Today is a good day. Du moins si on peut dire ça comme ça. Mais si, aujourd'hui est un bon jour, du moins cette fin d'après-midi était calme et agréable. Dans l'appartement de Byakuya, le silence n'existe pas. Une petite musique fait toujours acte de présence dans cet immense appartement. Le dimanche est un jour chiant, pas pour Byakuya. Il a de quoi faire, à regarder des magazines de mode et d'art, à regarder la télévision pour savoir si ça parle de COLOR STREET ou encore des autres entreprises aussi pathétiques les unes que des autres. Mais le dimanche est un bon jour pour inviter quelques amis. Mais ces amis n'en représentait qu'une seule pour Byakuya, une amie qu'il connait depuis la création de l'entreprise, depuis leur rencontre dans cette école de commerce. Daya, cette tendre petite Daya, sous-directeur de la grande entreprise artistique de la capitale Nippon. Sacré caractère, mais c'est pour ça que Byakuya l'adorait. Et c'est pour ça qu'il l'avait invité chez lui aujourd'hui à manger un morceau, il avait juste besoin de compagnie. Bon pour cette rencontre, il ne s'était pas habillé d'une façon trop classe. Non. Toujours aussi excentrique ce mongole : il avait enfilé un costume qu'on appelle Kirugumi. Oui, ce genre de pyjama de toutes les couleurs avec un effet sarouel aux jambes. Y'a rien de plus swag. De plus, le kirugumi que portait Byakuya avait des motifs de tigre (bref, comme l'image sur le côté, je suis trop quiche pour décrire une fucking image, fabulous.)
Voilà qu'on sonne à la porte, Byakuya ne perdait pas de temps pour ouvrir la porte à son invité, le grand sourire aux lèvres.
- Daya-chaaaan. Tu ne connais pas du tout la définition du mot retard, c'est splendide ! Oh, fais pas attention à mon costume, c'est un collègue qui voulait que je l'essaye pour voir si c'était perfect ou non.
Byakuya, ou l'art d'avoir la joie de vivre 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il n'allait pas accueillir sa chère amie avec une mine déconfite, plutôt crever.
- Quoi de neuf, mh ? Tu passes un bon week-end sans tes petits employés adorés ? Ah j't'en prie ma tendre, installe toi.
Qui sait, on ne peut pas supporter tout le monde dans cet univers de malade. Et oui, Byakuya savait être poto avec des gens. Etonnant n'est-ce pas ? Non, pas tellement. C'est un putain de sociable, il faut pas croire.
Le Swag de COLOR STREET.
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Dim 20 Juil - 1:30
yeah swag du poulpe
ft. Byakuya Kô Chez Color Street on à de la mourtade, Chez Color Street on à les paillettes, yo.
Aujourd'hui c'était un jour spécial. Non pas parce qu'on était dimanche, donc un jour de repos, mais plutôt parce que Byakuya avait décidé de t'inviter chez lui pour que vous puissiez casser la croûte ensemble et peut-être même parler de ce qui se passe dans l'entreprise ensemble, bien que ça ne soit pas trop agréable de parler boulot un jour de repos. Surtout qu'en ce dimanche matin, tu n'étais pas du tout dans cet état d'esprit, alors. Tu t'empresses de te lever et de faire tous tes gestes quotidiens habituels que ce soit ceux qui te concernent ou ceux que tu entreprends pour soigner tes animaux d'ailleurs, puis tu te presses dans ta salle de bain pour te pouponner et te chouchouter pour ne pas avoir une sale dégaine devant Byakuya, car c'était ton patron, certes, mais tu le faisais plus pour ne pas avoir une tête de morte vivante devant ton ami et tirer la gueule pendant tout le reste de l'après-midi. Bref. Au moment où tu t'apprêtes à sortir de chez toi, comme à leur habitude tes peluches attendent toutes un petit câlin d'au revoir, un peu comme des enfants qui vont à leur premier jour d'école, sauf que là, c'était toi qui quittait le nid pour quelques heures et non l'inverse. D'ailleurs, tes animaux eux aussi semblaient vouloir un peu d'attention. Que tu leur offres sans problème d'ailleurs, mais à un moment donné tu devras bien partir pour aller chez Byakuya, n'aimant pas du tout être en retard tu fais un dernier câlin à ton chat et à ton furet puis tu files vite fait devant la porte pour fuir à toutes ces envies de tendresse, prononçant un au revoir général à toute la troupe avant de fermer la porte derrière toi et de te rendre finalement à Minato.
Avant de te rendre chez Byakuya, tu tenais quand même à lui prendre un petit quelque chose sur la route ainsi qu'une petite boisson pour la route. C'est en faisant du lèche-vitrine tout en faufilant entre les marchands encore ouverts que tu tombes sur le cadeau parfait pour Byakuya. Tu savais qu'il aimait les trucs originaux, alors tu cherchais quelques chose d'aussi original que son tempérament tout en étant en accord avec son style habituel. Prenant le cadeau en question dans un sac, tu remercies le vendeur en te penchant légèrement en avant puis tu pars en quête d'un petit truc à boire à ramener pour l'après-midi. Bien qu'au final, ton attention se porte plus sur une pâtisserie que sur une boisson. Un fraisier parfait et énorme te faisant de l'oeil tout en restant tranquillement à l'abri de tous dans sa petite vitrine réfrigérée. Tu entres donc dans la pâtisserie et achète le dit gâteau avant de te diriger, enfin, vers l'appartement de Byakuya. Tu n'étais jamais allé chez lui, du coup c'était vraiment une découverte pour toi et trouver cette maison s'avérait plutôt difficile, dans un premier. Mais, sortant le petit pense-bête que tu avais eu le soin de mettre dans ton sac la veille, tu lâches un petit soupire, soulagée, te dirigeant d'un pas sur et motiver chez Byakuya.
