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 SHUT UP ▬ Zero (amen)

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Byakuya Kô
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Lun 8 Sep - 19:59





Telle la vie.

« Peut-être toi. »





BYA - ZERO
Ma vie répétitive est comme une scène répétée à en devenir une simple machine.

(c) Gabitch sur AS







J'irai craché sur vos tombeaux ...

Cette soirée s'annonçait plutôt calme. Tokyo était plongée dans un silence mortelle. Il n'y avait pas de bonne nouvelle, ni de mauvaise nouvelle. N'est-ce pas triste comme ça ? Un peu. Ca ennuyait énormément Byakuya, lui qui adorait ragoter sur tout et rien du tout. Mais là, il ne peut rien faire, il ne sait pas sur quoi parler, il n'y a rien, pas de nouvelle. Byakuya ne voulait pas sortir, il n'avait pas la tête  à ça. Lui qui se baladait dans son luxueux appartement. Torse nu, simple pantacourt en soi. Il allait prendre un bain comme à son habitude ... Mais quelque chose le perturbait. Quoi donc ? Il ne sait pas. Il marchait sans cesse dans son appartement  à n'en plus finir. Il passait de temps à autre une main dans ses cheveux blonds, comme si ses idées allaient sortir de sa tête en faisant ce geste. Foutaise ouais, le théâtre à ses limites. Byakuya le savait parfaitement.

Énervé. C'est ce qu'il était actuellement. Il ne savait quoi faire, il ne savait quoi penser. Il glandait dans cette salle d'un mètre carré incalculable. Le PDG ne se sentait plus roi. Quelque chose n'allait pas. Qu'était-ce donc ? Lui-même ne le savait pas. Les paillettes de la lumière ne pouvait même pas l'aider. Et voilà que Byakuya se mettait à exploser une de ses belles chaises ... Putain, en effet la belle chaise. Elle était morte et en mille morceaux. Comme quoi, Byakuya ne savait pas contrôler sa force quand les émotions emparaient son esprit. La colère notamment.

- ... Merde.

Le silence. Le silence de la rue : celle des moteurs des voitures, celles des gens hurlant à ne plus en respirer. Quelque chose manquait dans cette ville, quelque chose manquait à Byakuya, l'énervement est là. Aller mister, va doucher tes poils blonds et peut-être que ça ira mieux plus tard. Qui sait. Ouais, sûrement. Un bain, son bain chaud l'attendait depuis une heure. Il n'est sûrement plus chaud à l'heure qu'il est.

Byakuya ne s'aime pas. Pas maintenant, pas comme ça.

Mais pas le vrai, mais pas le faux.
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Zero
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Jeu 30 Oct - 1:29







BYAKUYA & ZERO

#CE9494
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Cinq mois.
Si t'avais été une habituée des alcooliques anonymes, on aurait fêté ça avec une petite fête & une jolie médaille en fer ; si t'avais arrêté de fumer, t'aurais pu te complaire dans l'autosatisfaction & faire des folies dans ton magasin préféré pour marquer le coup. Le problème, c'est que tu fêtais pas cinq mois sobre ou cinq mois désintoxiquée, non ; plutôt cinq mois de survie, cinq mois à t'accrocher bec & ongle au semblant d'existence que tu t'étais appliquée à bâtir à partir de rien. Tout c'que t'avais, confiance certitudes optimisme ; James l'avait réduit à néant. T'étais pas triomphante, ce soir ; t'étais juste une putain de battante, encore & toujours.
Le problème, c'est qu'tout le monde a besoin d'un break à un moment donné ; on n'peut pas se battre tout le temps, parce qu'à la longue ça t'use & puis tu crèves. Du coup, ce soir, t'avais décidée d'être lâche ; ce soir, t'allais prendre des nouvelles de l'amour de ta vie - quand bien même c'était rien de plus qu'un putain de connard. T'avais juste besoin de savoir qu'il allait bien, si possible qu'il avait refait sa vie avec une nana qui valait mieux qu'toi - quoi que ce soit qui puisse t'aider à tourner la page & à te dire que ça y'est, c'était mort & que ça servait plus à rien d'espérer. Qu'tu pouvais lâcher prise, tu tomberais pas forcément plus bas.

