Il n'y a aucune cohérence. Juste des trucs, ou des machins, auxquels on associe un nom, un adjectif, une idée. Il y a les gens, le peuple, soumit au possible, qui parfois, en de rare occasion, évoque les désirs de se rebeller. Il y avait la rue et la vermine, frétillante d'ambition, de joie, de haine, de puanteur. Il y avait ce Sushi Bar où les gens s'installaient avec l'espoir d'avoir la pense bien pleine en sortant. Ils seraient satisfait ces gens, ils ont même lâché leurs mômes à une tante pour avoir la paix ce soir. Ils baiseraient, ils profiteraient. Puis, il y avait les solitaires, qui iraient grignoter là parce que leur estomac l'avait demandé. Eichi faisait sans doute parti de ces gens seuls, mais ravis de l'être. La solitude de l'esprit, nous disons bien. Car, en dehors, il y avait les relations, les élèves, les parents d'élèves, la musique, les écrans tv, la petite chambre où l'on profiterait d'une parfaite nuit de sommeil. Ses doigts effleurèrent le tabouret alors qu'il s'installa sans chercher à savoir si sa voisine ou son voisin avait de l'allure ou non. Son regard aujourd'hui, était juste vide. Il n'avait pas envie de parler, il n'avait pas envie de penser à autre chose qu'à rien.
On lui demanda ce qu'il voulait, il donna sa commande sans une once de conviction. Il s'en foutait royalement. Sa seule envie était de manger et partir. Il ne voulait pas regarder les gens, parce que les gens ne l'intéressaient pas. Certains s'asseyaient, d'autres partaient. C'était la débandade, c'était un vrai défilé comme certains les aime. Il ne disait pas haïr le monde, mais il s'en fichait. Toujours, il s'en moquait. Encore, il les ignorait. Tout simplement parce qu'aujourd'hui, il n'y avait pas d'intérêt. Les émotions et sentiments de sa mère s'étaient cachés, ils n'avaient pas envi de sortir et c'était mieux ainsi. Les émotions du videur qu'il avait frôler, elles aussi, disparut. Il ne restait plus grand chose. Juste un être présent sans l'être. Mais, il y avait toujours des gens près à tout pour percer la coquille et fouiner plus profondément. Quitte à se salir les mains, quitte à regretter.
Sushi Bar. C'était bien beau et bon, mais c'était juste de bouffe. Cela n'avait pas d'intérêt particulier. Puis il y avait la haine, celle qui vous prenait aux tripes alors que rien ne présageait qu'elle allait arriver. Ces sentiments qui vous sautaient à la figure alors que vous n'avait rien demander. Eichi s'était brusquement redresser, un peu violemment peut être, lorsqu'une assiette fut poser devant son nez. Le serveur hocha la tête, lui souriait, mais il avait l'air inquiet. Inquiet de quoi ? De son trouble ? De ses changements d'expressions ?
Rien à signaler, c'est parfait. À l'exception près d'un peu trop de bruit qui venait d'arriver. Il prenait ses baguettes, tentant en vain d'ignorer le remue ménage des jeunes qui venaient prendre leur dîné entre ami.
Fermez là, bordel.
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POINTS : 37 CITATION : Quand la violence cause le silence MESSAGES : 452 JUKEBOX : The Cranberries - Zombie FEAT : Fairy Tail - Natsu Dragneel CRÉDIT : Moi DATE D'INSCRIPTION : 16/11/2013
La horde des hallucinés « C'est l’heure des sushis ! »
Avec Eichi
Tu venais de finir ta journée de travail, tu avais fait un tour sur ta moto. Tu avais eu une dure journée, entre les motos et les camions ainsi que les voitures que tu avais dû réparer, tu n'avais pas eu une minute de repos. Tu étais rendu chez toi, tu avais changé de vêtements pour un look plus décontracté, tu avais pris une bonne douche, cela t'avait vraiment aidé à te détendre. Puis tu avais eu faim, tu étais arrivé au moment de l'ouverture du frigo. Tu l'ouvris et tu soupiras, tu n'avais pas fait les courses, tu n'avais rien à manger, ton frigo était vide. Vidé de toute substance comestible. Tu soupiras une nouvelle fois et tu pris tes clés. Au départ, tu ne voulais pas sortir, tu voulais juste rester chez toi à regardait un drama avec un plateau TV. Tu mis le contacte et tu partis à la recherche d'un restaurant.
