Il avait quitté la veille en fin d'après midi Tokyo, embarquant à bord d'un sous-marin. C'était avec le soleil qu'il s'était enfoncé sous l'eau. Il relisait encore et encore, pour toute la durée du trajet, son ordre de mission.
Citation :
Vous êtes mandé à Chuo devant notre quartier général pour faire un examen des prisonniers mutants et nous faire un rapport sur la réversibilité de leur maladie. Cette lettre vous donne l'autorité d'un colonel le temps de la mission. Prenez vos dispositions, vous partez trois jours.
Il avait informé Masato de son absence, son bras-droit s'occuperait de Tikal le temps qu'Aoguro leur accorde encore un peu de liberté. Lorsqu'il arriva en vue de No Dawn, il fut stupéfait. Comment avait-on pu bâtir cet édifice géant sans que ça ne filtre jamais. Comment n'en avaient-ils pas eu vent ? Incroyable. Sur place, il lui fut donné un lit dès son arrivée, à côté des gardes. Ils n'étaient que trois, pour garder l'ensemble des prisonniers. Une étude rapide du plan de la prison lui laissa à penser qu'ils ne devaient pas aller souvent vers les prisonniers, et qu'ils n'avaient pas à craindre une évasion de l'autre côté de la prison. Il avait, en plus de sa lettre de mission, une vingtaine de conserves, du chili, des haricots, des raviolis. Lui, il trouvait ça banal, mais les gardes se réjouir de cet arrivage comme si c'était un cadeau céleste. La visite médicale commencerait le lendemain à 9h, le temps estimé pour que les prisonniers arrivent depuis leurs cellules jusque là étant d'une heure trente.
***
Ca y est, c'était l'heure. Le premier de ces malheureux, enfermés ici par sa faute, allait passer la porte. Un écriteau devant celle-ci était clair. "Entrez, donnez votre nom, votre prénom, votre âge, et la mutation dont vous êtes affligés. Allez sur la balance, puis allez vous asseoir en face du médecin." C'était vraiment frustrant de ne pas pouvoir user son pouvoir, il n'avait aucun moyen de savoir combien de personnes se trouvaient derrière cette porte.
Salut les prisonniers ! Vous êtes tous attendus ! Je vous demanderai de faire des posts plutôt courts, et pas plus de 2 par personne. Merci ♥
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Dim 23 Mar - 17:09
Hey Fuckface
No Dawn
-Qu'est-ce que c'est chiant...
Devoir pisser assis pour être sûr de garder l'immunité sexuelle pour ceux qui ont un brin d'honneur (c'est-à-dire pas tout le monde malheureusement). Devoir baisser la tête en passant à côté des baraques de deux mètres pour ne pas attirer le regard. Voir mes cheveux perdre leur teinte pour revenir à la "normale" à cause du temps passé sans traitement... et voir des tronches déconfites tout les matins -- en supposant que c'est le matin, puisqu'on ne voit jamais le soleil se lever ici -- de prisonniers presque suicidaires maintenant. Ouais.. cet endroit n'avait absolument rien d'un Club de vacances, et les blessures un peu partout sur le corps de l'androgyne en témoignaient plutôt bien : des marques de brûlures causées par des petites pétasses jalouses ou frustrées, des ecchymoses sur les genoux et les bras parce qu'apparemment dire "Je parie que ta mère aurait préféré t'avaler le jour où elle t'as conçu" à un type de deux mètres cinquante n'était probablement pas la meilleure idée. Je baissais les yeux, regardait dans la douche les bouts de tignasses trempés qui restaient coincés dans le siphon. Le stress m'obligeait à me gratter la tête assez souvent, et c'était donc pas très étonnant que quelques mèches finissent par tomber. Mais la dernière fois que je m'étais regardé dans le miroir, je pouvais plus ou moins dire que ce n'était pas si dramatique que ça : si je devais vivre dans une prison sans goût, je préférerais ne pas perdre mon esthétique... surtout qu'il allait se passer dans cette-même journée quelque chose de différent de d'habitude : quelqu'un venu de l'extérieur allait faire un appel médical à la plupart des détenus.. c'était l'occasion parfaite de changer un petit peu de décors : je n'étais encore jamais allé à l'infirmerie, même quand on me battait je faisais de mon mieux pour ravaler ma fierté et ramper jusqu'à ma cellule pour me reposer... je ne suis pas un type faible.. pas encore à ce point là.