Quelqu'un de normal se serait contenté de décrocher son putain de téléphone & d'appeller, tout simplement. De prendre une voix un peu gênée, & puis allo salut j'espère que j'te dérange pas ; j'voulais juste savoir comment ça va, j'sais que j'aurais du appeller plus tôt c'est vrai qu'c'est long cinq mois, c'est long, mais mieux vaut tard que jamais, non ? Mais non, pas toi ; toi, t'es trop lâche, t'as pas envie qu'il sache que tu t'en soucies après tout. Cinq mois plus tard, votre interminable combat de fierté continue, encore & encore.

Du coup, t'as réfléchi un moment, parce qu'à part Sébastien ou Sora, tu savais pas vraiment vers où te tourner pour demander des nouvelles ; & que bon, tant qu'à faire, t'aurais bien aimé que ta nouvelle vie dure un peu plus qu'un an ou deux. Tu te serais bien tournée vers les amis de James si celui-ci avait eu la bonne idée d'en avoir quelques uns ; inutile de préciser que c'était pas le cas. Puis tu t'étais souvenue de ce type, un petit peu étrange pour rester politiquement correcte ; ce mec que t'avais manqué d'éviscérer dans la tribune d'un combat de gang parce que tu l'avais trouvé en train de rouler une pelle à l'homme de ta vie. Byakuya Ko, ou les origines du mal.

... & c'était comme ça que tu t'étais retrouvée devant sa porte, à vingt heures tapantes. Entrouverte, la porte, d'ailleurs. Décidémment, c'était presque ton jour de chance ; à cela près que t'étais sur le point de faire irruption dans la baraque d'un des mecs les plus riches de Tokyo pour lui demander s'il aurait pas, à tout hasard, des nouvelles de ton ex. Mis à part ça, tout s'passe plutôt bien dans ta tête. Sans plus de cérémonie tu te faufiles à l'intérieur, en quête d'un espèce de colosse péroxydé à plumes que tu ne tardes pas à trouver, d'ailleurs ; dans son salon, l'air passablement en colère contre le monde entier, en train de fracasser une chaise que t'aurais surement pas pu te payer avec trois mois de salaire.
Tout va bien, ma vieille, tout est parfaitement normal..

- Salut, ça fait un bail, tu lances d'une voix affreusement détachée, comme si tu retrouvais un vieux pote. Ne tirez pas, t'ajoutes en levant à la fois les bras & les yeux au ciel, j'suis pas venue pour vous casser la gueule, puis bon on va pas s'mentir, t'en as sûrement pas les moyens non plus. Dites, quand vous aurez fini de vous venger de toute la misère du monde sur votre mobilier de salon, vous aurez peut-être deux minutes à me consacrer ? Faut qu'on parle.

C'est ça, fais comme si tout était on n'peut plus normal. Un sourire narquois aux lèvres, tu te laisses choir dans son canapé, & tu te retiens de justesse pour ne pas poser tes pieds sur la table basse. A la place, tu fais claquer la bouteille de vin que t'as trimballé dans ton sac pour l'occasion contre le verre, & tu te décides enfin à le regarder, histoire de voir s'il est pas au bord de la crise d'apoplexie.

- Laissez moi vous rafraîchir la mémoire, tu reprends d'un ton à peine plus enjoué. Quatrième session de combats ; la copine hystérique qui tape un scandale devant tout le gratin de Tokyo parce qu'elle trouve son mec en train de faire connaissance en détail avec le PDG de l'entreprise concurente. Ca vous dit un truc, ou toujours pas ?

Plutôt original comme intro, tu te dis en esquissant un sourire.
Tu pourras t'estimer heureuse s'il ne te fout pas à la porte avec une ordonnance de restriction de deux cent cinquante mètres en prime. T'auras essayé, au moins.

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Byakuya Kô
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Dim 2 Nov - 22:06



ET MA BATTE DANS TA GUEULE, CA TE PARLE ? (cette phrase est violente)

Journée de merde, soirée de merde. On veut le faire chier jusqu'au bout pour que dalle aujourd'hui. Byakuya aime faire chier le monde mais quand on veut le faire chier lui ... Non, autant ne pas y penser. Quelque chose l'emmerde, des petites histoires à droite et à gauche, Tokyo le saoule aujourd'hui, Tokyo l'emmerde cette nuit ... Et ce n'est pas pas prêt de se terminer. Alors qu Byakuya allait se diriger vers sa salle de bain, il découvrit une femme dans son champ de vision. Déjà premièrement, Byakuya ne s'est pas bourré et ne pense pas avoir ramener une jolie gazelle ici. Deuxièmement ... Qu'est-ce qu'elle fout là. Le directeur fronça ses sourcils avant de laisser la demoiselle parler. Comment ça la foutre à la porte ? Pas maintenant, il va passer ses nerfs sur sa gueule et bastah. Enfin bon, Byakuya fixait cette femme bien intensément. De haut en bas, de droite à gauche ... Tiens. Mais il la connait celle-là.

