MUSIQUE - Tu marchais d’un pas décidé, tes talons claquaient au rythme de cette musique que toi seule pouvait entendre. Tes écouteurs étaient cachés par tes long cheveux roux-rouge, ton telephone était posé dans ton sac. Habillée de bottines beiges à petit talon, d’un short en jean et d’un T-shirt mi-dentelle, mi-tissus beige, tu ressemblais à madame tout le monde. Et malgré ton mètre soixante-douze peu courant au japon, on ne te remarqua pas dans ce centre commercial plein à craquer. Tu détestais ce genre d’endroit, pas à cause des boutiques, puisque tu aimais les faire, mais à cause du monde qu’il y avait. Mais il fallait bien que tu t’achètes des vêtements pusique les tiens finissaient toujours brûlés. Aujourd’hui était ton jour de congé, Daya te l’avais donné parce qu’elle savait bien que tu avais désespérément besoin d’une nouvelle garde robe. Tu avais donc accepté de prendre ta journée et maintenant te voilà dans ce centre commercial bien trop bondé à ton goût. Et puis tu ne savais pas trop quoi acheter. Tu avais bien envie d’aller dans des boutiques de marque mais à quoi bon ? Après tout il y avait des risques pour que ce que tu achètes aujourd’hui finisse brûlé. Tu détestais ça. Tu détestais ne pas pouvoir acheter ce que tu voulais, tu faire plaisir avec quelque chose de chère. Enfin tu te réconfortais avec les sacs et les chaussures.
Tu marchais, faisant le tour de la galerie, des magasins, tout en essayant d'éviter de regarder Prada, Z&V, Maje, il ne fallait pas que tu craques. Ta musique sonnait dans tes oreilles, elle te permettait de te calmer. De ne plus l’entendre. Mais ça ne marchait pas si bien. Tu entendais encore sa voix grave, chaude. Brûle. Mais il n’y avait rien à brûler ici. Alors il s’endormie en toi et tu sentis sa chaleur qui te recouvra. Tes muscles se détendirent, tes pupilles se dilatèrent. Sa chaleur t’enveloppait, comme s’il t’avait recouvert de "ses"/tes plumes de feu. C’est seulement pendant ces moments que le phénix en toi t’apaisait. Parce que la musique le calmait, comme elle te calmait. Tu avais besoin de cette musique pour ne pas penser qu’une orde d’humains bougeait tout autour de toi. Cette espèce que tu détestais. Tu décida de profiter de ce moment de répit, qui était rare pour faire tes emplettes, sans penser aux humains. Qu’ils crèvent.
Une heure après tu n’avais toujours rien acheté, désespérée tu allas t’acheter à boire et tu t’installas sur un banc. Tu fermas les yeux, essayant de capter la sérénité de l’animal qui t’habitait, que tu étais. Aucun instinct férose ne vint troubler ce moment. Malgré ce monde, tu étais apaisée. Une sensation peu commune que tu chérissais quand elle pointait le boue de son nez. Tu ouvris les yeux et regarda en face de toi. Manque de bol les magasins que t’avais devant toi étaient Diesel et PepeJean. Tu adorais leurs Jeans, leurs vêtements mais le prix n’allait pas avec ton habitude à t’enflammer. Maudis Phénix. Chut. Un ange passa. Tu regardais toujours ces deux magasins, comme un enfant qui a devant lui une glace qu’on lui interdit. Vas y regarde. Il ne fallait pas, ça te briserait le cœur. Et devant toi passa un ange blond, avec une tête d’enfant, tout comme tu les aimes. Tu sentis le feu. Et si c’était un humain. C’était sûrement un humain. Pourtant tu le regardais, comme tu regardais les magasins devant toi. Chaud. On évite les humains.
« Raah saleté d’humain. Saleté de magasins qui me donne envie. »
Faut dire tes habits ne sortent pas de l’ordinaire aujourd’hui. Juste quelques bout de tissus, comme pour les vacances.
