Pas une seule fois Bellatrix n’avait lâché le poignet de son partenaire de soirée assez infortuné depuis que sa main s’en était saisi dans les toilettes. Depuis la boîte de nuit de laquelle ils étaient sortis, aucun mot n’avait été prononcé. Les deux protagonistes plongés dans leur pensé. Du moins c’est ce qu’il semblait, bien que l’on pouvait pensé le contraire vis-à-vis de l’hôtesse qui fendait la foule comme un poisson remontant le courant.
La démarche naturelle comme si traîner un homme plus grand que soit derrière son dos était aussi simple que de tiré un chariot remplit de sac de riz. Le boulet que ce traînait la jeune femme derrière elle ne semblait pas plus encombrant qu’un jeune enfant. Et ils se faufilaient surement et rapidement au but qui leur était fixé. L’appartement qui se trouvait à quelques minutes à pied de leur lieux de rencontre.
Quand ils arrivèrent au pied de l’immeuble et jusque devant la porte du lieu des révélations il n’y eut aucune résistance. Ce qui la rassura et ils pénétrèrent enfin dans ce qui lui servait de demeure ici au japon. L’invitant par la suite à retirer ses chaussure et se mettre à l’aise une fois arrivé dans le salon salle à manger. Puis tout à son habitude Bella enleva ses vêtements tout en se dirigeant vers sa chambre.
Là, elle enfila sa combinaison avec tout ces sets de couteau par-dessus. Car s’habiller normalement et sans porter tout son attirail, cela lui donnait l’impression d’être totalement nu. Chose qui lui faisait horreur, surtout en présence de quelqu’un d’autre comme lui. Une fois de retour dan le salon, se tournant vers son invité, ses yeux l’observèrent un instant. Après tout, là dernière fois qu’il était venu la pièce était assez méconnaissable.
« Je trouvais la déco de la première fois plutôt fade et insipide. C’est mieux avec des meubles n’est-ce pas ? Un verre, une tasse, un bock de quoi que ce soit ? »
Tranquillement je m’y en route la bouilloire pour moi. Et venait placé ma hanche contre le comptoir du bar de ma cuisine américaine qui séparait donc la cuisine du côté salon, salle à manger.
« Et après ça on passe aux choses sérieuses. »
Mais avant de s’y mettre, Bellatrix voulait pouvoir déguster, un truc en bouche quand arriverait ce moment. Un peu comme au cinéma.
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
Aucun mot, je n'avais prononcé aucun mot pendant le trajet. Je m'étais contenté de marcher à son rythme sans dire un mot. Au final j'étais arrivé chez elle, je ne peux plus reculer, de toutes façons je n'aurais pas reculé. J'ai donné ma parole et je ne reviens pas dessus, je retirai ma veste et je la posai sur son canapé. C'est vrai que cela était mieux avec un mobilier. Je pensais, je réfléchissais, je savais ce que je devais faire, je savais que je devais me détruire moralement et physiquement pour lui prouver. En la regardant, j'avais l'impression qu'elle partait en guerre, j'avais l'impression de me voir en quelque sorte, de voir l'homme que j'étais avant d'avoir ce don. Bella n'est pas un homme, mais face à elle, c'est le diable ou le démon des temps modernes qui ce tien. Quoi qu'elle dise, je ne suis pas sûr que son esprit soit prêt à ce que je vais lui montrer, je ne vais sans doute pas briser que moi ce soir, mais bon je ne peux plus reculé. Elle va me haïr après cela, je vais surement me faire taper ou même me tuer à nouveau, enfin bref, je soupirai.
" C'est vrai que c'est mieux que la dernière fois. Je ne prendrais rien, je pense que j'ai assez bu pour la soirée. Heureusement, je ne suis pas en fonction. "
Je me rapprochais d'elle, mais je n'allais pas reculer, même si je dois me briser, même si je pense que je ne vais pas être le seul brisé ce soir. Bien que Bella me paraisse plus forte que les autres, elle en reste une personne et chaque humain, chaque mutant, tous ont peur d'une chose, la mort ! Moi je n'ai pas ce problème, ma seule peur est de voir ce qui m'entoure mourir, sans que je ne puisse rien faire et c'est ce que je vis chaque jour. Je vois des gens mourir, je tue des gens, je meurs, mais ma mort n’intéresse pas la faucheuse, je suis condamné à vivre dans ce monde, je suis condamné à voir et à subir cette violence. Mais j'ai pris l'habitude, pour moi ma vie n'a pas de prix, elle est nul sans intérêt pour moi, je suis un monstre après tout.
" Boit, mange, fais ce que tu veux Bella. Dès que tu seras prête, dis-le-moi. Sache que je ne t'en voudrais pas pour tes réactions telles qu'elle soit. "
Je soupirais une dernière fois, je la regardais. Je n'avais pas peur de mourir, je meurs tout le temps, j'ai pris l'habitude de mourir, j'ai pris l'habitude de voir ma mort et de revenir car la faucheuse ne veut pas de moi. J'avais plus peur de briser Bella que moi, la première peur des immortelles est celle de briser les autres de sa mort, la seconde est de voir les gens qu'ils aiment mourir, voilà mon quotient et j'allais le faire subir à Bella l'espace d'un instant. J'étais comme un soldat, je n'attendais que son ordre pour passer à l'action, moi je ne reculerais pas, mais elle je lui laisse le choix, mais vu le caractère de la demoiselle, je ne pense pas qu'elle reculera. Bella ne reculera jamais, c'est une tête de mule.
" Tu a le droit de reculé, de faire machine arrière avant que je te montre ma vraie nature. Je ne t'en voudrais pas non plus. Mais je pense que tu ne reculeras pas et que personne ne te fera reculer, quand tu veux quelque chose, tu l'obtiens d'une manière ou d'une autre, donc tu ne feras surement pas machine arrière. Enfin, sache que je te laisse le choix, juste au cas ou. La balle est dans ton camp et quoi que tu choisisses, je le ferais. "
Oui j'étais bien un petit soldat, mais j'étais fatigué aujourd'hui. L'immortalité fatigue moralement, mais la balle n'était plus dans mon camp, mais dans le sien. Un seul ordre, une seule phrase et je le ferai, je ne reculerais pas.
Mais c’est qu’il était énervant à la fin ! Toujours là a rabâcher les mêmes choses ! Encore et toujours les même paroles de ci de ça alors qu’il connaissait déjà la réponse. Et ce n’était pas en répétant inlassablement ces mots qu’on le prendrait en pitié et qu’on finirait par accepté ce qu’il désire. C'est-à-dire renoncer à ce qu’il nus montre ce qu’il nous cache depuis le début. Sauf que ça il en était hors de question.
Ainsi la jeune femme coupa sèchement sa bouilloire. Son infusion attendrait la fin de la démonstration car là, elle en avait plus que marre. Naru ne cessait de geindre et il lui aurait presque plus qu’il continue à se terre et se contente de montrer ce qu’il lui était demander d’exécuter. C’est pourquoi, le pas déterminé, le col de l’homme fut attrapé entre ses doigts et c’est le visage tout près du sien qu’elle dit :
« Trop c’est trop ! »
Je le poussais sur le canapé et me mettait debout en face de lui.
« Tu ne m’en voudra pas pour mes réactions quelles quelle soient et c’est temps mieux ! Parce que là vois-tu je commence à en avoir par-dessus la casquette. Tu me cours sur la banquise mais d’une force… ! Tu peux pas savoir à quel point tu es en train de m’énerver ! »
Je me saisis d’un de mes couteaux et le lançait vers lui juste à côté de sa tête.
« J’ai pas envie de changer une nouvelle fois de meubles, alors ne m’oblige pas à lancer d’autre couteau tout prêt de ta personne. Je peux recoudre un trou, mais je pense que si j’en lance encore quelques uns il me sera inévitable de changer le sofa. »
Je reprenais mon couteau et terminais mon explication.
« Comprends moi, à tout les coups il y aura du sang dessus et donc impossible de le faire partir en dehors de brûler le canapé. Ce qui implique inévitablement d’en racheter un. Alors soit un bon garçon. »
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Elle le prenait aussi mal que cela, mais soit je l'avais prévenu. Me tue, que ce soit elle ou moi cela ne changera rien. Je vais devoir prendre les devants, je vais lui montrer. Je vais encore me briser, mais cela n'est pas grave. Je m’avancerais vers elle, je vais lui montrer. Je ne sais pas pourquoi elle le prend aussi mal, mais je sais que ce que je vais faire elle risque de mal le prendre mais tant pis j'ai donné ma parole et puis je suis épuisé, je suis fatigué de cette situation, je suis fatigué de vivre cette violence. Oui mon patron à raison, je dois arriver au bout du rouleau. En tout cas, je vais lui montrer, elle avait pris sa décision et moi je ne pouvais pas reculer.