▬  ... ▬

Son regard est rempli de mille et un putain de JUGEMENTS. Déjà, cette psychopathe a marqué Byakuya il y a deux ans par rapport à la session de combat, mais surtout par rapport au baiser qu'elle lui avait offert après que James lui ait roulé une jolie petite (ÉNORME) galoche. La vie est tellement logique.

▬  J'oublie pas les inconnues qui m'embrassent sensuellement et soudainement durant une session de combat, en effet. ▬

Surtout que Byakuya n'avait pas compris l'intérêt d'un tel geste devant tout le monde. Ah mais si, elle vient juste de lui apporter la réponse à sa question : c'est une putain d'hystérique. Pire que Chihiro ? A voir. A VOIR. Byakuya faisait craquer les os de ses doigts avant de remettre correctement sa chemise. Il finissait par lâcher un soupir agacé. Il en avait marre, tout simplement.

▬  ... Et donc ma tendre ? Tu es entré par effraction juste pour me dire ça ? ▬

Parce que c'est bien beau de ramener les souvenirs sur place, mais il y a bien une raison de sa venue ici (même si elle doit être aussi perchée que son caractère). D'ailleurs, le fait qu'elle soit ici ne veut pas dire que Byakuya va bientôt mourir ? C'est comme une prédiction. Si on venait à croiser son sosie dans la rue, notre mort sera proche. Et bah si tu crois cette fille dans la rue, t'es sûr de mourir dans la seconde qui suit.

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Dim 9 Nov - 15:34







BYAKUYA & ZERO

#CE9494
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Le moins qu'on puisse dire, c'est que Byakuya Ko n'avait pas l'air franchement ravi de te trouver plantée dans son salon. En même temps, si tes soupçons vis à vis de son orientation sexuelle s'avéraient fondés, nul doute qu'il aurait surement préféré tomber sur James Winchester à la place.
T'observes le personnage sans la moindre gêne, tu le dévisages des pieds à la tête en te demandant si c'est vraiment ça, la crème de la crème de Tokyo ; un type à la chevelure franchement douteuse, recouvert d'une montagne de plumes. Puis t'hausses les épaules ; t'es pas là pour ça, de toute façon -ce mec pourrait bien être le parrain d'une branche de la mafia thaïlandaise, pour ce que t'en as à foutre.

J'oublie pas les inconnues qui m'embrassent sensuellement et soudainement durant une session de combat, en effet.
T'éclates de rire, nerveusement ; autant ton propre comportement ce soir là t'amusait avec le recul, autant celui de James ... Bref. Aucun intérêt à remuer le passé ; tu l'avais déjà trop fait, & ça n'avait jamais servi à grand chose. T'hausses les épaules, histoire de lui signifier que c'est derrière vous & que c'est pas exactement pour ça que t'es revenue. Ma tendre, qu'il te dit. Nouveau sourire, un brin moqueur.

- Vous en faites pas, mon chou, j'suis pas venue là pour retenter l'expérience. Puis entre nous, tu lui lances d'un air désinvolte, les femmes c'est pas vraiment votre truc, si ?

Shots fired.
Tu sais très bien que t'as plutôt intérêt à la mettre en veilleuse si tu veux qu'il finisse par te dire ce qu'il sait, mais c'est plus fort que toi ; ce type t'agace & plus encore, ça t'énerve de devoir ramper à ses pieds pour avoir une idée de c'que devient l'amour de ta vie. Puis bon, un type dans ce genre, c'est quand même un peu une incitation à la haine sur pattes enroulée dans un boa en plumes, non ?

- J'suis venue pour James, tu balances en ravalant tes mimiques narquoises. Vous êtes sûrement le truc qui se rapproche le plus d'un ami pour lui, à ma connaissance, & j'sais pas trop vers qui d'autre me tourner de toute façon. J'fréquente pas vraiment le gratin de Tokyo, si vous voyez c'que j'veux dire.

