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 Un brasier inoubliable - Rubis

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Mar 1 Juil - 0:31


Essence
feat.Rubis




Tu en avais un peu marre de ta situation, de la vie que tu menais en ce moment. Tu ne faisais que rôder comme une bête en quête d’une tanière. Aucun lieu pour t’abriter et tout le monde semblait te fuir. Tu le voyais rien que par leurs démarches pressées. Personne n’avait de temps pour toi, rien. Nul ne te regardait, tu étais un fantôme parmi tous ses gens. Collectivement, ils fuyaient la pluie, les jours pluvieux. Mais toi, tu ne le faisais pas. Tu ressemblais donc à un fou, un marginal. Que savaient-ils de toi pour te juger? Aucun d’entre eux ne pouvait savoir que tu étais un accoutumé de cette température. Aucun d’entre eux ne pouvait deviner que chacune de tes journées était pluvieuse. Ta journée ensoleillée, tu l’avais perdu depuis déjà un moment. Tu tentais de la retrouver, mais en vain, elle était disparue à jamais, soufflée par la brise du Nord. Tu étais donc de retour à ton ancienne réalité, la vie que tu avais tenté de fuir. Comme punition, ton état n’était que plus critique. Cette sensation que tu avais pu caresser quelques heures t’avait déjà rendu accro. Malheureusement, tu ne pouvais plus y gouter, elle était trop loin. En fait, tu ne pourrais plus jamais y goûter d’où le mal-être que tu ressentais. Tout ça pour quelqu’un que tu ne connaissais pas. Ce même fait ne faisait qu’alimenter ta vision péjorative de toi-même. Tu devais oublier, tu n’en pouvais plus. Voilà que devant toi trônait un affichage lumineux. Dans la noirceur de cette nuit pluvieuse, une étincelle de lumière acceptait de t’accueillir pendant une soirée. C’est donc sans aucune hésitation que tu pénètres l’entrée de ce bar. Bienvenue à Smoked Thoughs Kizashi.

-Un double Cognac.

Tu n’as pas l’habitude de consommer de telles boissons, mais vu ta mine déconfite, tu ne peux faire autrement que de vouloir une boisson forte. De toute manière, aucune liqueur forte ne serait en mesure d’atténuer l’ardeur à laquelle cette blessure te faisait souffrir. C’est ce que tu croyais.

-Merde, c’est fort.

C’était si fort que tu avais presque recraché totalement le liquide translucide. Cette même essence que tu venais de sous-estimer. Tu recommences donc, avec plus de précaution, apprivoisant lentement cette sensation pimentée qui taquine ta gorge. Un verre ce n’était pas assez, il t’en fallait un second. Tu lèves donc la main, attirant ainsi l’attention du serveur. Au moment où tes lèvres s’apprêtent à sonner leur arrêt de mort, tu entends du grabuge, quelque chose que tu ne reonnais que trop. Un homme borné drague une brunette qui semble vraisemblablement non intéressée par sa présence. Tu voudrais être en mesure d’ignorer la situation et t’enfouir dans tes problèmes, mais la mince quantité d’alcool qui fusionnait avec tes veines était trop légère pour t’enlever ton sens du devoir. C'était le temps de jouer ton rôle dans le cliché qui était mis en scène.

-Dégage.

Il te regarde et s’apprête à te cracher au visage. Mais il est trop lent, trop ennuyant, trop gros, trop lâche, trop exécrable, trop détestable trop…il est simplement de trop. Tu le prends par le collet et le pousses vers la sortie. Les gardes de sécurité s’occupent du reste. Toi tu fais exception parce que tu es de Tikal. Les gens te respectent dans ce lieu et savent que tu n’es pas un fauteur de trouble. Mais ça, tu t’en fou. Ce soir, tu veux oublier, cesser de penser à cette enquête qui te tourmente tant. Tu commandes donc ton second verre, ignorant la jeune femme que tu venais de sauver. Qu’elle te remercie ou pas, tu t’en fou, elle est invisible. À tes yeux, elle n’est qu’un vulgaire fantôme quelqu’un qui n’existe pas et qui est dénué d’intérêt.

-Un double cognac, je vous prie.

Tu t’assois à ses côtés, ramenant promptement le récipient dans tes mains. Faute de calcul, tu mets trop de force dans ton geste. Le liquide se voit donc directement expédié vers le corps de celle que tu viens de sauver. Pas de bol, mais tu t’en fou. Tu ne la regardes même pas, tu te contentes de commander un troisième verre.

-Un double cognac…je vous prie.

C’est la troisième fois que tu prononces ses mots, troisième fois que la vie semble te refuser la voie facile. Tu ne sais plus quoi faire, tout semble contre toi et ce, plus que tu n’oserais l’imaginer. Ça ne fait que commencer Kizashi.



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Mar 1 Juil - 15:08






Un brasier innoubliable



MUSIQUE -
Doucement, sans bruit, t’avencais à pas légé vers ta destruction. T’aurais pu t’arrêter, oui t’aurais pu t’arrêter il y a de ça quelques mètres, mais tu n’en avais pas la force.
T’étais faible.
T’étais faible, quand tu entras dans ce bar, t’étais faible quand tu commanda ton premier Mojito, t’étais faible quand tu savourais cette liqueur, comme si elle était ton salut.
Et on criait dans ta tête, tellement fort.
Brûle, brûle tout.
Chut, t’en avais pas envie toi. Mais c’est pas comme si on te laissait le choix, Rubis. Tu le sentais au fond de toi, ce brasier qui ne voulait jamais s’étteindre. À l’interieur t’étais en feu et tu ne pouvais rien y faire.
Brûle, brûle tout et ça passera tu verras.
Tu aurais pu simplement le faire, lui obéir pour une fois dans ta vie. Mais comme à chaque fois, tu préférais te brûler la gorge avec une liqueur. Ca faisait passer l’envie de tout détruire, en tout cas pour un moment. Parce que ça ne dure pas, ça ne te laisse que quelques minutes de répit avant que cette voie ne réapparaisse dans ta tête.
Brûle je te dis, brûle tout !!!
T’en avais pas envie alors tu recommanda un autre verre, juste pour tenir encore. Au final ça ne t’aide pas non plus, ca te fait juste gagner du temps avant de perdre le contrôle. Et à chaque fois tu t’en veut de ne pas t’être arrêté à temps. T’aurais pas du rentrer dans ce bar, Rubis.
Rubis, Rubis, toujours ce surnom qu’il t’a un jour donné. Le porter ne fait que rendre sa trahison plus douloureuse. Mais t’y peux rien, on t’as tellement appellé ainsi que tu ne sais même plus quel est ton vrai prénom. C’est bien écrit sur ton passport, mais ça semble si lointain.
Dis-moi, Rubis, pourquoi ne peux-tu pas te résoudre à le detester ?
Ce pouvoir qui t’as tant pris.
Ce pouvoir que tu ne contrôle pas bien.
Celui qui s’immisse dans ta tête à chaque fois, qui se manifeste à la moindre colère. Bien sûr que tu peux contrôler tes transformations totales, mais qu’en est-il de ton âme, de ta santée mentale. Il te parle à chaque fois, à chaque heure. Il est présent à chaque secondes de ton existence, attendant que tu boives pour oublier, que tu boives pour contrôler.
Connard, dégage !
Il ne partira pas. Et tu ne veux pas qu’il parte. Ce pouvoir qui te rend si forte quand tu l’utilise. Ce pouvoir qui te tient au chaud le soir, seule dans ton lit. Ce pouvoir qui ne te laisse jamais seule.
Ce cauchemar.
Ce cadeau.

T’étais à ton troisième verre, quand un homme sorti de nul par pour te parler. T’en avais rien à faire de lui, tu voulais juste qu’il dégage de là.
Brûle le.
Il continuait, on dirait qu’il aime souffir, comme toi.
Tu résistas à l’envie de faire ce que te disais le phénix. Pourtant tes entrailles criaient, ton cœur s’acceléra, tes yeux devinrent plus luisant comme animé par une force inconnue. Et tes sens devinrent plus afutés, ton instinct animal surgit.
T’étais sur le point de t’énerver, de te laisser complètement aller, quand quelqu’un te sauva la mise. Tu n’avais jamais vu ce mec et tu n’avais aucune idée de pourquoi il t’étais venu en aide, mais tu le bénissas. Le Karma était de ton coté ce soir, tu avais bien fait attention à te pas t’attirer ses foudres.
Tu souris à l’inconnue qui venait de te sauver la vie, ou plutôt de sauver ce bar et le mec avec, et tu retourna à ton verre. Tu n’avais pas grand chose à lui dire, un merci aurait peut-être fait l’affaire, mais t’étais trop fatiguée pour ça.
Brûle, brûle.
Tu t’y étais habitué à ces gérémiades incessantes. Ton médecin disait que t’étais atteinte d'une psychose hallucinatoire Chronique. Toi tu le savais, c’était le phénix qui te parle.
Brûle, brûle tout.
Tu bouillonais de l’interrieur.
Au final, tu aimais ça, même si ça te pourrissait la vie.
Tu aimais être mutante, et que les humains aillent crever.

Et SBAFFF un verre renversé sur toi, un. Finalement le Karma n’était toujours pas ton ami. Tu essaya de te contrôler. Et ça a duré quoi, 5 secondes grand max. Et durant ces cinq secondes ton corps était en feu (de l’interrieur pas encore de l’exterrieur je reserve pour plus tard ;)), tes yeux virèrent au orange, tes griffes s’allongèrent un petit peu et dieu que tu étais énervée.
Sans plus attendre tu pris ton voisin par le colle et le forca à se lever avec toi tout en le gardant sous ton embrise.

« BON DIEU CA VA PAS ?! C’est pas parce que tu m’as aidé que tu peux renverser ton cocktail sur moi, tu veux te battres ? »

T’étais bien énervée là et tu l’entendais.
Brûle, brûle tout.
Et tu sentais l’alcool en toi, ça t’empêcher de réfléchir, ça t’empêchait de dire non.
Mis tu te retenais encore, trois verres c’était pas assez.

« C’est quoi ton problème serieux ? »

Tu le tennais fort.
T’étais bien énervée.  





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Mar 1 Juil - 15:57


Behind you
feat.Rubis



MUSIQUE-Tu ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Ta troisième boisson attendait tes lèvres et quelqu’un venait de t’y arracher, comme si tu n'étais qu'une vulgaire poupée. Au début, tu pensais que c’était le mec que tu avais mis dehors. Tu commençais donc à te demander pourquoi la sécurité l’avait laissé retourner dans le bar. Ils savaient clairement ce qui allait se passer, ils savaient manifestement que tu ne comptais pas te laisser faire. Mais là, ce n’était pas le cas. Tu avais mal imaginé la situation. C’était la princesse égoïste qui te menaçait du regard. Tu ne comprenais pas pourquoi ses yeux étaient violacés, rougis par la haine et la colère. Depuis quand les femmes étaient-elles aussi fortes? Tu te posais cette question, mais ton esprit pessimiste la voyait d’une autre manière. Tu te demandais plutôt depuis quand tu étais aussi faible, aussi léger. Tes yeux étaient égarés, tu n’osais même pas la regarder droit dans les yeux. Tout ce que tu voulais se résumait à boire et oublier. Tu n’avais pas le temps pour des conneries du genre, non. Tu voulais la paix, ta paix, pas d’autres malheurs. L’avalanche était terminée, c’était l’heure de se reposer sous l’étendue de neige qui envahissait ta vie. Malheureusement, la situation était chaude, voire bouillante, elle n’avait rien de froide, te ramenant rapidement à la réalité. Ton regard fuyant affrontait maintenant les iris de ton agresseuse. Tu pouvais voir l’animosité à travers son expression crispée, mais tu ne pouvais rien y faire. Tu te contentes donc de venir saisir son avant-bras en y glissant une légère électrocution, rien de fort, juste une surprise. Par contre, tu t’étais assuré d’y avoir mis assez de jus pour qu’elle relâche sa poigne une fraction de seconde, un court moment pourtant suffisant à ce que tu puisses te défaire de son emprise. Sur le moment, tes yeux s’opposent au sien arborant une teinture dorée. Une fois hors de danger, tu passes ta main autour de ton cou, comme pour t’enfermer de nouveau dans ton monde nocturne ou pour confirmer qu'il n'est pas cassé.