DON'T TRY TO HIDE THIS PASSION BURNING INSIDE YOU
Dernière édition par Rubis le Mer 2 Juil - 17:53, édité 1 fois
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Mer 2 Juil - 15:22
Qui l'aurait cru ? Scorpion était en jour de pause et marchait tranquillement dans la rue. Enfin, le mot tranquillement est un peu faux car il en avait horreur. Marcher devant tous ces gens qui étaient aussi bien habillés qu'un clown dans une boîte de nuit. Il aurait préféré avoir des lunettes complètement noires pour ne pas voir ces horreurs mais même l'obscurité ne les rendait jolies. S'empêchant ainsi de ne pas vomir, il marcha vite et un peu en mode aveugle jusqu'au centre commercial. Même s'il était en jour de repos, ce n'était pas pour autant qu'il n'avait pas de pain sur la planche : Il devait aller rendre visite à plusieurs boutiques qui vendaient ses créations pour vérifier si tous étaient en ordre... Enfin, ce n'est qu'un excuse. Il allait juste dans ses boutiques là pour déplacer ses habits si jamais ils étaient trop près des vêtements de bas de gamme. Et ce jour-là, c'était son jour de chance ou bien son jour de malheur (aux lecteurs de forger leur imagination) : Il avait croisé une fille. Une fille avec des cheveux rouges ou roux horribles, ressemblant à des foins. Elle avait des bottins belges à en faire vomir plus d'un, d'un short en jean qui montrait un peu trop ses rondeurs, un T-Shirt avec des dentelles qui lui faisait ressembler à un de ces poupées Barbie qu'on recevait à Noël, bref, elle était totalement à côté de la plaque. La rousse semblait avoir remarqué notre bel étalon, celui-ci l'a bien remarqué aussi. Il s'approcha de la rouquine, lui enleva ses écouteurs et lui cria au nez, sans aucun scrupule :
- Chérie, il faut te reprendre en main !
Il prit la main de la fille et, en s'en foutant royalement de son avis, il l'emmena dans une boutique où les habits n'étaient pas encore périmés.
P.S. : Désolée, c'est un peu court. J'ai pas RP depuis 5 mois. D8
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Mer 2 Juil - 19:24
BITCHES BE COOL. « Le luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité. »
Rrrrh
Zadig VS Voltaire est l'histoire d'une femme mal habillé pour une fois qui rencontre un jeune styliste au visage de gamin. Et va s'en suivre une histoire fulgurante, pleine de rebondissement et enfin bref c'est Scorpion qui vient faire chier Rubis.
MUSIQUE - T’étais juste posée, assise au milieu de ces humains. T’essayais juste d’oublier cette race insignifiante qui t’entourait. Tu voulais juste profiter de ce moment de répis que le phénix t’autorisait. La musique dans les oreilles, il semblait s’être endormie, chose qui ne lui arrivait pas souvent. Et dans ce centre commercial, tu n’étais plus le monstre que tu es, tu n’étais plus le phénix déstructeur, t’étais juste une femme qui faisait les boutiques pendant son jour de congé. Tu avais beau détester les humains, Rubis, tu aimais ces moments où tu pouvais vivre comme eux, vivre simplement, sans entendre ces voix, sans vouloir tout brûler. Pourtant tu ne seras jamais une humaine et tu en était fière. Et au fond de toi tu le sentais, cet animal endormi qui te réchauffait les entrailles de ses plumes de feu. Ca faisait du bien, quand vous étiez en union. Ca aurait pu être tout le temps ainsi, si seulement tu arrivais à contrôler cette bête en toi. Mais il ne fallait pas rêver, après six ans, tu n’avais toujours pas réussit à le contrôler, à l’apprivoiser.
Et alors que tu profitais simplement de ce moment de paix, le petit bonhomme que tu avais remarqué il y a de cela quelques minutes se planta devant toi et t’arracha tes écouteurs des oreilles. Ce mouvement brusque eu pour effet de secouer le phénix en toi. Tu leva alors lâ tête, prête à t’énerver sur ce petit bout d’homme devant toi, comme à ton habitude, et puis tu vis sa bouille. Il était mignon, comme un petit enfant qu’on a envie de cagoler encore et encore. Tu ne pouvais pas le nier, toi pauvre femme tu avais un faible pour les enfants (elle est pas pédophile c’est son côté marternel). Alors tu te calmas. Alors l’oiseau de feu ferma les yeux. Les mots de ton assaillant te laissèrent sans voix alors qu’il était déjà entrain de t’enmener je ne sais où.
« Euh.. Je peux savoir où tu m’emmènes et qui t’es ? ».
C’était rare que tu ne t’énerves pas. En temps normal tu te serais déjà dégagée de son emprise et tu aurais pêté un cable. Une flamme aurait fait son apparition sur le creux de tes lèvres et tout le monde aurait comprit que tu étais un mutant. Et comme à chaque fois on t’aurais fuit, tout ça parce que tu étais pus forte qu’eux. Oui tu pouvais les tuer d’un coup. Oui t’étais un monstre. Oui t’avais envie de les bouffer. Mais ils n’avaient pas besoin de réagir comme ils le faisaient. Mais rien de ceci ne se produisit. Parce que sans comprendre pourquoi tu n’étais pas en colère contre le bout d’homme et le phénix dormait paisiblement en toi, te recouvrant d’un voile de chaleur. Pourquoi ? T’en savais trop rien, peut-être sa tête d’enfant, peut-être un don particulié. T’en savais trop rien, mais t’aimais ça.
Et il t’amena devant une boutique, il se retourna et avant même qu’il puisse te parler tu lui pris le visage entre les mains.
« Tu sais que t’es trop chou petit bonhomme ».
Euh tu sais Rubis, c’est pas un bébé.
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Zadig Vs Voltaire - Scorpion
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