Tu gagnes du temps, t'hésites ; mais qu'est-ce que tu risques, de toute façon ? Qu'il se moque de toi, qu'il te prenne pour une grande malade ? C'était sûrement déjà le cas, de toute façon - & quand bien même, qu'est-ce que ça pouvait bien t'faire, ce que pensais le grand Byakuya Ko de ta misérable gueule ?

- J'voudrais savoir comment il va. Si ça s'passe toujours bien pour lui, s'il méprise toujours le monde entier, s'il- & t'hésites, pas sûre de vouloir entendre la réponse ; s'il s'est trouvé quelqu'un. J'suis pas vraiment bien placée pour aller lui demander directement donc j'me suis dit qu'vous pourriez, j'sais pas, me filer un coup de main ?

& toi de sourire, un sourire un peu creux un sourire un peu con. Tu te marrerais bien, si t'étais à sa place ; c'est que t'as l'air fine, à te taper l'incruste chez le mec le plus douteux de la ville, tout ça parce que t'as pas le courage de décrocher ton putain de téléphone & de composer un numéro qu'tu connais encore par coeur, depuis le temps. S'il se fout de ta gueule ou qu'il t'envoie promener, on pourra dire que tu l'as pas volé.

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Byakuya Kô
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Mer 19 Nov - 18:56



ET MA BATTE DANS TA GUEULE, CA TE PARLE ? (cette phrase est violente)

Owh, c'est qu'elle s'amusait aussi avec les surnoms, la petite. C'était mignon comme tout. Violente et farouche, mais mignonne comme tout. Bon, revenons à nos moutons de la rosée du matin. Elle n'était pas ici pour les prunes de Byakuya.

▬  Décidément, tu t'imposes trop de limite. Ce n'est pas parce que je m'habille d'une façon colorée que je suis forcément gay. Les femmes sont des délices.  ▬

Disait-il avec un petit sourire en coin, remettant correctement ses lunettes de soleil sur son nez tout en fixant la demoiselle. Faut arrêter de lui dire qu'il a des préférences pour les hommes. Il était bien marié à Chihiro durant 10 ans. Il faut arrêter ces conneries, wesh. En fait non, il ne faut rien arrêter du tout. Byakuya adore les ragoûts, c'est sa vie et ça fait sa vie. Tout souriant, l'homme pointait la dame du doigt en s'approchant doucement d'elle ... Tout en gardant une distance raisonnable entre eux. On sait jamais avec elle, si il y a option roulage-de-pelle-automatique.

▬  D'ailleurs, connaître ton nom ne serait pas de refus. ▬

Pas faux, il ne connaissait rien d'elle à par que c'est -ou c'était- la petite amie doki doki kokoro de ce PDG de Paris Avenue. Par contre, ce qui suivait était très intéressant. De toute façon, tout est intéressant pour Byakuya donc il écoutera toujours d'une oreille attentive. Donc, mademoiselle évoquait ce cher James Winchester. Sérieusement, est-ce qu'il pourrait arrêter de squatter un jour toutes ses conversations ? Sûrement jamais. Déjà que Byakuya devait avoir affaire à sa petite amie ... Ou pas, vu le genre de question qu'elle venait de lui poser. Byakuya clignait plusieurs fois des yeux avant de faire craquer sa nuque.

▬ Ami ? C'est un bien grand mot. Je ne l'ai pas vu depuis longtemps. Moi qui pensais que votre amour était éternel ... J'ai eu tort. Pauvre de moi. ▬

Il lâchait un soupir las avant d'aller se servir un verre. D'ailleurs, il servait même deux verres. Libre à la miss de prendre ce verre d'alcool ou non. Au pire, Byakuya s'en prendra deux. Un bon début de cuite quoi. Avec de l'alcool pure et dure. Ouais. Voilà. Et sinon, la famille et les feux de l'amour, ça donnait quoi ? Elle avait une idée en tête la miss, pour s'intéresser autant à son homme ?

▬  Mais j'ai prévu d'aller le voir très bientôt. Tu souhaites peut-être savoir quelque chose à son sujet lorsque je serai là-bas, n'est-ce pas ? ▬

Son sourire s'agrandissait au fur et à mesure qu'il disait cette jolie petite phrase. (ou plutôt longue, elle est longue) Ouais, t'as envie de savoir des choses à son sujet et moi, j'aimerais un truc en échange.