-Je me suis mêlé d’une dispute de couple? Je m’excuse, ce n’était pas mon but de remettre votre conjoint à sa place. Maintenant, allez le trouver à l'extérieur et dites aux gardes que vous vous êtes simplement disputé, ils le laisseront peut-être entrer.

Tu craches tes paroles avec neutralité, on aurait dit que tu ne comprenais même pas pourquoi elle t’avait menacé de la sorte. En fait, tu ne comprenais réellement pas. À tes yeux, tout semblait te tomber dessus et la chose qui inspirait ta réplique se résumait à la survie. Oui, tu voulais désespérément continuer de vivre jusqu’à ce que…

-Un autre verre je vous prie. Et un second pour madame et son conjoint, ça devrait calmer son brasier.

Tu ne voulais pas y penser. Tu reprennais donc tes mauvaises habitudes, disant la moindre chose qui te traversait l’esprit. A la longue, tu en deviens même insupportable Kizashi. Les gens ne t’aiment pas tout comme toi-même tu ne t’aimes pas. Tu n’arrives pas à peser le pour et le contre de tes sentiments, tout ça, c’est tout nouveau pour toi. Tel le crétin que tu es, tu t’es empêché de vivre tes peines et tes joies. Maintenant, tu en payes le prix, agissant comme un jeune venant d’atteindre l’âge de la majorité. Par contre, tu vas finir par te réveiller, oui et rapidement. Sinon, tu finiras brûlé par la menace qui commence à te submerger.



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Mar 1 Juil - 18:20

HRP : Pourquoi une musique si triste :(






Un brasier innoubliable



MUSIQUE -

T’avais mal, putain qu’est-ce que t’avais mal. À la tête, aux dents, aux doigts, aux yeux, au fond de toi. Pourquoi avait-il fait ça. Il ne pouvait pas te laisser tranquil, lui et sa soit disant gentillesse. Il n’avait pas voulu t’aider toute à l’heure, il voulait juste jouer le héro, comme certain ont besoin pour se persuader que leur vie n’est pas de la merde.
Tu l’aggripais si fort et la seconde d’après tu l’avais lâché, sans le vouloir. Tu ne compris pas, ta main était endorlorie comme après un coup de jus. Un mutant ? Non impossible. Tu le regardas dans les yeux, ne laissant transparaitre aucune surprise. Et il ouvrit la bouche et putain, il aurait pas pu rester dans son coin loin de toi.
Il aurait pas pu ne jamais renverser ce verre.
Il aurait pas pu simplement se taire, parce que sérieux t’en pouvais plus Rubis.
Rubis, la femme de feu. T’avais les cheveux presque aussi rouge que ce diamant, t’avais un tempérament aussi vif que sa couleur et t’avais le feu en toi.
Tu brûlais, littéralement. Oui parce qu’une petite flamme venait de se créer sur ta joue épargnant tes vêtements.
Elle était là, elle ne bougeait pas, mais elle était là comme pour te soutenir.
Comme pour te rappeler qui tu étais. Tu l’avais fait venir sans t'en rendre compte. Elle avait répondu à tes sentiments, c’est ça de ne contrôler qu’à moitié son pouvoir. Heureusement ça n’irait pas plus loin sans que tu le veuille.

Sérieux, il aurait pas pu se taire ? En quoi l’idiot qui venait de partir te ressemblait, jamais tu ne sortirais avec quelqu’un comme ça.
Il te fallait du calme.
Il te fallait quelqu’un pour contenir ce feu en toi.
Mais il n’y avait plus personne. Rubis en était la preuve. Ton surnom te le rappelait sans cesse.
Le phénix était tout ce qui te restait. Et il te le rappelait. Et il te le criait.
Brûle, brûle tout.
Brûle, brûle le.
Et t’en avais envie, voir cet homme brûler sous tes flammes, brûler sous ton corps. Et comme pour répondre à cette pensée tes iris devinrent complètement orangées et la flamme sur ta joue bougea, comme si le vent avait souflé dessus.
Tu ne sentais aucune peur venant de lui.
Pourquoi n’avait-il pas peur ?
Il se rassit simplement comme si de rien était et commanda un verre.
Ca brûlait de l’interrieur, ca te consumait.
T’avais chaud Rubis.
Tu attrapa son bras et le défia du regard. Tu n’avais pas peur toi non plus.

« T’as vraiment un problème toi ! De un tu me renverse ton verre et tu ne t’excuse pas. Puis après tu oses dire que ce mec est mon copain et tu te rassois gentiment. »

Qu’est-ce qu’il avait ?
Qu’est ce que le Karma avait contre toi aujourd’hui ?
T’avais simplement voulu noyer ta détresse dans un verre, puis d’autres encore et encore toute la soirée. Après tu serais sûrement allée danser. Et peut-être que quelqu’un t’aurais fait chier et alors tu aurais pu te battre, ce qui se serait soldé par l’echec de cette personne. Une soirée toute à fait normale dans ta vie d’alcoolique.
Mais pourquoi ce mec venait te faire chier de si bonne heure hein ?
Brûle, brûle le.
T’en n'avais pas envie, mais ça sonnait dans ta tête.
Brûle, brûle le.
T’en n'avais pas envie mais c’était bien tentant.
Pourtant tu gardas tes flammes pour toi et tu calmas celle qui jouait sur ta joue.
Putain t’avais mal à la tête.

« J’aime pas le ton que tu prend ! Tu as l’air de te penser supérieur. Tu sais quoi on va faire un truc, tu me paye ces deux verres que tu viens de commander, parce que là j’ai vraiment mal à la tête et après on va "parler" dehors. »

Brûle le maintenant.
Ca raisonnait, encore, encore, encore, pire que le reveil le matin, pire que le son des cloches d’église.
Ca faisait mal et ta température monta, mais tu tenais. Tu te concentras sur ton pouls comme il t’avais appris à le faire. Tu pouvais bien l’entendre avec ton ouïe fine de phénix.
Tu te consentra sur les battements réguliers de ton coeur, essayant d’oublier la voie de l’animal au fond de toi.
Pas tout de suite, attend encore, dehors.
T’avais besoin de ces verres.
Ca se calma, mais le feu en toi réclama une derniere fois
Brûle le.
Tu détestais ce phénix.
Tu ne pouvais vivre sans ce phénix.
 





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Mar 1 Juil - 19:36


In your face
feat.Rubis



Supérieur? Voilà donc un mot que tu avais si souvent entendu. Tu le savais bien, les gens te prenaient tous pour un vantard de haute caste. Au départ, tu l’étais, mais ça, c’était il y a bien longtemps. En ce moment tu avais simplement cherché ta solitude et voilà qu’on t’accusait de causer des phénomènes qui étaient hors de ton contrôle. Ce n’était pas de ta faute si tu dégageais ce genre d’aura. Ce n’était pas de ta faute si tu agissais de la sorte. Que ce soit impulsivement ou en réfléchissant, tu finissais toujours par avoir le même titre. Dans ta tête, tu entendais résonner de multiples voix, répétant constamment le même mot. Vantard, vantard…vantard. Tu n’étais qu’un vantard.

-Deux verres hein…

Lui dire que prendre deux boissons supplémentaires risquait de la rendre plus énervée et nuisible qu’elle l’était déjà risquait probablement de te valoir le titre d’ultime vantard et ce n’était pas ce que tu cherchais. Non, tu avais une meilleure idée. Là, en ce moment présent, une seule pensée vivait dans ton âme, refroidir la nuisance. Si le feu s’en prenait à toi, eh bien tu allais commencer par l’alimenter jusqu’à ce qu’il atteigne son paroxysme pour ensuite le refroidir d’un seul coup. C’était ton idée du moment. Comme un volcan, elle allait finir par te laisser en paix. Elle avait besoin de cracher sa lave? Pas de problème, elle allait le faire très bientôt. Tu allais tout encaisser.

-3 verres supplémentaires.

Le barman te regarde d’un air mécontent. Tu pouvais lire son déplaisir tout comme tu pouvais le faire disparaître à l’aide de quelques billets. Sa mine blasée prend aussitôt la voix du sourire, ce qui ne te faisait ni chaud ni froid sur le coup. Tout ce que tu attends ce sont les éléments clés à ton plan.

Une fois dans tes mains, tu consommes un verre d’un seul trait avant de fixer celle qui semble visiblement apprécier le contact de ton bras. Tu lui souris doucement et lui balances d’un seul coup l’alcool au visage.

-Voilà mademoiselle, maintenant, on peut aller régler ça en paix. J’ai hâte de vous voir cracher votre haine.

Tu employais des mots sans te rendre compte que ceux-ci allaient finir par se réaliser. Mais bon, tu étais maintenant debout, marchant rapidement vers la porte arrière du bar. Tu savais pertinemment où ça menait, un e ruelle loin de tous les regards. Tu étais fin prêt à voir de quel poids elle se chauffait. Vu sa force, tu savais que ça risquait d’être douloureux. Au départ, tu avais décidé de venir te morfondre, mais là, tu avais envie de te défouler. Tu avais envie de faire payer quelqu’un pour tous les malheurs qui t’arrivaient. Présentement, tu voulais humilier quelqu’un et lui faire comprendre qu’on ne jouait pas avec toi : Kizashi Ryujin. Tu voulais faire comprendre aux gens que tu n’étais pas une bête sans cœur, mais bien un humain avec des sentiments. Tu voulais leur faire voir que ce visage qui avait été si longtemps impassible était maintenant vivant!

-J’espère que tu sais faire autre chose que t’agripper à mon bras.

Tu la provoquais sans crainte. Tu n’étais pas aussi cynique qu’autrefois. Nah, là tu étais simplement en colère. Tes sourcils étaient froncés pointant vers les enfers, lieu où tu comptais l’envoyer calmement se reposer et lieu avec lequel tu comptais flirter un moment.

-Les dames d’abord.



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Mar 1 Juil - 20:45






Un brasier innoubliable



MUSIQUE -
Finalement la soirée aurait pu ne pas finir en bain de sang. Bon, tu y croyais moyen connaissant l’animal qui habite en toi, mais il y avait quand même une petite chance. Il aurait suffit que l’homme assit à côté de toi soit du genre à calmer les choses. Il aurait suffit qu’il ne te provoque pas. Peut-être alors vous auriez fini par vous battre dix minutes et alors tu aurais décidé que boire était plus important que de se battre, alors tu l’aurais laissé seul dans une ruelle sombre.
Ca aurait pu arriver.
T’essaies de te convaincre toi même que tu n’es pas irrécupérable.
T’essaies de lui prouver, de te prouver que tu n’es pas irrécupérable.
Que tu n’es pas un monstre.
Mais la vérité tu l’entends dans ta tête jour après jour. Tu la sens comme une présence qui te réchauffe, qui te rend folle. Oui, tu l’entends il te crit sans arrête.
Brûle, brûle tout.
Et tu comprend que tu n’es qu’un montre. Que peu importe ce que cet homme répondra, cette bête en toi ne se calmera pas. Elle te dévore de l’interrieur depuis 6 ans et pourtant tu ne serais te passer d’elle. Parce qu’elle est devenue une part et toi. Parce qu'elle t’as rendu folle et que sans elle tu ne serais plus rien.