Arriver devant la porte, tu sonnes et attend patiemment qu'il vienne t'ouvrir la porte en regardant le papier peint du couloir avec beaucoup d'attention, essayant de deviner si c'était un effet ou si c'était vraiment une matière qui recouvrait les murs, mais, tes interrogations se terminèrent aussitôt que Byakuya avait ouvert la porte, le regardant, ne pouvant pas t'empêcher de lui sourire à ton tour en voyant ce si large sourire qu'il abordait.
— Oh ! Il est magnifique ton kirugumi, il fait ressortir ton côté bestial. Dis-tu en gonflant légèrement tes joues tout en ricanant discrètement, pour le taquiner, évidemment.
Tu entres donc timidement et est émerveillé par la beauté et la grandeur de son appartement, surtout par la grandeur de son salon. Il était grand, trop grand pour un appartement, ça te rappelait un peu ta propre villa, dans les agencements de l'appartement surtout. Déposant la boite contenant le gâteau sur la table tu regardes Byakuya tout en replaçant une de tes mèches de cheveux qui s'étaient furtivement placée devant tes iris bleutés.
— J'ai apporté un gâteau ! Mais par contre faudra le mettre au frais je pense. Puis, tout en lui parlant tu poses l'autre sac sur la table, le tenant toujours du bout de tes doigts, regardant Byakuya en lui souriant doucement, penchant la tête légèrement sur le coté.
— Quoi de neuf ? Eh bien j'ai enfin changé de lieu de vie et du coup, y'a plus de place pour Polochon, il à un énorme aquarium au milieu du salon, il a l'air très heureux dedans du coup ça me rend super heureuse pour lui. Tu souris puis tu poses ton index sur ta joue en regardant sur les cotés.
— Mmmmmh, moui, le week-end se passe bien et puis les employés on les revoit demain alors ça va, huhu. OH !
Tu tapes dans la pomme de ta main droite avec ton poing et tu regardes Byakuya en prenant une mine plus ou moins triste.
— Par contre y'a un employé qui est venu me voir y'a pas longtemps, mh. Genkishi Ryouta, tu sais, celui qui s'occupe des finances il me semble ! Et, euh. Je crois qu'il a une dent contre moi.
Tu regardes Byakuya en faisant la moue puis tu soupires en te baladant un peu dans son salon regardant par les baies vitrées la vue panoramique qu'il avait depuis son fauteuil en pointant Color Street du doigt.
— Oh on voit Color Street d'ici ? Ha non. Quoi que si. Gnh. Te murmures-tu à toi-même en attendant que Byakuya réagisse, le sac contenant son petit cadeau se trouvant toujours dans ta main.
☆ HRP ; Désolée je devais te répondre avant que tu t'absente, mais j'ai sauvagement été attaqué par la nature ;w;.
- N'est-ce pas ? Je trouve ça plutôt confortable et stylé. On devrait en faire notre propre collection même si nous ne gérons pas le monde de la mode comme Paris Avenue. Qu'importe, la mode est un art, le stylisme est une découverte.
Il laissait entrer la jolie demoiselle, elle qui tenait un objet fort intéressant dans ses mains. Ell n'était vraiment pas obligée de ramener un petit cadeau pour lui ou elle ou les deux.
- Cette gentillesse va te tuer un jour, ma tendre. Mais ça me fait plaisir.
Le PDG prenait ce carton dans la cuisine, plaçant celui-ci dans le frigo bien frais. Il ne voulait pas regarder le contenu, non, il préfère avoir la surprise. C'est plus marrant voyons. Et puis bon, Byakuya n'est pas difficile en terme de nourriture donc comme ça c'est fait. Il retournait dans son salon en compagnie de Daya. Elle avait bien l'air impressionné par l'habitation. En même temps c'est du luxe, c'est du made in Byakuya ... Même si cela restait un minimum sobre. Voilà que la demoiselle évoquait son poisson rouge. C'est vrai qu'elle est une maman pour les animaux. C'est tellement mignon tout ça (même si Byakuya n'est pas autant attaché aux petites bêtes qu'elle). Et puis Daya expliquait que tout allait bien, pas de soucis, pas de problème sauf un. Genkishi.
- Gen-chan, mh ?
Avant d'évoquer le sujet sur cette personne, le blondinet partait chercher des bouteilles d'alcool avant de revenir au côté de Daya, elle qui fixait intensément la vue qu'elle avait sur la ville. Genkishi, avoir une dent contre elle ? Ça le faisait rire. Non, c'est pas du foutage de gueule même si Byakuya adorait ça, du tout.
- Malheureusement non, l'entreprise se trouve juste derrière. Concernant Genkishi, raconte moi un peu ton problème. J'sais qu'il a un allure de psychopathe silencieux au sourire de clown féminin mais c'est un bon élément. D'ailleurs, installons-nous sur le canapé, on sera à l'aise. Tu souhaites boire un petit truc ? J'ai de tout, du soft comme de l'alcool. Ou des boissons énergisantes. T'as l'embarras du choix mon coeur.
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