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Ven 28 Nov - 18:59







BYAKUYA & ZERO

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Ce mec t'agace.
C'est décidé, c'est dit ; y'a un truc chez lui qui te rend dingue & qui te donne envie de lui claquer la tête contre un mur - peut-être le fait qu'il parle beaucoup, trop, & surtout pour pas dire grand chose. T'as l'impression que ça l'amuse de tergiverser & de t'faire perdre ton temps ; & c'est sans doute le cas, c'est bien ça le pire. Ce n'est pas parce que je m'habille d'une façon colorée que je suis forcément gay. Non, à vrai dire, c'est plutôt parce qu'il se faisait ton mec dans les tribunes que l'idée t'était venue - mais bon, inutile de remuer le couteau dans la plaie.
Il s'approche, un peu trop à ton goût ; t'es prête à lui mettre le stop de sa vie mais il s'arrête de lui-même, comme s'il avait peur que tu lui sautes dessus - aucun risque, mon pote.

- Hétérosexuel au point où vous approchez pas une femme à plus d'un mètre cinquante ouais, j'vois le genre, tu lâches en souriant, dans un haussement d'épaules. Gamine. J'm'appelle Zero, tu reprends, en réalisant qu'tu risques d'avoir un problème en ce qui concerne ton nom de famille. ... Genre, juste Zero.

Ca t'emmerde un peu de lui donner, d'ailleurs - qui sait d'quoi sont capables les psychopathes dans son genre. Mais t'as bien compris que pour le faire parler, il allait falloir que tu fasses quelques concessions & puis -ah bah voila, il a parlé & ça y est, t'as de nouveau envie de lui casser la gueule.

- C'est triste, pas vrai ? tu lui lances sur le ton de la plaisanterie, mais tu te crispes & ton sourire est loin d'faire illusion - monsieur a touché un nerf sensible. J'parie que c'est c'que vous vous êtes dit pour votre ex-femme, vous aussi ; "jusqu'à ce que la mort nous sépare". Ca a plutôt bien fonctionné pour vous aussi, j'me trompe ?

Ce mec t'agace, DEFINITIVEMENT.
... Mais pas assez pour qu'tu te refuses un verre d'alcool si gentimment proposé -& gratuit, en plus de ça. Tu prends le temps de le descendre ; après tout, puisqu'il a l'air d'avoir envie de perdre son temps & le tien au passage, autant joindre l'utile à l'agréable.

Mais j'ai prévu d'aller le voir très bientôt. Tu souhaites peut-être savoir quelque chose à son sujet lorsque je serai là-bas, n'est-ce pas ?
Bah ouais, c'était même carrément ce que t'essayais de lui faire comprendre depuis dix minutes ; ce mec se foutait de ta gueule, c'était pas possible autrement. & toi tu jouais le jeu comme une pauvre idiote ; y'a qu'à voir ta tête quand t'as entendu qu'il allait le voir sous peu - tu vaux décidément pas mieux qu'une adolescente jalouse de son premier rencard. Mentalement, tu portes à toast à ta regrettée dignité, celle-là même qui a foutu l'camp y'a un petit moment déjà ; puis tu liquides ton verre une bonne fois pour toute, avant de planter ton regard dans celui de l'autre emplumé -ou plutôt dans le reflet de ses lunettes.

- & vous, vous voulez quelque chose en échange, n'est-ce pas? tu rétorques dans une piètre imitation. Vous m'faites clairement pas l'impression d'être un bon samaritain. Bref, croyez-moi, si vous m'connaissiez, vous sauriez que j'peux pas faire grand chose pour vous. 'fin pas grand chose qui vous intéresse, en tout cas. Ouais, c'était clairement pas le genre de mec que t'aurais en passant sous le bureau. Ah, comme c'est beau, l'estime de soi.
J'imagine que j'peux aller m'faire voir, du coup ?

La messe est dite. Qu'est-ce qu'il pouvait bien attendre de quelqu'un comme toi, de toute façon ? Des infos compromettantes sur James, quoi que ce soit à s'mettre sous la dent sur son entreprise ? T'avais rien de tout ça, ou du moins pas grand chose -& il s'en doutait sûrement. Alors dis moi, Byakuya Ko, qu'est-ce que tu m'veux au juste ?