Mais ça aurait pu rester ainsi. Juste une petite dispute dehors, tu ne te serais pas assez énervée pour vouloir te transformer, pour lui montrer ta puissance. Au final, l’alcool se serait discipé et tu aurais pu faire disparaître cette flamme qui danse fièrement sur ta joue.
Regardez là comme elle est belle.
Regardez là comme elle s’éteint quand on te jeta le verre à la figure.
Et regarde-toi comme ta raison s’envole en un éclair. Tu n’es plus la même désormais Rubis. Ca aurait pu se passer autrement.
Pourquoi a-t-il fait ça ?
On dirait que tu n’es pas la seule à vouloir passer tes nerfs ce soir.
Que tu n’es pas la seule à vouloir oublier grâce à l’alcool, au sang, à l’adrénaline.
T’en est folle de cette adrénaline, mais là maintenant, avec l’acool qui te pique aux yeux, avec tes crocs (un phénix ça a des crocs ? On va dire que oui des petits) et avec tes griffes acérée c’est pas de l’adréaline dont t’es folle.
Brûle le, brûle tout, brûle le maintenant.
Tu l’entend au fond de toi réclamer vengeance.
Et ses sentiments se calent avec les tiens. Toi qui réclames vengeance auprès de cet homme qui vient de te balancer un verre d’alcool sur la figure.

Une. Deux. Trois minutes et la bombe explose.
C’est l’heure, brûle le.
Et cette fois tu ne te fait pas prier, au non. Sans attendre une seconde de plus tu empoigne le gas par le cou et tu l’emmènes avec toi. On sent ta gorge vibrer, on sent tes griffes s’allonger et entourer le cou de ton adversaire et on sent les flammes se créer, sur tes joues, sur des bras (elle a un T-shirt ), sur ton cou, sur le dos de ta main. Tu fais attention à ne pas le brûler, pas encore.
L’animal, la bête en toi réclame le sang.
Tout comme toi.
Alors il se laisse contrôler comme à chaque fois.
Tu contrôle parfaitement, les flammes qu tu veux faire apparaître, la longueur des griffes, les sens aguisés, tout est sous ton contrôle. On plutôt sous le contrôle de ta colère.
Brûle, brûle le.
T’attend d’être dehors et tu enflammes doucement tes doigts, qui se regroupent pour devenir le bout d’une aile. Tu ne l’agrippes plus, mais tu le brûles.
C’est ça brûle le, cette sensation c’est le pouvoir.
Et tu sens tes muscles se contracter, tu sens le sourire sadique qui vient se poser sur ton visage.
Que t’arrives t’il ?
Tu n’es pas comme ça d’habitude. D’habitude tu ne fais pas mal, tu ne te laisse pas entrainer par ton animal, tu le contient.
Mais là t’as bu, t’es énervée et Dieu que c’est bon.
Tu sens l’odeur du brûler, tu vois la moindre partielle de sa peau, ta vision est éguisée, rouge.
Saigne le, brûle, qu’il comprenne à qui il a affaire.
Ton aile descend sur son bras, tu brule sa manche de T-shirt avec.
Les flammes sur tes joues dansent et celles sur ton autre bras deviennent plus intenses, pressées de pouvoir faire apparraitre ton autre aile.
Tu souris.
Vite, dévoile-moi
Patience.
Il avait raison au final, t’es irécupérable.
T’es un monstre.

« Tu veux toujours jouer avec moi ? »

 





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Mer 2 Juil - 0:07


This girl is on fire
feat.Rubis



Tu ne comprenais pas depuis quand tu ne bougeais plus, mais voilà qu’elle venait de brûler ta chemise, un vêtement que tu appréciais tant. Elle était chiante surtout sa forme bizarroïde. Tu ne comprenais pas pourquoi les mutants ne pouvaient être normaux. Contrôler les sentiments ou lire les pensées n’était pas assez. Non, il devait toujours y avoir des mutants étranges qui pouvaient tout faire. Certains devenaient intangibles et d’autres se transformaient en Phoenix. Tous des bêtes de foire te disais-tu. Mais toi, tu n’étais pas mieux. Lorsque tu utilisais ton pouvoir à plein potentiel comme tu serais supposé de le faire en ce moment, des lignes marquaient ton corps signe que l’électricité circulait à une vitesse vertigineuse.  

-Non, je n’ai jamais voulu jouer avec toi. J’ai simplement voulu que tu me laisses tranquille. Mais non, madame devait forcément monter sur ses grands chevaux ou plutôt ses grandes ailes.

Tu recules soudainement te mettant en position défensive. Au départ, tu comptais te laisser frapper, injurier et même cracher dessus s’il le fallait. En contrepartie, tu comptais te contenter de lui faire perdre conscience quelque temps…voire quelques jours, mais rien de plus. Mais non, elle devait forcément choisir la méthode difficile. Ça, c’était sans compter le fait que tu détestais affronter les femmes en combat. Elles étaient imprévisibles, mais le truc qui était devant toi n’était pas vraiment une femme. En fait, tu hésitais et tu préférais plutôt la voir comme un simple oiseau. C’était mieux pour ta conscience. Oui, parce que tu ne comptais pas te laisser tout bonnement griller. Tu avais assez souffert pour l’instant, de là à te faire griller? Non merci, tu n’étais pas intéressé.

-Dans la vie, j’ai toujours rêvé d’être une horloge. En fait, si je devais choisir d’avoir un don, ce serait probablement celui d’arrêter le temps. Comme ça, j’aurais pu partir sans te faire de mal.

Tu souris brièvement alors qu’elle ne comprenait probablement rien à ce que tu disais et tu commences à générer de l’électricité dans ton corps. Tout ce qui fonctionne à l’électricité dans les environs semble être à ta merci, te laissant drainer l’énergie dont tu as besoin. Une fois entreposés dans ton organisme, des liens dorés se forment un peu partout sur ton corps. La propagation commence au niveau de ton torse et se répand jusqu’à 5 extrémités de ton être. Tu es fin prêt pour l’action.

-Je n’ai jamais aimé les oiseaux de toute manière.

Tu faisais référence au stupide corbeau qui avait gobé la carte que tu avais tenté de faire parvenir à travers la chance. Les chances que celle-ci  ait été où tu voulais étaient presque inexistante, mais tu étais tout de même fou furieux contre les oiseaux. Pour toi, ils n’étaient que de stupides créatures ailées qui se la pétaient à l’aide de leurs ailes. Les ailes de la liberté, ouais, pour ensuite se faire tuer en plein vol? Bref, l’alcool ne faisait pas bon ménage avec tes arguments. C’était le temps de passer à l’action.

-Tu peux toujours fuir tu sais.

Tu commences à envoyer des décharges aléatoires qui bifurquent un peu partout pour finalement se diriger vers ton adversaire. Tu espères d’ailleurs qu’elle est rapide parce qu’elle risque de se faire cramer. Haha, un Phoenix cramé, quelle comédie!




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Mer 2 Juil - 13:22






Un brasier innoubliable



MUSIQUE -
L’adrénaline, la rage, l’existation, l’alcool, le feu, tous ces éléments déferlaient en toi, t’empêchant de te contrôler. Tu le sentais, tu l’entendais, comme un manteau de plumes te réchauffant de l’interieur. Il ne faisait que te dire encore et encore.
Vas y brûle le.
Et pour une fois tu n’avais plus envie de résister.
Et pour une fois tu étais d’accord avec lui .
Tu sentais ce manteau de feu en toi, il te poussait, il voulait que tu te laisses aller.
Et tu sentais tes muscles grossir, tu sentais tes flammes danser, elles étaient prêtes, peu importe le coup qui allait venir.
L’homme en face de toi n’avait pas peur, tu étais pourtant partiellement transformée, mais il ne recula que pour mieux se défendre. C’est là que tu vis, ces petits crépitement sur sa peau. Un simple éclair, rapide, fugasse, que tu avais capté seulement grâce à ta vue de phénix.
Il est comme toi.
Il en était un.
Un mutan.
Au fond de toi, ton animal s’enflamma de plus bel, ça allait être un combat intéressant. Tu ne savais pas quel était son pouvoir mais il avait un lien avec l’electricité, comme le tiens avec le feu.

Ses paroles t’arrachèrent un sourire. Une horloge hein ? Et toi, Rubis t’aurais voulu être quoi ? Pas un humain non, ils sont tous faibles et insignifiant.
Tu detestais ce pouvoir que tu ne contrôlais pas. Tu détestais t’enflammer encore et encore, savoir que tu n’étais pas seule. Mais tu avais beau chercher tu n’aurais pas souhaité un autre pouvoir.
Il était ta malédiction.
Il était ta chimère.
Mais il était ton protecteur.
Il était ce qui faisait de toi un être à part, un être fort.
La phénix était une partie de toi, et tu avais appris à l’accepter, parce que c’était le seul moyen de te contrôler un minimum.
Tu le regardas, tes mains réaparaissaient, tes yeux étaient toujours animés de cette lueur.
Montre, tu es un monstre et il avait raison.
Tu te léchas la lèvre en pensant à ce combat qui allait avoir lieu. Tu sentais ton sang bouillir, tu sentais des flammes apparaître sur ton corps, une sur chaque épaule, une longe sur ta jambe gauche, tes doigts se transformèrent en un petit bout d’aile et une dernière vint se former sur le rictus de tes lèvres, comme pour se moquer de ton adversaire.
Il se moquait de lui.
Lui qui avait l’air aussi perdu que toi.

« C’est cool pour toi, moi je n’ai jamais aimé pikachu. »

Ce mec n'avait aucun air de Pikachu. Il n’avait pas l’air heureux, il n’avait pas l’air d’aimer la vie. Il avait l’air d’être aussi paumé que toi.
Deux âmes perdues qui se rencontre dans un bar.
Un éclair surgit du ciel, tombant sur la terre.
Un feu surgit de la terre, s’élevant vers le ciel.
Et un choc.
Ca avait été rapide, un éclair parti dans ta direction. Sans l’aide de l’animal en toi tu serais paralysée. Hereusement tes réflexes te permirent de l’éviter juste à temps. Il était doué, il contrôlait bien. Malheureusement pour lui, il était tombé sur la mauvaise personne. Sur le mauvais monstre.

« Fuir ? Je te retourne la question, tu peux toujours… En faite non, je ne te laisserais pas fuir. »

Deux secondes.
C’est le temps qu’il te suffis pour transformer ton bras en une aile longue de plus d’un mètre Tu la leva et l’abattie sur ton ennemi, comme si tu essayais de trancher l‘homme électrique et que ton aile était le couteau.
Allait-il esquiver ?
Sûrement, mais ça lui montrait que tu ne rigolais plus.
Ton phénix demandait du sang.
Brûle, brûle tout.
Et tu allais lui en donner.
 





