoi faire la vidéo de l'année sérieux. Bon génial, t'avais le PDG de CS aka le grand singe à nager comme un petit chien & oh Mushido qui va pécho. Il cherche à s’éloigner mais, de un : t'es entre l'entrée & la piscine. Deux, il t'as pas vu. Trois : LE PEUPLE SOUS ESTIMAIT LA PUISSANCE DU MATÉRIEL DE PA & DE SON ZOOM.
Joie.

HRP : I QUIT.
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CITATION : [20:55:52] @ Miu Aisaka : Tu es très beau Mushido (je laisse ça me fait rire)
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Miu Aisaka
Miu Aisaka
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Dim 22 Juin - 21:56



the great gatsby : le remix
HRP ; si on partait du principe qu'on est tous débiles et qu'on arrêtait de mettre des HRP ???

Update : Hirohito Nakamura vient de te demander clairement de t'occuper de ce qui te regarde. Le truc, c'est que tu es tout à fait concernée par les hypothétiques pénis ambulants qui sont en position d'entrer (ou de sortir, pour ce que tu en sais) dans ta petite sœur et que tu as plus ou moins dans l'idée de lui trancher le sien avant qu'il ne soit trop tard. D'ailleurs, si quelqu'un pouvait t'apporter une scie rouillée, tu lui en serais éternellement reconnaissante.

Update : Byakuya Ko, directeur de l'entreprise rivale, vient de qualifier Sae de sa propriété, et tu espères qu'un poste de tel prestige s'accompagne d'une excellente assurance vie parce que si personne ne te retient tu vas effectuer une génocide de masse au beau milieu de la pendaison de crémaillère (même si tu es plutôt d'avis de pendre les invités que les crémaillères, les crémaillères ne t'ont rien fait de répréhensible, pitié pour les crémaillères vive la république sauvez la France) de ton petit ami, ou dieu seul sait ce qu'il est sensé représenter pour toi.

Update : Sae Aisaka, outre le fait qu'elle soit désormais en train de flotter pitoyablement dans la piscine, a eu l'audace de te demander depuis quand tu es une fille - mais enfin c'est une question stupide tu es une fille depuis toujours PERSONNE NE PEUT PROUVER LE CONTRAIRE DANS L'ASSISTANCE pour l'excellente raison qu'aujourd'hui, avec ton adorable robe assez coûteuse pour nourrir toute une famille d'immigrés pendant trois semaines, on voit très bien que tu es tout à fait en mesure d'enfanter ; enfin t'en sais rien, t'as pas franchement demandé au type du magasin de literie s'il t'avait gratifiée d'ovules fonctionnels, et tu te vois plutôt mal retourner lui poser la question. Toujours est-il que ce soir, tu es tout ce qu'il y a de plus girly, et que tu aurais apprécié de sa part qu'elle n'ignore pas totalement ton amorce d'engueulade sévère - parce que tu étais bien partie pour lui reprocher 1) ses choix de vie 2) ses choix de partenaires 3) ses choix vestimentaires du jour 4) cette dispute de quand elle avait douze ans et qu'elle t'a collé une gifle pour te voler la télécommande alors que tu regardais Sakura Card Captor 5) son absence totale de considération à ton égard alors que hey bon d'accord tu l'ignores magistralement depuis une bonne semaine mais un câlin n'aurait pas été de refus 6) le fait que sur tous les célibataires riches de Tokyo elle ait jeté son dévolu sur l'abruti qui tient lieu de cousin à ton boss qui se trouve accessoirement être ton copain. Ouais. Tu vas taper un scandale. Et tu vas tous les brûler.

Update : Tu es presque certaine d'avoir entendu Gabriel Evans prononcer ton nom mais peut-être bien que t'as rêvé, en tout cas tu l'espères, parce que t'as déjà largement assez de soucis sans te préoccuper de ce que cette pute de luxe peut bien te vouloir.

