« Ouech, t'es qui toi. Kesketouveu ? » with Saaya Ohara
••• Plutôt pas mal pour un premier jour en tant que vendeuse ici. Pour une fois elle sentait que ce n'était pas un job à problème, bien qu'il y avait tout de même un petit point noir au tableau. Elle ne connaissait vraiment rien de cet univers exclusivement réserver aux gens les plus pervers au monde et ne pouvais pas vraiment aider les clients, alors lorsque Laam n'était pas là, comme c'était le cas aujourd'hui, elle ne pouvait pas faire grand-chose ... Enfin, bon. Il y avait beaucoup de choses positives comme par exemple, le fait qu'elle s'entendait super bien avec son patron, qu'elle n'avait pas à se méfier des clients, quoi que ... si un peu, certains la regardaient de façon très bizarre et elle n'aimait pas trop ça, mais bon. Excepter ça, tout allait bien dans le meilleur des mondes et c'est ce qu'elle voulait, un travail tranquille où elle n'avait pas à s'en faire au niveau des conséquences.
Elle prend une chaise et s'assoit derrière le comptoir, le magasin était fermé, c'était l'heure de sa pause et well, il était assez tard, l'après-midi avaient filé à une vitesse incroyable qu'il était déjà temps pour le soleil de tirer sa révérence. Anasthasia n'avait pas vraiment eu le temps de déjeuner, alors elle profite du fait que Laam lui avait demandé de fermer un peu le magasin pour manger et se reposer. Mais bien que le magasin soit fermé, elle n'avait quand même pas fermé la porte, au cas où Laam arriverait et qu'elle se serait assoupit. D'ailleurs, la blonde ne mit pas longtemps à tomber dans le monde des songes, son visage posé sur le comptoir, juste à côté de la caisse. Les minutes passaient, mais sa sieste improvisée, elle, n'allait pas durer longtemps. Entendant la porte s'ouvrir elle se lève en sursaut, les yeux fermés et ses lunettes posées sur le bord du comptoir, n'ayant toujours pas retrouvé ses lentilles de contact roses ... Elle baille et cherche ses lunettes, fronçant légèrement les paupières en essayant de voir qui était entré.
Anasthasia ∞ « Mh … Laam ... ? Tu m'avais dit que tu reviendrais plus tard, non ? »
Elle baille encore une fois et sort une serviette pour essuyer ses lunettes avant de les mettre, clignant légèrement des yeux. Son regard émeraude s'attendait plutôt à se poser sur une Louisette moins ... Féminines ? Elle arquait légèrement un sourcil en regardant la demoiselle qui venait d'entrer dans le magasin, ses cheveux noirs intriguaient bizarrement la blonde qui les regardait avec attention. Ils n'étaient pas plus long que les siens, mais il était assez long pour la faire penser à ... Dark Vador. Si si, un dark vador version female. Il faut dire aussi, qu'Anasthasia venait de se réveiller brutalement de sa sieste alors ses idées n'étaient pas forcement très plausibles. Soupirant, elle se met à tousser et regarde la demoiselle qui se trouvait en face d'elle, devant la porte d'entrée, en lui souriant.
Anasthasia ∞ « Bonsoiiir. Vous cherchez quelque chose ? Est-ce que je peux vous aider ? »
L'aider, tch. Si cette meuf s'avérait être comme tous les autres clients ça sera assez difficile, mais well, il fallait bien qu'Anasthasia s'habitue à son nouveau travail ... Et ce sera bien la première fois qu'elle aidera quelqu'un, si ce n'est que cette demoiselle était là pour faire des emplettes et non pour autre chose ...
POINTS : 45 CITATION : « Ma voix est si belle qu'elle vous ruinera. » MESSAGES : 828 JUKEBOX : Yukihime song. ♥ FEAT : Momoi Satsuki - Kuroko no Basuke. CRÉDIT : Love all. ♥ DATE D'INSCRIPTION : 31/08/2013
« Ouech, t'es qui toi. Kesketouveu ? » with Saaya Ohara
••• Cette fille intriguait légèrement la blonde qui la regardait en arquant un sourcil. Elle avançait, la tête basse en ayant une boite collée contre son torse, well, ce n'était pas commun comme scène, mais en tout cas, Anasthasia ne la jugerait pas, quoi que. Elle voulait voir Laam, Laam n'était pas là. Elle le regardait avec plus d'insistance, serait-ce encore une de tes conquêtes Laam ? Well, étant donné que ce n'était pas une cliente, elle n'avait aucune raison d'être courtoise avec elle, aucunes ... Le problème étant que le son de sa voix lui rappelait quelqu'un, cette voix ... Mais elle n'arrivait pas à s'en rappeler et puis des cheveux aussi noirs et une tenue aussi noir, elle ne connaissait personne d'assez sombre et dépressif pour mettre une tenue du genre. Elle soupire et reporte son regard sur la demoiselle.