DON'T TRY TO HIDE THIS PASSION
BURNING INSIDE YOU


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Jeu 3 Juil - 4:30


Not into you
feat.Rubis



Tu n’avais pas réagi à son attaque, mais ton corps si. Apercevant la source importante de danger, celui-ci s’était permis d’utiliser ton don pour booster la vitesse à laquelle l’influx nerveux passait à travers l’arc réflexe. Ce geste t’avait donc permis d’esquiver son attaque à une vitesse éclair. Toi-même tu devais te remettre de ce déplacement soudain, mais tu devais aussi en profiter pour contre-attaquer. Par contre,  c’était une drôle de situation. Ce soir,tu étais le premier à vouloir sa tranquillité, mais lorsqu’un combat commençait, tu éprouvais cette folle envie de te battre jusqu’à ce que le message soit passé. Bref, le ridicule était à son rendez-vous et ce qui s’annonçait être une nuit dépressive était plutôt devenu une nuit chiante et dépressive. Tu devais calmer les ardeurs de miss chaleur, sinon elle risquait non seulement de briser tes prévisions pour la soirée, mais aussi la météo. La chaleur était déjà assez forte à Tokyo en ce moment, ce n’était pas le temps qu'une sans nom vienne alimenter la canicule.

-Tu vas me dire quelque chose comme…

Tu t’interromps un moment, prenant soin de respirer un bon coup avant de commencer ton imitation.

-J’ai faim et tu m’as l’air pas mal appétissant?

Employant une voix faussement féminine, tu tentes de reproduire sa voix. Pourtant, ton expression ne te trahi pas. Si l’on se fiait seulement à ce que tu dégageais, nul n’aurait su que ta phrase avait une connotation humoristique. Même toi, tu ne semblais pas le reconnaître. À vrai dire, tout était étrange ce soir et tu ne faisais que mettre l’huile sur le feu. D’ailleurs, parlant de feu, tu en avais un à éteindre.

-Panne d’électricité, veuillez vous diriger vers la sortie d’urgence, merci.

Tu lances subitement des rayons vers les lampadaires qui entrainent le reste du système électrique dans leur chute. Une fois accompli, le tour est joué. Toutes les lumières sont éteintes et tu es maintenant caché dans la pénombre de la nuit. Par contre, miss colérique est toujours voyante. En fait, c’est la seule personne qui est visible. Toi, tu es devenue une ombre, quelqu’un qui n’existe pas. Tu fais des pas soigneux, prenant le temps de ne laisser aucun bruit entre tes mouvements. Aucun mot ne s’échappe de tes lèvres. Oui, aucun, car tu sais que c’est l’heure du carnage. C’est l’heure à laquelle elle va goutter à la souffrance. Pendant un court instant, elle va entrer dans ton monde et savoir ce que ça fait d’être seul. Pendant ce mince laps de temps, tu comptes partager ce que tu ressens lorsque tout tombe sur toi. Tu veux lui faire comprendre pourquoi tu veux être seul. Elle doit savoir, elle mérite d’être à ta place. Elle le mérite jusqu’au moment où elle va simplement te demander de la laisser en paix…

-…

Court moment de silence alors que tu magnétises une poubelle derrière elle. Sans crier garde, l’objet métallique et solide se soulève et se dirige dangereusement vers la tête de l’oiseau. Malheureusement pour elle, ce n’était pas tout. Tu t’arrangeais pour répéter ce geste avec divers objets et ce, à chaque seconde. Que ce soit une casserole ou un tournevis rouillé, tout commençait calmement à fuser vers elle jusqu’à ce que tu trouves un bidon d’huile… Ça allait faire boom si elle entrait en contact avec cet objet. C’était un jackpot incertain. Soit elle risquait d’être apte à se nourrir des flammes que tu comptais provoquer  ou soit elle allait en avoir pour son argent. Dans tous les cas, tu venais de courir pour te saisir du bidon d'huile et commencer ton plan.





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Jeu 3 Juil - 13:59





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« Si tu énerves le phénix, viens pas te plaindre après ! »





Rrrrh
Un brasier inoubliable ou l'histoire de deux idiots qui se battent alors que personne n'en a envie.

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TURN YOUR BACK ON MOTHER NATURE


MUSIQUE -
Il était affamé, insaisissable, excité.
Et toi, Rubis, tu te demandais combien de temps encore tu allais pouvoir retenir cette bête.
Toujours plus assoifé, minutes après minutes il prenait le contrôle de ton corps.
Toujours plus affamé, secondes après secondes il t’enfoncait dans ses ténèbres.
Ses plumes de feu t’entourait, comme pour te protéger, comme pour te possèder.
Ces cris résonnaient dans ton esprit.
Brûle, brûle le, il n’attend que ça.
Et toi tu commancais à ne plus avoir la force de résister.
Pourquoi cela ce passait-il ainsi ?
Pourquoi pas un jour sans combat ?

La phrase de cet homme te fit sourir.
Oui, oui tu as l’air appétissant.
Ces mots raisonnaient dans ta tête, mais ils ne venaient pas de toi. Bien sûr que le phénix avait envie de le manger. Mais pas toi.
Tu essayas de calmer ta bête en lui rapelant que celui qui était devant toi était un mutan. Vous étiez trop peu, vous ne devriez pas vous battre entre vous. Pourtant, ça t’arrivait tout le temps, parce qu’un humain ne ferait jamais le poids contre toi. Parce que les humains t’indifféraient, de répugnaient.
Tu pris une grande inspiration et rangeas ton aile. En l’espaces de quelques secondes elle redevint un bras et une main, tout ce qu’il y a de plus normal. Et puis tu plantas des yeux or-orangés dans ceux de ton ennemi.

« Je mange pas les mutants, ca va pas la tête !! On est en minorité et puis je suis un minimum humaine. ».

Tu détestais ce mot.
Tu détestais devoir dire que tu étais humaine, comme si seul les humains était bons. Tu n’es pas humaine, tu ne le seras plus jamais.
Il avait raison.
Jamais tu ne redeviendras celle que tu étais avant.
Et tant mieux.
Tu t’apprêtais à relancer un assaut sur l’homme quand il utilisa son pouvoir pour éteindre toutes les lumières de la rue. Des cris jallirent sur la gauche et ta droite. Tu n’y faisais pas attention, tu n’en avais rien à faire.
Tu te consentras un instant pour essayer de voir à travers le noir, d’utiliser ta vue de phénix. Malheureusement celle-ci ne te permis pas de voir grand chose de plus. Tu ne distinguais que des ombres.
Tu entendais le moindre de ses mouvement, tu sentais son odeur, mais tu ne pouvais voir ton assaillant.
Saleté de contrôle à la noix. Si seulement tu savais contrôler ton pouvoir.
Mais non, aprivoiser l’oiseau était bien trop difficile.
Tu te sentais chaude.
Tu te sentais flamboyante de l’interrieur.
Il était là, près à bondir à n’importe quel moment.
Puisque tu n’avais plus ta vue, ton instinct animal c’était décuplé.
Tu étais prête à bondir.
Il était prêt à tuer.

Un ange passa.
Le silence était maitre des lieux.
Et Baff, une poubelle heurta l’arrière de ta tête.
Le coup te sonna, mais ton corps réussit à esquiver le reste. Ce n’était pas toi qui avait fait bouger ton corps.
C’était lui.
Il ne voulait pas perdre et toi non plus.
Près d’une minute après le coup, dans un moment de lucidité tu élaboras une stratégie pour voir ton adversaire.
Il te fallu deux secondes, pour transformer tes deux bras en deux gigantesques ailes que tu levas en l’air. Ca ne dura que quelques secondes et puis tu t’éteignis complètement.

« Rien de tel qu’un feu de camps pour voir dans le noir. »

Tes ailes te permettaient de le voir, lui qui portait un bidon d’essence ou d'huile.
Il sourit, il riait, il se moquait.
Tellement fort que ses flammes jaillir de ton corps.
Quelques unes qui dansaient sur ta lèvre, une de tes joues, tes bras, tes épaules.
Quelques unes qui te rendais visible dans le noir.
Qu’il vienne, brûle, brûle tout.
Qu’il vienne, le feu n'en sera que plus beau.

Tu étais rapide en te dirigeant vers l'homme.
Il ne s’y attendait peut-être pas, tant mieux.
Tu te dirigeas vers lui et te plantas devant lui. Puis tu mis ta main sur le bidon d’huile, d’essence, c’est pareil.
D’un coup tu étais lasse de ce combat. C’était toujours pareil une fois l’adrénaline partie, une fois l’erreur fatidique de ton adversaire commise, tu étais lasse.
Lui il voulait que tu brûles, brûles tout. Et il riait en toi tellement c’était bon.
Oui c’était bon. Mais tu voulais juste être tranquille pour une fois.
Mais bon Dieu que c’était bon, de savoir que tu allais brûler.

« tu compte faire quoi me cramer ? Bien alors brûlons à deux. »

T’u t’en fichais que vous brûliez à deux. Vos âmes allaient pouvoir entrer en communion, se comprendre avec ce feu.
Mais toi tu es inufuge, Rubis, parce que le phénix en toi allait se régaler de ce feu, parce que tu ne le craignais pas.
Tu vis avec.
Il vis en toi.
Mais ce n’était pas le cas de cet homme électrique.
Tu étendis la flamme de ton bras jusqu’à ton poignet.
Bientôt ta main.
Bientôt le boom.
Et il en riait d'avance.
.

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Ven 4 Juil - 6:42


Faster than lightning? Make me laugh
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Ce spectacle était magnifique. Deux ailes dansantes se dirigeaient vers toi et tout ce que tu trouvais à faire c’était de les laisser se rapprocher dangereusement de toi. Tu jouais avec le feu, mais si ça pouvait te distraire quelques secondes alors pourquoi pas. Hmm, ça sentait le brûler et tu étais le morceau de viande sur le feu. Bientôt, sa flamme allait s’étendre jusqu’à ta main pour venir faire la couche supérieure de la grillade. Ensuite, elle risquait probablement de te retourner afin que le tout soit uniforme pour finalement venir s’attaquer à l’intérieur. Que tu allais être délicieux en cendres. Miam! Un vrai régal pour cette pyromane. Malheureusement et heureusement pour toi, ta mère t’avait toujours dit de ne pas consommer les fruitsqui ne provenaient pas de ton travail. Par conséquent, tu ne pouvais la laisser faire son show en pleine ruelle et te contenter de jouer le rôle d’observateur participant. Toi aussi tu devais être actif, surtout qu’elle venait de te donner l’occasion idéale de respecter l'éducation qui t'avait été donnée.

-Ce n’est pas moi la pyromane ici. Moi, j’électrocute les gens.

Suite à cette phrase, ton visage se convertit pour adopter la religion du cynisme. Au même moment, le pot d’essence tombe au sol, fracassant le gravier comme pour ajouter de l’intensité à tes dernières paroles.

-Tu me fais rire.

L’électricité avait une vitesse de conduction et de propagation des milliers de fois supérieurs au feu. Ce faisant, même si elle avait pris de l’avance sur toi, tu étais en mesure de retourner cette situation à ton avantage. C’est d’ailleurs ce que tu étais en train de faire. Eh oui, une puissante décharge venait d’être transférée de ton corps au sien et tu ne comptais pas lâcher. En fait, tu étais en train de déstabiliser entièrement son système, envoyant des messages aléatoires visant à trouver le moyen de désactiver son pouvoir. Au même moment, tu commençais à sentir dangereusement la chaleur s’emparer de ta main. Soudain, le menace devenait imminente et tu décides de rompre le contact. Malheureusement, ce n’était pas terminé. De loin, tu lui envoyais des rayons électriques afin de t’assurer qu’elle soit hors d’état de nuire. Tu poussais ainsi ton don à son paroxysme sentant que tu n’avais presque plus d’énergie. Ton but était de l’abattre jusqu’à ce qu’elle soit au sol et que ses ailes se rétractent. Déjà, ta première attaque à courte portée avait dû être fructueuse, mais tu ne prenais aucun risque en espérant qu’elle n’avait pas les capacités régénératrices d’un Phoenix.