J'étais sortis en premier, dès que les portes furent ouvertes, je descendis les escaliers avec une certaine vitesse : il fallait se diriger vers l'autre côté de la prison et je n'avais certainement aucune envie d'attendre qu'une véritable foule de têtes-de-déterrés n'aille me suivre de trop près.. je n'avais pas non-plus envie d'emporter quoi que ce soit à bouffer venant de cette fontaine dégueulasse. Au final : il n'y avait personne devant moi alors que je marchais avec une certaine vitesse ... un assez mauvais choix considérant que je savais exactement combien de temps il me faudrait pour arriver là-bas : la grande salle vide, tout le monde l'avait exploré au moins une fois. Les plus abrutis cherchaient une sortie, une faille dans les murs ou dans le sol; un petit spot où on pourrait possiblement utiliser nos pouvoirs... mais ces attardés n'ont pas été capable de trouver quoi que ce soit comme ça, peu importe comme ça pouvait être loin. Après.. dire que je savais "exactement" combien de temps il faudrait pour m'y rendre est en soi un mensonge : je savais qu'il me faudrait un peu plus d'une heure, et qu'en marchant à ce rythme, j'allais faire la connerie de m'épuiser sur le long de la route et être certainement mal en point à l'arrivée.... Fuck It, au moins j'étais tout seul et je n'avais pas besoin de voir ces autres pisseux.
Enfin... je "pensais" être le premier à sortir. Mais au final il y en avaient déjà qui fonçaient comme des bolides en avant : des types athlétiques largement en meilleur condition physique que moi... la loose, ces types pensaient sûrement pouvoir prendre le doc' en otage et forcer les portes à s'ouvrir.. où bien n'étais-ce que moi? peu importe comment ce plan avait l'air plutôt bon! .. si ce n'était pas de No Dawn qu'on parlait. Ces types avaient imaginé tout et n'importe quoi pour nous garder comme des animaux à l'intérieur..putain.
J'ai fini par abandonner et je les ai laissé filer à toute vitesse : je commençait à me sentir mal de toutes façons; j'ai voulu courir comme un abruti en n'ayant rien mangé, j'était pâle comme un linge et mes mains tremblaient un peu. Mes jambes étaient lourdes et j'avais encore beaucoup de mal à récupérer ma respiration, mais au bout d'une bonne heure de marche, je finis par me sentir déjà un peu moins seul : il y avait pas mal de foule derrière, et juste en face de moi se trouvaient les quatre types de tout à l'heure complètement crevés, étalés par terre... j'ai pas pu m'empêcher de concentrer un bon mollard dans ma bouche pour l'éclater sur le premier inconscient au sol, juste pour m'auto-satisfaire d'avoir eut l'intelligence d'utiliser mon cerveau plutôt que mes muscles.. et au final, c'était peut-être une victoire stupide, mais une victoire quand même : j'était bel et bien le premier devant la porte, et j'était plutôt excité à l'idée de voir quelque chose d'un peu nouveau aujourd'hui. Je pouvais en entendre pas mal me comparer à une gamine..ils n'avaient pas tord, car c'est pratiquement en sautillant que je passa la porte.
J'avais à peine lu ce qui était écrit la première fois, un petit excès de zèle qui m'obligea à regarder à nouveau la feuille sur la porte. Celle-ci indiquait les étapes les plus basiques d'une visite médicale : inscrire les informations personnelles, se faire peser. Mais l'une des informations était déjà moins "normale" : donner le nom de sa mutation. Il y avait des "Noms" à donner? bizarrement j'avais tous ces souvenirs inutiles qui me revenaient en tête; des pages de mangas, jeux vidéos... des abrutis qui hurlent le nom de leurs techniques. J'étais bizarrement inspiré par ça et au fond je me sentais plutôt bien avec l'idée d'ajouter un peu de fantaisie à cet endroit emmerdant.
"....Super Master Electro Justice of the God of Death." "....Blood Period Microwave" "... Fuck it."