Anasthasia ∞ « Non, il n'est pas là, vous voulez que je lui laisse un message ? Sauf si vous êtes une de ses nombreuses conquêtes, haha si c'est ça ma vieille je n'aurais pas aimé être à ta place, bref. Vous voulez l'attendre ? J'crois qu'il ne devrait pas tarder là. »
Elle passe une main dans ses cheveux, attachant ceux-ci en faisant bien attention à ce qu'ils soient à droite de sa nuque, elle regarde la demoiselle, essayant de se souvenir où elle avait pu entendre ce timbre de voix auparavant, elle en était sûre, elle avait déjà entendu cette voix, mais visiblement, la voix en question ne collait pas avec la couleur des cheveux, des yeux ou même des vêtements portés par la demoiselle qui se trouvait devant elle. Elle passe encore une main dans ses cheveux puis soupire. Elle s'assoit sur la chaise et la fixe, elle allait trouver c'est sûr, mais. Elle ne voulait pas qu'elle s'en aille, alors ... elle la retient, même-ci elle ne lui avait pas encore répondu, croisant ses bras sous sa poitrine, les yeux rivés vers cette demoiselle.
Anasthasia ∞ « Eum, écoutez ça peut vous sembler bizarre, mais j'ai l'impression de vous connaître, du moins votre voix me dit un truc. D'ailleurs si je me souviens bien, cette personne avait un pouvoir en rapport avec sa voix, haha, ironie du ... »
Elle s'arrête un moment, regardant bien la jeune femme, sursautant de sa chaise, posant ses mains sur le comptoir. Elle sort derrière celui-ci, s'approchant légèrement de la demoiselle vêtue de noir. Mais oui, Saaya. Bien qu'il y avait des choses qu'elle avait changés, son faciès lui ne changerait pas. Elle continuait de la fixer, quitte à la mettre mal à l'aise. Où étais passé tes cheveux roses ? Tes habits en couleur ? Es-tu devenue dépressive Saaya ? Pourquoi es-tu comme ça, maintenant.
Anasthasia ∞ « ... Sort ... SA-SA-SA-SAAYA ? Mais t'es tombée dans un pot de peinture noir ? »
Elle regardait la demoiselle, attendant des réponses. Bien que cela soit étonnant, elle ne l'avait jamais détesté lorsqu'elle avait pris sa décision de quitte le gang et pour cause, elle avait déjà été folle de survivre avec un tel chef sous les bras qu'elle ne pouvait pas lui en vouloir, ce De Nivral les avaient tous plus ou moins retourné, alors comment voulez-vous juger une personne qui fuit face à un monstre ? Elle laisse un énorme soupire faire vibrer ses lippes puis elle s'assoit sur le comptoir, en faisant attention pour ne pas faire tomber la boite qui contenait son déjeuner. Elle regarde Saaya, attendant une réponse, même-ci plein d'autres questions se bousculaient dans sa tête, « comment ça se passe chez Eldorado ? » ; « Tu t'y sens bien ? » et surtout ...
Anasthasia ∞ « Ça se passe bien vis-a-vis de Taiga ? »
Ahem, elle avait pensé bien trop fort, bien trop haut. Elle met sa main devant ses lèvres, puis elle baisse la tête. Mais cette question, elle voulait tout de même la poser, alors ... Elle ne s'excusait même pas, elle voulait savoir, sa curiosité étant trop grande ... Mais, elle ne l'obligerait pas à parler. Alors, sera-t-elle assez forte pour répondre à toutes ses questions ou évitera-t-elle d'en parler et confirmera-t-elle la réputation de lâche qu'elle s'était forgée elle-même au sein d'Atlantide après l'arriver du nouveau chef ?
POINTS : 45 CITATION : « Ma voix est si belle qu'elle vous ruinera. » MESSAGES : 828 JUKEBOX : Yukihime song. ♥ FEAT : Momoi Satsuki - Kuroko no Basuke. CRÉDIT : Love all. ♥ DATE D'INSCRIPTION : 31/08/2013
u sens le regard de la jeune femme sur toi. Les yeux d’Anasthasia … Bon sang, c’est bien la dernière personne que tu pensais rencontrer ici. C’est vrai quoi, et si elle décidait de te rendre des comptes hein ? Ce n’est pas vraiment le bon moment pour ça … Tu risques d’être … Cassante.
« Non, il n'est pas là, vous voulez que je lui laisse un message ? Sauf si vous êtes une de ses nombreuses conquêtes, haha si c'est ça ma vieille je n'aurais pas aimé être à ta place, bref. Vous voulez l'attendre ? J'crois qu'il ne devrait pas tarder là. »
Tu es tellement soulagée qu’elle ne te reconnaisse pas que tu lâches à ton tour un soupir rassuré. Puis tu secoues la tête, l’air de dire : « ne vous inquiétez pas je vais l’attendre là. » Même si tu voudrais partir. Parce que tu as peur que ton visage te trahisse. Que cette femme blonde que tu as connue brune se souvienne de l’intonnation de ta voix ou d’un signe qui pourrait te trahir.
« Eum, écoutez ça peut vous sembler bizarre, mais j'ai l'impression de vous connaître, du moins votre voix me dit un truc. D'ailleurs si je me souviens bien, cette personne avait un pouvoir en rapport avec sa voix, haha, ironie du ... »
Tu sais que tu es dans une position délicate là. Ana se tait et te fixe. Tu aurais dû détourner la tête, partir sans te retourner et revenir plus tard. Seulement tu restes figée, les yeux dans les siens.