Te voilà partie à la recherche d'un restaurant, tu en voyais encore et encore, mais aucun ne te tenté. Tu fis un peu de route, tu t'arrivas devant un sushi bar, tu te dis " Des sushi pourquoi pas " tu posas ta moto, tu lui mis sa sécurité, tu ne voulais pas que ton bijou soit volé, tu y tenais. Tu y tenais même beaucoup, tu la chouchoutait. Après l'avoir mis en sécurité tu rentras dans ce sushi bar, la première chose qui te dérangeait était le bruit. Il y avait un peu de monde, mais bon c'est la vie et tu fis avec. Tu avanças dans la salle, cela te fit penser au parcours du combattant, tu t'étais pris trois personne, enfin ont t'avais bousculé et comme d'habitude personne ne s'excusa. Tu soupiras en arrivant au bar, tu t'assis un côté d'un homme. Tu commandas un plateau, tu avais vraiment fin. En voulant prendre un verre, tu touchas la main de l'homme à côté de toi. Tu le regardais, il n'avait pas l'air commode, tu priais pour que cela ne finisse pas comme habitude quand tu vas manger autre par que chez toi.
Tu priais pour que cela ne dégénère pas à la bagarre. Tu le regardais, tu pris un verre et tu le mis devant toi, tu voulais finir ton action avant de t’excuser pour l'avoir toucher.
" Veuillez m'excuser, je ne voulais pas vous toucher. "
Il haïssait le bruit, surtout quand il était continu, quand il lui vrillait les tympans, quand il l'empêchait de se concentrer sur le vide abyssal, quand il gênait son occupation première. Manger tranquille dans le quartier de Shinjuku, c'était un pur luxe que les gens ne pouvaient pas se permettre. Il valait mieux se planquer chez soi, se poser devant sa télé, espérer que les voisins ne bricoleraient je ne sais quoi en haut, en bas, à droite, à gauche. La ville était une tumeur en pleine croissance. Pourtant, jusque là, Eichi pouvait encore parfaitement, partiellement, se contrôler. Il mangeait, la tête presque enfuit dans son assiette. Sa main le démangeait, balancer une assiette dans l'une de ces têtes d'ahuris ne lui coûteraient rien. Il se ferait virer du restaurant, mais ne plus pouvoir y manger n'était pas tellement grave. La rue regorgeait de restaurant où parfois, d'autres bagarres éclatés. On oubliait vite les visages comme le sien, car d'habitude, il ne posait pas de problème. Il n'était pas spécialement connu en ville, et c'était une arme qu'il usait au possible. Pour ces visages de gang qui étaient connus, il était difficile de passer entre les filets des autres gangs. C'était le revers de la médaille.
D'ailleurs, Eichi n'avait jamais capté pourquoi ces gens cherchaient la notoriété. Lorsqu'on vivait dans l'ombre, on avait davantage de possibilité. On pouvait briller et s'éteindre comme on le souhaite, il n'y avait pas de risques de se faire planter dans la rue, il n'y avait pas d'obligation de se planquer. Une main effleura la sienne alors qu'il était en train de ramener son verre à ses lèvres. Le contenu du récipient manqua de tomber à l'extérieur du verre, la table ne fut pas tachée ni collante. Son regard se figea, il tourna très lentement la tête vers son nouveau voisin. Il se souvenait qu'il y a quelques secondes l'autre individu à ses cotés s'était barrer, laissant la place à un deuxième. Un blondinet, sous ses traits japonais se cachait sans doute un caractère un peu ambivalent. Il n'y avait qu'à voir ce sourire, cette nette impression de crainte cachée à la commissure de ses lèvres. Croyait-il qu'il allait lui éclater le verre sur sa tronche ?