" Je payerai le nettoyage ! "
Je m'approchai encore d'elle et je la pris dans mes bras, je voulais faire en sorte de ne pas trop la brisé, enfin de ne pas trop brisé son mental. Moi j'allais briser le mien, mais cela n'est rien, je suis habitué, ma vie n'a aucun pris et puis je suis un monstre.
" Je suis fatigué ! " lui dit-je en lui chuchotant.
Je glissai doucement ma main vers un de ses couteaux, puis j'en pris un et en une fraction de seconde, je me le plantai dans la carotide, le seul endroit oui je suis sur que la blessure est mortelle et aussi que mon temps de régénération ne dure pas longtemps. Je ne souriais pas, je sentais mon sang couler, mon cœur ralentir, je sentais la mort arrivée. La mort, tu parles, je ne meurs que quelques secondes puis je reviens à moi, ma vie n'est plus rien pour moi, elle n'a plus de prix.
" Pardon ! Pardon ! Pardon ! "
Mes mots étaient de plus en plus courts, mon souffle de plus en plus faible, je tombais sur les sols mais je gardais une main sur le couteau et je l’enfonçai un peu plus. Elle va me prendre pour un suicidaire qui vient ce suicidé dans son appartement. Je tombai sur son sol, je pouvais encore la voir, voir son visage elle était sans doute effrayé vu paniqué, je ne sais pas ce qu'elle pense. Elle pense peut-être avoir été trop loin avec moi, elle pense peut-être que c'est de sa faute, je ne sais pas, je ne sais plus. Mon regard ce flouté et puis plus rien, voila la mort enfin une fausse mort qui ne devrait pas durer longtemps, encore une fois mon âme est brisée et mon cœur s’arrête, mais dans quelques minutes il reprendra ses battements comme si rien ne c’était passé. Mais j'aurai un autre problème à mon réveille, car je ne brise pas que moi aujourd'hui, je la brise aussi. Voir mourir quelqu'un cela brise toujours, quoi qu'elle dise elle sera brisée et elle ne pourra s'en doute plus jouer à la forte. Je suis le pire des monstres et des connards en cet instant. Qu'est qui m'a pris de lui montrer cela, je suis vraiment un monstre !
Quand un homme vous lançait quelque chose en rapport au nettoyage alors que vous n’avez encore rien vu de la situation à laquelle il parle. Et bien cela n’annonçait rien de bon. Surtout que la ils étaient à peine rentré dans l’appartement et à part posé sa veste sur le canapé, l’inspecteur n’avait rien dérangé. Bien évidemment Bellatrix se mit sur ses gardes prête à riposter à une quelconque attaque.
Mais au lieu de subir un coup venu de nulle part ou bien tout simplement lancer par son partenaire de soirée, ce dernier s’approcha et se mit à l’enlacer. Vous savez cette étreinte chaleureuse que l’on nomme plus communément ‘câlin’ et que les gens apprécie fortement pour montrer l’affection qu’ils ont envers d’autres personne. Et bien Naru la serrait dans ses bras alors qu’il venait d’ajouter qu’il était fatigué de tout ça.
* Il ne va quand même pas gerber sur moi ! Me dites pas que quand il parlait de nettoyage c’était pour ça ! Bordel mais il n’a qu’à ne pas boire si il ne supporte pas l’alcool ! J’vais aller lui chercher une bassine à cet incapable avant de lui coller la tête dans les toilettes ! *
Mais avant que je n’ai pu le retirer je le sentis me prendre un couteau. J’en dégainais un en même temps qu’il se reculait. Puis contre toute attente je vis la lame volé se planter dans la gorge de Naru. Le sang commença à s’écouler et comme si cela ne suffisait il se l’enfonça encore plus profondément. Et moi je restais la totalement surprise et hébété de ces gestes.
* Il voulait ce suicider ? Et pourquoi le faire chez moi ? Et puis ne possède-t-il pas un don de guérison ? *
D’ailleurs il était préférable de lui retirer le coutelet pour que la peau ne repousse pas par-dessus. Je lui retirais donc le couteau et regardais son sang chaud couler sur me mains. Cette scène m’en rappela une plus ancienne qui me tira une larme. Le pouls disparu complètement et un nœud énorme me broya l’estomac tandis que mon cœur se serra d’un coup me coupant le souffle. Une boule me monta à la gorge et je ne comprenais pas pourquoi mon corps se mettait dans cet état.
Se débattant avec sois même, Bellatrix ne voulait pas accepter ce que son corps tentait de lui faire comprendre. Mais pourtant il semblait évident que même si elle ne le voulait pas elle avait besoin de Naru Fujimi plus qu’elle ne le pensait.
« T’es vraiment qu’un connard. Tu m’auras fait chier jusqu’au bout ! »
Dans un sens j’étais rassuré, car il venait de se suicider et donc au vu de mon travail je n’avais pas à l’abattre moi-même. Je n’aurais pas supporter de devoir tué une personne de plus que j’aime sans son consentement. Et même avec c’est bien dur.
Se levant Bella alla se dirigea dans la salle de bain. Une bonne douche lui ferait le plus grand bien. Après tout le plancher attendrait, et ce n’était pas la première fois, le sol de l’appartement connaissait la musique.
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
Le noir complet, mais j'arrive encore à réfléchir. Mes sens sont coupés, je ne sens plus rien sauf la douleur de la mort. Je suis dans ce noir, je vois de choses que j'aurai préfère oublier, que je pensais avoir oublié. Je vois tous les gens que j'ai tués ou qui sont mort à causse de moi, cela me rappelle à quel point je suis un monstre, le seul monstre qui ne pourra jamais mourir. Je la vois elle, celle que j'ai tué ma coéquipière, mon ancienne coéquipière. Je n'aurais pas dû mourir avant elle, j'aurais pu la protéger mais j'ai échoué, j'échoue toujours. Je suis née pour échouer et je suis devenue un monstre.
Puis mes sens me revienne, bien sûr j'ai encore était brisé par mes souvenirs, les souvenirs des gens qui ont péri. D'abord le son, j’entends quelque chose de coulé, une douche, un robinet, je ne sais pas, puis les autres. Puis vient la douleur, cette douleur qui me rappelle que je suis mort. Cela fait mal, voir extrêmement mal quand le cœur se remet à battre, mon sang recommence à circuler et il me brule de l’intérieur, j'ai mal mais j'ai l'habitude. Je me lève avec du mal au départ mais j'y arrive. J'entends encore cette eau coulée, mais en regardant dans la pièce ou que je suis il n'y a rien, je me dirige donc vers ce bruit, ou suis Bella ? J’espère qu'elle n'a pas fait une bêtise à causse de ma bêtise. Non je ne pense pas, elle n'est pas dû géré à faire cela.
Je me demande ce qu'elle à pus imaginé en me voyant mourir, est-elle triste ? En colère ? Contente ? Je ne sais pas, mais j'ai dû lui faire du mal, comme d'habitude. Mon sang me brule, chaque battement de cœur me fait souffrir, combien de temps je suis resté dans cet état de mort ? Je ne sais pas, mais en tout cas rien à changer j'ai toujours aussi mal au réveil, voire même plus que les autres fois. Je décide de rentrer, je ne sais pas comment elle va réagir, mais mon sang me brule trop.
" Bella, je rentre ! "
Je rentre, sans attendre de réponse, bordel pourquoi j'ai l'impression que toute ma blessure me brule, j'ai l'impression que toutes mes cicatrices me fondent souffrir aujourd'hui. Je retirai mon tee-shirt, encore un qui va finir de bruler, il est couvert de sang. Je me déshabillai, je vis toutes mes cicatrices celle que j'arrivais à cacher sous ma chemise ou sous mon pantalon, j'en avais vraiment beaucoup, mais c'est normal pour un mec qui est immortel. Et puis je pense que Bella en a vu d'autres, elle doit même être habituée à ce type de chose. Je décidais de rendre sous la douche le sang qui coulait dans mes veines me bruler trop, un effet de l'immortalité. Je soupirai avant de rendre, elle allait surement me tuer une nouvelle fois pour cela mais les effets étaient plus douleur cette fois, sans doute car ma mort à durée plus longtemps que prévu.