« ... Sort ... SA-SA-SA-SAAYA ? Mais t'es tombée dans un pot de peinture noir ? »
Ce n’est que maintenant que tu arrives à détourner la tête ? Maintenant qu’elle te jette la réalité en face. Mais la chose qui te chagrine le plus c’est qu’elle n’a pas l’air en colère. Bien au contraire.
« Ça se passe bien vis-a-vis de Taiga ? »
Tu te crispes. Et tu sens le besoin de poser ton canard par terre. Tu pousses doucement la boite du pied pour ne pas l’écraser, parce qu’une rage immense à prit possession de ton corps. Et puis comment est-elle au courant d’abord ? Ça t’énerves ça hein ? Avoue-le. Taiga. Taiga. Y en toujours pour lui.
« Qu’il aille crever en enfer Taiga. »
Tu craches ces mots avec plus de violence que tu ne l’aurais voulu. Alors tu passes une main devant tes yeux, l’air exténuée.
« Pardon je … Je ne l’ai pas revu depuis un bout de temps. On se lasse vite de moi il faut croire. Alors j’ai changée. »
Oui enfin … C’est us compliqué que ça mais au moins tu avoues quelque chose que tu n’aurais pas dit à n’importe qui. C’est comme si tu étais retournée dans le passé, chez Ana. Vous parliez beaucoup, de tout et de rien. Mais il n’y a pas que ton apparence qui a changée. Ton cœur est noir. Alors tu te comportes comme tu le fais depuis bientôt deux mois, un sourire mauvais aux lèvres.
« Sinon tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et toi qu’est-ce que tu fous là ? »
En langage Saaya, ça veut dire, fini parler de moi, à ton tour … Ta haine se dépose sur toutes les cellules de ton corps. Comme à chaque fois que l’on t’a fait penser à ton ancien amant. Tu croises les bras et tu la toises comme si elle t’avait offensée. Tu joues à la plus forte ? En parlant de jouer … Ton caneton a réussi à se glisser hors de son carton pour explorer son nouveau milieu. Et avec quelque cris associés à son espèce il grimpe sur les pieds de la blonde.
« Putain. Eh Kiiro. »
Tu fronces les sourcils et le regarde faire, apaisée. Voilà pourquoi tu ne peux pas penser à te séparer de cet animal. Parce qu’il fait ressortir la petite Saaya. Même si tu ne veux pas l’avouer, tu es complètement fan de ton canard. Mais tu hais l’idée qu’on puisse t’associer à cet animal tout mignon et tout duveteux. Voilà pourquoi tu aurais voulu le cacher à Ana. Anasthasia … Merde, elle t’a manquée pas vrai ? Une femme que tu apprécies. Voilà ce qu’elle est. Mais tu ne veux plus être heureuse non ? Alors pourquoi tu restes là en attendant sa réponse ?
« Ouech, t'es qui toi. Kesketouveu ? » with Saaya Ohara
••• Elle ne savait pas vraiment comment elle en était arrivée là, mais, l'atmosphère était devenue plus que tendue. Au départ, elle ne voulait pas lui en parler, elle ne devait pas sortir ses mots. Elle pose sa main sur son menton, regardant Saaya. Elle sentait que dans son regard une haine naissait après que la blonde ait prononcée le nom de Taiga. Taiga, Taiga ... Si elle n'avait pas autant de personnes dans son entourage chez Eldorado elle n'aurait jamais su pour cette aventure, ou ... Peut-être bien que c'était autre chose ? Bref, la relation qu'elle avait avec le recruteur du gang aux brassards rouges. Elle regarde Saaya poser avec délicatesse la boite en carton qu'elle tenait dans ses bras sur le sol avant qu'elle ne s'énerve, sur la blonde.
Anasthasia, surprise, sursaute légèrement et pose une de ses mains contre sa poitrine en se mordillant les lèvres, elle se sentait mal pour elle. Elle n'avait vraiment pas voulu te blesser Saaya, mais c'est comme ça. Tu comprends ? Il y a des choses qui sortent comme ça, sans que l'on ai eu l'envie que ça sorte. Des mots et des pensées qui nous trahissent, ça à peut-être du déjà t'arriver, non ? En tout cas, Anasthasia te regarde et ne peux pas regarder autre part, elle examine tous les traits de ton visage, elle est toujours aussi choquée de cette transformation que tu as subi, mais elle ne se mettra jamais à te juger, non. La demoiselle joue avec le pendentif de son collier, ne détournant toujours pas son regard du visage de la demoiselle aux cheveux couleur ébène avant de fermer légèrement les yeux et de se redresser, restant toujours adosser au comptoir. Elle soupire, elle était perturbée par ton sourire. Tu avais trop changée Saaya, est-ce que tu la détestais toi aussi ? Tu voudras aussi lui faire la morale hein, Saaya ? Pourtant, elle s'en rappelle encore, de ces après-midi que vous passiez à parler de tout et de rien, lorsque vous habitiez encore sous le même toit, d'ailleurs maintenant, où est-ce que tu vis toi ? Tu ne lui avais jamais dit au revoir d'ailleurs, tu n'avais jamais essayé de la recontacter non plus, serait-ce donc pour cela que la blonde croit que tu vas toi aussi lui en vouloir, la maltraiter, la terroriser, l'éviter. Anasthasia laisse un léger souffle faire vibrer ses lippes avant d'ouvrir ses yeux et de laisser son regard émeraude se poser sur les traits de ton visage, encore.