Je récitait une tonne de noms différents à voix basse pendant que je montait sur la balance et faisait à peine attention au "35kg" affiché qui voulait bel et bien dire que je n'avais pris ou perdu aucun Kg depuis mon arrivée ici.. mais éventuellement ce petit jeu de noms fini par m'ennuyer et je me concentra sur l’événement principal. Je n'eut qu'à tourner la tête sur la balance pour remarquer un bout de main derrière le paravent de cette infirmerie qui semblait être tout ce qu'il y a de plus normal.. bien que c'était largement plus blanc que celles que j'avais l'habitude de visiter : le type qui était là devait probablement être le docteur, et avec un peu de chance il pourrait être utilisé à bon escient. Tout ce que j'avais à faire c'est continuer de jouer la petite fille innocente, attendre qu'il utilise quelque chose comme une aiguille ou un scalpel et là on pourrait tenter de se tirer! c'est dans cette idée là que je m'avançais tout gentiment vers l'autre côté du paravent, fermant les yeux et affichant mon air le plus innocent possible, posant mes fesses sur ce fauteuil qui était déjà largement plus confortable que mon lit et... j'ouvris les yeux.
- ...A...Eh...
Et j'ai perdu toutes les idées machiavéliques que j'avais d'enfoncées dans le crâne. Je connaissais ce type là, en quelque sorte. Mon air innocent finis par disparaître et tout ce que je fus capable d'exprimer fut de l'incompréhension, et les seules paroles qui parvenaient à sortir d'entre mes lèvres étaient des lambeaux de mots étouffés dans ma gorge. Son nom me revenait en tête sans l'aide d'un mémo, d'un badge sur sa veste blanche ou quoi que ce soit. Ses cheveux bleus étaient l'indice qui me permis de m'en souvenir correctement : une teinte froide comme l'arrivée d'Août.
- August!
Pourquoi j'étais aussi excité à l'idée de revoir une tronche familière? après-tout Kyuusei était là lui aussi, et pourtant je n'étais pas aussi content.. peut être parce que ce type était plus amical que tout ceux que j'avais pu rencontrer depuis un bail? j'avais presque l'impression d'avoir retrouvé ma mère. Même si j'étais content de revoir ce type, je n'ai pas oublié une chose : lui il devait certainement se la couler douce dans les hauteurs pendant que le reste des prisonniers pourris ici.. c'était un reproche indirect, mais qui suffit à me faire adopter mon visage blasé habituel, et c'est avec froideur que je lui donna les informations demandées.
- Ninomiya Rui, 20 ans, Mutation : What-the-fuck-are-you-doing-here-Shitty-doctor.
Au final tout ce que je pouvais faire c'était le dévisager avec un air contrarié, les jambes croisées et les mains posées sur les accoudoirs de ce siège qui donnait l'impression de s'être assis sur la face de Kirby tellement c'était confortable... c'est la pire situation possible.
La première personne à rentrer semblait être une femme. Le poids affiché sur l'écran disposé sur le bureau qu'occupait Aoguro était de 35kg, la taille de 175 cm. La silhouette que les capteurs affichaient était plutôt féminine. Ce n'est que quand il vit l'examiné directement qu'il réalisa que non seulement c'était un homme, mais en plus il se trouvait être quelqu'un qu'Aoguro avait aidé par le passé. Son regarde se refroidit. Ce pauvre enfant avait été arrêté. Ils n'avaient vraiment aucune pitié. Son pouvoir était puissant, mais il le contrôlait non ? C'était rageant, ceux qu'il aidait pour tenter de réparer ses fautes se retrouvaient cloîtrés sous l'océan. Qu'avait-il fait pour avoir un karma aussi mauvais. Enfin, il ferait abstraction de cela, puisqu'il n'était pas ici comme un ami à la recherche de camarades.
- Oh, Rui-kun. 20 ans déjà ? Tu grandis vite ! Du coup, je ne vais pas te retenir très longtemps, puisque je connais déjà ton pouvoir. Je ne peux pas te faire sortir, tu comprends bien. J'ai ton dossier là, à ce qui parait, tu as monté un petit gang pour aller taper sur un autre ? Ah lala, pourquoi tu n'es pas resté sagement dans le showbiz. Ils auraient mis du temps avant de venir t'y chercher. Enfin, du coup la consultation n'a pas raison de continuer, je vais te demander de libérer le fauteuil pour le suivant.