-Écoute, pensais-tu vraiment que le feu se propageait plus rapidement que l’électricité?

A l'instant, elle était censée être hors d’état de nuire ou du moins sous la défensive , mais l'important était qu'elle soit inapte à te faire du mal. Mais bon, tu n’osais pas t’approcher, ne sachant pas d’où son feu sauvage pouvait provenir pour se venger.

-Maintenant tu ne parles plus? Tu dors?

Tu ne lui avais même pas laissé une seconde pour répondre. Tu ne faisais que provoquer, se souciant de l’état dans laquelle tu l’avais laissé et des dégâts que tu avais causés. Tu n’y étais pas allé de main morte, ça, il fallait te l’avouer. Au moins, tu venais surement de marquer le temps mort du combat.

-Je peux enfin partir?



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Ven 4 Juil - 14:12





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« Si tu énerves le phénix, viens pas te plaindre après ! »





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MUSIQUE -
Le combat. Tout dans cette rue déserte et noire sentait le combat. On pouvait voir les lampadaires cassés ainsi que des traces de feu sur les graviers.
Oui, cette rue ressemblait de très près à une scène de combat.
Mais plus encore que ce paysage.
Plus encore que cette destruction.
Il y avait toi.
Toi et ton regard de braise. Toi et tes ailes de feu. Toi et ta rage, ta haine, ton excitation.
Toi et lui.
Il respirait le combat, lui qui ne vivait que pour la destruction. Au fond de toi il brûlait de désir et d’excitation, rien n’était égal à ce qu’il te faisait ressentir à ce moment là. Petit à petit, il te brûlait de l’intérieur. Petit à petit il te tuait. Petit à petit il te contrôlait.
Et tu n’aimais pas ça, oh non. Cette sensation qui te faisait monter au septième ciel. Cette sensation qui t’enfoncait, chaque fois plus profondement dans les ténèbres.
Tu ressemblais à un monstre maintenant. Mi-phénix mi-himaine, tu n’étais que le reflet de ta lutte intérieur pour ne pas te transformer en bête.  Tu avais chaud, tes plumes de feu bougeaient au grès du vent, tes yeux n’avaient plus rien d’humain, ils étaient bestials, ils était désir et mort. Des flammes jallissaient un peu partout sur ton corps. Elle te tennaient au chaud, elle te protégaient, elles te contrôlaient. Intérieurement tu luttais pour garder le contrôle, pour ne pas te transformer en monstre, pour ne pas devenir le phénix complètement. Et ça faisait mal, un mal de chien.
Il te faisait mal.
Tu te faisais mal. Parce que t’en avait envie, tuer cet homme de tes flammes. Parce qu’au fond le monstre qui vit en toi c’est toi. Parce qu’au fond tu es une bête toi aussi.
Une flaque d’essence recouvrait vos pieds. Il était peut-être près à t’électrocuter, mais tu savais que tu aurais le temps d’enflammer tes pieds pour vous faire exploser. Ce n’était pas une guerre de vitesse non. C’était une guerre d’endurance, parce qu’il ne te fallait que résister quelques secondes au choc électrique qui allait se produire dans ton corps pour vous enflammer. Ton corps n’en était pas capable, en tout cas pas seul. Mais tu n’étais pas seule, Rubis.
Tu n’as jamais été seul depuis 6 ans.
Le phénix pouvait tenir lui. Juste deux secondes, c’était suffisant.
Et alors boom.
Et alors il serait mort, brûlé par tes flammes.
Et toi ?
C’était le moment de vérité, la bête chauffait en toi.
Elle était prête.
Prête à tuer, à brûler, à endurer la souffrance un peu, juste un peu.
Vous pouviez le faire, mais tu n’en étais pas sûr et c’est ça qui était bon.
Le combat, le sang, l’adrénaline, tout ça en même temps.
La cruauté, la haine, l’excitation de tuer, la folie, tout ça et plus encore.
C’était bon.

« Aaah ! Peut-être pas aussi rapidement, mais il est bien plus mortel. Alors entre ton électricé et mon feu, qui nous tuera en premier ? »

C’était ça la vrai question, pas le plus rapide, le plus mortel. Tu le fixais de tes yeux or-orangés. Tu le fixais avec un sourire. Le feu de joie.
Brûle, brûle tout, c’est l’heure.
Et tu le savais, c’était l’heure.
L’heure de savoir qui allait mourir et qui allait survivre.
Tu n’avais pas voulu d’une soirée comme ça. Tu voulais être au calme.
Mais c’était tellement mieux, tellement plus grisant, tellement plus bestial.
Tu te préparais au coup électrique.
Et puis plus rien.
Le phénix était parti.
Où était-il ? Tu n’en avais aucune idée, mais tu ne l’entendais plus, tu ne le sentais plus en toi.
Tu avais froid.
Tu étais libérée. Ton pouvoir ne faisait plus effet et tu étais redevenue entièrement humaine. Et tu regardais l’homme devant toi comme s’il avait fait un miracle ou alors une profanation, tu n’arrivais pas à te décider.
Plus de voix, plus d’envie destructrice, plus de rage, plus feu, plus de monstre, plus de phénix. Enfin la liberté, enfin seule.

« Tu l’as fait partir. Oh mon Dieu tu l’ as fait partir. »

Un sourir vint éclairer ton visage, enfin. Et tu enlaças ton ennemi, sans vraiment comprendre pourquoi. Tu étais heureuse, pendant quoi ? Une minute.
Et puis.
Tu compris, mais alors tu étais humaine ? Non, non, non, non, non, non,non, tu ne pouvais accepter d’être humaine. Tu ne voulais pas être humaine, tu détestais les humains. Ce phénix te faisait mal, ce phénix te tuait à petit feu et tu avais été contente de ne plus l’entendre, de ne plus avoir cette envie meurtrière de pyromane.
Mais tu n’avais aucune envie d’être humaine, tu voulais ton phénix.

« Maintenant rend le moi tout de suite . Où est mon pouvoir rend le moi, je ne peux pas être humaine non.. »

Tu étais maintenant à quelques pas de l’homme et tu le regardais comme s’il t’avait brisé.
Comme s'il t'avait brisé.
.

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Ven 4 Juil - 23:24


GTFO
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Elle t’enlace pour ensuite réagir de manière tout à fait contradictoire. Elle te demande à répétition son Phoenix, oui, elle veut savoir ce que tu as fait de lui. Par contre, toi-même tu n’es pas au courant de ce que tu as pu faire. Tu ne sais pas quelle partie de son système tu as éteint pour que le feu se résorbe. Tu te contentes donc d’être toi-même et de la pousser brusquement comme tu l’aurais fait en temps normal. Ton visage ennuyé affichait une incompréhension flagrante vis à vis la scène. Tu commençais à croire en la possibilité qu’elle était probablement folle et qu’elle devait avoir des problèmes mentaux. Tu décides donc de reculer de quelques pas chancelants. Toute cette scène et ce combat t’avaient affaibli au point de te pousser à te méfier. Tu ne connaissais pas l’étendue de sa force, mais dès qu’elle comprendrait qu’elle peut de nouveau faire appel à son pouvoir, celui-ci risquait de reprendre le dessus pour le brûler de plus belle.

- La ferme!

Tes paroles sont sèches, mais elle t’énerve. Elle t’empêche de penser à force de parler et de répéter constamment les même mots à chaque instant. Tu n’as qu’une seule envie, lui mettre du papier adhésif sur les lèvres, la ligoter et la laisser faire le saucisson sur le sol en appelant à l’aide. Mais bon, tu dois te garder une petite gêne et faute de patience, tu n’as pas le temps de faire tant de préparations. Tu dois donc t’attaquer au problème à la source et éviter de perdre plus de temps dans cet endroit.

-Mais merde, c’est quoi ton problème. Pouvoir ou sans pouvoir, tu restes une humaine. Tu te prenais pour qui? Une héroïne de marvel? Revient à la réalité, nous sommes tous des humains et ce qui nous uni tous et chacun, et ce PEU importe nos différences, c’est bel et bien le fait que nous partageons tous le même destin.

Tu pestes et tu t’exprimes de manière désagréable. Tu veux lui faire comprendre qu’elle te dérange, qu’elle te trouble le train quotidien de ta vie. Tu n’as pas le temps pour ce genre de choses inutiles. Non, tout ce que tu voulais c’était ton verre d’alcool et dormir ivre, pas te battre avec un oiseau pyromane dans une ruelle.

-Et ton pouvoir est toujours là, il est juste allé se cacher un moment. Je ne sais pas, j’ai réussi à le désactiver aléatoirement, mais qu’il soit là ou pas, je m’en fou. Tout ce que je veux c’est que tu me laisses aller boire en paix. Je n’ai plus le temps pour ce genre de sottise gamine !

Tu ne mâches pas tes mots, t’exprimant le plus possible avant que ta montée de lait s'arrête. Tes nerfs avaient lâché d'un seul coup, te rendant ainsi cruel, voire méchant, dans tes paroles. Dans le fond, tu voulais simplement être seul. Tu décides donc de prendre ta solitude en main et de lui tourner dos. Tu commences à partir sans t’attendre à ce qu’elle réagisse. Tu sembles oublier à tout instant qu’il y a deux joueurs, pas un. Par contre, tu risques de t’en souvenir très bientôt.

-Aller va prendre une douche, tu sens le brûler.



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Sam 5 Juil - 14:37





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MUSIQUE -
Il n’est plus là. Il n’est plus là. Et tu as peur Rubis, ton phénix n’est plus là.
Tu avais froid, tu n’avais jamais froid.
Tu te sentais seul, tu ne te sentais jamais seule.
Tu te sentais enchainée, tu ne te sentais jamais enchainée.
Cet homme t’avais pris ton pouvoir, il t’avait brisé, il t’avait pris ce qui fait ce que tu es.
Tes ailes étaient partie, tu ne pourrais plus jamais voler, plus jamais. Tu avais envie de pleurer toutes les larmes de ton corps.
Il venait de te briser.
Mais tu ne pleuras non. Peu importe ce que peut dire cet homme.
Toi une humaine ? Il ne faisait que se voiler la face. Vous n’étes plus des humains depuis 6 ans. Vous êtes beaucoup plus, vous êtes supérieur.
Et tu ne voulais pas perdre ça. Cette chaleur qui te tenait chaud même pendant le plus froid des hivers. Cette voix qui ne te laissait jamais seule, même dans la nuit froide. Ces ailes qui te permettait de voler au-dessus des nuages, au-dessus des étoiles, qui te faisaient te sentir libre.
Il t’avait tout voler.
Alors tu ne pleuras pas, tu le haïsais, lui et son pouvoir, lui et sa morale de bicotte, lui et sa vision du monde.

« Je ne suis pas une humaine. Cela fait 6 ans que je ne suis plus une humaine comme les autres et toi aussi. Ne te voile pas la face, je ne suis pas unis à ceux sans pouvoir, à ces peureux qui préfèrent nous détester, à ces peureux qui se cachent derrière des cyborgs, derrière les traqueurs. Je ne suis pas comme eux et mon destin n’est certainement pas le même. »

Tu lui avais craché ta pensé à la gueule. Lui, cet homme et sa vision du monde dégueulasse. S’il voulait se convaincre qu’il était encore humain qu’il le fasse. Tu n’étais pas la même. Tu n’es pas un héro, tu n’es pas la sauveuse de l’univers, tu n’es rien de bien. Tu n’es qu’une bête, un monstre qui réclame le sang, la bataille.
Tu n’es qu’un phénix.
Mais le phénix n’est plus là. Et tu ne sais plus quoi faire.
Alors tu craches ta haine à cet homme.
Cet homme qui t’a brisé.