Anasthasia ∞ « ... Ha. Eh bien si tout va bien pour toi alors ... »
Elle baisse légèrement son visage, que pouvait-elle dire de plus ? Elle ne voulait pas passer son temps à vexer les autres, alors elle préfère se taire. Tu veux changer de sujet, c'est parfait. Elle se met à ricaner bêtement, relevant le visage, un sourire se déposant assez timidement sur les traits de son faciès.
Anasthasia ∞ « Moi ... Je suis ici parce que j'ai pris la décision de laisser mon travail d'Escort-girl pour travailler avec Laam, après tout, je savais qu'il n'aurait pas vraiment refusé. Après si tu veux savoir les r-... ».
Tu avais les bras croisés, tu étais trop loin pour que ça soit toi qui lui touche le pied, alors qu'est-ce que c'était ? La blonde arque légèrement un sourcil en entendant un petit cri d'animal, un cri de canard. Elle reste un bon moment dans la même position avant de baisser son visage et d'apercevoir un petit caneton qui essayait de grimper sur son pied comme s'il s'agissait d'un terrain de jeu. Visiblement, c'était lui qui se trouvait dans la boîte que Saaya tenait si précieusement dans ses bras. Anasthasia ricane encore une fois et se penche de façon à prendre le caneton dans ses mains, le regardant fixement, des étoiles se dessinant dans ses yeux. La blonde adorait les animaux, alors que ce soit un caneton ou autre, elle ne pouvait pas s'empêcher de rester complètement gaga devant ces petites bêtes qui tiennent compagnie à certains de notre espèce. Anasthasia passe son index sur le haut de la tête du caneton pour le caresser en faisant bien attention à ne pas lui faire mal pour ne pas qu'il devienne agressif, puis elle regarde Saaya et lui adresse un sourire.
Anasthasia ∞ « C'est ton caneton ? Il est adorable. »
Dit-elle avec enthousiasme avant de poser le caneton sur le comptoir, juste à côté d'elle, se doutant bien qu'il allait se mettre à vouloir explorer encore le nouvel endroit dans lequel il avait atterrit d'un moment à l'autre. Elle regarde de nouveau Saaya et elle lui sourit, de façon un peu moins joviale cette fois.
Anasthasia ∞ « Mais well, pour finir ce que je disais. Les raisons du pourquoi et du comment sont assez longues à expliquer. »
Elle pose son index sur sa joue et continue de fixer Saaya tout en faisant attention aux déplacements du petit caneton sur le comptoir en le regardant du coin de ses yeux. Elle ne savait tout de même pas quoi penser. Elle ne savait même pas quoi faire, mais toi Saaya, peut-être que tu chercheras à en savoir plus sur ses problèmes ? Seras-tu prête à voir des larmes couler de nouveau ... ? Bien qu'il se pourrait qu'elle ne coule pas sur ta joue ...
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i tu ne te retenais pas un peu, cette discussion tournerait au vinaigre. Juste parce que tu as la rage contre une personne. Pauvre Ana. Regarde là un peu, ça se voit que tes paroles ne lui ont pas fait plaisir. Excuse-toi non ? Hmm ça ferait encore plus bizarre. Eh bien, contentes toi de continuer à faire la gueule comme tu le fais, le monde sera bientôt sur ton dos. C’est ça que tu cherches. Et tu l’auras si tu continues dans cette voie-là.
« Moi ... Je suis ici parce que j'ai pris la décision de laisser mon travail d'Escort-girl pour travailler avec Laam, après tout, je savais qu'il n'aurait pas vraiment refusé. Après si tu veux savoir les r-... ».
Le petit caneton a l’air de laisser perplexe la jeune femme. En même temps, qui se trimballe avec une animal de compagnie comme ça … ? Ah oui, toi. Mais ça a l’air de lui plaire. Parce qu’elle se baisse pour le prendre et le caresser doucement avec un sourire. La mignonitude de ton canard a encore frappé. Et c’est un sourire aussi doux qu’elle t’adresse ensuite.
« C'est ton caneton ? Il est adorable. »
Mais la bonne humeur s’efface peu à peu de son visage.
« Mais well, pour finir ce que je disais. Les raisons du pourquoi et du comment sont assez longues à expliquer. »
Tu détournes le regard quelques instant pour laisser dériver tes pensées. C’est une invitation ça. Si tu ne dis rien, tu ne penses pas qu’elle dira quelque chose de plus. Et dans ce cas-là, cela voudrait-il dire que tu ne veux plus rien à voir à faire avec elle ? Tu as beau être devenue dépressive à souhait, les moments de bonheur te manquent. On ne rejette pas si facilement les vieilles habitudes hein ? Même si tu pensais être devenue la personne la plus détestable, tu viens t’assoir sur le comptoir, comme si tu étais chez toi. Tu attrapes ton caneton qui vient se loger tout contre toi pour avoir un peu de chaleur et tu baisses les yeux sur lui.