" Pardon, de t'obliger à partager ta douche. Mais ne t’inquiétè pas je me rincerai pas l’œil. "
C'est vrai que je ne rincerai pas l’œil, je ne suis pas comme cela. Je ne suis pas un pervers. Une fois rentre et une fois que je sens l'eau sur mon corps cela apaisait mes douleurs, dû les douleurs physiques. Ma douleur mentale prenne plus de temps à ne plus me faire mal, d'ailleurs je n'ai toujours pas trouvé de moyen de les apaiser. Je n'avais pas retiré mon cache-œil, j'avais honte de montrer mon œil rouge. Il faut dire qu'au Japon cela est ma vue, souvent quand les gens le voit, ils me traitre de démon ou de monstre, mais dans un sens ils ont raison, je ne peuvent pas leurs en vouloir. On peut dire que c'est la marque de mon immortalité. L'eau coulée sur mon corps, je ne regardais pas Bella, je suis sur qu'elle va me tuer, mais je me demande vraiment comment elle a pris ma mort, dans un sens je m’inquiète un peu. Je soupirai encore une fois, mais c'était un soupir de soulagement, le sang qui couler dans mes veines ne me bruler presque plus.
" L'eau ça fait du bien. "
C'est vrai que l'eau ça fait du bien, surtout pour moi enfin je crois. D'ailleurs cela est bizarre, elle aurait dû me frapper ou encore une fois me tuer. Ne mais là rien, je ne vais pas m'en plaindre. Pour le moment, je peux profiter de cette douche, même si je lui impose ma présence, je verrais bien ce qu'elle fera par la suite. Me tuer où me frapper, c'est l'un ou l'autre avec elle. Je me suis habitué aux deux cas alors une fois de plus ou de moins cela ne pas changer grand-chose. En tout cas, je me demande ce qu'elle va faire et aussi comment elle va ? Mais bon, elle me le dira où je m'en prendrais une bonne en pleine face.
Le couteau du crime toujours en main, Bellatrix se dirigea vers la salle de bain et y pénétra. Les lumières illuminèrent toute la pièce et la table servant pour les soins médicaux fut rabattu contre le mur. Après quoi les portes vitrés prostrées dans les murs latéraux furent tirées jusqu’à séparé le coin douche du reste de la salle d’eau. Bien évidemment les mains rougeoyante laissaient des traces sur toute les surfaces qu’elles touchaient.
Mais la jeune femme fit fi de tout cela et toujours dans sa combinaison alluma l’eau qui sortit de tous les côtés. Réglant la chaleur, de la buée se forma petit à petit, emplissant toute la pièce. Une fois que le liquide incandescent eut disparu de ses mains et de sa combinaison, elle consentit à enlever cette dernière ne gardant que le couteau à la main. Couteau qui fut fixer pendant un laps de temps indéterminé.
Se rejouant la scène encore et encore pour tenter de comprendre dans un sens ce qui reliait ce geste aux précédentes rencontres. L’eau tout comme le temps s’écoulait. Et lorsque la voix de l’inspecteur se fit entendre, Bella crut que ce n’était que son imaginaire qui la travaillait. Après tout ce n’était pas la première fois que de sa propre volonté elle imaginait un de ses proches décédé pour pouvoir lui parler et faire le point.
Même dans son imaginaire, elle ne pouvait s’empêcher de lui donner ses manières de gentleman stupide et inutile. Après tout il n’était que le fruit de son imagination, alors qu’il la voit nu importait peu. Se retournant, l’homme était bien dos à elle ne la regardant pas et cela lui tira un sourire. Oui cet homme était vraiment contradictoire. Car après tout quelques minutes plus tôt lorsqu’il était vivant et non une illusion il l’avait vu pratiquement nu.
Lorsque l’ex flic lui avait montré toute les cicatrices qu’arborait son corps. D’ailleurs lui aussi en portait pas mal. Il faudrait qu’elle vérifie néanmoins si il en portait autant que ce qu’elle imaginait. Car seulement le torse lui avait été découvert. Il pencha la tête vers l’arrière soupirant de bien être sous l’eau et louant les bien fait d’une telle eau chaude sur le corps. Cela lui tira un sourire puis un rire.
« Il faut croire que tes manières qui m’énervaient de ton vivant vont en faite me manquer si je continue à te les faire faire dans ma tête. »
Je fis trois pas pour le rejoindre à l’autre bout de la douche et posais ma main sur son dos retraçant ses cicatrices.
« Tu sais que je pensais que tu allais me vomir dessus à la base ? Mais certainement pas que tu allais te suicider comme le dernier des lâche devant moi. »
Je griffais un peu son dos quand mes doigts rejoignirent le centre de ma main pour former un poing.
« D’ailleurs t’avais dit que tu payerai le nettoyage. Tu comptes le faire comment maintenant que t’es mort abruti ? »
Je lui donnais un violent coup de poing dans le dos.
« You know you’re a really Asshole and Rotten’s man ?! »
Un autre coup plus violent et je le retournais face à moi.
« Oh que oui t’es vraiment qu’un salaud. Tu n’as vraiment penser qu’a ta gueule du début à la fin. Paradant toujours ton égoïsme sous des couches d’excuses bidons. Prétextant que c’était ton travail, que tu te devais de me protégé parce que je suis une civile ect… A qu’il est beau ton honneur, ton égoïsme ! »
Il avait toujours son bandeau sur cet œil et ça me dérangeait. Mais d’un autre côté je ne savais pas ce qu’il se cachait en dessous. Je ne pouvait donc pas imaginer autre chose. Néanmoins j’allais bientôt découvrir ce qui s’y cachait.
« Toutefois je ne comprends pas comment un égoïste comme toi a pu se suicider. Surement encore un acte égoïste. Mais tu sais quoi ? »
Je lui collais une droite monumentale qui l’envoya contre le mur qui faisait l’angle. Droite, dont je ne sentais même pas le contre coup tellement j’étais énervé. En tout cas j’avais dû taper contre le mur et devait surement avoir des séquelles mais je m’en fichais.
« Moi aussi je vais faire mon égoïste. Après tout j’ai ton corps à ma disposition. Je vais commencer par voir ce qui se cache sous ce morceau de tissu noir qui couvre ton œil. Et après je vérifierais chaque cicatrice que je t’imagine couvert. »
Je m’approchais de lui et lui donnait un coup dans le ventre qui le plierait en deux en lui coupant le souffle.
« Après quoi je t’amènerais à la base pour t’étudier correctement. Après tout tu étais un mutant. Certes les faiblards comme toi ne m’intéresse guère, mais comme tu aurais su répondre à certaines attentes de mon corps et de mon esprit je peux au moins faire ça. »
Bellatrix s’apprêta donc à ouvrir une des portes coulissante pour ensuite pouvoir quitter la salle d’eau et voir le cadavre dans son salon.
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What has to be « Je ne suis pas une hallucination »
Avec Bella
Je venais de me faire taper dessus, mais cela était normal. Ce que je ne comprenais pas c'est ce qu'elle me raconter, j'ai l'impression qu'elle pense que je suis une hallucination ou un mirage. Pourtant je suis bien réel, je me tiens devant elle. Bien qu'elle m'est tournée vers elle, je m’efforce de regardait le sol. On n'est pas dans les mêmes conditions. Je soupirais, jusqu'à cette phrase, où elle me traitait de moins que rien et qu'elle me ramènerait enfin qu'elle ramènerait mon corps pour m'étudier, de quoi elle parle ? Je n'y comprends rien, mais elle a l'air de perdre son sang-froid et surtout de ne pas réaliser que je suis vraiment réel, je ne suis pas une hallucination. Un monstre oui, une hallucination non !
Je pris sa main et je m’aperçus qu'elle trembler, je ne pensais pas voir Bellatrix trembler, suis-je si horrible ? Ou à telle juste peur du monstre que je suis ? Et puis qui est-elle vraiment pourquoi dire des choses comme elle vient de dire, je ne comprends pas, mais je suis en tord après tous c'est moi le monstre. Pas elle !
" Bellatrix, fait ce que tu veux, mais sache que je ne suis pas une putain d’hallucination ! Et arrête tu va te faire mal à force ! "
Oui elle était plus humaine que moi, je suis sur qu'elle tremble car elle sait qui je suis vraiment maintenant. Elle voulait voir ce qu'il y avait derrière mon bandeau, je sais pas si cela est une bonne idée c'est tellement moche. Mais sa phrase me donna pas mal de questions. Je me demande même si elle n'est pas une ... Non je ne pense pas, enfin elle en aurait les tripes et les capacités, mais je ne pense pas, mais je ne suis pas sûr, je ne suis plus sur de rien. Tout ce que je sais c'est qu'elle tremble et je n'aime pas cela, je n'ai jamais pu supporter les tremblements des gens qui ont peur, ou même lier à autre chose. Même si elle était ce que je pense, enfaite je m'en fous, je l'aurai bien cherché après tout je suis un monstre et je dois le mériter. Combien de personnes me l'on dit, je ne sais pas tellement. En tout cas je n'aime pas ses tremblements.