Brûle….
C’était juste un murmure, presque inaudible. Mais tu l’avais entendu. Il n’avait pas disparus et petit à petit il reprenait ces forces pour revenir encore plus férocement.
Il n’est pas parti.
Et l’homme part. Et l’homme se croit en sécurité.
Alors tu bouillonnes de rage, contre lui, contre le monde.
Alors brûle le.
Il revient, il est là, tu sens son aile te reconvrir à nouveau. Tu as mal au crâne, tes synapses se reconnectent entre elles. Juste quelques signaux électriques qui fusent, quelques milliers de synapses qui font passer des messages nerveux dans tout ton corps.
Et ton pouvoir revient aussi vite qu’il a disparu.
Le courant électrique de l’homme n’était pas assez puissant pour fermer cette zone de on cerveau longtemps. Petit à petit, ton cerveau se régénère, il se connecte et ton pouvoir revient.
Et le phénix est là, sa voix, sa chaleur tout revient en toi et ça t’a manqué. Justes quelques minutes d’absence et il t’avait manqué, cet oiseau de feu.
Tu sens sa rage.
Tu sens ta rage.
Plus la peine de te retenir.

« Hé, on a pas fini ! »

Ca fait mal, ça fait terriblement mal. Comme à chaque fois tu sens tes os se tordre encore et encore. Comme à chaque fois tu sens ta peau se disloquer, brûler. Tu sens ton corps changer et ça fait mal. Tes mains deviennent des ailes immences, tes peids des pattes qui pourraient écraser une voiture, tu grandis, tu brûles et enfin un bec viens prendre la place de ta bouche et te de nez.
Et maintenant tu es un phénix de plusieurs mètres de haut. Et tu posse un cris, tu lèves tes ailes en l’air.
Tu défis ton adversaire, tu le regardes, lui aussi grand qu’un pauvre petit verre de terre.
Il t’as poussé à bout.

.

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Dim 6 Juil - 0:38


GTFO bis
feat.Rubis



Bon, tu venais maintenant de réveiller le kraken, le monstre qui sommeillait en elle. Tu venais de te mettre dans une situation assez intéressante et dangereuse. En fait, si tu étais suicidaire, tu aurais souri à cœur joie, mais tu n’étais pas désespéré à ce point. En fait, tu venais de voir l’importance de ta vie, car tu ne voulais pas finir en cendre. Non, tu ne voulais pas faire partie de l’infinité des cendres qui composaient ce Pheonix. Tu allais devoir te battre et lutter jusqu’à ce qu’elle te laisse tranquille. Pour ce faire, tu devais commencer par recharger ton corps. En l’électrocutant et en l’attaquant précédemment, tu avais dépensé trop d’électricité sur elle. Il te fallait te restaurer, et ce, rapidement avant qu’elle ne tente de te gober avec son bec. Chanceux comme tu étais le monde entier était composé de ta nourriture favorite.

-Hmm, jolie transformation. Le point que j’aime le plus c’est le fait que tu ne puisses plus parler. Oui, ça fait un bien fou à mes oreilles.

Tu souris en reculant rapidement et attires l’électricité ambiante vers toi. Bientôt, tu saisis une barre de fer qui conduit l’électricité du poteau électrique vers ta main. Les lumières s’agitent et commencent à clignoter, signe qu’elles étaient en train de prêter leur énergie à quelqu’un qui en avait beaucoup plus besoin. Pendant ce temps, tu la regardes armé de ses ailes de feu. Elle fait peur, très peur même, mais tu sais que tu peux arrêter cette bête. En fait, tu n’as pas le choix. En étant méchant et jouant avec elle, tu as fini par la pousser à bout. Maintenant, son côté humain est absent te mettant ainsi dans une situation plus que dangereuse. Après son discours contre les êtres humains, tu devines qu’elle ne résonne pas comme il le faudrait. En fait, elle détient une part de la réalité et ce qu’elle dit ne représente pas des faits négligeables, loin de là. Par contre, elle ne semblait pas se souvenir du fait qu’avant, elle était elle aussi une humaine et avec un peu moins de chances, elle le serait toujours. Ainsi, n’ayant aucunement mérité plus qu’une autre personne d’avoir accès à des capacités surhumaines, elle devait plutôt consacrer ses habilités à aider ceux qui n’étaient pas choyés par la nature, pas les brûler.

-Tiens, y’a un nouveau gang orange qui est arrivé dans le coin. Si ça se trouve, ils te voudront comme mascotte.

Tu provoques à nouveau, signe que tu es prêt à te battre. Armé de ton électricité, tu comptes défier un des quatre principaux éléments. Pour ce faire, tu ramasses une batte de baseball au sol et tu l’utilises comme conducteur. Tu attends ce piaf à bras ouverts, prêt à l’abattre dès qu’il prendrason envol.



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Dim 6 Juil - 14:43





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« Si tu énerves le phénix, viens pas te plaindre après ! »





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Un brasier inoubliable ou l'histoire de deux idiots qui se battent alors que personne n'en a envie.

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TURN YOUR BACK ON MOTHER NATURE


MUSIQUE -
T’étais complètement submergée, Rubis. Ca y est enfin, le phénix avait pris le contrôle de ton corps, entièrement. Ca ne t’était pas arrivé depuis longtemps ma pauvre. Toutes ces années de dur labeur, toutes ces années de travail sur ton contrôle, pour ne pas le laisser te contrôler, pour ne pas le laisser tout brûler.
Mais c’était trop tard maintenant.
Tu n’étais plus toi, t’étais la bête.
Tu n’as plus rien d’humain.
Brûle-le.
Et là tu n’avais plus le pouvoir de dire non. Tu n’avais plus le contrôle de ton corps de feu. Tes ailes bougeaient, tes flammes dansaient sur ton corps de plusieurs mètres de haut.
T’es un monstre. Tu n’as plus rien d’humain.
Alors tu te laisses faire et tu t’abandonnes à cette force en toi. Tu t’abandonnes par fatigue, par sécurité, par lassitude. Tu n’as plus la force de le combattre. Et la bête se reveille, elle demande du sang, du combat, du chaos et t’es prête à tout lui donner Rubis.
Parce que t’en peut plus de lutter jours après jours.

Comme pour répondre à cet homme qui ne trouve rien de mieux de dire qu'ainsi tu ne peux plus parler, tu pousses un cris. Tes cordes vocales vibres en toi et ton cris raisonne dans la rue entière.
Tu n’es qu’une putain de force de la nature et rien d’autre.
Tu n’es qu’un sale montre de haine et c’est fini.
Et cet homme ne fuit pas, il ne trouve rien de mieux que de continuer à t’énerver.
Le phénix en toi sourit, enfin quelqu’un qui n’a pas peur.
Le phénix en toi tremble d’impatience, alors tu le laisses faire et tu te repose dans ses plumes de feu.
C’est l’heure, c’est l’heure.
Ca crit en toi, mais pour une fois ça ne fait pas mal, pas du tout.
Ca cris en toi, mais pour une fois tu es en accord avec cet oiseau de feu.
Alors tu cris à ton tour, et détend tes ailes pour t’envoler.

Ca fait du bien, tellement de bien.
Tu aimes sentir les muscles de tes ailes se cambrer puis se détendre et encore et encore.
Tu aimes sentir le vent faire danser tes flammes.
Tu aimes voir tout en hauter, aller aussi vite que tes ailes te le permettent, vivre au dessus des nuages.
Tu aimes être le phénix peu importe si tu te transforme en monstre.
Et tu sens la puissance en toi déferler, te réchauffer, te sécuriser. Et tu sens l’adrénaline dans tes veines enflammées, c’est comme une drogue, tu ne peux plus t’en passer. Et alors t’oublies la douleur que la transformation t’a faite. Tu n’as plus mal aux muscles, tu la libères cette force monstrueuse.
Et une fois que tu es assez haute, au-dessus des nuages.
Tu plonges.
Tu plonges à une vitesse étonnante, tu replis tes ailes et tu ne ressembles qu’à une boule de feu qui est destinait à ton adversaire.
Et le phénix frémit à l’idée de tout brûler.
Et c’est là que tu remarques, que toi aussi, toi aussi t’aimes ca.
Alors tu sourris pendant que tu fonces sur ton adversaire, les flammes t’entourent pour te protéger au cas où il tire un éclaire.
Tu n’as pas peur.
Tu n’as jamais peur sous cette forme.
Après tout tu es un monstre de feu, une force de la nature, un phénix.

.

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Dim 6 Juil - 16:16


Moltres
feat.Rubis



Au début, tu pensais qu’elle allait foncer vers toi et que tu allais l’abattre d’un simple coup de batte électrique sur la tête. Hop, bam, bim et voilà. Tu pensais que tout allait se jouer de cette manière rien que pour ridiculiser tout le temps qu’elle avait mise à se transformer, mais voilà qu’elle était passée en monde Pokémon. Par contre, n’importe qui ayant regardé la série ou joué aux jeux savait très bien que faire un combat entre Lugia et Raichu n’était pas une bonne idée. Malheureusement pour toi, tu étais assez stupide pour t’être autolancé dans ce combat. Génial. Le pire était qu’en temps normal, les pokémons aériens étaient faibles contre les pokémons éclairs , mais encore une fois, la réalité te trahissait. Bref, trêve d’ânerie. Tu ne t’étais jamais considéré comme une créature et ça ne risquait pas d’arriver du jour au lendemain!

-Et après ce sont nos taxes qui vont payer tes dégâts?

Tu augmentes la vitesse d’influx nerveux à 200% doublant ainsi tes capacités de réaction. Une seconde et tu as disparu. Ton corps a explosé vers un côté de la ruelle dans laquelle tu cours plus qu’à plein régime. C’était chiant, voire même très chiant de devoir utiliser toute ton énergie pour fuir. Mais tu n’avais pas le choix, il te fallait être réaliste. Rester dans un lieu du genre alors que miss météo était devenu miss météore, hell no.

-Bonne chance dans ta vie…

Tu défilais à toute vitesse alors que tu attendais le bruit d’écrasement. Pourquoi ne s’était-elle pas encore écrasée? Pourquoi n’était-elle pas morte. Avec un peu de chance, elle était derrière toi et elle te pourchassait. Oui, avec un peu de chance pour elle! Tu n’osais pas regarder , mais ton corps t’incitait à jeter juste un petit coup d’œil ce que tu finis par faire.

Surprise…



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Dim 6 Juil - 18:23





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MUSIQUE -
Ca allait trop vite. Même pour toi Rubis ca allait trop vite.
C’était insensé, c’était fou, c’était impossible.
Il y a quelques heures t’étais simplement assise dans un bar pour profiter de ta soirée. Tes plans étaient simples, boire boire encore et encore, puis aller en boite pour finir chez un inconnu, ou finir par une bagarre sans grand intérêt. Une bataille que tu aurais gagné en quelques minutes grâce à quelques flammes, pas plus. Ainsi tu aurais fait plaisir au phénix et tu n’aurais rien cassé, tu n’aurais pas perdu le contrôle. C’est comme ça que tu arrivais à le contenir, lui faire plaisir de temps en temps sans meurtre.
Mais là c’était trop.
Mais là c’était allé trop loin. Tu n’avais plus le contrôle, tu étais dépassée et tu n’aimais pas ça.
Mais tu mentirais si tu disais que tu n’étais pas ravie de la situation. Oui, parce que tu volais, enfin tu volais. Ca ne t’était pas arrivé depuis un bout de temps, tu n’avais pas eu le courage de sortir la bête, tu n’avais pas eu le temps de prendre toute une soirée, tout un week-end. Mais voilà, tu ne l’avais pas prévus, mais en ce moment tu volais.
Et Dieu que tu aimes voler, de tes ailes de feu.
Ca allait trop vite.
Mais c’était tellement bon.