« J’ai … Un peu de temps. »
Tu jettes un coup d’œil à Anasthasia et enfin, tu lui adresses un sourire timide. Tu peux bien te le permettre, il n’y a personne et cela fait longtemps que tu n’as pas eu de moment de faiblesse. Oui c’est ça, tu n’as pas à t’en vouloir, quand tu repartiras, ce sera comme d’habitide.
« Un rapport avec ce qui se passe chez Atlantide ? Je ne suis pas au courant de tout mais … »
Il y a des ragots, par-ci, par-là quoi. Et comme tu sais très bien laisser trainer tes oreilles là où il faut, tu as entendu certains trucs. Et puis il faut dire que cette bataille contre Atlantide et Eldorado a fait beaucoup de bruit. La petite boule jaune a l’air de vouloir repartir à l’aventure, alors tu la pose à côté de toi, te disant qu’il doit apprécier la compagnie des autres puisqu’il n’arrête pas de tourner près des deux jeunes filles. Ou alors il est rassuré d’avoir des machines à câlin à disposition ? C’est étrange un canard.
Toi qui commençais à croire que finalement elle ne t'appréciait peut-être plus, tu a les yeux qui s'éblouissent en voyant qu'elle t'adresse un large sourire, comme ci votre relation n'avait jamais cessé d'exister, comme ci elle se souvenait toujours de ces moments que vous passiez ensemble quand elle habitait encore sous le même toit que toi, alors tu ne peux pas t'empêcher de lui retourner son sourire, bien que le sien soit timide, par un grand sourire qui montrait toute ta dentition, mais qui avait le mérite de renvoyer une grande chaleur, une grande douceur et une grande affection à la demoiselle que tu venais de revoir après beaucoup de mois sans nouvelles d'elle. Mais, tu ne savais pas par quoi commencer, il est vrai que ta vie avait été plus ou mois mouvementer ces derniers temps et que, pour toi, tous ces mouvements avaient été douloureux, très douloureux. Alors, tu fixes Saaya, puis tu poses ta main sur le comptoir avant de caresser de ton index le canard de la jeune fille avant de lâcher un grand soupire et de te faire à la situation suivante, tu ne pouvais pas retenir ce que tu avais sur le coeur, il fallait encore que ça sorte, encore et encore, jusqu'à ce que ce poids qui ne cesse de te détruire la poitrine ne s'évapore et laisse place à une joie que tu pourrais communiquer à tes proches ...
Anasthasia regarde donc Saaya, ce grand sourie qu'elle lui adressait disparaissant peu à peu, pendant qu'elle rassemblait les éléments de son futur discours dans sa tête. Elle ne lui raconterait pas tout dans les détails, non, juste le plus important, mais il n'en reste pas moins que c'était à peu près douloureux, enfin ... Douloureux, oui et non, mais en tout cas à chaque fois qu'elle y repensait, elle était plus ou moins tétanisée de peur de se faire rejeter par une personne de nouveau, elle ne veut plus finir seule, elle ne veut plus, être abandonnée. Elle regarde devant elle, posant la pomme de ses mains sur ses bras de façon à les frotter, un peu comme quelqu'un qui aurait froid le ferait, mais dans son cas, elle avait plutôt un paquet de frissons qui lui traversaient le corps.
« Oh, le truc avec les gangs ? Si ma préoccupation n'était que ça, je serais contente, mais il se trouve que malheureusement c'est plus sur un point personnel que c'est la merde. »
Elle soupire encore, puis elle pose ses pieds sur le sol, s'éloignant du comptoir où se trouvait Saaya et son petit canard. Elle marche un moment dans la boutique, tournant presque en rond. Un sourire s'affiche sur le visage de la blonde, un sourire respirant la tristesse, mais elle continuait de marcher, de faire comme un poisson dans un bocal, se frottant les bras de plus en plus vite au fur et à mesure que les frissons accéléraient leurs venu le long de la peau de la demoiselle. Puis elle se stoppe, portant son regard sur Saaya, lâchant un dernier soupire avant de tout balancer, comme ci c'était une corvée pour elle.
« Tu te souviens, je t'avais dit que j'avais des sœurs je crois ? Eh bien il parait qu'elles sont à Tokyo, maintenant et je ne sais pas si elles sont au courant de ce que je faisais à Atlantide, mais je n'espère pas que ça soit le cas, sinon je sens déjà l'embrouille qu'il y aura. Et puis, il y a Rui aussi qui a littéralement criser sur moi, mais maintenant je n'ai plus de nouvelles depuis quelques mois et je m'inquiète, d'ailleurs avant cette crise, il a été violé par des membres d'Atlantide et bien sûr quand j'ai mis fin à leurs vies, de sang froid. »
Elle se mordille légèrement les lèvres et détourne son regard de celui de Saaya, elle a essayé de tout résumer de la façon la plus courte qui soit, mais il y aurait eu de nombreuses ombres au tableau pour la demoiselle qui se trouvait devant elle, mais peut-importe, Anatshasia ne voulait pas en dire plus en fin de compte, déjà qu'avouer un meurtre c'était de trop. Elle sert ses poings et se retourne, faisant face à la porte de la boutique de Laam, donnant dos à Saaya. Dans un sens, elle espère que la jeune aux cheveux nouvellement couleur ébène s'en fichera, dans un autre, mais dans un autre elle se demande comment elle pourra gérer la situation.