" Ne tremble face à personnes Bella, même pas face à moi. Je sais que je t'ai fait peur et que je te fait peur, je sais aussi que je suis un monstre, mais ne tremble plus, calme toi s'il te plait. Fait ce que tu veux, étudie-moi autant que tu veux, c'est tous ce que je mérite, je ne mérite pas plus que cela, je suis un monstre après tout. "
Mais je ne voulais pas qu'elle pense que j'étais un égoïste. Si je faisais cela c'est parce que je suis sur d'être un danger pour les autres, je ne mérite rien d'autre que la haine et la violence.
" Sache que je ne suis pas égoïste, je sais que je suis un danger pour les autres, je pense aux autres. J'essaye de protéger un maximum ce qui m'entoure et je les protégerai, je te protégerais aussi. Je ferai le maximum pour que rien ne t'arrive. "
Sans trop le vouloir, je voulais juste calmé ses tremblements. L'endroit est peut-être mal choisi, ce n'est peut-être pas le bon moment, mais je décidais de la prendre dans mes bras quelques instants avant de la lâcher, histoire de calmer ses tremblements. J'allais peut-être me prendre un coups ou deux, mais tant pis. Je hais les tremblements. Puis je pris sa main et je la mis sur mon bandeau, elle voulait voir ce qu'il y avait derrière, elle a vu qui j'étais alors pourquoi pas cela ? Mais bon, derrière ce bandeau ce cacher une chose horrible, une belle cicatrice ainsi que cet œil rouge sang.
" Je ne suis pas égoïste, si tu veux tu peut voir ce qu'il y a derrière mon bandeau, c'est juste que j'ai honte de le monter et aussi que c'est horrible derrière. Et je suis bien vrai et sache que tes coups mon fait mal, alors arrête de me frapper, même si je sais que je le mérite ! "
Je me demande vraiment qui elle et ses paroles résonnent dans ma tête et puis j’espère qu'elle va prendre conscience que je ne suis pas une hallucination venue de son imagination, mais bon je ne comprends pas tout ce qu'il se passe dans sa tête et puis dans la mienne, faut dire que je n'ai jamais compris.
Laissant là son hallucination, d’un pas sûr et de feu Bellatrix s’apprêtait à sortir de la douche pour rejoindre le salon. Sauf que voilà, un élément qui ne rentrait pas en compte dans son équation ce manifesta. Son hallucination venait de lui saisir le bras. Hors cette saisit n’avait rien d’imaginaire. La prise était chaude, dure et bien réelle. Bien évidemment cela la glaça sur le coup, un long frisson lui remonta tout le long du corps et la fit trembler.
Il parla et là elle prit conscience de combien il venait de se foutre de sa gueule. Il lui demandait d’arrêté de trembler, pensant que c’était de la peur. Or c’était tout le contraire. Si son corps était prit de tremblement c’était dû à la colère ! Colère qui se propageait de ses pieds à sa tête au fur et à mesure que les paroles sortaient de se bouche. Surtout lorsqu’il parlait de protection.
Prête à répliquer avec hargne, son geste fut bloqué quand le menteur la prit dans ses bras. Bien évidemment cette étreinte lui donna des papillons dans le ventre et tout ce qui va avec une personne amoureuse. Alors quand il la relâcha, la jeune femme était deux fois plus en rogne. Bien qu’il ait gardé sa main pour la porter jusqu’à son cache œil. D’ailleurs cela lui fit remarquer son étrange tatouage sur l’avant bras.
« Ah oui pas égoïste ? En tout cas tu t’es bien foutu de ma gueule ! »
Je levais ma main armé, et dans ce geste coupait le cache œil, qui couvrait une cicatrice.
« Tu as honte d’une simple balafre ? Mais si tu veux moi je peux te donner de quoi avoir honte ! »
Je lui donnais un coup de poing dans le maxillaire gauche puis une balayette pour le faire plier.
« Tu te fou de ma gueule, tu parle de me protégé, tu prétend que je puisses avoir peur de toi. Que tu m’ait fait peur ! Mais t’en à pas marre de te foutre de moi ?! »
Je lui donnais un coup de pied dans l’estomac.
« Je sais me protéger toute seule ! Je t’ai pas attendu pour ça ! Je n’ai pas eu peur ! J’ai juste.. J’ai juste.. ARGH ! »
Je le frappais à chaque fois pour ponctuer mes exclamation et encore deux coups après avant de continuer :
« FUCK ! »
Je le mis sur le dos et m’asseyais sur son ventre, prit son visage dans une main lui plaquant le couteau sous la gorge et le regardais dans les yeux. Je vis alors enfin cet œil rouge hypnotisant qui me tirailla quelque part, mais je repris le dessus.
« Maintenant tu vas tout me dire de ta mauvaise blague. Tu étais réellement mort, je le sais. Alors comment tu as fais ? Dis moi tout ou cette fois ci c’est moi qui te tue ! »
Je fis glisser la pointe de la lame le long de la gorge jusqu’au dessus du cœur.
« Et ça se fera pas en douceur. »
Bellatrix était à deux doigts d’exploser complètement à force d’être tirailler entre ces deux sentiments : Amour et Trahison.
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
Et voilà j'avais encore mis Bella en colère pourtant je n'avais rien fait, mais bon elle venait de prendre conscience que je n'étais pas une putain d'illusion. Je me laissais frapper, jusqu’à ce qu'elle arrête. Elle ne comprenait pas, elle me répétait qu'elle n'avait pas peur, cela se voit. De toutes façons je mérite ses coups, je ne peux rien dire, mais au vu de ses questions je dois admettre qu'elle n'a pas dû comprendre ce que je suis. Je soupirai, elle avait vu mon œil rouge et pourtant je n'avais eu aucune réflexion, cela me surprit. J'étais habitué à des réflexions à causse de la couleur de mon œil, mais là rien. Je soupirais, j'allais lui dire cache ce que je suis peut-être qu'elle comprendra que je suis loin d'être égoïste après cela.
" Tue-moi et je reviendrai à la vie ! "
Je mis ma main sur sa joue et je ne sais pas pourquoi mais je lui souriais, un sourire gentil.
" J'aurais pour toujours 24 ans. Je suis condamné à vivre dans ce monde qui devient de plus en plus violent. Je suis condamné à voir la fin de se monde. "
Je lui caressai la joue, je vais lui dire cela me fait peur mais elle a vu que je pouvais revenir à la vie. Cela la calmera peut-être de savoir réellement, de l'entendre de ma bouche peut-être comprendra telle que je ne suis pas du tout égoïste après cela. Si j'étais égotiste, je ne donnerais pas ma vie à des inconnues pour les sauver dans l’anonymat, je ne me sacrifierais pas pour faire vivre ou pour faire survivre le plus de monde. Voilà comment j'utilise mon don, je l'utilise pour sauver des personnes des fois je ne les connais pas, des fois si, mais au final celui qui meurt c'est moi. Je fais tout pour que personne ne meurt, je me sacrifie, je pense que cet acte est loin d'être égoïste.
" Je sauve des vies en me faisant tuer continuellement. Bella, je suis... "
Je mis mes deux mains sur ses joues et je la regardais droit dans les yeux, je lui faisais face c'est bien la première fois mais j’espère qu'elle va comprendre ce que je suis maintenant et qu'elle verra que je suis loin d'être un égoïste comme elle le pense.
Les paroles du jeune homme la laissait perplexe dans un premier temps. Ca réplique avait l’air de sortir tout droit d’un mauvais film de fantastique. C’est vrai quoi, « Tue-moi et je reviendrais à la vie. ». Ca donnait envie de lever la tête et de chercher la caméra où d’attendre que quelqu’un crie : « Coupez ! » dans un coin de la pièce. Si l’instant n’avait pas été aussi important, jamais la réplique n’aurait été crédible.
Il apposa sa main contre sa joue. La chaleur de sa main se diffusa sur tout sa joue jusque son cou et lui tira un frisson. Maintenant que le mental acceptait ce que le physique cherchait apparemment à lui dire depuis un moment, son corps était à fleur de peau au moindre de ses gestes. Pourtant Bella resta stoïque et ne montra rien. Après tout les frissons pouvaient être dû à l’eau.