Update : Mushido Nakamura, héros de ta soirée et sûrement un peu du reste de ta vie, vole à ta rescousse. Ou plutôt à celle du reste de l'univers, a fortiori de son imbécile de clone décoloré. Sa main se glisse dans la tienne, et si cette démonstration d'affection abominablement médiatique te met mal à l'aise, elle aurait presque le mérite de te calmer - on pourrait plutôt profiter de la soirée ensemble, tu ne penses pas ? D'accord. Toi qui pensait tuer (toute l'assistance) le temps à jouer au cluedo toute seule dans ton coin (de toute façon c'est toujours le colonel Moutarde, tu n'as pas franchement besoin d'un adversaire) jusqu'à deux ou trois heures du matin avant de t'éclipser en catimini sans demander ton reste, c'est raté. Non pas que son comportement excessivement sentimental te dérange ; tu ne fais même pas l'effort de faire semblant de résister alors qu'il t'entraîne loin de la piscine, et de fait, de l'objet principal de ta rage actuelle. Tu t'accordes dix bonnes secondes pour le dévisager, la flamme de la colère qui illuminait jusqu'alors tes iris s'adoucissant légèrement - il est assez mignon, ce soir. Un peu comme tous les soirs d'ailleurs, mais là n'est pas la question. Il te ramène contre lui, t'expose calmement tes options. Un, retourner avec le type suspect que tu n'as pas eu le moindre remord à chercher à noyer il y a de cela trois minutes, ce qui n'a pas franchement l'air de le ravir. Deux, repartir t'égosiller sur ta petite soeur, faisant fi des invités, des bonnes manières, et de l'état de tes cordes vocales. Trois, visiter cette splendide villa qui à vrai dire te fait de l'oeil depuis que tu es arrivée, parce que les grandes maisons, c'est ta passion dans la vie (ou du moins c'est celle de la joueuse alors on va faire comme si), et ce en la compagnie du maître des lieux, à savoir lui-même. Si tu n'étais pas aussi secouée par cet enchaînement particulièrement brutal de révélations, ton choix serait probablement déjà fait. Tu serres les dents, caresses le devant de son blazer du bout des doigts, énumérant mentalement toutes les bonnes raisons que tu pourrais bien avoir ne pas pulvériser chacune des personnes actuellement présentes - et dieu c'est fou à quel point c'est difficile parce que tu les hais tu les hais tu les hais.

"- Bien, finis-tu par lui répondre de mauvaise grâce. Tu t'agrippes au tissu de sa chemise, te dressant sur la pointe des pieds pour venir murmurer à son oreille. Ton cousin se tape ouvertement ma Sae. Ma Sae qui il y a quelques années tout juste venait pleurer dans ma chambre à chaque fois qu'il y avait de l'orage parce que le bruit la terrifiait. Ma Sae qui vient à peine de fêter son vingt-et-unième anniversaire et qui franchement n'en est pas encore arrivée à ce niveau de maturité. S'il pose ne serait-ce que l'index au mauvais endroit en ma présence, je le détruis, et le gorille narcissique bodybuildé avec. Tu t'écartes, reviens instantanément, tes lèvres effleurant les siennes, un sourire cynique écorchant tes traits. Alors, qu'est-ce que tu attends pour me faire visiter ?"

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Dim 22 Juin - 22:15



on s'amuse. lol.


Tu t'es retrouvé à valser avec un détraqué sexuel, le gars chelou t'as sauvé puis s'est enfui. En gros, t'en es à là. Brouillard. Les gens te jettent des regards genre « c'est qui cette meuf trempée qui salit le tapis » et tu leur lances LE REGARD DE LA MORT. Genre archi-méchant mais là t'as plutôt l'air d'un cocker enrhumée qu'autre chose. Misère. Tu fermes les yeux ; ok réfléchie rumiko réfléchie il y a forcément une solution. Quand tu rouvres les yeux tu avises la porte menant sur les salles de bains et les chambres et sûrement le sauna la bibliothèque le spa la salle de sport et la deuxième salle de bal tant qu'on y est !!!! Bande de putes, va.
Tu t'y faufiles sur la pointe de tes talons (comme si t'avais le choix) et t'ouvres un peu toutes les portes jusqu'à tomber sur une salle de bain. JACKPOT. T'évalues les dégâts vite fait ; ok cheveux qui partent en couilles, traînées noires sur le visage air de déterré. Tu subtilises ton maquillage dans ta pochette et tu te remaquilles rapidement. Ok c'est bon ? Parfait.
C'est alors que t'entends des bruits suspects. Des sons, des cris. DES TRUCS SEXUELS OHOHOHOH ? Non en vrai on était dans une soirée de riche avec des riches et des péteux qui se sentaient en mode décadence&pute&sex&opéra BITCH. Donc voilà c'était probable.

Tu suis la source du bruit et tu tombes sur un dressing de connard (càd tellement fourni que tu pourrais habiller tout un pays d'Afrique avec). Et là plot twist de fou ; tu tombes sur GABRIEL & Hirotruc Nakamura. Pire ; Gabriel n'a plus de pantalon. ENCORE PIRE ; il est entre les mains de Hirotruc. Tu jubiles inférieurement tandis que tu te saisis de ton téléphone.

« Ah nous deux, Nakamura... je serais celle qui te feras tomber de TON PIEDESTRAL MOUHAHAHAHAHAHA. » bon évidemment tu murmures, parce que discrétion 0 sinon. Tu sors ton portable de ta pochette (oui il a survécu à la piscine oui il est terminator oui c'est parfaitement crédible). Et tu choisis l'option appareil photo.