Tu en dis toujours trop Anasthasia, tu en dis toujours trop.
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e sourire qu’elle affiche, est le plus joli et lumineux que tu n’aies vu depuis longtemps. Voilà pourquoi t apprécies la jeune femme. Pour sa chaleur. C’est incroyable le nombre de choses qu’elle arrive à te faire oublier te temps d’un instant. Mais on finit toujours par revenir aux mauvaises nouvelles. C’est triste mais c’est ainsi.
« Oh, le truc avec les gangs ? Si ma préoccupation n'était que ça, je serais contente, mais il se trouve que malheureusement c'est plus sur un point personnel que c'est la merde. »
Tu la regardes marcher lentement dans le magasin, tel un animal enfermé. Et tu sais ce qu’il se passe dans la tête d’Ana, parce que tu fais la même chose dans ce genre de situation. Tu marches pour éclaircir tes idées. Malgré le manque de joie dans cette discussion, tu souries doucement parce que tu te rends compte que vous n’êtes pas si différentes l’une de l’autre.
« Tu te souviens, je t'avais dit que j'avais des sœurs je crois ? Eh bien il parait qu'elles sont à Tokyo, maintenant et je ne sais pas si elles sont au courant de ce que je faisais à Atlantide, mais je n'espère pas que ça soit le cas, sinon je sens déjà l'embrouille qu'il y aura. Et puis, il y a Rui aussi qui a littéralement criser sur moi, mais maintenant je n'ai plus de nouvelles depuis quelques mois et je m'inquiète, d'ailleurs avant cette crise, il a été violé par des membres d'Atlantide et bien sûr quand j'ai mis fin à leurs vies, de sang froid. »
A la fin de sa phrase, tu laisses ton visage de glace. Tu ne laisses pas déborder tes sentiments et ce que tu penses pour ne pas choquer la jeune femme. Et tu réfléchis à tout ce qu’elle vient de dire. Des sœurs ? C’est exact, tu te souviens d’en avoir parlé avec elle. Tu lui avais même révélé l’existence de ton frère jumeau. Mais il n’est pas question de ça aujourd’hui, passons. Donc un problème avec ses sœurs et son appartenance à un gang … Et quoi ? Tu ne sais pas qui est ce Rui, mais elle doit l’apprécier pour les avoir tués … Tu lèves tes yeux vers elle et tu penches la tête, parlant tout doucement.
« Et … C’était la première fois que tu tuais ? Enfin j’veux dire … Ça va ? »
Tu t’y prends un peu mal mais l’intention est là. Tu sais très bien que de nos jours, c’est tuer ou être tué, alors ce n’est pas trop ça qui te gêne en ce moment. Mais le fait de savoir comment la jeune femme se sent. Parce que ce n’est pas facile d’ôter la vie en réussissant de ne pas avoir de remords. Cela ne t’est jamais encore arrivé donc tu ne peux pas savoir ce qui se passe dans sa tête. Elle doit être bouleversée sinon elle ne m’en aurait pas parlé comme ça … Alors tu te penches au-dessus du comptoir et tu attrapes les clefs de l’appartement de Laam. Tu lui fais signe que tu reviens un instant, le temps d’attraper deux verres et un truc à grignoter. Tu ne sais pas si ça va faire plaisir à Ana, mais en tout cas, c’est ce que tu aurais fait pour toi si tu étais déprimée. Après avoir descendu les verres, une bouteille de coca et des chips tu te reposes sur le comptoir, à côté de ton butin.
« Ça fait un peu voleuse ce que je viens de faire mais … Laam ne m’en voudra pas j’pense ! »
Tu lui offres de nouveau un sourire doux, pour lui montrer que tu essaies de l’apaiser un peu. Parce que tu sens l’atmosphère encore un peu tendue entre vous deux. Est-ce que tu serais capable d’aller la prendre dans tes bras pour la rassurer ? Ce n’est pas encore dit.
✘Tu fixes Saaya. Son visage ne reflétant aucune émotion, tu te demandais si tu l'avais choqué ou si elle le faisait juste pour ne pas te peiner. Elle lève ses mains et penche la tête, tu le fixes toujours, tu hésites à lui répondre, tu hésites à aborder ce genre de sujet. Tu le savais, parler de ce genre de choses te faisait perdre la tête, car ce genre de sensation te manquais. L'odeur du sang teintant l'asphalte, te manquais. La peur des autres envers toi, te manquais. Autant de choses qui faisaient que ton instabilité mentale revenait au galop dans ce genre de situation, durant ce genre de discutions parlant de sang et de tristesse. Alors, tu te contentes juste te regarder Saaya, sans lui répondre, essayant d'éviter la question, mais le problème. Tu n'avais pas envie de la laisser croire que tu étais en fait tout le contraire de ce que les autres pensent de toi. Alors, tu soupires, tu passes ta main dans ta chevelure blonde et tu fermes un instant les yeux avant de les ouvrir et de laisser tes iris rosés se poser sur le faciès de la jeune femme aux cheveux couleur ébène qui se trouvait en face de toi.
« La première fois, non. Enfin, c'est la première fois depuis longtemps on va dire ... »
Tu te mets à ricaner et à passer tes mains sur ton visage, stresser.