Tu ne pouvais parler et de toute façon tu n’écoutais même plus ton adversaire. Il était devenu une fourmie, rien de plus. Une fourmie que tu avais envie d’écraser de toutes tes forces et tu en avais de la force. Et alors que tu foncais sur ton adversaire, tu sentis l’électricité tout autour de toi. Tes plumes de feu réagissaient à cette électricité, elles te protégeaient.
Le phénix te protégeait tout le temps.
Il avait toujours été là pour toi et tu ne t’en rendais pas assez compte.
Ton adversaire s’enfuit à vitesse éclaire. Il courrait le plus vite qu’il pouvait, mais rien ne pouvait t’échapper.
Rien ne pouvait échapper à l’oiseau que tu étais devenue.
Par instinct tu déplias tes ailes d’un coup, tes muscles te tiraient, essayant de soutenir ton corps qui menacait de s’envoler à cause du vent. Quelques secondes te suffirent pour reprendre l’équilibre de ce corps de géant. Puis il te suffit de te pencher, tes ailes toujours dépliée pour changer de trajectoire. Tu avais oublié cette sensation, celle de ne dépendre de rien, d’être en apesenteur. Les muscles de tes ailes tiraient, ça faisait longtemps que tu ne les avais pas utilisé et demain tu allais avoir des courbattures. Mais pour le moment tu te contentas du plaisir de voler.
C’était bon.
Le phénix en toi était plus qu’heureux, il était excité.
Et toi t’étais enfin libre, libérée de ce pouvoir qui t’enchainait autant qu’il te permettait d’être plus libre que n’importe quel humain.
Tu l’aimais ton pouvoir, tu aimais voler, tu aimais te sentir libre, tu aimais ce feu en toi.
Jamais tu n’avais froid, jamais tu n’avais peur.

Et il courait, il courait et tu souriais. Il ne te fallu que quelques secondes pour le ratrapper, maintenant tu étais au-dessus de lui. Cet électromaster allait comprendre son erreur.
Il avait réveillé le monstre.
Une force de la nature bien plus puissante que lui, bien plus puissante que toi, Rubis.
Et le phénix voulait bouffer, il avait faim et tu ne le contrôlais plus.
T’aurais dû avoir peur, mais à la place tu te laissas faire, parce que tu n’avais plus de force. Parce que tu ne pouvais plus aller contre ta nature.
Toi aussi tu avais faim, tellement faim.
Et quand l'homme se retourna pour voir si tu étais là tu plongeas pour réapparaitre devant lui.
Quelques secondes, c’est ce qu’il fallu au phénix pour prendre le contrôle de ton aile et sans que tu ne le veuilles il l’abattit sur ton adversaire comme pour le gifler.
Tu assistais à ton impuissance face à cet être de feu.
Mais quelle bonne idée il avait eu.

.

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Dim 6 Juil - 20:21


Death
feat.Rubis


Tu venais de recevoir un coup qui te propulsa contre une poubelle métallique. Jamais tu n’aurais cru que le métal pouvait être aussi confortable. C’en était presque étrange. En temps normal, tu te serais plaint en disant préférer quelque chose de plus mou comme un coussin ou des sacs de poubelles. Mais dans le cas suivant, c’était soit ça ou de la brique. Dans un sens, tu t’en sortais avec une côte fracturée et dans l’autre tu risquais de finir sonné et dans l'estomac d’une bête de foire. La décision était aisée et facile à prendre. De toute manière, tu n’avais aucune possibilité de prise de décision. Tu étais simplement tombé sur le conteneur et c’était tout.

-Bordel…

Tu avais de la difficulté à te relever et tu étais un peu sonné. Ce qui te permettait de rester fort et combatif était le fait que l’oiseau n’allait pas tarder à s’approcher de toi pour te faire la peau. Dès lors, tu te demandais ce que tu avais pu faire pour mériter un tel châtiment et vivre tant de souffrances et de douleurs. Tu avais de la peine, une tristesse incomparable. Pire encore, tu n’arrivais pas à te lever. Tu étais prisonnier de ton propre corps qui se trouvait être un fardeau. C’était ta côte, elle ne supportait plus de pression.

-Merde…

Tu allais devoir te contenter de faire le moins de bruit possible en espérant qu’elle ne t’aperçoit pas. Ton souffle était gravement réduit et presque inexistant. Tu prenais le temps de contrôler chacune de tes inspirations et expirations. Faute de chance, respirer te faisait aussi souffrir, à croire que ta blessure était plus grave que ce que tu l'avais initialement anticipé.

-Tsk…

Ce bruit était peut-être le dernier que tu pourrais faire, ton dernier son avant la symphonie douloureuse que tu comptais faire après qu’elle t’ait enlevé les verres de la cervelle. Soudain, tu fermes les yeux, commençant à réciter des prières et des prières. Tu entends quelqu’un qui s’approche. Les pas étaient loin d'être des pas humains, la bête était en train de marcher dangereusement vers toi. Tu sentais que ton heure n’allait pas tarder à arriver. Tu ouvres les yeux et ce que tu vois est beaucoup plus effrayant qu’un phoenix. Tu vois ta mort.



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Mer 9 Juil - 16:48





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MUSIQUE -

Il était presque à terre à cause des blessures que tu lui infligeais. C’était presque trop facile pour toi. Tu aurais dû arrêter Rubis.
Tu aurais dû arrêter de l’attaquer encore et encore.
Arrêter de le brûle, de lui faire mal, de le ridiculiser.
Mais tu ne pouvais pas, tu ne pouvais vraiment pas. Tu ne contrôlais rien Rubis, ce n’était plus toi aux commandes de ton corps mais le phénix. Ton corps bongeait sans que tu le veilles, tes pouvoirs se manifestaient sans que tu le décides et tu faisais mal à ton adversaire parce que le phénix le voulait.
Tu ne ressemblais plus à rien à par un monstre. Un monstre qui ne pouvait que posser des cris d’animal. Un monstre qui ne savait faire que blesser, tuer et tout détruire.
Brûle, brûle tout.
Détruit, détruit tout
.
Ca te détruisait même ton âme. Tu sombrais petit à petit dans le chaos et tu ne savais pas vraiment commet arrêter ça. Tu ne pouvais rien faire, tu ne pouvais pas stopper l’animal en toi. Si seulement ton adversaire était assez fort pour te mettre K.O. Tu espérais qu’on te mette K.O, toi qui ne supportes pas perdre, toi qui ne perds jamais de toute façon.
Stop, stop arrête.
Tu avais beau crier à l’interieur de ton corps tu étais impuissante. Tu n’étais rien, tu étais faible et rien de plus. Ton âme était faible parce qu’elle ne pouvait pas aller à l’encontre de cet oiseau de malheur. Cet oiseau de feu, ton plus fidèle compagnon. Et si elle ne pouvait pas, si tu ne pouvais pas c’est pour une raison bien particulière.
Et oui Rubis, pauvre Rubis, peu importe ce que tu peux dire, tu aimes détruire, tu aimes brûler. Encore et encore tu es un monstre toi aussi.
Si le monstre habite en toi, il t’as transformé.
Si le monstre habite en toi, tu es le chaos, la prison, les ténèbres.
Ne t’inquiète pas ton secret est bien gardé, petite femme rousse, aussi cruelle que son phénix, aussi flamboyante que ses ailes, aussi monstreuse que sa créature mythologique.
On aurait pu te tuer, mais tu ne savais pas si comme les phénix tu pouvais renaitre de tes cendres. Alors tu préférais endurer la souffrance pour essayer de le contrôler. Généralement tu y arrivais, mais pas ce soir.

Ce soir il était toi. Et tu le sentais assigner des coups de pattes à ton adversaire, des coups d’ailes et des coups de bec. Et puis il serra le brun entre ses ailes, entre tes ailes.
Stop, tu vas le tuer ! Stop !
Tu avais beau crier il ne s’arrêtait pas, il serrait encore et encore de ses ailes le cou de ton adversaire. Il allait mourir brûlé, il allait bientôt arrêter de respirer. C’était pire que se faire étrangler, c’était se faire étrangler par du feu.
Tu voulais juste voler toi.
Tu voulais juste voler, être libre, battre des ailes comme un oiseau et t’envoler loin, pour admirer le ciel, être libre.
Alors pourquoi tu aimais tant faire souffir les autre ? Pourquoi voir le phénix prendre possession de ton corps pour étrangler cet homme te faisais plaisir ?
Dis Rubis, pourquoi souris-tu ?

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Ven 11 Juil - 3:00


Overload
feat.Rubis


MUSIQUE-Les coups se faisaient de plus en plus saillants et sanglants. À chaque attaque de bec ou coup de patte, tu avais l’impression de te faire arracher une année de plus à ta vie. Ça, c’était avant que l’animal ailé t’empoigne la gorge pour venir te soumettre à une soudaine pénurie d’oxygène. Plus rien, tu ne pouvais plus rien faire pour cesser cette créature qui s’en prenait à toi. Tu lui assénais des coups, désireux de lui faire mal, mais rien. La pression devenait de plus en plus forte, t’enlevant ainsi la vigueur que l’adrénaline te permettait d’avoir dans tes mouvements. Rapidement, ton corps commençait à éteindre les parcelles qui nécessitaient le moins d’énergie vitale. Plus le temps avançait et plus tu sombrais dans le néant, fermant soudainement les yeux sous la pression de ce monde qui trop oppressant pour toi. Tu faisais tes adieux, quittant cette Terre une fois pour toutes. Un léger rictus tombait sur ton visage au même moment quel'affaissement de ta tête contre la poignée solide de l’oiseau. Ton souffle devenait de plus en plus court alors que ton champ de réflexion commençait à diminuer. Ta conscience n’allait pas tarder à dispaître. Bientôt, tu ne serais plus apte à penser ni réfléchir. Bientôt, tu allais mourir et personne n’allait te regretter. Tu ne pouvais supporter de te faire asservir de cette manière. Tu ne pouvais quitter cette Terre, pas de cette manière. Non!

-Argh!

Perdant conscience sur le coup, ton pouvoir commence promptement à se manifester, remplissant intégralement ton corps de lignes dorées. Ta conductibilité électrique augmente alors que l’électricité se met à circuler dans ton organisme à la vitesse de l’éclair. Tous tes organes étaient dans un état de danger alors qu’une surcharge venait de prendre possession de ton corps. Tu ne voulais pas abandonner, tu ne voulais pas craquer, non pas sans te battre!