En effet le bout des jets les atteignaient à peine et seulement quelques gouttes d’eau tombaient sur eux. Et bien que l’eau soit chaude, elles avaient largement le temps de refroidirent entre le moment où elles atterrissaient sur leur peaux et glissaient le long. C’était du moins l’excuse que se donnait son cerveau en réserve. Mais sa main n’était pas la seule raison des frissons qui la traversait.
Ses yeux en étaient aussi la raison. Des yeux non seulement vairons, mais dont l’un d’eux était rouge. Rouge comme un Ruby ou comme le sang selon la lumière. Cet œil fascinant qui la captivait et qui lui permettait surtout de voir si l’homme mentait ou non. Car cet œil semblait refléter la pureté même de ce que l’on appelait ‘les fenêtres de l’âme’. En l’occurrence, une seule ici.
Ainsi donc la jeune femme se retint de fermer les yeux et de ronronner quand il lui caressa la joue. Se retenant aussi d’appuyer sa joue contre cette main emplit de chaleur. Ses paroles l’aidèrent à se refroidir un peu quand il évoqua qu’il était mort et mourrait pour d’autres personne, pour les sauver. Le nœud réapparu mais pas longtemps vu qu’après cela il colla sa deuxième main sur son visage.
« Bellatrix, je suis immortel ! »
Ma seule vrai réaction et d’écarquiller un peu plus les yeux avant que mon cerveau cogite à vive allure. Je comprend maintenant ce qu’il voulait dire par avoir toujours vingt-quatre ans et ceux physiquement. Mon cerveau réalise surtout que cette personne que j’aime, ne pourra pas mourir. Et ça c’est le grand déclic. Déclic que j’aurais préféré avoir seule. Pouvoir le foutre à la porte pour craquer seule. Or là, mission impossible.
« Immortel….. »
Ce n’est qu’un murmure. Je ferme les yeux et me laisse tombé sur lui, là lame froide entre nous deux. J’essaie de ne pas craquer alors que les images de tout ceux que j’aime et qui sont mort pour moi me reviennent à l’esprit. Et comme je ne veux pas craquer j’essaie de me mettre en colère. Mais son corps en contact avec le mien m’en empêche.
« Immortel.. Tu es immortel.. Immortel.. »
Je martelais mon poing contre son pectoral chaque fois que je disais le mot immortel. Les larmes coulaient contre ma volonté et je craquais comme une gosse. Je pleurais de tristesse, le frappais de colère et tout cela dans le désarroi, l’incompréhension et tout ce qui s’y accompagnait. De chaude larmes s’échappait de mes yeux et pourtant ils restaient ouvert à admirer cet œil rouge. Qui me rassurait autant qu’il me faisait pleurer.
« Ton pouvoir est d’être Fucking immortel. »
C’est la première phrase que je réussis à dire une fois à peu prêt calmé.
« T’es un connard Silver Heart. Un salaud. »
Je collais mon front au sien et laissais mon cœur parler. Après tout c’était son quart d’heure autant qu’il en profite avant que je le remette en cage.
« But I love you Silver Heart. »
La dernière fois il n’avait pas comprit un seul mot d’anglais. Sauf que Bellatrix ne se faisait pas d’illusion. A tout les coups là il comprendrait.
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Je m'attendais à tous sauf à cela, je m'attendais à me faire frapper, hurler dessus, mais pas à cela. Même si je tiens pas la route en anglais, je connais les basses et je savais parfaitement ce que voulaient dire ses mots, mais je ne m'y attendais pas, il faut dire que cela fait longtemps que je ne les ai pas entendu enfin pour moi. J'étais surpris, je ne bougeais pas pendant un petit moment tellement cela me surpris. Quelque seconde après, je me relevai doucement, mais je resterais assis et mon front resta collé au sien. Je laissai une de mes mains sur une de ces joues et je passais l'autre sur sa nuque, pour la rassurer. Je voyais qu'elle pleurait, mais je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait pour mériter cela, j'ai même tout fait pour pas que cela arrive et cela est quand même arrivé. Je voyais très bien qu’elle pleurer et je n'aime pas voir les gens pleurer, je n'ai jamais aimé cela.
" Pourquoi-moi ? "
Je murmurerais ses mots avant de regardaient de nouveau dans les yeux de Bella, je ne pouvais pas le supporter. Mais bizarrement les mots qu'avait employés Bella en anglais m'avaient fait réagir, comme si même si je ne m'attendais pas à cela une partie au fond de moi celle que j'avais cachée depuis des années était libre, cette partie ou je garde tout pour moi, ou je cache le moindre dès mes sentiments afin de protéger les autres de la mort, c'est comme si elle l'avait libéré juste avec quelques mots. Je regardais encore Bella dans les yeux, pour moi faire preuve d'amour était un acte égoïste, car tous ce que j'avais aimé où tous se à qui je l'avais dit étaient morts, je ne sais pas si je peux être égoïste avec Bella et la mettre en danger. Mais bizarrement une voix dans mon crâne me dit de le faire, cette voix que j'avais réussie jusqu'à maintenant à emprisonner.
" Arrête de pleurer Bella, tout va bien. Je vais rester avec toi autant que tu veux. "
Je lui caressais la joue, mais avant qu'elle ne peut parler ou dire quoique se soit, je l'embrassais. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je pense que mon égoïste sur cette partie à prendre le dessus sans que j'en prenne vraiment conscience. Je voulais aussi qu'elle arrête de pleurer, je voulais aussi la rassurer et tous ce que j'ai trouvé à faire était de l'embrasser. Malgré le couteau sous ma gorge, je n'avais pas peur de le faire, je n'avais pas non plus peur de mourir car j'aurais été trop loin, je voulais juste la rassurer et faire en sorte qu'elle arrête de pleurer.
Pourquoi lui ? C’est la même question que pourrait ce demander la jeune femme ce type ne lui avait apporté que des ennuis après tout. Suffisait de remonter à leur première rencontre dans cette ruelle derrière son immeuble. Trouvant un cadavre et ne voulant pas d’emmerdement car la prévision était une soirée d’amusement il avait fallut que ce soit lui l’inspecteur en charge de cet affaire.
Bon Bella avait finalement put partir en boîte, mais il avait fallut que toute la tripoté de flic qui l’accompagnait ce soir là, pense qu’ils étaient amants. Ce qui bien sur n’arrangea pas son affaire quand, ayant besoin d’un renseignement elle se pointa au commissariat ou il y eut un bordel monstre. Résultat c’est dans une des cellules à devoir attendre que ce soit cet idiot qui la sorte de là.
Et une fois sortit il l’avait envoyé balader pour ensuite finalement venir la gêné et mettre les mains dans le mauvais plat. Bref, en gros depuis qu’ils s’étaient rencontrés ils n’avaient eu que des embrouilles. C’était peut être ça qui l’avait fait réfléchir inconsciemment pour en venir aujourd’hui à l’aimer. Mais le temps que je finisse de sécher mes larmes pour pouvoir lui donner un semblant de réponse il me dit autre chose avant de m’embrasser.
C’est le genre de baiser que Bellatrix n’avait que très peu reçut au cours de sa vie. Un frisson remonta de ses lèvres, jusqu’à sa nuque et se répandit sur tout le corps. Cela lui coupa également le souffle tout en l’apaisant. Des effets plutôt contradictoire mais n’oublions pas de qui nous parlons. Toujours est il que cela la laissa comme une con pour la première fois de sa vie. Avant de se reprendre et de répondre :
« Je pourrais me poser la même question, mais j’ai jamais cherché à comprendre pour les autres. Alors je vais pas commencer à chercher pour moi. »
J’esquissais un petit sourire et jetais le couteau sous la porte vitré jusqu’au lavabo. Après quoi je posais ma tête sur son épaule et enfouissais mon nez dans le creux de son cou.
« Jusqu’à ce que tu ne me supportes plus alors. »
Je lui embrassais le cou puis me levais pour retourner sous le jet d’eau chaude et finir ma douche.
« J’dois avoir des fringues pour toi quelque part. Et non, ne me demande pas comme le précédent gars, il ne viennent pas d’un cadavre ou quoi que ce soit. »
Tout en agitant une main, l’autre shampouinait ses cheveux, Bellatrix avait besoin de faire chose nette en quelque sorte.