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Zoku
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Mer 3 Déc - 11:13

boNJOUR LE ROI INTERVIENT DE RIEN BYE

blablabla, on ne t'a pas vu à la dernière session de combat zoku, pourquoi n'es tu pas venu, un personnage tel que toi, blablabla, tu aurais pu faire un effort, faire semblant, faire comme si, tu aurais pu sortir de ton lit, blablabla, blablabla, tu aurais pu, tu aurais du, toi qui n'a rien à faire, toi qui erre ! mais si moi je veux pas ? alors, on fait comment si je veux pas ? on est bien embêté dis donc, ah c’est compliqué hein !!!

zoku en avait assez de lustrer le vernis violet vif des apparences. l’exercice de ses fonctions lui pesait récemment, et puis il ne voulait pas qu'on lui dicte sa conduite parce que de toutes façons color street brillait déjà de mille millions d’éclats sans sa présence. color street n'avait pas besoin de lui. personne n'avait besoin de lui. il était non-nécessaire, non-précieux, non-impératif, il était accessoire, superflu, dispensable, il était quantité négligeable, il était une décoration moche, vous savez ces décorations moches de noël qu’on ne met pas sur le sapin parce que non elles sont vraiment trop moches, cet enfant un peu nul qu’on ne choisit jamais pour les équipes de ballon prisonnier, ou alors tout à la fin quant t'as le choix entre lui et la petite grosse, ce cd à l’étiquette un peu abîmée qu’on remet derrière les autres cds en rayon pour en prendre un mieux, et puis de toutes façons plus personne n’achète de cds.

zoku fidèle à lui-même sanglotait seul dans la pénombre des couloirs résidentiels, passant comme un fantôme glacé devant les portes de bois sculpté et les balcons aux fioritures de luxe. complètement disloqué par les cristaux de kétamine qui lui pendaient aux narines, il rôdait, perché sur des jambes incontrôlables qui le menaient plus ou moins vaguement vers des destinations familières. il cherchait la chambre byakuya et faisait confiance à son cerveau pour mener ses pieds et par lien de corrélation logique son corps à ses appartements. mais faire confiance à son cerveau quand on s'appelle zoku est une idée très peu pertinente.

« byaku, byaku. byaku tu sais, il faut que je te dise quelque chose. c’est très très important. ouvre tes oreilles. ou bien ouvres-en juste une, mais très très très grand. »

zoku parlait aux murs. par une triste infortune les murs ne lui répondirent pas. il trébucha plusieurs fois, tomba plus encore, rampa sur le sol en arrachant par poignées les touffes d’une moquette hors de prix. il était hors de son corps et sa perception altérée de la réalité l’empêchait d’accomplir toute action douée de sens. mais pour lui, le sens était absolument omniprésent.

zoku finit inexplicablement par atteindre la terre promise après s’être traîné au sol sur plusieurs mètres comme un lombric. il se mit debout par l'action d'une force inconnue, et entreprit de s’acharner comme un perdu sur la poignée d’une porte déjà grande ouverte. zoku lorgna d’un air très méchant et extrêmement agacé sur la serrure.

« byaku putain. je te l’ai déjà dit, il faut arrêter de mettre ces trucs sur les portes, ça empêche de les ouvrir. pourquoi tu ne m’écoutes jamais ? personne ne m’écoute. tout le monde s’en fout. je vais me jeter par la fenêtre, et pas n’importe laquelle, par la tienne. »

ce déplorable spectacle était offert en direct à zero et byakuya kô par la zoku corportation.

l’intense climat de tension qui régnait déjà dans la pièce avant qu’il ne s’y incorpore comme un ingrédient étranger contribuait à faire tourner une sauce déjà très aigre. zoku arrivait véritablement non pas comme un cheveu, mais comme un nœud de poils de trois jours sur la soupe brûlante de l'altercation. haletant, reniflant, le visage émacié, les yeux si rouges qu’ils semblaient au bord de l'implosion, zoku entra soudainement à l'intérieur comme si de rien n’était.

il flâna un instant en maugréant des choses incompréhensibles, fit tomber quelques babioles très fragiles et probablement excessivement chères qui se brisèrent en mille morceaux par terre, puis finit par s’appuyer tout naturellement sur zero, son coude posé sur ses épaules. il ne lui accorda toutefois pas un regard et s’adressa à son chef et vieil ami avec la plus grande insouciance du monde. il chercha un peu ses mots.

« bien....... qu'est ce que je voulais dire déjà. ah oui. je suis le roi. asgard m’a élu jusqu’au 24 décembre. t’es viré. »

et après ce décret proclamé comme on annonce la météo, ou le fait qu’il n’y a plus de papier toilettes dans les waters du qg, il resta planté là en toussant un peu.
il observa ensuite les ongles de sa main droite avec intérêt.