Il appuya sur un bouton, signalant à un garde attendant de l'autre côté d'une porte qu'il pouvait faire sortir le prisonnier. La seconde porte s'ouvrit, tandis que Rui se voyait forcé de se lever de lui-même, à moins qu'il ne préfère le faire manu-militari. Aoguro lui accorda un regard compatissant, avant de griffonner quelque chose sur un bloc-note. Puis il appuya sur un autre bouton, une fois la porte fermée sur Rui et le garde, qui indiquait au suivant qu'il pouvait entrer.
Aujourd'hui, examen médical. Et bah putain, enfin. Taiga en avait marre de souffrir encore de cette putain de drogue qu'il avait pris qu'une seule fois dans sa vie. Ca le désespérait. 1h30 pour arriver à destination, il y avait pas mal de détenus, mais Taiga ne s'attardait pas trop aux prisonniers, il voulait juste en finir avec cet examen médical. Sauf que voilà. Taiga n'en était pas sûr, mais il avait cru voir une fille ressemblant à Saaya. Mais non, impossible, c'était tout simplement impossible. Il entrait dans la salle lorsque c'était à son tour de passer.
« Yamazaki Taiga, 20 ans, absorption de pouvoir. »
Là, Taiga ne voulait pas faire son difficile. Autant jouer le jeu jusqu'au bout, il allait bien partir d'ici, non ? Et puis ce docteur avait des choses à faire avec l'Eldorado. Pour toutes les blessures qu'il avait reçu durant la guerre, les drogues qu'on lui avait donné ... Ca en faisait un peu beaucoup pour la santé de l'asiatique. Un bâillement s'échappait de ses lèvres. Je veux sortir, putain.
Un patient pas très intéressant, une femme qui pouvait soit-disant se changer en fantôme. Impossible de le vérifier dans ces murs. Elle n'était pas en mauvaise santé, simplement son moral qui était bas. Le suivant rentra, 78kg, 185cm. L'adolescent avait l'air d'avoir bien souffert. Aoguro lui jeta un regard désolé, avant de commencer à lire à voix haute certains passage du dossier qu'avait le dénommé Taiga.
- Membre d'Eldorado. Recruteur. Et bien, c'est pas rien. Meurtres, vols, torture. Etudiant en littérature ? Comment tu as concilié les deux activités ? Enfin bref, je ne suis pas un psy. Parle-moi plutôt de ton pouvoir. Comment il marche ?
Il n'était pas obligé de préciser tous les crimes qu'il avait fait, bordel. Un soupir las s'échappait de ses lèvres alors qu'il croisait les bras.
« Lorsque je touche un mutant, je lui vole son pouvoir tandis que lui redevient un simple humain. Actuellement, je peux garder un pouvoir durant 15 minutes voire plus et je peux l'utiliser. Je peux aussi le voler "mentalement" mais ça ... C'est une autre histoire. »
C'était un pouvoir diablement intéressant que celui-ci. Aoguro envisageait mille possibilités qu'il aurait avec l'aide de ce garçon pour soigner les mutants qui maudissaient leur don. Avec son ADN, il pourrait peut-être améliorer ses pilules pour les rendre plus générales, et ne plus avoir à en faire pour chaque patient.
- Très bien, Yamazaki-kun, je te remercie. Je vais juste te prélever une mèche de cheveux pour l'analyser, voilà. -Il avait coupé avec un petit ciseau une petite mèche, qu'il rangea dans une boite en verre vide jusqu'alors- Maintenant, tu peux te lever, et retourner à ton quotidien de prisonnier, je te remercie. La sortie est par là.
Il indiqua la sortie à l'adolescent, appuya sur le bouton pour faire rentrer le garde, puis, une fois qu'ils furent sortis, sur l'autre, pour faire rentrer le suivant.