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C'est mot me fils légèrement sourire, mais cela ne me parut même pas bizarre. Après tout elle avait raison, la question peut-être poser pour les deux parties. Mais ce qui me fit vraiment sourire c'est " jusqu'à ce que tu ne me supportes plus alors ", si elle savait que je pouvais la supporter pendant une éternité, mais elle le sait. Enfin je n'ai pas l'impression qu'elle percute encore, mais tant pis.
" Ok, je ne te poserai pas de question dessus, mais j'ai comme même une question enfin deux. "
Je la regardais avec un sourire, je pense que je ne vais pas revenir sur le sujet de mon immortalité, je répondrais à ses questions qui arriveront tôt ou tard. Je jouai avec le bout de son nez puis je décida pas de m’arrête et de l'embrasser sur le front, autant être gentil après tous ce que je lui ai fait montrer, je pense que c'est le minimum que je puis faire.
" Tu travail dans quoi pour vouloir étudier mon cadavre ? "
Je me pose cette question depuis qu'elle en a parler, cela me perturbe un peu et puis je suis flic c'est comme si j'avais cette petite voix dans ma tête qui me chuchoté " Demande lui c'est louche ! " ou encore " connard tu vas lui poser la question ! " oui la voix dans ma tête est aussi méchante que moi.
" Je pourrais dormir chez toi enfin sur ton canapé, mon don ma épuisais et j'ai pas le courage de prendre la voiture. "
C'est vrai que mon don m'avait épuisé, mais j'y ai pris l'habitude je suis mort 50 fois donc j'ai vraiment l'habitude de cette sensation de fatigue. Mais c'est le seul effet supportable enfin pour moi, je pourrai même ne pas décrire le cauchemar que je vis dans mon esprit à chaque fois que je meurs, enfin pour moi c'est comme si je me brise encore et encore, enfin bref j'étais un peu fatigué à causse de cette mort comme tous les morts que j'ai vécus.
Tout en se lavant, son cerveau essayait d’absorber tout ce qui venait d’arriver. Pas son don d’immortalité, ça ce n’était qu’une broutille comparer au fait de se rendre compte que l’on aimait quelqu’un. Ce qui est bien évidemment est interdit de par son métier et normalement on viendrait tuer son bien aimé. Sauf qu’on le tuerait, il reviendrait à la vie et puis fin de l’histoire.
Enfin, le seul que Bellatrix autoriserait à le tuer est lui aussi dans la même situation qu’elle. Donc bon, autant dire que l’un comme l’autre ils étaient pas dans la merde. Toutes ces pensées furent repoussées plus loin dans l’esprit quand Naru se leva, l’informa qu’il avait deux questions à lui poser avant de venir lui pincer le nez de gauche à droite comme à un enfant puis de l’embrasser sur le front.
« Je dirais qu’au total tu me poses quatre questions et non deux. Car ta première question en contient en faites deux, tout comme la seconde. »
Je levais un doigt que je posais sur son buste.
« Première question : Dans quoi est-ce que je travaille ? »
J’apposais un second doigt.
« Deuxième question : Pourquoi je veux étudier ton corps ? »
Un troisième.
« Troisième question : Est-ce que j’accepte que tu dormes chez moi ? »
Puis le dernier doigt.
« Quatrième et dernière question : Quelle couche je vais te prêter ? »
Me mettant sur la pointe des pieds je commençais à énumérer :
« Mon canapé ? »
Je remontais mes doigts le long de son torse jusqu’à sa nuque.
« Dans la chambre d’amis ? »
Puis je lui chuchotais à l’oreille.
« Ou dans ma chambre ? »
Je revenais face à lui avant de sourire et de lui coller une grosse pichenette sur le front.
« Si je devais te dire ou je travail je devrais te tuer. Etudier ton corps est juste un plaisir personnel. Pour ce qui est de dormir ici, il est évident que tu vas rester dormir. Tu as un plancher à changer je te rappel. Après toute les propositions tiennent, quoi que ça me ferait chier de sortir des draps et tutti quanti pour le canapé. »
Je fermais la douche et sortait deux serviettes de l’armoire. Je m’enroulais dans une, ramassais ma combinaison et mon couteau et allais dans ma chambre chercher un pyjama pour lui tout en enfilant le mien. Qui consiste en ce moment à un top et un short vert avec mes scratch de lame en dessous.
« Tiens y’a un T-shirt à ta taille et un pant-a-court. Le T-shirt m’a servit de pyjama et le bas m’est pratique en pantalon trois-quarts de temps en temps. Moi j’vais me coucher. Si tu veux manger ou boire quoi que ce soit tu me réveilles. Pareil pour sortir. Je suis pas radin ou vieux jeu, c’est juste pour éviter que je te tue par inadvertance. »
Je souriais normalement et terminais :
« Si t’as tout compris tu choisis de dormir ou ? »
En attendant sa réponse, Bellatrix se brossa les dents.
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
Bon en clair j'avais le choix entre la chambre d'amis et ne pas bouger ou sa chambre et ne pas bouger, elle n'avait pas l'air d'aimer que je dorme dans le canapé d'ailleurs elle a dit que cela la ferait chier. Et son travail s'était vague, mais un jour je serai bien informé pour moi ce n'est que partie remise ensuite viens l'histoire qu'étudier mon corps était juste un plaisir passionnel. Je la savais pas net mais au point de faire de moi un de ses cobayes, je ne l'aurai jamais cru. Mais bon si cela peut lui faire plaisir pourquoi pas et puis je ne peux pas mourir donc je n'ai pas de peur à avoir dessus. Par contre, je ne sais pas quoi répondre la chambre d'amis ou sa chambre . De toute façon je vais surement dormir entre 12 et 15h d'affilée sans me réveille ou avec du mal, oui un effet de l'immortalité. Quand je ne meurs pas je n'ai pas de sensation sa fatigue ou d’épuisant physique, je fais juste semblant pour passé pour un être vivant comme les autres. Mais quand je meurs, je passe une grande partie à dormir si je me rappelle bien mon score de sommeil sont 39 h.
" Je vais dormir avec toi, je me sentirai plus en sécurité. Et te fait pas de soucis, je ne bougerais pas pendant 13h à 15h normalement. "
Je sortis de la douche et je m'habillai avec ce qu'elle m'avait donné, je ne posai pas de question dessus même si cela me trotté dans la tête. Mais comme elle m'a dit de ne pas poser de questions j'en pause pas. En tout cas cette douche m'avait fait beaucoup de bien, ma circulation sanguine était redevenue à température quasi normale enfin je crois en tout cas je n'avais plus mal. Je finis de m'habiller et je m'approchai d'elle doucement.
" Je dort dans ta chambre avec toi, au moins je serai sur de ne rien risqué pendant mon long sommeil. "
Je lui embrassai une nouvelle fois le front.
" Mais ta pas intérêt à profité de mon corps pendant que je dort. "
Je lui souriais avec un sourire amusé puis-je lui tirais un peu le bout de son nez, j'essaye de lui faire oublier ma mort et tout et tout.
Tout en crachant son dentifrice dans le lavabo, Bellatrix eut un sourire. En effet si il y a bien une chose que les gens qui la rencontrait savaient, c’est que jamais il n’aimerait passé la nuit à ses côtés. Ils auraient tous trop peur qu’ils soient disséquer pendant la nuit suite à l’intérêt morbide qu’elle leur porte. Ou bien qu’ils soit emmenés à la base des traqueurs ou qu’ils soient tués.
Alors que Naru dise préférer dormir à ses côtés pour plus de sécurité était plutôt cocasse. Quoi qu’il n’ait pas tort. En effet dans son appartement, il fallait mieux être le plus proche d’elle. Car si du bruit se faisait entendre à l’entrée, il avait tout intérêt à se trouver à ses côtés si il ne voulait pas finir avec du fer ou du plomb dans le corps. Et la chambre était effectivement l’endroit le plus sur de l’appartement. Après la salle de bain.
« Je ne suis plus une enfant. »
Je fis une petite moue en repoussant sa main.
« Tu es bien sur de toi, mais tu doit savoir quelques petites choses avant. »
Je le prenais par la main et le tirais derrière moi jusqu’à la chambre tout en énumérant les choses.
« Tu es le premier qui dors avec moi dans mon lit, mais surtout le premier depuis plus de dix ans avec qui je dors dans le même lit. Donc honnêtement je ne sais pas si je prends beaucoup de place ou pas. Ensuite, tu ne touche à rien si ce n’est les porte pour aller dans les différentes pièce de l’appart’. Et pour ce qui de profiter de ton corps.. »
Je le regardais de haut en bas avant de parler un grand sourire en coin :
« Je ne suis pas nécrophile, ni très friande de viande froide. Donc va falloir attendre que t’ai un peu reprit du poil de la bête mon p’tit Naru. D’ailleurs pourquoi plus d’une douzaine d’heure. Oh, et tu a vingt-quatre ans depuis combien de temps ? »
Je m’étais assise sur le lit et maintenant de nombreuses questions me venait en tête vis-à-vis de lui et de son don.