Vous n'avez pas la conscience tranquille ? Il en avait eu envi. Mais, malgré l'air distant du profession de collège, il tenait à finir son repas dans une paix presque parfaite. Il était énervé, mais les ondes négatives étaient les seules qui supposaient son état. Il ne tremblait pas, ses lèvres restaient à demi scellé, laissant juste une faible ouverture pour la nourriture, l'eau et la parole. Pourtant, son regard ne quittait pas son voisin. Une chance que l'eau de ce verre ne soit pas tombée. Murmura t-il entre ces dents. Il rassurait, et après, il renvoyait la balle. Son voisin n'était peut être pas à l'origine de son trouble, mais il lui avait parlé, c'était suffisant.
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La horde des hallucinés « C'est l’heure des sushis ! »
Avec Eichi
Tu le regardais, qu'avait-il à parlait de ta conscience . Tu avais la conscience tranquille, enfin cela dépend des jours. Tu le regardais, tu soupirais encore un qui a des soucis avec les autres. Il devait avoir un souci, une des personnes qui n'aiment pas les autres. Faut dire qu'à cet instant tu n'aimais pas les autres non plus, enfin juste à ce moment. Il y avait trop de bruit, tu pris de l'eau que tu mis dans ton verre. Tu attendais ton plateau, ton estomac gargouillait. Tu avais vraiment faim, ton ventre te rappelait à l'ordre. Tu soupirais, tu serais fatigué, tu avais déjà eu une journée bruyante entre les moteurs et tous les outils que tu avais utilisés. Tu portais doucement ton verre à tes lèvres.
Tu le bu d'un coup, une seule traitre, heureusement que ceci n'est pas de l'alcool. Tu ne tenais pas bien l'alcool. Tu avais encore soif donc tu te pris une autre verre d'eau, mais c'est à cet instant que le drame se produit. Déjà que ton voisin était un peu froid, faut dire que cela se comprenait. Toi tu étais juste fatiguait de ta journée, tu voulais juste dormir, mais là tu sens que tu vas passer un sale moment. Ce drame, tu n'y étais pour rien, mais tu penses que tu allais en prendre pour ton grade. Que s'est-il passé ?
Simple ton autre voisin, qui était une femme, venait sans le vouloir se bousculait et ton verre était tombé enfin le contenu de ton verre était tombé sur les jambes de ton voisin. Son voisin qui t'avait parlé de ta conscience, tu cherchais encore ce qu'elle venait faire dans cette histoire. Tu le regardais, mais là tu avais l'impression que cela était inévitable, ta voisine s’excusait mille et une fois. Et toi tu regardais ton voisin, tu avais l'impression qu'il allait te tuer ou encore te parler de ta conscience, tu regardais ton voisin.
" Pardon, je voulais pas. Enfin c'est pas de ma faute, je voulais vraiment pas. "
Ce n'était vraiment pas le jour pour que tu sortes, tu aurais mieux fait de rester chez toi sans manger. Ou même choisir un autre endroit, parce que tu avais choisi un endroit bien bondé. Mais t'avais eu une envie de sushi. Mais t'aurais préféré ne pas avoir ce problème, déjà que ton voisin avait plus ou moins mal pris que tu lui es la main. Maintenant cela, oui tu aurais mieux fait de rester chez toi et ta voisine qui te crée des excuses dans les oreilles, parce que c’était de sa faute après tout. Mais la première personne en ligne de mire c'est toi, oui ce n'était vraiment pas ton jour.
Tu voulais que ta voisine ce taise, de toute façon c'est toi qui allais prendre. Pourquoi ce verre était tombé sur les genoux de cet homme qui avait l'air super-froid et super mauvais. Faut dire que ton rien à craindre avec ton don, il se fera plus mal que toi. Mais si tu peux, tu aimeras bien éviter la bagarre. Tu voulais vraiment pas que cela se termine en bagarre, enfin tu ne penses pas que cela va se terminer en bagarre, mais plutôt en dispute, enfin tu vois bien ce type te faire la morale, déjà qu'il t'avait fait la morale pour lui avoir toucher la main. Tu étais bon pour une autre leçon de morale, mais là tu voulais plus que ta voisine ferme sa bouche, elle te criait dans les oreilles et tu détestais cela. Mais elle était un peu bourrée, mais cela tu t'en foutais totalement.
Tu aurais vraiment mieux fait de rester chez toi !
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