POINTS : 45 CITATION : « Ma voix est si belle qu'elle vous ruinera. » MESSAGES : 828 JUKEBOX : Yukihime song. ♥ FEAT : Momoi Satsuki - Kuroko no Basuke. CRÉDIT : Love all. ♥ DATE D'INSCRIPTION : 31/08/2013
st ce que tu pensais qu'il t'arriverait un truc pareil ? Au fond, oui tu le sentais bien qu'un jour tout serait fini pour toi. La chose qui te manque le plus ici ? Le soleil. Et la bouffe. Le truc qu'on te refile à manger est immonde. Mais au moins ça te tiens en vie. Si dépressive que tu as été au dehors, ici tu n'es plus qu'une ombre. Une femme au visage blafard et aux cheveux hirsutes. Tu n'es plus capable de penser correctement, la même rengaine se répète inlassablement dans ta tête. Pourquoi ici. Pourquoi moi. Mais on vient te casser ta mini routine. Le peu de temps que tu as déjà passé ici te rend folle. On t'emmène devant une nouvelle pièce et on te montre un panneau. Un médecin hein ? Alors tu entres d'un pas mécanique.
« Saaya Ohara, 19 ans. »
Et avant d'avoir pu expliquer ta mutation, tu reconnais cet hommeque tu as déjà vu plusieurs fois. Ce foutu médecin. Prise de rage tu es bien décidée à ne rien faire de ce que l'on te demande. Lui a le droit de rentrer et sortir comme bon lui semble ? Ou on le fait venir parce qu'on a besoin de lui ? Alors que toi tu es coincée là, pour le restant de tes jours ? Qu'il aille au diable. Jamais rien comme les autres hein ?
A croire que l'on se moquait de lui là-haut chez les dieux. D'abord Rui, l'un des premiers mutants qu'il avait aidé après le cataclysme dont il était responsable, puis Saaya. L'une de ses patientes actuelles, à qui il fournissait des pilules pour inhiber son pouvoir temporairement. Lui qui se faisait une joie de pouvoir améliorer ces pilules grâce à l'ADN récupéré sur ce Yamazaki, il devait se rendre à l'évidence. Si tous ceux qu'il aidait étaient ici, il pourrait faire tous les médicaments du monde, ils ne serviraient à rien. A voir sa face, la jeune femme était courroucée au plus haut point. L'inégalité de leurs situations était flagrante, il ne doutait pas que c'en soit la raison.
- Ohara-san. Je suis ici pour tenter de trouver un remède à la mutation de chacun de vous. Crois-tu qu'ils continueront à t'enfermer ici, si tu n'as plus aucun pouvoir, si tu n'es plus une menace ? Alors donne moi un peu de ton ADN, une rognure d'ongle, un peu de sang, une mèche de cheveux. Ca me facilitera le travail, d'autant que j'ai sans doute une nouvelle méthode de fabrication qui devrait fournir des médicaments beaucoup plus durables. Pardonne le pauvre humain que je suis d'aider les mutants à ne guérir.
POINTS : 45 CITATION : « Ma voix est si belle qu'elle vous ruinera. » MESSAGES : 828 JUKEBOX : Yukihime song. ♥ FEAT : Momoi Satsuki - Kuroko no Basuke. CRÉDIT : Love all. ♥ DATE D'INSCRIPTION : 31/08/2013
'est difficile à avouer mais voir quelqu'un de l'extérieur ici, te rappelle à quel point les gens que tu connais te manquent. Même se faire hurler dessus c'était tellement mieux que tout ça.
« Ohara-san. Je suis ici pour tenter de trouver un remède à la mutation de chacun de vous. Crois-tu qu'ils continueront à t'enfermer ici, si tu n'as plus aucun pouvoir, si tu n'es plus une menace ? Alors donne moi un peu de ton ADN, une rognure d'ongle, un peu de sang, une mèche de cheveux. Ca me facilitera le travail, d'autant que j'ai sans doute une nouvelle méthode de fabrication qui devrait fournir des médicaments beaucoup plus durables. Pardonne le pauvre humain que je suis d'aider les mutants à ne guérir. »
Il a raison pas vrai ? Si tu perds ton pouvoir et que tu redeviens une citoyenne sans défense, il n'auront aucune raison de te garder hein ? Alors c'est avec cette idée en tête que tu te livres à faire ce qu'il te demande. Et puis c'est la première personne qui te traite en temps qu'humaine depuis que tu es arrivée ici. Tu as bien le droit de baisser la garde en sa présence non ? Tu lui donnes ce qu'il veut et une fois terminé on te renvoi dans ta cellule. Et tu regrettes tout ça. Tu aurais dû continuer à te rebeller.
HRP:
Ok j'avais complètement oublier de répondre.
Pandette.
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