« Bon j’ai pas envie de te faire subir un interrogatoire, mais sache que j’ai de nombreuses questions à te poser Mister Immortality. »
Embrassant son poignet, Bellatrix avait toujours sa main dans la sienne et attendait au moins la réponse à ses premières questions.
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Je souriais légèrement avant de m'assoir à ses côtés, comme si j'allais dire " oups bah finalement je vais dormir chez le voisin. " Je préférais dormir avec elle sachant que je vais être hors-service pendant un moment. Et puis dans ce cas on est deux, car moi aussi cela va faire un max de temps que je n'ai pas dormi avec quelqu'un. D'ailleurs même avec ma coéquipière je ne dormais pas avec bien qu'ont été sortais ensemble, il y a eu ce que tous les couples font mais pas de dormir dans le même lit. Je partais où elle partait après afin de ne pas éveillent les soupçons, car dans les règles interdis ce type de relation entre partenaires de terrain, au final a c'est fait prendre. Enfin bref, moi aussi je n'avais jamais dormi avec quelqu'un.
" Pour ce qui est des 24 ans cela fait un moment, mais je dois faire attention à ce que personne ne le sache. Certaines personnes pourraient se servir de moi ou de mon don comme arme et je refuse de faire le pion. Mais si je m'aperçois que quelque chose ou que mes collègues ont des soupçons, je serais obligé de changer de vie, de nom, de prénom comme la dernière fois et croit moi ce n'est pas marrant de se recrée une vie de A à Z mais bon je suis habité avec les forces spéciales et les infiltrations."
Je pris son bras et je l'allonger de force, pourquoi je sais pas une envie comme cela ou juste pour m'amuser. Enfin je sais pas pourquoi j'ai fait cela, mais je l'ai fait.
" Ensuite sache que je ne suis pas de la viande froide, je suis plus chaud que tu ne le crois. Si tu prend ma température maintenant je dois faire du 38° ou 39° suite à ma mort et ma température ne passe jamais en dessus des 38° sauf quand je meurt, mais elle revient à 38° des que je reviens à moi. "
Je la pris dans mes bras un moment.
" Pour les 12h de sommeil c'est le temps minimal pour que mes cellule ce réactive et refonctionne de nouveau. Mais cela prend parfois plus de temps, mon record 39h."
Je la regardais de nouveau avant de l'embrasser sur le front en caressant une de ses joues.
" Et oui je suis sur de moi. Et sache que je suis dans le même cas que toi, j'ai jamais dormis avec quelqu'un, je sais même pas comment je dors avec mon don."
Condition physique et mutagène ? Naturel ce rouge ?
Plus Naru parlait et plus une chose s’imposait dans son esprit. Il avait peut-être en réalité deux fois son âge, soit quarante huit ans. Sauf que bien évidemment il ne les faisait pas. Sur le coup Bellatrix se sentit vraiment comme le personnage dont elle portait le nom et l’inspecteur serait une sorte de Voldemort. A la différence du vrai que lui est beau, bien foutu, n’a pas de complexe d’infériorité vis-à-vis d’un bébé et n’a pas de voix de pédé.
Enfin un petit sourire s’esquissa sur ses lèvres suite à cette image, suivit d’un plus grand en repensant à sa la crainte que des personnes se servent de lui et de son pouvoir. Si seulement ce pauvre être immortel, savait à quel point la personne à côté de lui est justement une de ses personnes qu’il déteste. Mais bon cela n’avait pas vraiment d’importance, pour l’instant il ne craignait rien.
Monsieur s’allongea tranquillement et la jeune femme ne s’attendit pas à ce qu’il l’entraine en lui tirant fortement le bras. Tombant ainsi sur le lit, mais bien évidemment pas en face de lui. Et tandis qu’il lui parlait de sa chaleur corporel un peu plus haute que la moyenne, ou plutôt semblable à celle d’un enfant. Elle remonta tranquillement jusqu’à ce que leur visage soit de nouveau fac à face. ( Non je ne tiens pas ça d’expérience personnelle… No comment :srs :)
Après quoi il la prit dans ses bras et la Scientifique put en effet sentir qu’il était un peu plus chaud que la moyenne. Un peu quand vous êtes légèrement malade ou que votre corps subit un changement. Ca lier à la réponse de sa question sur son nombre d’heure de sommeil lui donna une explication plausible, du pourquoi il dormait bien que son don soit celui de l’immortalité.
« Je pense que dormir est ce qui permet à ton pouvoir de garder ton métabolisme de jeune homme de vingt-quatre an. Ta constante fièvre si on peut appeler ça ainsi, résulterait du fait que justement ton corps travail sans cesse pour que tu ne tombe pas malade et tout ce qui va avec, mais aussi pour garder ta mutation active tout le temps. »
Bon okay, il allait peut-être trouver ça louche que j’arrive à monté une hypothèse sur son pouvoir reliant le physique, aussi vite. Mais bon, ce cher Naru sait comment je suis et ne posera pas plus de questions que cela. D’ailleurs c’est à moi de les poser. Avant ça je veux me mettre à l’aise.
Se dégageant de l’étreinte, Bella, alla se glisser sous la couette et de revenir près de lui pour lui prendre le visage entre les mains. Fixant son regard dans le sien, cet œil rouge l’obsédait complètement.
« Cette couleur tu es né avec ou tu avais une couleur différente déjà et à la mutation ça a changé ? »
Ses doigts en faisait le contour, car indéniablement, cet œil obsédait Bellatrix.
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Bella me surprend, monter une hypothèse de but en blanc comme cela chapeau. Je pouvais trop rien dire, mais je savais qu'elle avait tort sur un point. Si le sommeil était le pilier de mon don je devrais dormir tout le temps hors dans l'instant présent je ne dors que quand je viens de mourir. Après que j'ai pris mes heures de sommeil je ne dors plus jusqu'à la prochaine mort, je fais juste semblant vis-à-vis des autres, ma vie n'est que du semblant juste pour que je ressemble aux autres afin de rester en sécurité.
" Tu a peut-être raison, mais sans vouloir te vexée par rapport à ton hypothèse, je pense plus que tu a tords. C'est pas comme si je dormais tout le temps, je ne dort que après être mort après je ne dort plus et je n'est pas de sensation de fatigue."
Je l'embrassai doucement sur le font et je me prépare à répondre à sa seconde question. Mon œil rouge, une marque de honte pour moi et pour les autres c'est quelque chose qui leur fait peur à causse des traditions. Enfin bref, autant ne pas remuer le couteau dans la plaie, j'en bave déjà assez juste en repensant à tous ce que j'ai enduré, mais j'en ai pris l'habitude, une habitude morbide.
" Non c'est pas une couleur naturel, je l'ai eu après ma première mort en 2008 quelque mois après l’attentat du centre de recherche. J'étais encore en formation à l'académie de police. "
Je restais un peu bloqué pour raconter la suite, mais je décidais de ne pas lui en dire plus si elle le demande je lui dirais mais j'aime pas trop en parler ni même n'y pensais. J'ai tout fait pour oublier et je vraiment par envie d'en parler c'est encore trop douloureux pour moi.
" Dit moi vu ton hypothèse, je me demande si tu faisait pas partie de la brigade scientifique quand tu était dans la police ? "
Changeons de conversation, enfin du moins j'essayais de changer de conversation car je n'avais vraiment pas envié du lui dire comment j'avais eu cet œil rouge, je n'avais vraiment pas envie d'en parler. Mais si elle me le demande je lui dirais, après tout est pas grand-chose c'est juste que pour moi se remonte des souvenirs que je préfère encore oublier.
Restant la contre lui Bellatrix méditait sur sa réponse et à ses suppositions. Son cerveau cherchait déjà d’autres explications en arrière fond tout en écoutant la raison de l’obtention de cet œil rouge. Il n’était pas naturel. Ou plutôt naturel depuis l’explosion du centre de recherche il y a six ans. Six ans. Six ans… Et alors que Naru posait sa question pour savoir si durant son appartenance aux forces de l’ordre Ecossaise, son métier ne concernait pas le côté scientifique, le cerveau de la jeune femme bugua.