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Byakuya Kô
Byakuya Kô
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Mer 3 Déc - 15:47



ET MA BATTE DANS TA GUEULE, CA TE PARLE ? (cette phrase est violente)

Zero ? Douce Zero. Les femmes sont toutes les mêmes, aussi furies que des hystériques. Aussi violentes pour un oui ou pour un non. Byakuya esquivait un sourire dès lorsque la jeune femme évoqua son ex-femme. Chihiro. Le blond se contentait d'hausser les épaules face à cette remarque sans grand intérêt. Maintenant, le passé est passé (libérééééé DÉLIVRÉ), ça servait à rien de s'attarder là dessus et les gens pouvaient dire que qu'ils voulaient, c'est pas ce qui allait tuer Byakuya ou l'énerver. Il avait passé le cap depuis longtemps. Enchaînons. Zero avait compris ce que voulais le PDG des violets. Quoi que non, pas totalement. Elle avait une spécialisation bien à elle, mais elle faisait parti d'un gang en possédant d'autres. La drogue, principalement. Les organes ? Non, Byakuya n'a pas envie de commander un bout d'intestin qu'il mangera à son petit déjeuner du premier mardi du mois de janvier. Byakuya portait son verre à ses lèvres pour y boire son contenu. Et puis là. Motherfucker, un invité surprise. Qui ça ? (parce que putain ,ça fait combien de personne qui squatte en mode thug chez moi depuis le début ?). C'était Zoku dans un état plutôt bizarre. Non, pas bizarre, c'était son état naturel. Et voilà qu'il commençait à raconter un peu de la merde à sa porte, pour venir à se poser sur les épaules de Zero et de s'adresser à Byakuya comme si de rien n'était.
ah oui. je suis le roi. asgard m’a élu jusqu’au 24 décembre. t’es viré.

▬  ... ▬

Byakuya comprenait à moitié la chose. Quoi que non, il avait parfaitement compris le délire. Juste qu'il aimerait avoir tort de temps en temps. Doucement, un sourire faisait son apparition sur la gueule du PDG. Un sourire qui en disait long sur ce qu'il s'apprêtait à faire. Il tendait son verre à Zero pour qu'elle puisse le prendre. Un sourire de psychopathe oui. Byakuya s'approchait de son ami et venait à poser ses mains sur ses épaules. Ah, mon tendre ami.

BAM.

Un coup de tête dans ta gueule te calmera l'esprit. Byakuya posait son regard sur sa première invitée surprise en laissant tomber Zoku au sol ... Et il enchaîna ce qu'il voulait lui dire avant. Comme si de rien n'était, comme si rien ne s'était passé. Bitch please.

▬ Atlantide n'est pas limité que dans la prostitution, je suis intéressé par autre chose, vois-tu ? ▬

Byakuya passait juste au dessus de Zoku pour refermer la porte de son appartement. A clef. Pour que personne puisse entrer une nouvelle fois parce que ça va trois minutes mais après, faut pas non plus pousser mémé dans les orties (ET JE SUIS PAS LE BOUFFON DU MOIS A CE QUE JE SACHE). Le violet retournait vers Zero pour reprendre son verre.

▬  Trouves moi juste une bonne cargaison de drogues différentes et à chaque fois que je verrai James, à chaque fois que je le croiserai dans la rue ou dans la ville ... Je t'en ferai part. Cela te va ? ▬

Atlantide n'avait pas respecté sa part du marché il y a déjà 2 ans de cela. Byakuya n'avait pas reçu sa marchandise qu'il avait commandé dans ce gang. Le chef, ce cher Oméga ... En a payé le prix en bouffant du steak cru et des plumes dans sa gueule. Ah,  une vraie vipère ce mec, d'ailleurs aucune idée de ce qu'il était devenu. Le violet se pencha un peu plus sur ce corps inerte au sol. Un cadavre limite, vu la gueule qu'il tirait.

▬  Sinon Zoku, j'te sers comme d'habitude avant de t'exploser ma bouteille d'alcool contre ton crâne ? Byakuya posait son regard sur la jeune femme avant de lui sourire en pointant Zoku de son pouce. Excuse le, la drogue est sa petite amie de tous les jours. ▬

J'aime mon ami si désespérant.

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