CLAC.
Oho.
T'avais pas prévu ça. T'avais pas prévu que ton portable soit pas en silencieux.
T'avais pas prévu le bruit immonde de l'iphone.
Alors forcément ils se tournent vers toi avec des yeux de camemberts frits en mode « wallah on va te découper en rondelle keskiya yakuza prise de kung-fu dans ta face scélérat ». Tu fais un pas en arrière. Deux puis trois et tu sens qu'la tension monte un peu.

« Aha... ahah... bonjour bonjour lol ! Je fais que passer ! J'ai rien vu ! C'était quoi ce clac y'a deux secondes ? Moi personnellement j'en ai AUCUNE idée !!!! » Elle recule, s'éclate contre le mur, tâtonne et trouve la poignée avant de s'enfuir en courant. « A PLUS LES PLOUUUUCS ».

Elle court comme une déjantée parmi la foule. Mei t'es où putain MEI T'ES OU ? Elle la trouve pas, fini par tomber sur Byakuya.

« Regarde Byakuya REGARDE CE QUE J'AI TROUVE ! » et elle aborde fièrement la photo où on voit clairement Gabriel en caleçon et Hirohito TENANT LE PANTALON DE GABRIEL avec un air parfaitement lubrique (+ un effet instagram sinon c'est pas beau les couleurs). « Déjà 1000 likes sur instagram ! C'est la gloire !!!! » Bon, maintenant tu devras les éviter pour tout le reste de la soirée et même de la vie. MAIS C'EST QUAND MÊME LA GLOIRE.


ft. les riches

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Elisa D. Boulay
Elisa D. Boulay
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Dim 22 Juin - 22:40

Let them rise and rise…

Il faut dire qu’il y a plusieurs moyens de se remettre d’un deuil, d’un mal qui nous ronge. Certains tentent de penser à autre chose, d’autres se trouvent des passe-temps. La plupart finissent par se sortir de ça en sortant et en s’appuyant sur des gens. Quand on n’a personne, c’est plus complexe. Avec Rosalind ailleurs, avec Luke, elle se retrouve seule. Il est alors dur de passer au travers de telles étapes sans flancher, sans tomber. Dieu sait qu’elle est tombée bas. Mais on se trouve des moyens d’en sortir.

Et ça, c’est un moyen comme un autre.

À ta mémoire, mon chou, parce que je sais que si tu avais toujours été là, tu aurais adoré.

Doucement, dans le silence, elle préparait le plus gros coup qu’elle ferait, probablement, à vie.

Au Diable hacker le gouvernement. Au Diable trouver des informations confidentielles. Quelque-chose d’appétissant s’était montré devant ses yeux rosés.

Ça allait être magistral.

Seiryo aurait adoré être témoin de ça, ou même d’y participer. Ensemble, ils étaient imbattables. Seule, elle restait puissante, mais sans pilier, ce coup allait être difficile.

Sans Sei, elle serait probablement en prison à l’heure qu’il est pour son message envoyé à toute la population de Tokyo suite à la torture de sa sœur. Revoir trois ou quatre fois les codes avant de les envoyer, check.

Si non…

C’est beau la vie, quand tu es riche et que tu te retrouves invité à une fête.

Enfin.

Elle avait été invitée, elle et ses parents. Évidemment, ses parents ne viendraient pas. Elle serait seule, parce que Rosalind ne viendrait pas, elle non plus. Ce n’est pas son genre et c’est totalement compréhensible.

Alors, elle est seule. Mais ça ne dérange pas. Parce que, pour ce qu’elle va faire, elle nécessite cette précieuse solitude, ce précieux temps. Personne n’a encore eu les plans de cette illustre demeure – même si ça aurait été, disons-le, vachement utile pour son prochain coup. Elle devra trouver ce qu’elle cherche seule, en sillonnant chaque petit recoin de cette trop grande demeure.

Elle ferait avec.

Le plus long, ça a été le discours des deux frères. La musique n’était pas nécessairement bonne, non plus. Enfin. Moins bonne que celle de Rosa. La musique de Rosa était imbattable.

Mais il fallait impérativement qu’elle attende que tout le monde soit en train de faire quelque-chose, peu importe ce que c’était, qui attirerait l’attention pour être en mesure de s’éclipser.

Et le moment tant attendu ne s’était pas laissé désirer. Alors qu’elle évitait les regards, tentant de ne pas trop parler aux gens – son japonais est toujours aussi merdique, s’entend – la Scandinave fit bien vite une rencontre inattendue avec le bruit de l’eau qui éclabousse et des cris assez nombreux.

Eh bah voilà, distraction.

Tout le monde allait probablement graviter autour d’eux, ne serait-ce que pour un petit moment, alors elle avait tout le temps qu’il lui fallait.

Où se trouvait normalement un bureau d’ordinateur?