« Le problème c'est que je m'étais juré de ne plus le faire Saaya, je m'étais juré, mais j'ai faillit à la promesse que je m'étais faite moi-même. »
Tu redresses ton visage, un sourire froid, glaciale sur le visage.
« Mais il le méritait, hein ? Ils n'avaient pas à le faire .... »
Tu te retournes, donnant dos à Saaya et essaie de contenir tes pulsions, tu ne veux pas exploser, pas encore. Alors, tu te mords la main, histoire de passer d'une souffrance morale à une souffrance physique et tu souffles, souffle, de façon à pouvoir enfin redevenir ce que tu as toujours voulu être, normale.
Tu la regardes se pencher au-dessus du comptoir et prendre des clefs, sûrement celles de l'appartement de Laam, vu qu'elle se dirige vers ce dernier, en prenant les escaliers qui se trouvaient derrière la caisse. Elle te fait signe qu'elle reviendra, alors machinalement tu t'approches des escaliers et penche la tête pour essayer de deviner ce qu'elle y faisait puis tu soupires et te dirige vers le petit canard qui semblait encore vouloir des caresses, vu la façon dont il te regardait. Tu lui adresse un grand sourire, passant donc doucement ta main sur ses petites plumes, ce qui t'apaise davantage. Et elle revient. Avec des choses à grignoter et deux verres avec une bouteille de coca. Eh bien, son sourire aussi t'apaise. Il est doux, chaleureux. Un beau cadeau quand tu es dans ce genre d'état d'esprit, un état d'esprit défaitiste, une personne qui se défini elle-même comme une faucheuse. Tu la regardes, lui rendant son sourire tout en prenant le petit caneton dans tes bras.
« Je ne pense pas qu'il t'en voudra non plus. »
Tu souffles un instant et tu laisses un nouveau sourire, plus grand, se peindre sur ton faciès.
« Merci, Saaya. »
Un remerciement pour ses sourires doux qu'elle recommence à t'adresser, pour sa façon, bien qu'un peu maladroite au début, qu'elle à d'essayer d'être à ton écoute même-ci, tu le vois bien par rapport à son changement capillaire, elle n'avait pas l'air très joyeuse de son coté, elle aussi. Et là, tu poses le caneton sur le comptoir et ouvre le paquet de chips, tu en proposes à Saaya comme tu lui proposes aussi un verre de Coca, bien que ça ne soit pas toi qui ai eu l'audace d'aller les chercher et tu observes la demoiselle, laissant ton sourire sur tes lèvres. Tu voulais que l'on arrête de parler de toi, qu'elle aussi, elle te raconte des choses ... La couleur de ses cheveux, franchement, elle te perturbait, alors tu reposes ton verre sur le comptoir et regarde Saaya, de façon on ne peut plus sérieuse, dans les yeux, tes ongles grattant le bois du comptoir.
« Et si ... On parlait un peu de toi Saaya ? J'avoue que je ne pense pas que tu ai abandonné la couleur rose qui habillait tes cheveux sur un coup de tête ... »
Dis-tu en te demandant si elle allait répondre. Peut-être pas ? Mais au moins, tu avais essayé et puis, surtout, on arrêterait de parler de ton cas.
POINTS : 45 CITATION : « Ma voix est si belle qu'elle vous ruinera. » MESSAGES : 828 JUKEBOX : Yukihime song. ♥ FEAT : Momoi Satsuki - Kuroko no Basuke. CRÉDIT : Love all. ♥ DATE D'INSCRIPTION : 31/08/2013
u viens d’apprendre plein de choses sur Anasthasia. Ce n’est pas la première fois qu’elle tuait ? Et plus elle se confie à toi, plus tu vois à quel point en parler la rend vulnérable. Mais après tout, qui peut se vanter de ne rien ressentir ? Vous êtes des humains et vos sentiments sont la première chose qui vous permet d’avancer. Ou de reculer cela va de soi. On en peut pas proclamer être humain lorsque tuer ou faire du mal à autrui nous procure du plaisir. Il ne reste que la folie dans ce cas-là. Et tu en es heureuse, que ta jeune amie n’y soit pas. C’est étonnant toutes les choses que tu viens de découvrir sur elle. Plus de choses partagées en même pas une heure, qu’en trois ou quatre mois où vous aviez partagé le même toit.
« Merci, Saaya. »
Tu lui souries de toutes tes dents, fière de l’avoir aidée, même rien qu’un peu. Toi qui n’as jamais été très remerciée, ce merci te fait du bien. Et d’ailleurs on peut le voir à ton fasciés qui s’est illuminé. Tu attrapes les chips qu’elle te tend ainsi que le verre que tu viens vite vider à moitié, heureuse.
« Et si ... On parlait un peu de toi Saaya ? J'avoue que je ne pense pas que tu ai abandonné la couleur rose qui habillait tes cheveux sur un coup de tête ... »
Bon d’accord tu viens un peu de perdre ton sourire, mais ce n’est pas pour autant que tu fais une tête d’enterrement. Tu te mordille juste un peu la lèvre, ne sachant pas par quoi commencer. Et surtout, quoi lui raconter. Alors tu soupires un instant et tu regardes ton canard d’un air peiné, passant tes doigts sur le verre froid pour t’aider à réfléchir.