Le silence tombe à nouveau alors que ton corps s’est soudainement éteint de toute rébellion. Oui, tout signe d’activité venait tout simplement de disparaître comme si l’opposition venait d’être envoyée dans une autre dimension. Heureusement,  ce n’était qu’une illusion. En fait, tu venais de t’éteindre pour mieux exploser. Tu allais lui montrer ce qu’était un phoenix et de quelle manière quelqu’un renaissait de ses cendres. Tu allais la forcer à te laisser tranquille. Si elle n’était plus en mesure de se contrôler, alors tu avais le droit de céder à la même facilité qu'elle. Tu pouvais exploser en toute sécurité, toi bombe à retardement que tu étais et que tu serais toujours. 3 , 2 , 1 et boom. Tu exploses déchargeant complètement l’électricité que tu avais emmagasiné et crée sous le coup de l’adrénaline. Pauvre animal, dû à son contact avec toi , il risquait de tout se prendre à bout portant. Et cette décharge risquait d’être plus que suffisante pour l’envoyer au tapis pendant un  bon moment. Mais pour l’instant, tu devais dormir. Oui, car aucune de tes fonctions ne voulait te répondre. Elles étaient trop fainéantes pour daigner t'écouter, te plongeant ainsi dans un sommeil réparateur.






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Sam 12 Juil - 19:27





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MUSIQUE -

Tu ne contrôlais plus rien, rien du tout. Tu ne comprenais pas vraiment ce qui se passait autour de toi non plus, tout allait si vite, ce n’était pas toi.
Ce n’était pas toi.
Tu n’étais qu’une spectatrice rien d’autre. Et ce n’était pas une comédie que tu regardais, c’était horrible. Tu allais le tuer, ton corps allait le tuer et tu ne pouvais rien faire pour empêcher ça. Mais le pire ce n’était pas ton impuissance face à ce phénix, cette bête, ce monstre de feu. Non le pire c’est que tu souriais, Rubis, tu souriais vraiment, toi et pas l’oiseau, toi et personne d’autre.
Et ça te faisait peur au fond de toi. Et tu te demandais de quoi étais-tu vraiment capable ? Petit à petit tu devenais ce monstre et tu le laissais prendre le contrôle de ton corps, comme tu laissais l’alcool te contrôler tous les soirs.
Pourquoi étais-tu ainsi ?
Pourquoi avais-tu abandonné aussi facilement ?
Tu ne le comprenais pas totalement mais voilà tu souriais en voyant tes ailes entrain de tuer l’homme devant toi.
C’était moche, très moche.
Pourtant t’étais belle en oiseau de feu, t’étais magnifique et tu t’en rendais compte.

Tu voulais arrêter mais tu ne pouvais pas, tu ne pouvais vraiment pas.
Tu avais peur, mais en même temps tu étais surexitée, heureuse, tu ne craignais rien sous cette forme. Quel bel oiseeau tu étais et le feu te vas parfaitement bien.
Et alors que l’oiseau était sur le point de le tuer.
Et alors que tu étais prête à le laisser faire, une décharge court-circuita ton cerveau, complètement.
Tu étais complètement éteinte. Et en deux secondes tes flammes s’envolèrent et tu te retrouva toute nue. Tu avais mal aux muscles, ils te tiraient. Ta peau était brûlante mais tu avais froid, ton cœurs battait encore au rythme de l’oiseau et ton souffle se coupa, ta voix était roque, tes crocs se rétractèrent et tu émis un grognement. Et puis tes yeux redevirent humain ce qui t’arracha un deuxième grognement. Tes cuisses de faisaient trop mal et tu t’affalas par terre. Le froid du sol sur ta peau nue t’arracha un frisson, t’avais froid sans cette plume de feu en toi, qui normalement devaient te recouvrir.
S’il te plait reviens.
Tu le suplias, tu te sentais tellement mal, à terre, nue, à la vue de tout le monde alors qu’il y a quelques minutes tu étais un magnifique oiseau de feu. Alors tu suppliais le phénix de revenir, de te réchauffer de l’intérieur.
Et tu le sentis en toi, il était fatigué, bien trop pour te transformer, mais il te réfauffa et tu pus enfin souffler. Tu avais tellement mal à tous les membres de ton corps.
Ton ennemi aussi était à terre, match nul alors ?
Tu te levas difficilement et tu lui retiras son manteau des épaules pour te couvrir un peu. Tu n’avais pas honte de ton corps , mais voilà…
En toi le phénix s’endormi calmement. Tu sentais son souffle de l'intérieur et ses plumes de feu. Tu fermas les yeux et aprécia sa compagnie, puis tu te tournas vers ton adversaire.

« Je t’empreinte ton manteau et désolé pour tout ça ! Tu devrais rentrer chez toi et dormir un peu chérie. »

Et voilà t’étais redevenue toi, Rubis, celle qui avait réussit à le faire tomber sous ton charme. Tu étais même mieux qu’avant, tu l’avais en toi. Tu l’aimais cet oiseau finalement, surtout quand il était aussi calme.

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Dim 13 Juil - 2:52


Colors of Hell
feat.Rubis


Tu ouvres délicatement les yeux, te voyant confus du monde dans lequel tu te trouves. Tes sens étant affaiblis, tu n’étais qu’en mesure de percevoir l’odeur du brûlé, un baume odorifiant qui était désagréable. On aurait dit que quelqu’un avait passé l’après-midi à faire des grillades et cette personne semblait loin d'avoir finie. Tu tentes donc de localiser le lieu où tout se passait et tu réalises que ce sont des débris qui sont en train de se faire totalement consumer. Dès lors, tu réalises que quelqu’un est debout. Une femme presque en tenue d’Ève. Si ce n’était de ta veste, ses courbes et ses formes n’auraient plus aucun secret pour toi. Tout ça éveille ta curiosité, commençant à te demander ce qui se cachait derrière tout ça. Tu tentes donc désespérément de te relever, étant toutefois brusquement ramené à la réalité par un puissant mal de tête. Tu retombes donc à ta position initiale, n’ayant nul autre choix que de recourir aux paroles pour qu’elle puisse t’annoncer ce que tu désires le plus : savoir ce qu’elle fiche avec ton manteau.

-Qui t’a donné la permission de porter ma veste?

Suite à ses paroles, tu tousses comme si tu avais inhalé beaucoup de flammes. Dès lors, tu commences à te demander si tu n’étais pas parmi l’assiette de viandes à griller. À voir l’état dans lequel tu te trouvais et les importantes marques noires qui maquillaient ton visage, tu ne peux qu’attiser ta curiosité qui était déjà naissante.

-Mais qu’est qu’il s’est passé.

Tu tentes de nouveau de te relever, en vain. Toutefois, l’important mal de tête suscite un souvenir qui était enfoui, celui de la douleur qu’elle venait de te faire vivre. Cette brève parcelle de ta mémoire suffit à te balancer tout ce que tu avais oublié jusqu’à présent au visage. Du début à la fin, tu te souvenais maintenant que tu étais sur le point de mourir avant de …

-Suis-je au paradis?

Tu te poses la question ouvertement, voyant que la femme devant toi t’offrait une vue relativement plaisante pour tout homme. Or, malgré ce que tu venais de dire, elle ne t’intéressait aucunement. Mais pour le plaisir, tu comptais continuer sur cette lancée.

-Peu importe si je suis au Paradis ou en Enfer, j’imagine que les deux sont bien.

Tu souris légèrement tentant d’afficher un air pervers l’espace d’un instant, mais tu te résignes rapidement à ton statut d’homme non humoristique.

-Je déconne, tu ne ressembles pas assez à Tsubasa.

Sur ses paroles qui étaient extrêmement directes et vides de sens pour cette femme qui ne la connaissait probablement pas, tu refermes les yeux, préférant te résigner à dormir dans la rue plutôt que de te forcer de nouveau à te soulever. En plus, tu voulais à tout prix éviter de demander de l’aide à ce truc qui avait essayé de te tuer. Elle semblait très gentille sous ses airs de naturiste, mais elle était bipolaire. D’une seconde à l’autre, elle allait probablement recommencer son éternel manège sur le feu. Brûle, brûle, brûle. Oui et tu préférais être inconscient lorsque ça allait arriver. Bonne nuit Kizashi.




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Dim 13 Juil - 20:53





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MUSIQUE -

Ton adversaire avait l'air, comment dire? Dans les vappe? Parce qu'il ne semblait pas se souvenir ce qu'il venait de se passer ! Si c'était le cas t'étais bien contente toi Rubis. T'aurais aimé oublier ta transformation, t'aurais aimé oublier que tu avais presque tuer cet homme devant toi qui pourtant n'avait rien demandé à personne. Il t'avait juste un peu fait chier, il était tombé sur le mauvais soir, sur la mauvaise fille trop bourrée, sur le mauvais monstre.
T'étais fatiguée toi aussi Rubis.
T'étais tellement fatiguée.
Tes jambes te faisaient terriblement mal et tu te demandais comment elles pouvaient encore te soutenir. Tu sentais tes muscles défaillir sous ton poids et tu avais tes torticolis sur tout ton corps. C'était comme si tu venais de faire un marathon ou une séance de sexe intense.
Non t'étais vraiment fatiguée.
Et tu sentais le phénix dormir en toi.
Lentement il reprenait des forces et son feu était tellement apaisant qu'il te donnait envie de dormir toi aussi.

Il parlait mais tu ne l'écoutais déjà plus! Au paradis? Mais de quoi il parlait? Peut-être de la tenue dans laquelle tu étais. Tu n'avais pas honte et puis si tu étais comme ça c'était en partie de sa faute alors bon.

" Je prend ta veste que tu le veuilles ou non parce que si je suis nue c'est en parti de ta faute chou. Et non tu n'aies pas au Paradis t'es bel et bine vivant maintenant je te conseil de rentrer chez toi et d'aller dormir."

Tu aurais tant aimé qu'il ne se souvienne jamais ce qu'il venait de se passer dans cette ruelle, ce soir. Mais tu savais bien que dans quelques minutes ses souvenirs reviendront. Et si ce n'était pas le cas, ils reviendront après une bonne nuit de sommeil. il était juste fatigué car son corps avait été poussé à bout par son pouvoir.
C'était aussi ton cas Rubis.
En faite il était fort à parié que si ton pouvoir n'était pas la transformation en phénix tu te serais évanouis. Heureusement pour toi cet oiseau de feu avait pris le coup à ta place et il partagé sa capacité de régénération avec toi. Ainsi tu pouvais plus facilement te remettre des efforts physique.
Après quelques minutes sans bougé, tu te levas et tu décidas de t'en aller.
Tu cherchas le peu de force qu'il te restait et tu te levas. Puis tu supplias ton oiseau qui dormait de te donner un peu de force. Une chaleur réconfortante et protectrice se fit sentir dans ton corps et te donna juste assez d'énergie pour regagner ta voiture et rentrer chez toi.

"Ecoutes je ne sais pas qui est cette Tusbasa mai si elle est si jolie et bien va la rejoindre au lieu de t'endormir dans la rue comme ça."

Tu marquas un temps d'arrêt.

"Je suis désolée pour ce soir, va te reposer et reprend ta vie normalement d'accord? Il y a peu de chance qu'on se revoit alors ne pense plus a tout ça. Et si je peux me permettre de te donner un conseil, pour cette Tsubasa fonce, on se rend compte de nos erreurs que quand on a perdu une personne. enfin je pense que c'est un truc comme ça le credo. Je suis fatiguée je vais dormir Bye."

Tu étais vraiment un monstre, Rubis.
Alors que cet homme était à terre sans savoir se lever parce que son pouvoir avait surchargé son corps.
Toi la personne qui avait reçut sa plus puissante attaque tu pouvais encore marcher et parler et conduire. Certes plus pour longtemps, mais tu pouvais encore.
Parce que tu l'avais avec toi.
Cet oiseau de feu qui te prêtait sa force à chaque fois.
Sur ce tu t'en alla sans te retourner.

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