Son meilleur raisonnement restait soit en haut, avec les chambres à coucher, soit en bas, pour faire concept agent secret dans un bureau caché.

C’est bien les agents secrets, mais si elle veut suivre ses instincts, elle serait probablement mieux de monter. Regard à gauche.

Regard à droite. Parfait. Tout le monde a les yeux rivés ailleurs, c’est le bon moment de s’éclipser. Faire la touriste.

Tant qu’elle ne trébuche pas dans les escaliers. Non. Ce n’est. Pas le moment. Non.

De ses deux mains, son sac à main collé entre son corps et son bras, elle empoigne sa longue robe violette et laisse assez d’espace à ses pieds pour monter les escaliers – foutus talons, argh! – sans trop se faire mal. Elle ne trébuche qu’une fois.

Record mondial.

Oulà, c’est joli, en haut, regardez comme y’a personne.

C’est parfait.

… Oh non mais y’a combien de portes dans ce truc.

Shit.

Okay, panique pas, c’est juste des portes. Même si les portes c’EST EVIL OK Y’EN A UNE QUI VA DÉCLENCHER UNE ALARME CHECK BEN ÇA.

Mais non en fait c’est des riches ils sont showoff ils vont plus faire genre ‘yo regardez mes fancy shits’ ils ne vont pas foutre d’alarme ils vont les montrer leurs trucs cools. Bandes d’exhibitionnistes.
Première porte.

Nope.

Deuxième porte.

Nope.

Troisième porte.

Ew.

Quatrième p—Ah!

Elle y est. Soupir de soulagement. Excitation qui monte.

Personne ne sait qu’elle est ici. Jamais elle n’oserait dire ça à quelqu’un, qui que ce soit. Le danger même de cette mission est palpable, bien présent. Il pénètre dans ses pores. Elle se sent vivante. Enfin. Oulà, c’est joli, en haut, regardez comme y’a personne.

C’est parfait.

« Yesssss. »

Elle soupire, posant ses yeux sur le bureau, où un ordinateur portable, fermé, se tient, inerte.

Mais pas qu’un ordinateur portable. L’ordinateur portable. LE. Ordinateur. Portable. Le truc qui coûte hyper trop cher.

Ça doit gamer bien.

Si elle avait eu le temps, elle aurait probablement joué à Watch Dogs ou un truc comme ça. Mais là…

Elle éclaircit sa gorge.

C’est le temps de faire des miracles.

Elle referme la porte derrière elle, tout doucement. Oh, y’a un verrou.

Heheheh.

Elle l’enclenche. Allez hop.

Roksana contourne le bureau, s’assoit sur la chaise, rouvre le capot de l’ordinateur.

Mot de passe.

Évidemment.

C’est risible.

Hacker en robe, c’est louche, c’est loin d’être aussi confortable qu’un pyjama, ça n’a vraiment pas la même sensation sur une chaise d’ordinateur, mais c’est faisable.

Elle s’empare de son sac à main, prenant son disque dur, sa clé USB. Maintenant qu’elle y est… Il est temps de s’amuser un peu.

Quelques secondes à peine pour décrypter le mot de passe.

Quelques minutes pour se retrouver dans les fichiers de Motors District.

Les gants l’aideront à garder l’anonymat. Ça fait concept, en plus, parce que ça va avec sa robe.

Bruits incessant des touches pressées incessamment sur ce clavier intensément ample et moderne. Elle aura eu la chance de toucher ne serait-ce qu’une fois à ça et c’est la chose la plus merveilleuse au monde.

Ça ne lui prend que quelques dizaines de minutes avant de tomber sur une mine d’or. Ses yeux s’écarquillent.

« Bingo. »

Elle télécharge les données sur son disque dur. L’ordinateur ne prend que quelques secondes à tout le faire.

Tant de puissance.

Mais elle n’est qu’ici pour voler des données. Rien d’autre. Elle débranche son disque dur, sort de l’encryptions, des codes, revient sur le bureau. Ni vue, ni connue.

Mais elle ne peut pas partir sans signature.

Elle branche sa clé USB, laisse les données se faire une toile épaisse dans l’ordinateur.

Ce sera un beau cadeau.

C’est dommage de ruiner un si bel ordinateur.

Ce ne sera presque rien. Juste un petit quelque-chose bien chiant qui ne fera que refermer l’ordinateur à chaque fois qu’il sera utilisé plus que cinq minutes.

Totalement chiant. Et très difficile à enlever.

In your faces, MD.

Elle repose son disque dur et sa clé dans son sac. Elle a fait ce qu’elle devait faire.

Maintenant, il est temps de déguerpir.
’cause one day, they’re gonna fall.


Dernière édition par Rosa & Roksa Solberg le Mar 24 Juin - 16:44, édité 1 fois
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