« TU AS TRENTE ANS ! »
Je m’étais exclamé tout en prenant appuie sur mes deux bras et en le fixant droit dans les yeux.
« T’es en train de me dire que tu es plus vieux que moi. Tu aurais trois ans de plus que moi. »
Je retombais comme une souche à ses côtés. Je n’en revenais toujours pas. Mais bon pour lui ça faisait juste six années consécutives qu’il avait vingt-quatre ans. Je rigolais de ma réaction assez naïve puis reprenais le fil de la conversation où je l’avais laissé.
« Disons que l’Ecosse n’est pas très évolué dans ce qui concerne un groupuscule représentant les forces de l’ordre. Alors il fallait bien maîtriser plusieurs si on ne voulait pas mettre trois ans à résoudre une simple enquête de routine en attente des résultats médicaux. »
Quelques souvenirs de mon ancienne vie traversèrent mon esprit m’arrachant un sourire des plus simple.
« En parlant de recherche j’aimerais beaucoup qu’un jour tu me raconte comment tu as vécu cette explosion en 2008. »
Je lui baisais la pommette avant de faire de même sur cet œil rubis :
« Et j’aimerais comprendre pourquoi tu caches un si bel œil. »
Une idée me parvint et je tirais une petite moue avant de sourire mutinement.
« Quoi que finalement c’est pas plus mal de garder cette merveille pour moi. Si je pouvais je la mettrais dans une lampe à lave ou quelque chose du genre. »
Souriante, Bellatrix fixait cet œil obsédant avant de poser sa tête sur l’épaule de Naru.
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
Elle ne savait vraiment pas ce que cela représenté au Japon. C'est bizarre comme situation, j'ai plus l'habitude de me faire frapper par elle, mais tant pis. En tout cas sa réaction me fis rire, elle venait enfin de comprendre que j'étais plus vieux qu'elle enfin dans un sens ou dans l'autre non. Je la laissai s'installer sur mon épaule, pour une fois je ne vais pas jouer mes connards finis et le dégagé en plus je lui ai dit la vérité, maintenant je dois la protéger de ma malédiction. Et ce n'est pas gagner avec elle ! Enfin bref, je vais lui expliquer pour la signification de mon œil, au moins elle le saura et ne pourra pas faire d'erreur au japon.
" Dans certaine culture les yeux comme ce que j'ai sont mal vue, ils sont souvent relié au démon ou encore au diable. Mais moi pour ma par cela à toujours était le monstre. Enfin tous ce qui l'ont vu me traité comme cela c'est pour cela que je le cache. Enfin ce qui l'ont vu ne peuvent pas revenir sur leurs paroles, ils sont soit morts soit disparu. Enfin bref, je m'en fiche. Pour l'instant tu est la seule et j'ai pas l'intention de le montrer à toute la terre entière. J'en est déjà trop bavé avec."
Je l'embrassai sur le font.
" Je pensais pas que j'allais te choqué, fait comme si que j'avais 24 ans car je ne vais pas vieillir donc au final j'ai toujours 24 ans. Dit moi Bella, l’Écosse c'est joli ? Et pourquoi tu n'as pas peur de ce que je suis ? Enfin je sais que tu n'as jamais peur de rien, mais tu devrais pourtant c'est avec la peur qu'ont deviens plus prudent. Enfin ce que je veux dire par la c'est que tu est forte et tout.
Je la regardais et puis j'ai croisé son regard, je compris tout de suite que je m’enfonçais et que je ferai bien de la fermais un peu voire totalement.
"Ok j'ai compris plus de question et je me tais. Silence total. "
Il était compréhensible que lorsqu’a l’époque on croisait des personnes avec des attributs ou particularités qui sortait de la norme on les prenait pour des monstres. Aujourd’hui on avait pourtant écarté bon nombre de ces spéculations en pouvant les expliquer : Maladies, excroissance… Mais sincèrement, une petite particularité comme cet œil rouge n’avait rien de bien effrayant.
Après tout aujourd’hui il existe de nombreuses lentilles de couleur pour les yeux ! Blanc, vert, bleu, rouge, orange, violet, toute les couleurs inimaginable et même les formes ! Œil de chat, pupille triangulaire ou carré… Bref de quoi monter une parade. Sans compter qu’on se trouve au Japon, capital mondiale du cosplay. Alors ce n’était pas pour un pauvre œil rouge qu’on devait le voir comme un rebus de la société. Mais soit, si eux n’en voulait pas elle ne s’en priverait pas.
Unr fois qu’il eut fini son explication sur la peur et les croyances des gens Naru, se mit à lui dire de faire comme si il avait vingt-quatre ans et non trente avant de se mettre à la questionner. Lui demandant si l’Ecosse était jolie. Prête à lui répondre elle s’interrompit quand il se mit à lui poser une question tout à fait idiote. Question suivit d’explications insensées qui n’eurent droit comme réponse qu’à un regard blasé des plus éloquent.
« Les gens sont des idiots. L’Ecosse est un pays magnifique dont il faut visiter les quatre coins. Bien qu’il suffise de visiter Édimbourg ou Glasgow pour rencontrer la culture locale. Mais il faut vraiment en faire le tour. Chaque paysage est unique. »
Un petit soupir nostalgique m’échappa et je repris :
« Pour ce qui est de tes vingt-quatre ans, on va dire que j’étais choqué car je pensais que ton don ne t’étais arrivé que depuis peu. Je ne pensais pas que tu l’avais déjà depuis si longtemps. En tout cas beaucoup de femmes et d’hommes aussi, envieraient ton don en allant jusqu’à tué pour l’avoir. »
Je lui souriais et lui embrassais la joue :
« Evite les questions débiles. Même si je pense que c’est dû a une certaine fatigue. Il faut dormir, après tout la journée a été pas mal mouvementé. »
POINTS : 8 CITATION : Le temps passe et la mort vient. Sauf pour moi ! MESSAGES : 342 JUKEBOX : Eminem - Survival ||| BANG YONG GUK - I Remember ||| Jodie Theme FEAT : Date Masamune (Sengoku Basara) CRÉDIT : Misaki (LG) / Super Naru DATE D'INSCRIPTION : 14/10/2013 LOCALISATION : Chiyoda
What has to be « C'est pour cela que je le cache »
Avec Bella
Je dois avouer que j'étais bien fatigué, mon don m'avait totalement vidé. Mourir était puissant après tout, même avec des années et des années de mort, je ne me suis toujours pas accommodé à cet effet de fatigue extrême qui me bloque petit à petit. J'entendais mon bipeur, le rappel à l'ordre du commissariat, je soupirais juste à l'entendre, mais tant pis pour cette fois, ils se débrouilleront sans moi, pour une fois, je vais faire le mur. Il s'arrêta de sonner, je soupirai cette fois, mais j'étais content, ils avaient s'en doute compris que je ne viendrais pas. À moins qu'il me piste et vienne directement ici, de toute façon, je ne bougerai pas, j'étais vraiment écuissé.
" Ta raison sur ce point Bella, mon don s'il était reconnu serait convoité par beaucoup de gens bons comme mauvais, gangs comme traqueurs, si ont venais à l'apprendre, je ne pourrai plus me cacher nul par et je pourrai devenir la pire arme de se monde. Ce don, je ne le donnerai même pas à mon pire ennemi, c'est un enfer. Un véritable enfer, enfin bref, c'est mon point de vue. "
Je commençais à basculer doucement vers l'état de sommeil sans trop en avoir envie, c'était plus fort que moi, plus je résisterais et moins cela marcher, je caressai les cheveux de Bella.
" Bella merci de t'occuper de moi quand je vais dormir, je te fais confiance, j'espère ne pas me tromper. Ne laisse personnes d'autre m'approcher, vraiment personnes. Même si c'est ton meilleur ami, mon don peut rendre fou plus d'une personne censée.
Je commençais à tomber dans ce monde, le monde du sommeil, mais je résister un peu encore et toujours, c'était dans mon caractère. Toujours combattre, même au dernier moment.
"Personnes... Vraiment personnes ne devrais vivre immortel, c'est un enfer. "
Je commençais à tomber dans ce monde, le monde du sommeil, mais je résisterais un peu encore et toujours, c'était dans mon caractère.
"Tu seras la seule à voir mon œil, vraiment la seule. "
Je pensais à mon bipeur, en espérant que ses imbéciles ne viennent pas me chercher jusqu'ici. De toute façon, je pense que je serai endormi et puis Bella les accueillerait avec toute la politesse et la délicatesse d'une femme. Je me mis à sourire et à rire légèrement face à la stupidité que je venais de penser.