« Disons que … Dès que je me regardais dans une glace et que je voyais ce rose, ça me faisait directement penser à Taiga et … Je supportais plus ça. Il m’a clairement rejetée alors j’ai voulu moi aussi lui tirer un trait dessus. Alors j’ai arrêté les teintures. »
Tu plonges ton regard dans ton liquide foncé et tu as envie de lui raconter toutes tes peurs, lui demander de l’aide parce que tu es complètement perdue. Même si tu sais bien que tu n’es pas la plus à plaindre dans le monde, tu as tendance à t’apitoyer sur ton sort jusqu’à ce que tu n’aies plus envie de rouvrir les yeux.
« Et … Mon frère me manque. J’ai complètement perdu sa trace je … J’ai l’impression d’avoir perdue une partie de moi-même. »
C’est ce qui te tracasse le plus en ce moment. Même si tu ne l’as avoué à personne. Sauf à Ana, parce qu’elle t’a confié ses peurs, alors tu confies les tiennes. Et que ça te fais du bien même si tu ne l’avoueras pas. Et ta plus grande peur ? Que ton jumeau sois mort.
ft. Saaya Ohara Est-ce que l'on ne serait pas en train de retourner en arrière ?
Tu te sens libre, totalement. En te confiant de la sorte à Saaya, c'était comme ci un lourd poids se détachait peu à peu de tes épaules, comme ci tu revivais. Comme ci tu te disais que finalement, ce que tu faisais n'était pas aussi horrible que ce que tu pensais. Bien que les humains doivent ressentir autre chose que de la haine, bien qu'ils se doivent de ressentir quelque chose d'ailleurs, tu sentais que, dans ton cas, en fait ce n'était pas très grave. Et puis ... Comparer aux autres, de ton point de vue, tu ressentais un certain plaisir à faire couler le sang, une satisfaction, un plaisir, un besoin, une envie. Ce n'était pas facile à avouer devant une X personne, mais dans ta petite tête, dans ton esprit que Saaya ne pouvait pas connaître, tu pouvais dire ce genre de choses, tu pouvais t'en donner à cœur joie, comme tu le voulais, comme tu le souhaitais.
Après l'avoir remercié, un sourire se dessine sur la faciès de la demoiselle, anciennement avec une chevelure couleur barbe à papa. Avant, elle ne souriait pas, ce noir dans sa chevelure se ressentait aussi au niveau de son coeur, de ses sentiments, mais là elle semblait apaisée. Alors, tout naturellement, tu lui avais posé une question qui n'allait sûrement pas lui plaire, une question qui a fait disparaître ce beau sourire sur ce beau visage. Mais, tu étais là pour l'aider après tout, alors tu te devais de poser les questions qui fâchent, de façon à ce que, la haine, lui dise enfin et pour une bonne fois pour toute, au revoir. Et oui, malgré tout, tu restes ce genre d'amie. Tiens d'ailleurs, en parlant d'amie, est-ce qu'aux yeux de Saaya, tu en étais toujours une ? Tu l'observes, elle qui perdait son regard dans la boisson gazeuse, noire, froide, qui se trouvait devant elle. Tu sentais un peu son angoisse, tu sentais un peu son malaise, mais tu ne voulais en aucun cas la brusquer, alors la seule chose que tu peux faire, c'est lui offrir un timide sourire sur lequel on pouvait voir de la compassion et de la tristesse vis-à-vis de ton interlocutrice.
— Tu sais, en tant qu'amie .... Tu te stop dans ta phrase puis tu soupires et tu lui souris, timidement, dans un premier temps. — Je pense très sincèrement que tu as eu raison, si à chaque fois tu pensais à lui .... Par contre pour ce qui en est de ton frère ... Anasthasia attrape les mains de Saaya et les serre pour essayer de lui montrer, de la façon la plus maladroite, qu'elle va toujours essayer de l'aider, quelque sois son problème ... — Je ne peux pas le remplacer, mais si tu veux on peut se voir plus souvent pour que ça te ... Soulage un peu ? Anasthasia adresse un grand sourire à Saaya puis elle lui lâche les mains et prend une gorgée du coca qu'elle avait servit plutôt, boudant les chips qui étaient posées sur le comptoir.
Le caneton de Saaya semblait, lui aussi, vouloir de l'affection, alors la blonde le prit dans ses bras puis par la suite elle regarda l'horloge se trouvant en dessus des étagères du magasin en arquant un sourcil.
— Houla, on a parler longtemps, il se fait tard ... On rentre ... ? Mais elle tilt. La blonde regarde le caneton qui se trouvait dans ses bras puis elle reporte son regard sur Saaya et affiche une mine légèrement triste.
— A moins que ... Tu vis chez Laam maintenant ?
☆ HRP ; Donc, Saayamour ♥. J'ai pris une décision tout à fait bizarre. Je me suis dit que, on pouvait genre, arrêter le rp (???) enfin, ou juste, le suspendre le temps que tu reprennes du poil de la bête. Ou alors, on le termine vraiment après ton ou mon prochain post et on en fera un autre par la suite tu vois, genre quand Saaya aura reprit sa couleur rose etc etc, c'est comme tu veux ♥. Walah en espérant que la réponse t'ai plu aussi :3.
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